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started by bifeng5 on 08 Nov 14
  • bifeng5
     
    Peu auparavant, la candidate socialiste avait appelé lors d'une rencontre avec des étudiants palestiniens à une reprise de l'aide internationale directe, gelées après la victoire des islamistes du Hamas en janvier. ''Je lui souhaite la réussite'', a déclaré pour sa part le président de l'Autorité palestinienne en saluant la visite d'une ''candidate présidentielle d'un pays ami''. ''Nous avons des relations historiques avec le Parti socialiste et tous les partis français'', a ajouté le président palestinien. Après sa visite à Gaza, Ségolène Royal doit s'entretenir dans l'après-midi avec la ministre israélienne des Affaires étrangères, Tzipi Livni, à Jérusalem. Ségolène Royal avait placé la barre haut en choisissant d'aller, comme l'avait dit en son temps le général de Gaulle, «vers l'Orient compliqué avec des idées simples».De cette tournée, ses adversaires attendaient le faux pas qui allait leur permettre de tacler celle qui fait jeu égal avec Nicolas Sarkozy dans les sondages. L'occasion leur en a été fournie par une rencontre vendredi entre la candidate socialiste et des députés libanais, parmi lesquels un élu du Hezbollah qui a assimilé le comportement d'Israël au Liban au «nazisme». faux sac hermes birkin
    Des propos qui ont suffi à la droite pour dénoncer, qui «une faute lourde», qui une candidate «ne connaissant pas ses sujets». Ségolène Royal a eu beau affirmer samedi n'avoir pas entendu ces propos, pas plus que l'ambasseur de France qui était à ses côtés, ajoutant que si tel avait été le cas, elle aurait «quitté la salle», la polémique était lancée. Dès samedi, François Fillon, conseiller politique de M. Sarkozy, avait sonné la charge. «Accepter de parler avec un membre du Hezbollah, organisation qui prône la destruction d'Israël, était déjà une faute», lançait-il, ajoutant que «laisser insulter sans réagir les alliés et amis de la France, qu'il s'agisse des Etats-Unis ou d'Israël, en est une autre, lourde». Des attaques qui viennent aussi de la gauche et du centre Hervé de Charette, ancien ministre des Affaires étrangères, estimait que Mme Royal avait «contribué à affaiblir la position de la France au Liban», tandis que François Bayrou considérait que les élus du Hezbollah ne pouvaient «pas être regardés comme des élus du Liban comme les autres». Plusieurs ministres sont montés au créneau. achat sac hermes occasion Philippe Douste-Blazy a observé qu'il ne fallait pas aller en Orient avec des idées «simplistes». Si le ministre des Affaires étrangères «était une flèche, ça se saurait!», a violemment répliqué Julien Dray, porte-parole de Ségolène Royal. Même une partie de la gauche a saisi cette occasion d'égratigner la popularité de Ségolène Royal. «On ne peut pas jouer avec les drames du monde et on doit vraiment bien se préparer avant d'entreprendre un voyage de ce type et bien connaître la situation» a lâché la Verte Dominique Voynet.Enfin, le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) a «déploré» que la candidate socialiste «ait accepté de dialoguer avec un représentant du Hezbollah». Le PS contre-attaque Dimanche, le numéro un du PS François Hollande a pris sa défense, en expliquant l'absence immédiate de réaction de la candidate par un problème de traduction. Deux traducteurs étaient présents lors de la rencontre, l'un pour la délégation française et l'autre pour les journalistes, ce qui pourrait expliquer l'imbroglio. achat sac hermes occasion
    «La traduction donnée à Ségolène Royal et à l'ambassadeur n'était qu'une traduction abrégée, sommaire, qui ne comportait pas tous les propos rapportés par ailleurs aux journalistes», a affirmé Hollande, jugeant «la polémique déplacée». «L'incident est clos», a tranché dimanche soir le co-directeur de campagne de Royal, François Rebsamen, en qualifiant de «dérisoires et consternantes les petites polémiques franco-françaises». EN 1998, ce devait être une directive mise au service exclusif de la santé des citoyens européens et de la qualité de l'environnement. Huit ans tard, le projet Reach (acronyme d'enregistrement, évaluation et autorisation de substances chimiques) s'est transformé en un texte communautaire hybride, ballotté au gré des lobbys - écologistes et industrie chimique européenne.De ces revendications contradictoires, le Parlement européen et le Conseil sont parvenus, jeudi, à réaliser une synthèse très improbable. Le 13 décembre, à l'exception des Verts et de l'extrême gauche, les eurodéputés devraient entériner ce compromis. Il vise à instaurer, sur onze ans, un système d'enregistrement de quelque 30 000 substances chimiques, fabriquées ou importées dans l'UE dans des quantités dépassant une tonne par an.

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