Propos recueillis par Sophy Caulier Véronique Di Benedetto, directrice générale d'Econocom France, est aussi directrice générale adjointe du groupe européen de services informatiques. En rachetant, le er juillet, , du capital d'un autre acteur du marché, Osiatis, Econocom a changé d'échelle.Le a le plaisir de vous offrir la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du .Profitez de tous les articles réservés du en vous abonnant à partir de €mois Découvrez l'édition abonnésL'effectif du groupe passe de à personnes réparties dans une vingtaine de pays, dont deux nouveaux : le Brésil et l'Autriche.Le nouveau leader des services informatiques en France et en Belgique, qui devait présenter lundi septembre dans l'aprèsmidi ses résultats semestriels, affiche un chiffre d'affaires de milliards d'euros et annonce un objectif de milliards pour .Trench burberry pas cher Mme Di Benedetto, une des rares femmes à la tête d'une entreprise du numérique, conjugue le goût des défis et de la création d'entreprise à une expérience internationale et une préoccupation pour les relations humaines.En , elle avait pris la direction générale de la filiale française du gestionnaire d'infrastructures informatiques et de télécommunications Econocom, qui venait de racheter la société ECS, qu'elle dirigeait, pour gérer la fusion des deux entités. Véronique Di Benedetto, comment expliquezvous qu'il y ait si peu de femmes dans le numérique!Le numérique souffre d'une image erronée auprès des jeunes femmes. C'est une vraie perte de talents pour cette industrie, car le numérique sera partout, dans tous les secteurs d'activité. Et l'innovation y est permanente.La commission "femmes du numérique" Burberry Femme pas cher de Syntec, dont je suis membre, oeuvre en amont, dans les collèges, les écoles d'ingénieurs, etc. Burberry SoldesIl faut convertir les jeunes femmes au numérique mais aussi leurs mères, car elles ont de l'influence sur la carrière de leurs filles.Je conseille vivement aux jeunes filles de s'orienter vers les études d'ingénieur et surtout d'aller vers les métiers du numérique. C'est un vivier d'emplois très variés.Une femme dirigetelle différemment d'un homme!Les femmes ont une sensibilité différente. Mais diriger une entreprise est une question de doigté. Il faut avoir de l'empathie et être bienveillant. Certains hommes ont ces qualités ! Les femmes s'autorisent peutêtre plus à laisser transparaître leurs émotions et elles gèrent mieux l'équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle. Burberry pas cher Qu'estce qui a déterminé votre carrière!Je pense que c'est lorsque j'ai décidé de quitter IBMmon premier emploipour créer mon entreprise. Cette décision a inquiété mes parents. Mais j'étais jeune et j'avais envie d'entreprendre.Polo burberry pas cher Aujourd'hui, je pousse mes enfants, âgés de ans et ans, à entreprendre, surtout tant qu'ils sont jeunes et pas encore installés. Je leur dis d'avoir ce courage ! Cela les aidera demain, lorsqu'il faudra être à la fois indépendant et capable d'évoluer d'un statut à un autre. De plus, les outils numériques facilitent les choses. Il est possible aujourd'hui de créer une société avec trois fois rien. Sac burberry pas cherEt même si c'est un échec, tant pis, c'est tellement formidable !Avezvous connu des échecs!Oui, bien sûr, plusieurs ! Entre autres, une des sociétés que j'ai créées a fait faillite et nous avons dû licencier. Ce n'est jamais facile. J'ai réfléchi à mes échecs. Non pas au pourquoi, mais au comment cela s'est passé et à ce que j'avais appris.
Mme Di Benedetto, une des rares femmes à la tête d'une entreprise du numérique, conjugue le goût des défis et de la création d'entreprise à une expérience internationale et une préoccupation pour les relations humaines.En , elle avait pris la direction générale de la filiale française du gestionnaire d'infrastructures informatiques et de télécommunications Econocom, qui venait de racheter la société ECS, qu'elle dirigeait, pour gérer la fusion des deux entités. Véronique Di Benedetto, comment expliquezvous qu'il y ait si peu de femmes dans le numérique!Le numérique souffre d'une image erronée auprès des jeunes femmes. C'est une vraie perte de talents pour cette industrie, car le numérique sera partout, dans tous les secteurs d'activité. Et l'innovation y est permanente.La commission "femmes du numérique" Burberry Femme pas cher de Syntec, dont je suis membre, oeuvre en amont, dans les collèges, les écoles d'ingénieurs, etc. Burberry SoldesIl faut convertir les jeunes femmes au numérique mais aussi leurs mères, car elles ont de l'influence sur la carrière de leurs filles.Je conseille vivement aux jeunes filles de s'orienter vers les études d'ingénieur et surtout d'aller vers les métiers du numérique. C'est un vivier d'emplois très variés.Une femme dirigetelle différemment d'un homme!Les femmes ont une sensibilité différente. Mais diriger une entreprise est une question de doigté. Il faut avoir de l'empathie et être bienveillant. Certains hommes ont ces qualités ! Les femmes s'autorisent peutêtre plus à laisser transparaître leurs émotions et elles gèrent mieux l'équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle. Burberry pas cher Qu'estce qui a déterminé votre carrière!Je pense que c'est lorsque j'ai décidé de quitter IBMmon premier emploipour créer mon entreprise. Cette décision a inquiété mes parents. Mais j'étais jeune et j'avais envie d'entreprendre.Polo burberry pas cher
Aujourd'hui, je pousse mes enfants, âgés de ans et ans, à entreprendre, surtout tant qu'ils sont jeunes et pas encore installés. Je leur dis d'avoir ce courage ! Cela les aidera demain, lorsqu'il faudra être à la fois indépendant et capable d'évoluer d'un statut à un autre. De plus, les outils numériques facilitent les choses. Il est possible aujourd'hui de créer une société avec trois fois rien. Sac burberry pas cherEt même si c'est un échec, tant pis, c'est tellement formidable !Avezvous connu des échecs!Oui, bien sûr, plusieurs ! Entre autres, une des sociétés que j'ai créées a fait faillite et nous avons dû licencier. Ce n'est jamais facile. J'ai réfléchi à mes échecs. Non pas au pourquoi, mais au comment cela s'est passé et à ce que j'avais appris.
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