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Jon Snow

USA : un livre pour enfants, anarchiste et mignon, horrifie le Tea Party | Ru... - 0 views

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    bcp d'adultes devraient lire ce genre de bouquins en fait, pour (re-)commencer.
Fabien Cadet

Obama parle d'Israel et de Palestine par Noam CHOMSKY - 0 views

  • La proposition de la Ligue Arabe appelle évidemment à la normalisation des relations avec Israël, mais dans le contexte - répétons le, dans le contexte d’un règlement à deux états selon les termes d’un consensus international ancien, que les Etats-Unis et Israël ont bloqué et continuent de bloquer depuis plus de 30 ans dans un isolement international complet.
  • Son appel aux états Arabes de se concentrer sur un corollaire de leur proposition, alors que les Etats-Unis ignorent jusqu’à l’existence du contenu principal qui est une condition à ce corollaire, est d’une mauvaise foi totale.
  • “Pour être un véritable partenaire pour la paix“, a déclaré Obama, “le quartet [Etats-Unis, Union Européenne, Russie, Nations Unies] a fait clairement savoir que le Hamas devait remplir trois conditions sans ambiguïté : reconnaître le droit d’exister à Israël, renoncer à la violence et respecter les accords passés“. Sans mentionner, comme d’habitude, l’inconvénient majeur que les Etats-Unis et Israël rejettent fermement ces trois conditions.
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  • Ignorée aussi l’utilisation par Israël d’armes étasuniennes à Gaza, en violation non seulement des lois internationales mais aussi étasuniennes. Oublié l’envoi par Washington à l’apogée de l’attaque israélo-étasunienne de nouvelles armes à Israël, ce que les conseillers d’Obama sur le Moyen-Orient n’ignoraient certainement pas.
  • Obama a cependant été ferme. La contrebande d’armes vers Gaza doit cesser.
  • Le jour suivant, un officiel Egyptien a décrit cet accord comme digne d’une fiction“. Les objections de l’Egypte ont été ignorées.
    • Fabien Cadet
       
