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"La collaboration avec l'Afrique dans le domaine des sciences, de la technologie et de l'innovation s'est renforcée ces dernières années. Toutefois, la recherche reste encore souvent financée au titre de la coopération au développement et le dernier mot revient en fin de compte aux bailleurs de fonds extérieurs. L'intérêt augmente dès lors, en Afrique, en faveur du financement d'activités de recherche correspondant à des stratégies et priorités propres au continent. Le projet ERAfrica (European Research Area Network for Africa - Developing African-European joint collaboration for Science and Technology) de l'Union européenne répond à cette préoccupation. Il facilite la mise en réseau de bailleurs de fonds européens et africains en faveur de la recherche et encourage les appels à projets conjoints pour promouvoir des collaborations sur le long terme entre des États membres et/ou associés de l'UE et des Etats africains. "

Cette étude s'inscrit dans le cadre du lot de travail 1 du 7e programme-cadre qui soutient le projet CAAST-Net Plus « Promouvoir la coopération entre l'Afrique subsaharienne et l'UE pour la recherche et l'innovation face aux défis mondiaux » http://www.caast-net-plus.org. L'objectif du lot de travail 1 est de contribuer au renforcement de la coopération sur la recherche et l'innovation entre l'Europe et l'Afrique subsaharienne afin de relever le défi de la sécurité alimentaire à l'échelle mondiale. L'objectif principal est de fournir une base de connaissances afin d'élaborer une plateforme sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans le but de traiter les priorités communes à l'Europe et à l'Afrique en matière de science, de technologie et d'innovation (ST&I) et d'ainsi obtenir de meilleurs résultats dans le domaine de la sécurité alimentaire et nutritionnelle.

La Commission européenne a adopté le premier des 28 «accords de partenariat» qui définissent les stratégies à mettre en œuvre dans les États membres et les régions de l'Union au titre des Fonds structurels et d'investissement européens.

"Le Sénégal ouvre ses eaux à une flotte de thoniers européens, ce qui inquiète les défenseurs de l'environnement et les acteurs locaux. L'État sénégalais autorise 38 navires européens, surtout français et espagnols, à pénétrer dans ses eaux nationales pour y prélever 14 000 tonnes de thon par an durant cinq ans. Deux des navires sont également autorisés à pêcher le merlu. En contrepartie, l'Europe doit payer 15 millions d'euros au Sénégal. Elle s'engage à financer la surveillance côtière, à soutenir les pêcheurs locaux et à aider à la protection du littoral à hauteur de 50 millions d'euros."

Le Comité européen des Régions développe actuellement un MOOC (massive open online course) ou cours en ligne ouvert à tous. Les fonctionnaires régionaux, les agents des collectivités locales, les représentants d'associations ou tout autre personne intéressée peuvent s'inscrire.

"L'Union européenne et l'Algérie signeront ce lundi 22 décembre 2014 au siège de l'Institut National de la Recherche Agronomique à El Harrach, Alger, les conventions de financement de deux programmes de coopération et de développement rural et local. La cérémonie de signature se déroulera en présence des représentants du Ministère de la Solidarité Nationale, de la Famille et de la Condition de la Femme, du Ministère de l'Agriculture et du Développement rural et du Ministère des Affaires Etrangères et de la Délégation de l'Union européenne en Algérie, ainsi que de la presse cordialement invitée à la couverture médiatique de la cérémonie. Le premier est un programme d'appui au développement local durable et aux actions sociales du Nord-Ouest de l'Algérie (PADSEL-NOA), doté d'un montant total de 43,4 millions d'euros (dont 23,4 millions d'euros par l'Algérie et 20 millions d'euros par l'UE, il vise l'amélioration des conditions de vie des populations les plus vulnérables de 6 wilayas : Saïda, Tiaret, Tissemsilt, Aïn Defla, Chlef et Médéa. Il s'agit de fournir un accompagnement social et des appuis aux services sociaux pour le renforcement de leurs capacités ainsi que la création d'emploi."

"TVET experts from the European Union met in Brussels on 17 November to discuss the preliminary findings of a study on the Internationalization of TVET in EU countries, and the European Commission's role in this. The purpose of the study is to map policies and practices from the EU, the European Free Trade Association (EFTA) member states (Iceland, Liechtenstein, Norway and Switzerland), Australia and five International Organizations that support international cooperation in TVET, including UNESCO. A set of recommendations for future actions at the European and national levels will be included in the study's final report. UNESCO was represented at the meeting by Katerina Ananiadou, programme specialist at UNESCO-UNEVOC. The study was commissioned by the Directorate-General for Education and Culture and carried out by International http://www.icfi.com. The Commission and the contractors gathered feedback on the preliminary findings from national and international experts. Their feedback will be incorporated in the final version of the study, which is due to be published in December 2014."

Le projet CEST+I a pour objet de soutenir la coopération bilatérale en matière de science, de technologie et d'innovation entre l'Union Européenne et le Chili. Cofinancé par la Commission européenne, il est coordonné par la Commission Nationale de la Recherche Scientifique et Technologique chilienne (CONICYT) en partenariat avec trois opérateurs européens dont l'Institut de Recherche pour le Développement (IRD). Chile-EU_Science_Technology_and_Innovation_Initiative Dans le cadre de ce projet, la CONICYT et l'IRD ont publié un appel à manifestation d'intérêt destiné aux chercheurs de toutes disciplines et de tous types d'organisations, dont l'objectif est de financer des visites de travail visant à élaborer des propositions de projets - dans le cadre du programme Horizon 2020 - entre des institutions du Chili et de l'Union Européenne. Les projets sélectionnés recevront un financement pour une mission de l'Union Européenne vers le Chili ou vice versa. En 2015, six propositions au maximum bénéficieront d'un soutien financier dans ce cadre. La date limite de candidature pour répondre à l'appel à manifestation d'intérêt était fixée au lundi 23 mars 2015 à 17h00 (heure française). Pour plus d'informations : Consulter le site du projet CEST+I Pour plus d'information: contacter francois.tremege@ird.fr (IRD)

La cérémonie de lancement du partenariat entre le Groupe des Etats d'Afrique, des Caraïbes et du Pacifique, l'Union européenne, l'Organisation internationale de la Francophonie et l'Agence universitaire de la Francophonie s'est tenue à Bruxelles, le jeudi 17 mars 2016. Ce partenariat permettra à 8000 enseignantes et enseignants en poste dans des zones rurales au Burkina Faso, aux Comores, Mali, et Tchad de renforcer leurs compétences.