"Il ne faut pas y voir qu'une simple critique de la Russie contemporaine, mais
bien celle d'une mondialisation du phénomène. L'aliénation de l'adolescent dans
un monde de réalité toujours plus vacillante : tel est le sujet de notre
oeuvre",
ces images, ces sculptures et ces vidéos posent la question de l'enfant
sacrifié : ce nouveau héros mimant des combats absurdes où la souffrance et la
joie, le masculin et le féminin ont disparu. Ne serait-ce qu'une fable des temps
modernes ?