      Ça va loin quand même hein.
  • Obama persiste à restreindre son appui au parti vaincu aux élections de 2006, les seules élections libres dans le monde Arabe, auxquelles les USA et Israël ont immédiatement et ouvertement réagi en punissant sévèrement les Palestiniens pour n’avoir pas respecté la volonté des Maîtres. Un détail technique mineur est que le mandat d’Abbas s‘est terminé le 9 janvier et que Fayyad fut nommé sans la confirmation du Parlement Palestinien (dont beaucoup de membres ont été enlevés et sont détenus dans les prisons israéliennes).
  • C’est le grand mérite du livre de Jimmy Carter “Palestine : la Paix, pas l’Apartheid“, d’avoir porté ces faits à l’attention publique pour la première, et en même temps la seule fois
  • Le premier message du Président Afghan Karzai à Obama après son élection en novembre était pour demander la fin des bombardements de civils Afghans, demande réitérée quelques heures après qu’Obama ait prêté serment. La même attention a été apportée à cette demande de Karzai qu’à celle qu’il avait faite pour un calendrier de retrait des forces armées des Etats-Unis et d’autres nations étrangères. Les riches et les puissants ont leurs “responsabilités“. Parmi celles-ci, rapporte le New York Times, il y a celle d’ “assurer la sécurité“ dans le sud de l’Afghanistan où “l’insurrection est endémique et soutenue de l’intérieur“. Très familier ; la Pravda dans les années 1980 par exemple.
  • Quasi universelles aussi sont les références habituelles au Hamas comme organisation terroriste dont le but est d’éradiquer Israël (ou peut-être tous les Juifs). On oublie ainsi l’inconvénient que les Etats-Unis et Israël ont non seulement pour but de détruire tout état Palestinien viable, mais qu’ils mettent en œuvre perpétuellement des politiques en ce sens.
  • Obama a commencé ses remarques en disant : “Je veux être clair : l’Amérique est s’engagée pour la sécurité d’Israël. Et nous soutiendrons toujours le droit d’Israël à se défendre contre des menaces légitimes“. Rien sur le droit des Palestiniens à se défendre contre des menaces beaucoup plus sérieuses,
  • Une alternative simple serait qu’Israël respecte un cessez-le-feu, par exemple celui qui a été proposé par le chef politique du Hamas Khaled Mishal peu de jours avant qu’Israël ne lance son attaque le 27 décembre. Mishal avait appelé à reprendre l’accord de 2005. Cet accord réclamait la fin des violences et une ouverture continue des frontières, avec la garantie d’Israël que les biens et les personnes pourraient circuler librement entre les deux parties de la Palestine occupée, la Cisjordanie et la bande de Gaza.
  • Il faut se souvenir que durant les 30 dernières années, les Etats-Unis et Israël se sont écartés une fois de leur rejectionisme : pendant les négociations de Taba en janvier 2001, qui promettaient une solution pacifique avant qu’Israël ne s’en retire.
  • C’est vrai que la Jordanie a aidé les USA à armer et entraîner les forces de sécurité Palestiniennes pour qu’elles puissent réprimer violement toute manifestation de soutien aux malheureuses victimes de l’attaque israélo-étasunienne à Gaza, et arrêter des partisans du Hamas et le journaliste très connu, Khaled Amayreh. Pendant ce temps, elles organisaient leurs propres manifestations en faveur d’Abbas et du Fatah dans lesquelles la plupart des participants “étaient des fonctionnaires et des écoliers auxquels l’autorité Palestinienne avait demandé de manifester“, selon le Jérusalem Post. C’est la démocratie que nous aimons
  • La capture de Shalit est une question sérieuse à l’Ouest, une autre preuve de la criminalité du Hamas. Quoi que l’on pense à ce sujet, il est indiscutable que la capture d’un soldat d’une armée d’agression est un bien moindre crime que l’enlèvement de civils, exactement ce qu’ont fait les forces israéliennes la veille de la capture de Shalit en pénétrant dans la ville de Gaza pour enlever deux frères et les entraîner au-delà de la frontière où ils disparurent dans les prisons d’Israël. A l’opposé du cas de Shalit, ce crime fut virtuellement tu et a été oublié, tout comme les pratiques régulières d’Israël, sur plusieurs décennies, d’enlever des civils au Liban et en haute mer, de les répartir dans ses prisons et de les retenir en otages pendant plusieurs années. Mais la capture de Shalit empêche le cessez-le-feu.
  • Obama ne dit pas un mot sur l’extension du peuplement et des constructions en Cisjordanie, ni sur les mesures alambiquées pour contrôler la vie des Palestiniens, dans le dessein de détruire les perspectives d’une solution pacifique à deux états. Son silence est la sinistre réfutation de ses fioritures oratoires sur la façon dont “je ferais tous les efforts pour obtenir deux états vivant côte à côte dans la paix et la sécurité“.
  • Mais les Etats-Unis et Israël (et quelques îles du Pacifique) ont voté contre une résolution en faveur du “droit du peuple Palestinien à l’autodétermination“ (adoptée à 173 voix contre 5, avec l’opposition des USA et d’Israël sous des prétextes ambigus).
    • Fabien Cadet
       
      Belle connerie que ces droits de veto >:- et combien il est clair qu'un petit groupe d'états s'est approprié le pouvoir de décision aux nations unies.
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    « En bref, la rengaine constante d'Obama sur le droit d'Israël à se défendre est un autre exercice de mise en scène cynique qui, on doit l'admettre, ne lui est pas propre mais quasiment universel. »
Jon Snow

