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"Ce volume passe en revue les expériences et les enseignements concernant le vaste sujet du financement des chaînes de valeur agricoles dans les pays en développement. Les chaînes de valeur agricoles impliquent un ensemble d'acteurs qui participent à une séquence d'activités liées entre elles, créant une valeur ajoutée et visant à porter un produit de son état de matière première au consommateur final. Le financement des chaînes de valeur, tel que le décrit ce volume, se réfère aux flux de financements vers ces acteurs appartenant à une chaîne, à la fois à l'intérieur de la chaîne elle-même et provenant de l'extérieur de la chaîne."

La présente publication éclaire notre compréhension, nos expériences et nos défis actuels autour de la culture de l'entreprise inclusive en Afrique. Elle met particulièrement l'accent sur le rôle et la responsabilité du secteur privé en ce qui concerne le développement de la chaîne de valeur dans la région subsaharienne. Cette publication tente d'aborder les principaux objectifs d'apprentissage suivants : Le partage des principaux enseignements tirés, se penchant sur les facteurs déterminants pour la réussite du développement de la chaîne de valeur par le secteur privé ; inversement, l'identification des facteurs qui contribuent à l'échec de projets dans ce domaine ; La recherche et la mise en valeur des occasions qui facilitent l'engagement des entreprises dans le développement de la chaîne d'approvisionnement, et les défis qui y constituent un obstacle ; Le recueil d'expériences de manière à produire de nouvelles perspectives et à inspirer l'innovation dans le domaine des approches commerciales inclusives des entreprises et du développement de la chaîne de valeur.

"Destinée aux décideurs politiques, aux concepteurs de projets et praticiens sur le terrain, cette publication apporte le fondement conceptuel d'une nouvelle série de manuels de la FAO sur le développement de chaînes de valeurs alimentaires durables. Elle définit le concept de chaîne de valeur alimentaire durable et présente un paradigme de développement qui intègre les concepts multidimensionnels de durabilité et de valeur-ajoutée ; elle met en exergue dix principes directeurs et examine le potentiel et les limitations de cette approche. De cette façon, ce manuel fournit des arguments convaincants pour placer le développement d'une chaîne de valeur alimentaire durable au ceur de toute stratégie destinée à réduire la pauvreté et la faim sur le long terme."

"Toni Darbas (CSIRO, Australie) et Jim Sumberg (IDS, RU) expriment leur scepticisme à l'égard du récent discours sur les « chaînes de valeur » dans le débat portant sur le développement du secteur agricole, qui considère l'agriculture comme une activité commerciale devant être « professionnalisée ». Les auteurs pensent qu'il y a de bonnes raisons d'être sceptique sur leur capacité à répondre aux attentes placées en elles. Ils invoquent les raisons suivantes : manque d'information sur le plan administratif; évolution inconnue des coûts de transaction; intérêts du secteur privé par rapport aux intérêts publics; prise en compte des questions d'intégration; modèles d'innovation non adaptés au contexte; peu de preuves directes de l'impact positif des plates-formes d'innovation et des chaînes de valeur sur les paysans pauvres. Selon eux, il existe un risque permanent de sombrer vers des réponses trop stéréotypées, peu critiques, et inadaptées au contexte. Une approche beaucoup plus critique et réaliste de la contribution et de l'applicabilité éventuelles des approches basées sur les chaînes de valeur et les plates-formes d'innovation donnerait probablement de meilleurs résultats, concluent-ils. http://www.future-agricultures.org/blog/entry/can-value-chains-and-innovation-platforms-boost-african-agriculture-11-reasons-to-be-sceptical (Future Agricultures, 07/08/2013) "

Un atelier destiné à explorer dans quelle mesure des chaînes de valeur de l'élevage efficaces peuvent aider les femmes et les jeunes d'Afrique de l'Est à améliorer leur niveau de vie, débutera le 25 août à Addis-Abeba, en Éthiopie. L'événement qui se déroulera sur deux jours a été organisé conjointement par le Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA), le ministère de l'agriculture d'Éthiopie et la Société éthiopienne de production animale. Il permettra de mettre en commun les expériences en matière de chaînes de valeur de l'élevage dans les six pays de la région de l'Autorité intergouvernementale sur le développement (IGAD) : Djibouti, l'Éthiopie, le Kenya, la Somalie, le Soudan et l'Ouganda. Cet atelier fait suite aux discussions qui ont eu lieu début 2015, entre le CTA et les acteurs clés du secteur de l'élevage en Éthiopie et au Kenya, en vue d'évaluer le potentiel des systèmes améliorés de production de bétail et des industries associées, pour permettre aux communautés rurales de sortir de la pauvreté.

