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started by uerozhiyo uerozhiyo on 07 Apr 14
  • uerozhiyo uerozhiyo
    #1 uerozhiyo uerozhiyo on 07 Apr 14
     
    Mais les mauvaises conditions climatiques et les courants violents qui balayent la zone laissaient peu d'espoir, hier soir, de retrouver beaucoup d'autres rescapés.Ce naufrage s'annonce déjà comme la pire catastrophe maritime de l'histoire de l'Egypte. Un drame qui pose la question de la sécurité du transport en mer Rouge. Nombre de navires qui assurent la liaison entre l'Arabie saoudite et l'Egypte, notamment pendant la période du pèlerinage à La Mecque, qui vient de s'achever, ne répondent pas aux normes de sécurité. Fatigués, mal entretenus, ils ne sont pas préparés à affronter des conditions de mer difficiles. Autre problème : la multiplication des pavillons de complaisance. Bien qu'appartenant à une société basée au Caire, l'al-Salam 98 était immatriculé au Panama. survetement lacoste bebe
    Selon ses propriétaires, le ferry de 118 mètres de long, construit en 1970, «répondait aux normes de sécurité internationales».Le sérieux de la compagnie en question Il transportait un nombre de passagers légèrement inférieur au maximum autorisé. Mais certains commentateurs égyptiens posaient hier la question du sérieux de la société al-Salam. En octobre dernier, un autre de ses ferries était entré en collision avec un cargo chypriote près de Suez. Hier soir, le président Hosni Moubarak a demandé une enquête urgente. Selon son porte-parole, «la rapidité du naufrage du navire et le fait qu'il n'y avait pas à bord un nombre suffisant d'embarcations de sauvetage confirment qu'il y avait un problème».Les circonstances de ce nouveau drame sont encore très floues. bas de survetement lacoste L'al-Salam 98 a brutalement disparu des écrans radar alors qu'il naviguait à une soixantaine de kilomètres au large de la station balnéaire de Hourghada, dans une mer formée par un vent violent. Selon certains experts, des vagues pourraient s'être engouffrées par une porte mal fermée, par exemple celle qui sert à embarquer les véhicules à bord du ferry. Déséquilibré, le bateau aurait alors chaviré et coulé à pic. Mais il ne s'agit là que d'une hypothèse, car de nombreux naufrages ont eu lieu dans cette région truffée d'îlots et de récifs de corail. Cela avait été le cas en 1991 lorsqu'un ferry assurant la liaison entre Djeddah et Safaga s'était échoué sur un récif, provoquant la mort de près de 500 passagers. Là encore, c'est le capitaine du navire, disparu dans la catastrophe, qui avait été incriminé.Le Pentagone prépare une «longue guerre» antiterroriste LA CAMPAGNE contre le terrorisme a un nom officiel, qui la propulse au niveau des grands conflits du passé, comme les deux guerres mondiales et la guerre froide : c'est «la longue guerre», titre du dernier discours du secrétaire à la Défense, Donald Rumsfeld. nouveau survetement lacoste
    L'expression a fait son chemin dans l'Administration depuis son utilisation en 2004 par le général John Abizaïd, commandant des forces américaines en Irak et en Afghanistan, jusqu'au discours sur l'état de l'Union prononcé mardi par George W. Bush : «Notre génération est plongée dans une longue guerre face à un ennemi déterminé», a dit le président.Ce sont aussi les premiers mots de la Revue de défense quadriennale (QDR) dévoilée hier : «Les États-Unis sont engagés dans ce qui va être une longue guerre.» Pour y faire face, ce document de réflexion et d'orientation, exigé tous les quatre ans par le Congrès, définit les nouvelles priorités de la première armée du monde : plus de forces spéciales pour mener la chasse aux terroristes, une meilleure défense du territoire face aux risques d'attaques non-conventionnelles et plus d'armes de pointe pour renforcer la dissuasion face à des puissances comme la Chine. La QDR accompagne la présentation du budget militaire pour 2007 : 439,3 milliards de dollars de frais de fonctionnement, auxquels s'ajoutent 120 milliards pour les opérations en Irak et en Afghanistan (sur 2006-2007). Au total, le coût des «premières batailles» de la longue guerre atteindra 440 milliards de dollars l'an prochain.Depuis qu'il dirige ce mastodonte, Donald Rumsfeld n'a qu'une obsession : le rendre plus efficace et plus agile.

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