Dedefensa.org : Le tourbillon de Madison - 0 views

  • Enfin, après deux années d’exubérance de la droite conservatrice, dans la vague de Tea Party, c’est la gauche progressiste US qui exulte. Elle est du côté de la révolte, du soulèvement contre un pouvoir jugé oppressif et arbitraire. Tea Party, lui, se trouve exposé dans son côté le plus ambigu, – lequel n’a jamais été dissimulé à nos yeux, tant ce mouvement est insaisissable dans son identification, – notamment par le biais indirect des liens entre le gouverneur Walker, qui se réclame de l’esprit de Tea Party, et les frères milliardaires Koch qui le subventionnent, – tout comme ils subventionnent Tea Party d’ailleurs, au nom de leur hostilité à tout ce qui est service public (et de tout ce qui est, ajouteront les critiques, faveur et puissance pour le corporate power). (Au reste, ces liens ne sont pas plus incestueux et révélateurs que ceux de l’administration Obama et des démocrates avec Wall Street, ce qui n’enlève rien au mouvement de Madison, soutenu par les démocrates et Obama.)
  • Pour l’instant, à Madison, Wisconsin, tous les ingrédients de la crise sont là, et les grands esprits progressistes, même les plus prudents comme Noam Chomsky, y voient les prémisses de la grande révolte attendue aux USA. Une détermination et une organisation exceptionnelles des foules, avec des actes entravant effectivement le fonctionnement des institutions de l’Etat du Wisconsin ; un soutien affirmé des officiels démocrates de l’Etat, avec des actes à mesure (“exil” dans l’Ohio, pour échapper à l’obligation de présence au vote de la loi Walker, qui permettrait d’atteindre le quorum) ; une détermination affichée comme sans faille du gouverneur Walker pour imposer sa loi ; après un temps d’hésitation, la crise de Madison élevée au rang de grande crise intérieure US, et traitée comme telle par les réseaux de communication, et aussi par les commentateurs et intellectuels comme on l’a vu plus haut avec Chomsky. (Pour l’instant, on s’abstiendra de dire un mot sur Obama, dont le soutien au mouvement est trop calculé pour avoir un impact décisif.)
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    Résumé des manifs aux USA, en français
Jon Snow

L'actualité de la crise : NOUS Y SOMMES ! par François Leclerc - 1 views

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    Badaboum. Meme les USA decouvrent qu'ils ne sont pas à l'abri. Les socialistes veulent interdire les speculations, créer des eurobonds pr la zone euro, Lagarde voudrait le bancor de Keynes ...vont-ils finir par (re-)devenir marxistes......suspense..... à moins qu'il y ait plus le temps. Ah c'est ballot! Bravo les gars!
Jon Snow

Cheat Sheet: What's Really Going On With Wisconsin's Budget - ProPublica - 0 views

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    Tunisie, Egypte, Yemen , Libye,... USA? Les etats américains en déficit virent à tour de bras, retardent des mois de salaires. Les pompiers, les flics les profs battent de plus en plus le pavé...
Jon Snow

ContreInfo :: Les surdoses et addictions aux médicaments psychotropes sont la... - 0 views

  • In Kentucky 978 people died from prescription drug overdose in 2009.   The average age drug addicts in Kentucky start using is 11.
  • Sarah Shay and Savannah Kissick were school friends in Morehead, both addicted to an array of perfectly legal drugs. Sarah died in 2006, at the age of 19. Savannah followed three years later, aged 22. Both victims of an epidemic of prescription pill abuse sweeping parts of America. When their mothers reel off the names together, they make them sound like weapons. "Xanax. Klonopin. Oxycodone. Hydrocodone." Earlier this year, the White House described the epidemic as the country’s fastest growing drug problem, accounting for more accidental overdoses than the combined total from heroin and crack cocaine in the 1970s and 80s.
  • The pill crisis, which some are calling pharmageddon, is only now receiving national attention.
    • Jon Snow
       
      mieux vaux tard que jamais : | "mon fils de 11 ans est accro au xanax docteur, qu'est ce que je dois faire?" "je vais lui prescrire du Fixocon pour le soulager un peu.." "Ah merci docteur!"
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  • As part of an initiative announced in April, the White House demanded that the makers of one class of drugs, known as "extended release and long-acting opioids", make more concerted efforts to educate doctors and patients
    • Jon Snow
       
      S'il-vous-plait chers patrons dealers, dites à vos revendeurs de faire gaffe , si vous pouvez...
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    Ah la science et le commerce: Un couple formidable.
Jon Snow

The moral decay of our society is as bad at the top as the bottom - Telegraph Blogs - 0 views

