L'Iran fait partie des pays qui exécutent le plus de condamnés à mort avec l'Arabie saoudite, la Chine et les Etats-Unis.L'exécution de Nimr a provoqué des mouvements de colère dans le monde chiite, notamment à Téhéran, où 3.000 personnes ont manifesté lundi en huant la famille sunnite régnante d'Arabie saoudite.- La Syrie en jeu -L'ambassadeur saoudien à l'ONU a affirmé que la rupture des relations avec l'Iran n'empêcherait pas Ryad de "continuer à travailler dur pour soutenir les efforts de paix en Syrie et au Yémen" et que l'Arabie participerait aux prochains pourparlers de paix sur la Syrie, prévus à partir du 25 janvier à Genève sous l'égide de l'ONU.L'Iran est avec la Russie le principal allié de Damas, alors que l'Arabie saoudite soutient l'opposition syrienne.L'engagement saoudien a été réaffirmé par le chef de la diplomatie Adel Al-Jubeir à l'issue d'un entretien à Ryad avec le médiateur de l'ONU pour la Syrie Staffan de Mistura.Le royaume reste "engagé à soutenir le peuple syrien pour qu'il obtienne ses droits, recouvre sa liberté et réalise ses aspirations. Solde Longchamp En Ligne 2016 Il continuera à travailler avec l'ONU et la communauté internationale pour y parvenir", a dit M. Jubeir, cité par l'agence officielle SPA.Selon un communiqué de l'ONU, M. de Mistura a déclaré que Ryad était déterminé à ce que les tensions régionales "n'aient pas d'impact sur la poursuite du processus politique que l'ONU entend lancer bientôt à Geneve".Le médiateur de l'ONU doit se rendre cette semaine à Téhéran, puis à Damas.L'arsenal d'armes chimiques déclaré en 2013 par le régime syrien a été détruit en totalité, a annoncé mardi l'organisation chargée de surveiller le processus, qui continue cependant d'alerter sur des cas de recours au gaz sarin dans la guerre civile.L'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), qui a supervisé la destruction des stocks d'armes déclarées par Damas en septembre 2013 sous la pression internationale, a fait état depuis des mois du recours persistant au gaz sarin, au gaz moutarde ou au chlore dans les combats qui ravagent la Syrie depuis cinq ans. sac longchamp neuf pas cher Ceux-ci ont fait à ce jour plus de 250.000 morts.Elle ne s'est cependant pas prononcée sur l'origine de ces attaques chimiques, interdites par la législation internationale, et n'a accusé formellement ni le régime, ni les groupes rebelles dits modérés, ni le groupe jihadiste Etat islamique.Après avoir nié pendant des années détenir des stocks d'armes chimiques, le régime de Bachar al-Assad avait cédé en septembre 2013 à la pression internationale et accepté de livrer son arsenal à l'OIAC pour destruction, aux termes d'un accord russo-américain.Un peu plus de deux ans après, l'arsenal "a été détruit à 100%", a déclaré à l'AFP le porte-parole de l'organisation, Malik Ellahi. La question devait être examinée mardi au Conseil de sécurité de l'ONU."Cette destruction met fin à un chapitre important dans l'élimination du programme d'armes chimiques en Syrie", a souligné dans un communiqué le directeur général de l'OIAC, Ahmet Üzümcü. sac longchamp bleu marine pas cher Mais il a reconnu que l'organisation basée à la Haye continuait de travailler pour "clarifier la déclaration syrienne" et mettre au clair les "utilisations continues d'armes chimiques dans ce pays".Dans un rapport distinct rendu public lundi après avoir été transmis au Conseil de sécurité, l'organisation a notamment indiqué enquêter sur 11 incidents dont a fait état le gouvernement syrien, dans lesquels des personnes auraient été exposées au gaz sarin ou à des produits similaires."L'enquête doit continuer pour déterminer quand et dans quelles circonstances ces cas ont pu se produire", a estimé l'OIAC dans le rapport.De précédentes missions d'enquête de l'organisation en Syrie avaient révélé des cas de recours à la chlorine et au gaz moutarde.- Des armes d'origine indéterminée -Le régime et le groupe Etat islamique ont été accusés d'avoir recours à des armes chimiques dans la guerre civile, sans que l'origine de ces armes ait été établie.Aux termes de l'accord conclu en septembre 2013 à Genève par le Secrétaire d'Etat américain John Kerry et son homologue russe Sergueï Lavrov, la Syrie avait admis détenir plus de 1.000 tonnes d'armes chimiques, et avait accepté leur destruction.