"Assemblée générale constitutive du Réseau Ouest Africain des Céréaliers 20-21 mars 2013 à Lomé / Togo Les projets Agribusiness and Trade Promotion (ATP) et Expanded Agribusiness and Trade Promotion (E-ATP) de l'USAID/Afrique de l'Ouest visent à accroître la valeur et le volume du commerce agricole intra-régional. Ces projets se concentrent sur six chaînes de valeurs (maïs, oignon/échalote, bétail/viande, mil/sorgho, riz, volaille) le long de corridors de transport reliant les zones de production aux marchés de consommation en Afrique de l'Ouest. En facilitant la mise en relation des zones de surplus de production vivrière avec les zones de déficit de production, ATP et E-ATP contribuent à la sécurité alimentaire en Afrique de l'Ouest. Un des éléments clefs pour le bon fonctionnement et la compétitivité des chaînes de valeurs céréalières maïs, mil/sorgho et riz est la capacité des acteurs privés et publics concernés à communiquer et à se reconnaître mutuellement comme acteurs et à participer à l'animation du réseau autant sur le plan national que régional. C'est pour répondre à ces préoccupations que les bases pour la mise en place d'un réseau régional formel pour promouvoir et faciliter le commerce intra-régional de céréales ont été lancées."

"Introduction: Les décideurs politiques et les agences de développement sont convaincus qu'il y a lieu de resserrer les liens entre les petits exploitants agricoles et les marchés modernes et que les agriculteurs doivent être organisés au sein des chaînes de valeur pour accroître leurs revenus. Les politiques agricoles nationales et régionales doivent donc permettre d'aider ces agriculteurs à répondre aux exigences de qualité et de quantité des supermarchés, des entreprises agroalimentaires et des sociétés d'exportation. Les recherches et l'expérience tirée des travaux réalisés par l'IIED, Hivos et d'autres partenaires, présentés dans cet article, montrent toutefois que cet objectif ne tient pas compte du fait que la plupart de ces petits exploitants agricoles ne sont pas organisés au sein des chaînes de valeur ou ne produisent pas pour les supermarchés ou l'exportation, mais vendent directement aux consommateurs (qui achètent encore leurs produits sur les marchés traditionnels et auprès de petits détaillants). L'article montre comment et où ces petits agriculteurs vendent leurs produits, comment fonctionnent leurs marchés et dans quelle mesure ces marchés peuvent contribuer à améliorer les mécanismes qui viennent favoriser la flexibilité des systèmes d'échanges informels. http://pubs.iied.org/16520IIED.html (IIED, 11/2012)"

L'objectif de cet appel à propositions est de faire progresser l'entrepreneuriat agricole et les innovations TIC des jeunes afin de développer des chaînes de valeur agro-alimentaires résilientes. Il répond au besoin stratégique de renforcer la participation des jeunes dans l'agriculture. Il vise à encourager le renforcement des capacités et l'entrepreneuriat des jeunes dans les TIC et favoriser les opportunités d'emploi pour les jeunes. L'appel à propositions tire avantage de différentes activités mises en œuvre par le CTA dans les domaines de commerce agricole, du développement de la chaîne de valeur, des TIC et des jeunes dans l'agriculture (notamment dans le cadre du projet Agriculture, développement rural et jeunesse dans la société de l'information [projet ARDYIS]).

"L'objectif de cet appel à propositions est de faire progresser l'entrepreneuriat agricole et les innovations TIC des jeunes afin de développer des chaînes de valeur agro-alimentaires résilientes. Il répond au besoin stratégique de renforcer la participation des jeunes dans l'agriculture. Il vise à encourager le renforcement des capacités et l'entrepreneuriat des jeunes dans les TIC et favoriser les opportunités d'emploi pour les jeunes. L'appel à propositions tire avantage de différentes activités mises en œuvre par le CTA dans les domaines de commerce agricole, du développement de la chaîne de valeur, des TIC et des jeunes dans l'agriculture (notamment dans le cadre du projet Agriculture, développement rural et jeunesse dans la société de l'information [projet ARDYIS])."