  • But there was also something very phony and hypocritical about all the shock and outrage expressed in parliament. MPs spoke about the week’s dreadful events as if they were nothing to do with them. I cannot accept that this is the case. Indeed, I believe that the criminality in our streets cannot be dissociated from the moral disintegration in the highest ranks of modern British society. The last two decades have seen a terrifying decline in standards among the British governing elite. It has become acceptable for our politicians to lie and to cheat. An almost universal culture of selfishness and greed has grown up.
  • Most of the people in this very expensive street were every bit as deracinated and cut off from the rest of Britain as the young, unemployed men and women who have caused such terrible damage over the last few days. For them, the repellent Financial Times magazine How to Spend It is a bible. I’d guess that few of them bother to pay British tax if they can avoid it, and that fewer still feel the sense of obligation to society that only a few decades ago came naturally to the wealthy and better off.
  • Our politicians – standing sanctimoniously on their hind legs in the Commons yesterday – are just as bad. They have shown themselves prepared to ignore common decency and, in some cases, to break the law. David Cameron is happy to have some of the worst offenders in his Cabinet. Take the example of Francis Maude, who is charged with tackling public sector waste – which trade unions say is a euphemism for waging war on low‑paid workers. Yet Mr Maude made tens of thousands of pounds by breaching the spirit, though not the law, surrounding MPs’ allowances.
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  • A great deal has been made over the past few days of the greed of the rioters for consumer goods, not least by Rotherham MP Denis MacShane who accurately remarked, “What the looters wanted was for a few minutes to enter the world of Sloane Street consumption.” This from a man who notoriously claimed £5,900 for eight laptops. Of course, as an MP he obtained these laptops legally through his expenses.
  • Or take the Salford MP Hazel Blears, who has been loudly calling for draconian action against the looters. I find it very hard to make any kind of ethical distinction between Blears’s expense cheating and tax avoidance, and the straight robbery carried out by the looters.
  • The Prime Minister showed no sign that he understood that something stank about yesterday’s Commons debate. He spoke of morality, but only as something which applies to the very poor: “We will restore a stronger sense of morality and responsibility – in every town, in every street and in every estate.” He appeared not to grasp that this should apply to the rich and powerful as well.
  • The Prime Minister excused his wretched judgment by proclaiming that “everybody deserves a second chance”. It was very telling yesterday that he did not talk of second chances as he pledged exemplary punishment for the rioters and looters.
  • But there are those who do not. Certainly, the so-called feral youth seem oblivious to decency and morality. But so are the venal rich and powerful – too many of our bankers, footballers, wealthy businessmen and politicians.
  • Let’s bear in mind that many of the youths in our inner cities have never been trained in decent values. All they have ever known is barbarism. Our politicians and bankers, in sharp contrast, tend to have been to good schools and universities and to have been given every opportunity in life. Something has gone horribly wrong in Britain. If we are ever to confront the problems which have been exposed in the past week, it is essential to bear in mind that they do not only exist in inner-city housing estates. The culture of greed and impunity we are witnessing on our TV screens stretches right up into corporate boardrooms and the Cabinet. It embraces the police and large parts of our media. It is not just its damaged youth, but Britain itself that needs a moral reformation.
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    "Let's bear in mind that many of the youths in our inner cities have never been trained in decent values. All they have ever known is barbarism. Our politicians and bankers, in sharp contrast, tend to have been to good schools and universities and to have been given every opportunity in life. Something has gone horribly wrong in Britain. If we are ever to confront the problems which have been exposed in the past week, it is essential to bear in mind that they do not only exist in inner-city housing estates. The culture of greed and impunity we are witnessing on our TV screens stretches right up into corporate boardrooms and the Cabinet. It embraces the police and large parts of our media. It is not just its damaged youth, but Britain itself that needs a moral reformation." On remplacera Britain par France, USA, etc. Papier simple mais Ô combien rafraîchissant en ces heures d'hypocrisie. Tout est à refonder! Magnifique, non! edit: A relier à cet article de Cabanel sur Agoravox: Le cas français. On a la presse qu'on mérite. Oborne c'est l'édito d'un des plus grands journaux anglais. Et nous, un simple site tenu par des individus lambdas. La valeur reste cependant la même. http://www.agoravox.fr/actualites/citoyennete/article/une-ripoublique-irreprochable-98682
Jon Snow

