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  #1 thenorth321 thenorth321 on 16 Apr 14

   

  Face à la propagation très rapide de la maladie, le ministre de l'Outre-mer annonce le renfort de 300 militaires pour participer à la lutte contre l'épidémie et aux campagnes de démoustication. L'épidémie touche dorénavant près de 10 % de la population. 70.000 cas recensés depuis le début de l'épidémie au printemps 2005. C'est le nouveau bilan de l'épidémie de Chikungunya, annoncé mercredi par François Baroin. Pour freiner la maladie, le ministre de l'Outre-mer a annoncé une série de mesures, dont les démoustications de l'intégralité des 200 000 foyers concernés de l'île, la diffusion dans tous les médias d'une série de messages sur la maladie et les moyens individuels de se protéger du moustique, ainsi que le renforcement de l'accueil médical. 65 lits supplémentaires ont été ouverts et 100 autres le seront si les besoins le justifient. sac longchamp noir
  20 médecins et 30 infirmières de métropole interviennent, par rotation, en renfort. A la demande du ministère de la Santé, une équipe médicale du Centre hospitalier universitaire (CHU) de Bordeaux a d'ores et déjà été envoyée.3 600 hommes sur le terrainOutre l'envoi de 300 militaires en renfort, 77 cadres de la sécurité civile vont être dépêchés dans l'île. En tout, 3 600 hommes seront déployés sur le terrain pour assainir les lieux. Le Chikungunya, qui se transmet par les piqûres du moustique Aedes, se traduit par une forte fièvre, des éruptions cutanées et des courbatures dans les articulations. Il n'existe contre cette affection ni vaccin, ni traitement préventif médicamenteux. Face à la propagation très rapide de la maladie, le ministre de l'Outre-mer annonce le renfort de 300 militaires pour participer à la lutte contre l'épidémie et aux campagnes de démoustication. articles longchamp pas chers L'épidémie touche dorénavant près de 10 % de la population. Face à la propagation très rapide de la maladie, le ministre de l'Outre-mer annonce le renfort de 300 militaires pour participer à la lutte contre l'épidémie et aux campagnes de démoustication. L'épidémie touche dorénavant près de 10 % de la population. Retrouvez les dernières depuis notre page d'accueil ou via les liens ci-dessous Pour nous signaler une erreur, n'hésitez pas à nous Veuillez nous excuser pour la gêne occasionnée. Les réseaux salafistes français mobilisent sur Internet APRES LONDRES, Bruxelles ou Copenhague, les manifestations européennes contre les caricatures du prophète Mahomet gagnent Paris. Hier, un collectif d'associations musulmanes a appelé à un rassemblement place de la République le 11 février. Dimanche dernier, plus d'un millier de personnes avaient déjà défilé, sans demander d'autorisation préalable, de la place de la Nation à celle de la Bastille aux cris de «Dieu est grand». sac Besace Longchamp Solde
  La foule pacifique avait brandi une banderole portant l'inscription : «S'attaquer au prophète, c'est s'attaquer à nous.» Le plus grand mystère planait sur les organisateurs de l'événement. Il a en fait été initié par des militants salafistes utilisant les moyens de communication les plus modernes. Plusieurs autorités du salafisme francilien figuraient parmi les manifestants. Le mot d'ordre a été lancé samedi dans la journée dans plusieurs salles de prière de la région parisienne contrôlées par les islamistes radicaux. Depuis plusieurs jours, ces milieux fourmillaient d'appels à la mobilisation, sous forme de manifestation ou de boycott des produits danois. Les propos tenus dans les mosquées sont ensuite relayés par les forums de sites «anti-islamophobes» sans lien avec le salafisme.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Face à la propagation très rapide de la maladie, le ministre de l'Outre-mer annonce le renfort de 300 militaires pour participer à la lutte contre l'épidémie et aux campagnes de démoustication. L'épidémie touche dorénavant près de 10 % de la population. 70.000 cas recensés depuis le début de l'épidémie au printemps 2005. C'est le nouveau bilan de l'épidémie de Chikungunya, annoncé mercredi par François Baroin. Pour freiner la maladie, le ministre de l'Outre-mer a annoncé une série de mesures, dont les démoustications de l'intégralité des 200 000 foyers concernés de l'île, la diffusion dans tous les médias d'une série de messages sur la maladie et les moyens individuels de se protéger du moustique, ainsi que le renforcement de l'accueil médical. 65 lits supplémentaires ont été ouverts et 100 autres le seront si les besoins le justifient. <a rel="nofollow" title="sac longchamp noir" href="http://www.paris-entre-deux.fr/sac-longchamp-noir/">sac longchamp noir</a> <br /> 20 médecins et 30 infirmières de métropole interviennent, par rotation, en renfort. A la demande du ministère de la Santé, une équipe médicale du Centre hospitalier universitaire (CHU) de Bordeaux a d'ores et déjà été envoyée.3 600 hommes sur le terrainOutre l'envoi de 300 militaires en renfort, 77 cadres de la sécurité civile vont être dépêchés dans l'île. En tout, 3 600 hommes seront déployés sur le terrain pour assainir les lieux. Le Chikungunya, qui se transmet par les piqûres du moustique Aedes, se traduit par une forte fièvre, des éruptions cutanées et des courbatures dans les articulations. Il n'existe contre cette affection ni vaccin, ni traitement préventif médicamenteux. Face à la propagation très rapide de la maladie, le ministre de l'Outre-mer annonce le renfort de 300 militaires pour participer à la lutte contre l'épidémie et aux campagnes de démoustication. <a rel="nofollow" title="articles longchamp pas chers" href="http://www.paris-entre-deux.fr/articles-longchamp-pas-chers/">articles longchamp pas chers</a> L'épidémie touche dorénavant près de 10 % de la population. Face à la propagation très rapide de la maladie, le ministre de l'Outre-mer annonce le renfort de 300 militaires pour participer à la lutte contre l'épidémie et aux campagnes de démoustication. L'épidémie touche dorénavant près de 10 % de la population. Retrouvez les dernières depuis notre page d'accueil ou via les liens ci-dessous Pour nous signaler une erreur, n'hésitez pas à nous Veuillez nous excuser pour la gêne occasionnée. Les réseaux salafistes français mobilisent sur Internet APRES LONDRES, Bruxelles ou Copenhague, les manifestations européennes contre les caricatures du prophète Mahomet gagnent Paris. Hier, un collectif d'associations musulmanes a appelé à un rassemblement place de la République le 11 février. Dimanche dernier, plus d'un millier de personnes avaient déjà défilé, sans demander d'autorisation préalable, de la place de la Nation à celle de la Bastille aux cris de «Dieu est grand». <a rel="nofollow" title="sac Besace Longchamp Solde" href="http://www.paris-entre-deux.fr/sac-besace-longchamp-solde/">sac Besace Longchamp Solde</a> <br /> La foule pacifique avait brandi une banderole portant l'inscription : «S'attaquer au prophète, c'est s'attaquer à nous.» Le plus grand mystère planait sur les organisateurs de l'événement. Il a en fait été initié par des militants salafistes utilisant les moyens de communication les plus modernes. Plusieurs autorités du salafisme francilien figuraient parmi les manifestants. Le mot d'ordre a été lancé samedi dans la journée dans plusieurs salles de prière de la région parisienne contrôlées par les islamistes radicaux. Depuis plusieurs jours, ces milieux fourmillaient d'appels à la mobilisation, sous forme de manifestation ou de boycott des produits danois. Les propos tenus dans les mosquées sont ensuite relayés par les forums de sites «anti-islamophobes» sans lien avec le salafisme.</div>

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