Cette année, la Journée internationale de la jeunesse est axée sur l'éradication de la pauvreté et la concrétisation d'une production et d'une consommation durables. Le CTA affiche les mêmes objectifs en soutenant le développement de chaînes de valeur agricoles intégrées, comme l'un des meilleurs moyens pour sortir de la pauvreté. En juin 2015, le CTA a annoncé les lauréats des subventions octroyées par concours qui visaient à promouvoir l'entrepreneuriat agricole chez les jeunes ainsi que les innovations dans le domaine des TIC, afin de développer des chaînes de valeur alimentaires pouvant s'adapter au changement climatique. L'appel à proposition ayant permis la sélection de ces projets a été lancé dans le cadre du programme du CTA intitulé « Agriculture, développement rural et jeunesse dans la société de l'information » (ARDYIS).

La Banque africaine de développement, le Forum pour la recherche agricole en Afrique (FARA), l'Institut international d'agriculture tropicale (IITA) et l'Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA) mettent leurs efforts en commun pour lutter contre la hausse du chômage des jeunes en Afrique par le biais de l'incubation des entreprises agroalimentaires. L'initiative conjointe coordonnée par la Banque africaine de développement sous le thème "Équiper les jeunes pour l'emploi" a tenu, une réunion de consultation des parties prenantes du 28 au 29 avril 2015 à Abidjan, en Côte d'Ivoire. Le programme avait pour objectif d'offrir des possibilités d'engager les jeunes dans les entreprises agroalimentaires, de renforcer les mécanismes de financement et les possibilités d'établissement d'un réseau de contacts professionnels en vue de l'intégration des jeunes dans les entreprises agroalimentaires et dans le commerce le long de la chaîne de valeur agricole. Au cours de l'atelier, M. A. Abou-Sabaa, Vice-président de la Banque africaine de développement (BAD) et M. C. Ojukwu, Directeur du département de l'agriculture et de l'agro-industrie de la BAD ont souligné la volonté de la Banque d'appuyer une participation du secteur privé à l'agro-industrie et fait part de leur intérêt à étudier toutes les possibilités offertes de création d'emplois pour les jeunes en collaboration avec les partenaires au développement au niveau national, régional et international.

Ce module est principalement destinés à des personnes qui interviennent soit en aval des filières agricoles (commercialisation en gros, import/export, transformation agroalimentaire, distribution), soit à des personnes qui interviennent dans le conseil, l'expertise ou la régulation des filières agricoles. Il peut aussi être utilisé pour des formations d'étudiants en université ou en formation professionnelle dans le secteur agroalimentaire ou économique. L'objectif général de ce module est de faire comprendre aux acteurs de l'aval des filières et à ceux travaillant sur l'ensemble des filières agricoles la spécificité de ces filières en termes de risques et de proposer des outils et des stratégies pour améliorer les relations commerciales et construire des chaînes de valeur performantes. Comme pour le module destiné aux producteurs, ce module peut être librement adapté pour les besoins et spécificité de chaque filière.

"Le CTA cherche à financer des recherches originales sur les facteurs influant sur le développement de chaînes de valeur dites « inclusives » et à soutenir la préparation d'études de cas portant sur des chaînes de valeur inclusives concluantes et innovantes. Date limite de réception 14 février 2014"

Le dernier volume de la revue Géographie Économie Société, paru fin 2015, regroupe quatre articles sur les formes d'organisation entrepreneuriale de la production agricole en Amérique latine. Il s'attache à approfondir la caractérisation de ces formes d'agriculture dans trois pays (Argentine, Brésil et Uruguay) notamment au regard de leurs liens avec les acteurs en amont et en aval des chaînes de valeur, des modalités d'utilisation des ressources (en particulier foncières et financières) et d'optimisation de la gestion des actifs et de l'organisation du travail. Les articles analysent les leviers de leur développement : économiques, techniques et politiques, en particulier les aspects d'innovation, de relations avec les milieux financiers et les politiques publiques. Ils s'interrogent enfin sur les liens entre l'essor de ces agricultures et les processus de développement des espaces ruraux. Sont-elles sources de développement local ? Quelles relations se dessinent avec les centres urbains, nationaux ou extérieurs ?

"Le Programme de productivité agricole en Afrique de l'Ouest (PPAAO)-Burkina à travers le Centre national de spécialisation en fruits et légumes (CNS-FL) a organisé, du 17 au 19 avril 2013, une visite de presse du CNS-FL à Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Bama et Farakoba. Le CNS-FL a pour objectif de générer et de diffuser des technologies améliorées pour les chaînes de valeur des fruits et légumes notamment, celles de la mangue, de l'oignon et de la tomate pour le Burkina et les pays de l'espace de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO)."