Blog de Paul Jorion : Comment le FMI verrait la crise financière aux USA, par... - 0 views

  • Avec cette formule redoutable, qui rend compte du caractère proprement corrosif de l’ensemble de son article : « Bien sur, les Etats-Unis sont uniques. A un point tel si que nous avons l’économie, la force militaire et la technologie les plus avancés du monde, nous avons aussi l’oligarchie la plus développée de celui-ci ».
  • Simon Johnson décrit ensuite comment l’industrie financière américaine a abandonné les méthodes expéditives et violentes utilisées dans les systèmes politiques primitifs, ainsi que les pratiques classiques de corruption, pour constituer son influence politique en s’appuyant sur une sorte de capital culturel, de système de croyance. Il donne aussi les exemples des allers-retours systématiques opérés par de nombreux grands noms de la finance américaine, entre l’administration de l’Etat et le privé. Pour estimer qu’une génération entière d’homme politique a finalement été « hypnotisée » par Wall Street.
  • La critique qui s’en suit des mesures prises par les administrations successives Bush et Obama est sans appel, expression selon lui de la combinaison d’intérêts qu’elles cherchent à préserver, sans autre justification que ce sont les seules possibles et qu’il faut les accepter sans discussion. L’auteur montre ensuite comment le gouvernement a soigneusement évité de porter atteinte aux intérêts des institutions financières, appuyant son propos sur un décryptage des mesures qui ont été prises.
  • ...2 more annotations...
  • Comment sortir de cette situation ? Deux situations étroitement connectés entre elles doivent être réglées. Celle du système financier, qui fait obstacle à la réussite des plans de relance. Et celle qui donne au secteur financier un droit de veto sur la politique menée par les pouvoirs publics. Simon Johnson considère que la nationalisation des banques est la seule issue, il explique aussi le pourquoi et le comment de cette mesure radicale, selon lui indispensable. Il estime également qu’une législation antitrust est nécessaire pour le secteur financier, et qu’il faut démanteler les grands groupes financiers : « tout ce qui est trop important pour chuter est trop important pour exister ». Et quant à l’oligarchie financière, le conseil que donnerait, selon lui le FMI, à la lumière des expériences qu’il évoquait en tête de son article, ne fait pas dans le détail : « cassez-les ! »
  • L’autre scénario s’appuie sur la spirale descendante que décrit la crise mondiale, touchant tous les continents, mettant les Etats-Unis à genoux, pouvant créer en retour les conditions d’un sursaut. Des actions décisives seraient enfin prises et les vieilles élites se briseraient.
Jon Snow

Documents: Leaked Industry E-Mails and Reports - Interactive Feature - NYTimes.com - 0 views

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    Des fuites d'industriels US qui descendent les gaz de schistes: non sens economique, bulle spéculative, pyramide de ponzi, stocks incertains... On parle meme pas de pollution.
Jon Snow

Noam Chomsky : un Monde en soulèvement ou un Nouvel Âge des ténèbres ? - La R... - 0 views