Il continuera à travailler avec l'ONU et la communauté internationale pour y parvenir", a dit M. Jubeir, cité par l'agence officielle SPA.Selon un communiqué de l'ONU, M. de Mistura a déclaré que Ryad était déterminé à ce que les tensions régionales "n'aient pas d'impact sur la poursuite du processus politique que l'ONU entend lancer bientôt à Geneve".Le médiateur de l'ONU doit se rendre cette semaine à Téhéran, puis à Damas.L'arsenal d'armes chimiques déclaré en 2013 par le régime syrien a été détruit en totalité, a annoncé mardi l'organisation chargée de surveiller le processus, qui continue cependant d'alerter sur des cas de recours au gaz sarin dans la guerre civile.L'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), qui a supervisé la destruction des stocks d'armes déclarées par Damas en septembre 2013 sous la pression internationale, a fait état depuis des mois du recours persistant au gaz sarin, au gaz moutarde ou au chlore dans les combats qui ravagent la Syrie depuis cinq ans. sac longchamp neuf pas cher Ceux-ci ont fait à ce jour plus de 250.000 morts.Elle ne s'est cependant pas prononcée sur l'origine de ces attaques chimiques, interdites par la législation internationale, et n'a accusé formellement ni le régime, ni les groupes rebelles dits modérés, ni le groupe jihadiste Etat islamique.Après avoir nié pendant des années détenir des stocks d'armes chimiques, le régime de Bachar al-Assad avait cédé en septembre 2013 à la pression internationale et accepté de livrer son arsenal à l'OIAC pour destruction, aux termes d'un accord russo-américain.Un peu plus de deux ans après, l'arsenal "a été détruit à 100%", a déclaré à l'AFP le porte-parole de l'organisation, Malik Ellahi. La question devait être examinée mardi au Conseil de sécurité de l'ONU."Cette destruction met fin à un chapitre important dans l'élimination du programme d'armes chimiques en Syrie", a souligné dans un communiqué le directeur général de l'OIAC, Ahmet Üzümcü. sac longchamp bleu marine pas cher
Mais il a reconnu que l'organisation basée à la Haye continuait de travailler pour "clarifier la déclaration syrienne" et mettre au clair les "utilisations continues d'armes chimiques dans ce pays".Dans un rapport distinct rendu public lundi après avoir été transmis au Conseil de sécurité, l'organisation a notamment indiqué enquêter sur 11 incidents dont a fait état le gouvernement syrien, dans lesquels des personnes auraient été exposées au gaz sarin ou à des produits similaires."L'enquête doit continuer pour déterminer quand et dans quelles circonstances ces cas ont pu se produire", a estimé l'OIAC dans le rapport.De précédentes missions d'enquête de l'organisation en Syrie avaient révélé des cas de recours à la chlorine et au gaz moutarde.- Des armes d'origine indéterminée -Le régime et le groupe Etat islamique ont été accusés d'avoir recours à des armes chimiques dans la guerre civile, sans que l'origine de ces armes ait été établie.Aux termes de l'accord conclu en septembre 2013 à Genève par le Secrétaire d'Etat américain John Kerry et son homologue russe Sergueï Lavrov, la Syrie avait admis détenir plus de 1.000 tonnes d'armes chimiques, et avait accepté leur destruction.
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