"L'OCP mène une série d'initiatives destinées à appuyer le petit agriculteur en l'accompagnant en matière de conseil, de formation et d'expertise. C'est sous ce double angle de soutien au petit agriculteur et d'engagement citoyen auprès du monde rural que s'est inscrite l'initiative « Caravane OCP Fruits & Légumes 2013 ». Elle est intervenue après le succès de l'évènement « Caravane OCP Céréales 2012 » et incarne dans un esprit d'ouverture et de proximité le socle fondateur des valeurs d'OCP : engagement, conseilet accompagnement, innovation et solidarité. L'action de l'OCP s'inscrit résolument dans une logique de Partenariat Public-Privé. Elle découle d' une démarche de développement économique intégrant tous les acteurs de la chaîne agricole à travers des « Contrats-Packages » qui impliquent les distributeurs locaux des engrais OCP en tant que partenaires à part entière, engagés dans la formation du petit agriculteur et la promotion de nouvelles solutions de fertilisation. Sous cet angle, la Caravane a constitué l'un des leviers d'animation de ce partenariat Public-Privé où les distributeurs locaux d'engrais du groupe OCP sont en première ligne."

"Les ministres de l'Agriculture et de la Sécurité alimentaire de la SADC réunis, le 7 juin dernier à Maputo au Mozambique, ont donné leur accord à l'unanimité au document de politique agricole régionale ou Regional Agricultural Policy (RAP). La RAP ne devrait être formellement approuvée que d'ici un an, le temps que les Etats se mettent d'accord sur la forme juridique que prendra ce document et notamment sa traduction ou non comme protocole de la SADC. La RAP est structurée autour de 4 objectifs : (1) accroissement de la production et de la productivité agricole qui soient soutenables et compétitives ; (2) accroissement du commerce agricole intra et extra régional et renforcement de l'accès aux marchés pour les agriculteurs; (3) accroissement de l'investissement privé et public dans la chaîne de valeur agricole ; (4) réduction de la vulnérabilité économique et sociale de la population régionale dans un contexte de sécurité alimentaire et de transformation économique. "

Dans le cadre du processus « ECOWAP+10 » lancé par la CEDEAO, le Secrétariat du CSAO/OCDE revient sur des tendances de fond qui transforment l'environnement et les perspectives de la politique agricole régionale. Aujourd'hui 45 % de la population ouest-africaine vit en ville. Cette évolution se traduit non seulement par un accroissement du nombre de consommateurs non-producteurs, mais également par des mutations qualitatives de la demande ; ces deux tendances devenant un puissant moteur de transformations agricoles. Tout effort visant à améliorer la production agricole se révélera cependant insuffisant si les défis dans les autres segments des chaînes de valeur ne sont pas abordés simultanément. Les systèmes agro-alimentaires ouest-africains doivent s'adapter aux évolutions de la demande si la région veut profiter des opportunités que lui offre la taille de son marché intérieur. Alors que la région réfléchit aux inflexions de sa politique agricole commune 10 ans après son adoption, acteurs et décideurs doivent prendre acte des mutations de l'économie agro-alimentaire intervenues depuis 2005.

""Révolutionner le financement des chaînes de valeur agricoles" - c'est le thème qui sera abordé lors du prochain Briefing de Bruxelles sur le développement, organisé par le Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA) en collaboration avec la DG Développement et Coopération de la Commission européenne (CE/DEVCO), le secrétariat ACP et la Confédération européenne des ONG d'urgence et de développement (Concord). L'événement aura lieu le Mercredi 5 Mars 2014 au Secrétariat ACP à Bruxelles."

Le Gouvernement de la République de Madagascar a reçu un financement du Groupe de la Banque Africaine de Développement (BAD) afin de couvrir le coût de la préparation du Projet Jeunes Entreprises Rurales dans le Moyen Ouest.et a l'intention d'utiliser une partie des sommes accordées pour financier les études de la préparation du PROJERMO et les dossiers d'appel d'offres y afférents ; Les services comprennent les études de préparation du Projet jeunes entreprises rurales dans le moyen ouest ; elles concernent les six volets ci-après : - Etudes socio-économiques de base et de planification des activités par zone d'intervention - Etudes des aménagements et investissements structurants - Etudes d'ancrage institutionnel - Etudes sur les services non financiers d'appui aux entrepreneurs agricoles - Etudes des chaînes de valeur de trois produits agricoles phares - Etudes d'impact environnemental et social