  • Il y avait le syndicat du travail militant qui continuait à organiser, particulièrement le CIO (Congress of Industrial Organizations) [3]. On en venait au point des grèves sur le tas, qui effrayaient le monde des affaires — vous pouviez le voir dans la Presse d’affaires de l’époque, — parce qu’une grève sur le tas est juste l’étape qui précède la reprise de l’usine pour la faire tourner par vous-même. Par ailleurs, l’idée de prise de contrôle par les travailleurs est tout à fait quelque chose à l’ordre du jour aujourd’hui, et nous devrions le garder à l’esprit. En outre, la législation du New Deal commença à intervenir en tant que résultat de la pression populaire. Malgré les moments difficiles, il y avait un sentiment qu’en quelque sorte : « nous allons en sortir ».
  • Avec cela est venu un changement important de l’économie de l’entreprise productive — qui produit les choses dont les gens ont besoin ou qu’ils pourraient utiliser — à la manipulation financière. La financiérisation de l’économie a vraiment décollé à ce moment-là.
  • Avant les années 1970 les banques étaient des banques. Elles faisaient ce que des banques étaient supposées faire dans une économie capitaliste d’État : par exemple, elles prenaient les fonds inutilisés de votre compte bancaire pour les transférer à des objets potentiellement utiles, comme aider une famille à acheter une maison ou envoyer un enfant au collège. Cela changea dramatiquement dans les années 1970. Jusque-là, depuis la Grande Dépression, il n’y avait eu aucune crise financière. Les années 1950 et les années 1960 avaient été une période d’énorme croissance, les plus hautes dans l’histoire américaine, et peut-être dans l’histoire économique. Et c’était égalitaire. Le un cinquième du plus bas faisait aussi bien que le un cinquième du plus haut. Des tas des gens évoluaient dans des styles de vie raisonnables — appelés ici « la classe moyenne » et dans d’autres pays « la classe ouvrière », — et c’était une réalité ; et les années 1960 l’accélérèrent. L’activisme de ces années, après une décennie assez morne, civilisa vraiment le pays dans toutes sortes de voies inaliénables.
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  • Les développements qui eurent lieu pendant les années 1970 firent ressortir un cercle vicieux. Celui-ci mena à concentrer de plus en plus de richesse entre les mains du secteur financier. Ce qui ne profite pas à l’économie — lui nuit probablement ainsi qu’à la société — pour autant mena vraiment à une concentration énorme de la valeur.
  • Le projet de loi, essentiellement bipartite, entraîne de nouvelles politiques fiscales et des modifications des taxes, ainsi que des règles de gouvernance d’entreprise et la déréglementation. A côté de cela une forte hausse dans les coûts des élections a commencé, qui pousse et même plus profondément les partis politiques dans les poches du secteur d’entreprise.
  • Prenez, par exemple, Citigroup. Pendant des décennies, Citigroup a été l’une des sociétés bancaires d’investissement les plus corrompues, plusieurs fois renflouée par le contribuable dès le début des années Reagan et cela continue. Je ne vais pas pourfendre la corruption, mais c’est assez étonnant. En 2005, Citigroup s’est fait connaître grâce à une brochure pour investisseurs intitulée « Ploutonomie : Achat de luxe, explications des déséquilibres mondiaux ». Les investisseurs étaient exhortés à mettre de l’argent dans un « Indice de ploutonomie ». La brochure affirmant que « Le Monde est scindé en deux blocs — la Ploutonomie et le reste ».
  • Il a toujours existé un fossé entre la politique publique et la volonté publique, simplement il a grandi en proportion astronomique. En fait, on peut le voir dès maintenant. Jetez un regard au grand sujet sur lequel tout le monde se concentre à Washington : le déficit. Pour le grand public, à juste titre, le déficit n’est pas considéré comme un gros problème. Et ce n’est pas vraiment un gros problème. La question est celle du chômage. Il y a une commission du déficit, mais aucune commission du chômage. Autant que le déficit le concerne, le public a des opinions. Jetez un coup d’oeil aux sondages. Le public appuie massivement des impôts plus élevés sur les riches, impôts qui ont fortement diminué dans cette période de stagnation et de déclin, et la préservation des prestations sociales qui furent limitées. Le résultat de la commission du déficit va probablement être à l’opposé. Les mouvements Occupy pourraient fournir une base de masse pour essayer d’éviter ce qui équivaudrait à un poignard planté dans le cœur du pays.
  • Ainsi, par exemple, Alan Greenspan, le président de la Fed, au moment où il était encore « Saint Alan » — et qu’il était salué par la profession comme l’un des plus grands économistes de tous les temps (c’était avant le krach dont il était en grande partie responsable) — témoignant au Congrès durant les années Clinton, y expliqua les merveilles de la grande économie qu’il supervisait. Il affirmait que la majeure part de ces succès tenait surtout à ce qu’il appelle « l’insécurité croissante des travailleurs ». Si les travailleurs sont vulnérables, s’ils font partie du précariat et mènent des existences précaires, ils ne vont pas revendiquer, ils ne vont pas réclamer de meilleurs salaires et n’auront pas de meilleures prestations. On peut les virer si on n’en a pas besoin. Et c’est ce qu’on appelle une économie « saine » du point de vue technique. Et c’est ce dont on lui sut grandement gré, ce pourquoi il suscita l’admiration.
  • J’ai déjà dit que, dans les années 1930, un des modes d’action les plus efficaces était la grève sit-down. La raison en est simple : il s’agit de l’ultime étape avant de prendre le contrôle d’une industrie.
  • Nous traînons la première depuis 1945. C’est une sorte de miracle que nous y ayons échappé. Il s’agit de la menace des armes nucléaires et de la guerre nucléaire. Bien qu’on en parle peu, cette menace s’accroît du fait de la politique menée par cette administration et ses alliés. Et il faut faire quelque chose pour ça, sinon nous sommes dans un sacré pétrin. L’autre, bien sûr, est la catastrophe écologique. Il n’est pratiquement pas un pays qui n’essaie au moins de prendre des mesures pour essayer de l’enrayer. Les États-Unis aussi prennent des mesures, surtout pour accélérer la menace. Non seulement c’est le seul grand pays qui ne fait pas la moindre chose pour protéger l’environnement, mais il n’est même pas monté dans le train. A certains égards, il le tire vers l’arrière.
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    Les grèves ça sert !
Jon Snow

La pizza, un "légume" pour les cantines américaines - Le Point - 0 views

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    tout est dans le titre. on est plus à une connerie près
Jon Snow

Press conference with Foreign Minister Ricardo Patiño Aroca: Ecuador grants a... - 0 views

  • That, despite Ecuador’s diplomatic efforts, countries which have been asked togive adequate safeguards for the protection and safety for the life of Mr. Assange have refused to facilitate them; That Ecuadorian authorities are certain of the possibility that Mr. Assange could be extradited to a third country outside the European Union without proper guarantees for their safety and personal integrity; That legal evidence clearly shows that, given an extradition to the United States of America, it would be unlikely for Mr. Assange to receive a fair trial, and likely that he would be judged by special or military courts, where there is a high probability of suffering cruel and degrading treatment, and be sentenced to life imprisonment or capital punishment, which would violate his human rights; That while Mr. Assange must answer for the investigation in Sweden, Ecuador is aware that the Swedish prosecutor has had a contradictory attitude that prevented Mr. Assange the full exercise of the legitimate right of defense; Ecuador is convinced that the procedural rights of Mr. Assange have been infringed upon during the investigation; Ecuador has observed that Mr. Assange lacks the protection and assistance that should be received from the State of which he is a citizen;
  • “Persons who find themselves in a situation of asylum and refuge shall enjoy special  protection to ensure the full exercise of their rights. The State shall respect and ensure the principle of non-refoulement [http://en.wikipedia.org/wiki/Non-refoulement], and shall provide emergency legal and humanitarian assistance.”
  • In the course of these conversations, our country has sought to obtain strict guarantees from the UK government that Assange would face, without hindrance, an open legal process in Sweden. These safeguards include that after facing his legal responsibilities in Sweden, that he would not be extradited to a third country; that is, ensuring that the Specialty Rule [http://www.publications.parliament.uk/pa/cm200203/cmstand/d/st030114/am/30114s01.htm] is not waived. Unfortunately, despite repeated exchanges of messages, the UK at no time showed signs of wanting to reach a political compromise, and merely repeated the content of legal texts.
  • ...2 more annotations...
  • On the other hand, Ecuador raised the possibility that the Swedish government establish guarantees to not subsequently extradite Assange to the United States. Again, the Swedish government rejected any compromise in this regard.
  • Finally, Ecuador wrote to the U.S. government to officially reveal its position on Assange’s case. Inquiries related to the following: If there is an ongoing legal process or intent to carry out such processes against Julian Assange and/or the founders of the WikiLeaks organization; Should the above be true, then under what kind of legislation, and how and under what conditions would such persons be subject to under maximum penalties; Whether there is an intention to request the extradition of Julian Assange to the United States. The  U.S. response has been that it cannot provide information about the Assange case, claiming that it is a bilateral matter between Ecuador and the United Kingdom.
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    Julian Assange réfugié politique de l'Equateur. La conférence de presse en anglais.
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