Sondage : l'opinion publique mondiale rejette le capitalisme dérégulé et récl... - 0 views
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Un sondage réalisé dans 27 pays pour la BBC fait apparaître un très large rejet du capitalisme de marchés dérégulés. Près d'un quart des sondés - et 43% en France - jugent ce système fondamentalement déficient et la moitié souhaitent que les gouvernements agissent pour le réguler. Mondialement, 67% des personnes interrogées réclament une action des pouvoirs publics en faveur d'une redistribution plus équitable des richesses.
La révolution contre le travail - la voie du jaguar - 0 views
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Le capitalisme est un processus continu de canalisation des luttes à l’intérieur de certaines formes. Si les luttes se canalisent d’elles-mêmes vers ces formes, alors pour le capitalisme, c’est relativement facile de les absorber. En revanche, si les luttes se dirigent contre les formes capitalistes et vers la création de nouvelles façons de faire les choses, il lui est plus difficile de les absorber, parce que ces luttes visent à rompre avec les schémas de la domination capitaliste.
Faut-il jeter le Diplo avec l'eau du complot ? - 0 views
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Mouaip un peu mono maniaque sur le theme du fascisme l'auteur.
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oui j'avais compris le fond de l'article et je suis d'accord avec ta definition du conspirationnisme. Cependant je dirais qu'il y a deux types de comportement (indissociables) à adopter pour lutter contre ce système. Il y a l'action directe qui consiste à battre le pavé, à s'organiser dans son entreprise etc, et l'analyse des methodes de soumission au capital que sont la hiérarchisation des statuts, les compressions salariales, la flexibilisation du travail etc. Il me semble que pour créer une société plus juste il faut avoir démont(r)er tous ces rouages pour agir le mieux possible. Le gros problème c'est que ça prends un max temps. Il est beaucoup plus facile de foncer sur les bouc-emissaires du conspirationnisme qui sont à "l'origine de tout le Mal sur terre". C'est le piège qui conduit à faire pire que ceux contre qui on pensait lutter (justement parce que l'on a raté l'étape de la démonstration). Mais je pense qu'on se rejoint la dessus. Joindre la pensée créatrice à l'action c'est le mieux qu'on puisse faire. Le meilleur exemple de ça ce sont les anarcho-communistes espagnols en 36. On a un tas de choses à apprendre de ces vieux.
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je suis d'accord avec les 2 types de comportement à adopter par contre les compressions salariales et la flexibilisation du travail ne me paraissent pas être de vrais problèmes, on peut avoir de meilleurs salaires et travailler toujours au même endroit et faire le même boulot tout en restant dans le système capitaliste. augmenter les salaires est aussi un bon moyen pour acheter la paix sociale. oui il y'a des choses à apprendre des anarcho-communistes espagnols, notamment de leurs erreurs: http://infokiosques.net/lire.php?id_article=805
Après la crise, quelle(s) révolution(s) ?, par Jean-Claude Milner - Opinions ... - 0 views
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On bute sur l'une des caractéristiques majeures de la gestion moderne ; être expert, cela consiste à déterminer par calcul une échelle allant du plus probable au plus improbable. D'où suit le conseil aux décideurs : "Ne tenez pas compte du plus improbable."
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Multiplication illimitée des règles, multiplication illimitée des sources de règles, les libertés n'y survivent pas.
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On retrouve ainsi la plus classique des questions : quelles sont les sources possibles des règles, et de quelles règles ? Les peuples, une représentation nationale, des partenaires sociaux ?
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A observer sans passion le capitalisme financier, on mesure la vanité des condamnations morales. Pour qu'il ait imposé sa domination pendant près d'un quart de siècle, il faut bien qu'il ait répondu à quelque nécessité objective. Que s'est-il donc passé durant les trente ans dont on vient de sortir ?
Citation: Franck Lepage - 2 views
Il faut désormais que chaque individu ait la liberté de se faire exploiter où il veut, quand il le veut (…) Très vite (…) ce système fabrique des inégalités qu'il faut rendre légitime, acceptable, ...
Blog de Paul Jorion » L'esprit du capitalisme d'après l'œuvre de Max Weber, p... - 0 views
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« Sois attaché à ta besogne et mets-y ta joie et vieillis dans ton travail. »
Travail forcé et éthos du travail - 0 views
« Changer de cheval », par Anselm Jappe - 1 views
A 75 % les riches partiront ? - F. Lordon - Les blogs du Diplo - 0 views
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Autrement Français les clandestins qui aspirent à être régularisés c’est-à-dire à vivre régulièrement, d’une « régularité » à laquelle les riches s’efforcent en permanence de se soustraire. Qu’ils ne veuillent plus des charges de la collectivité signifie par le fait qu’ils ne veulent plus de l’appartenance à la collectivité. Or, la frontière de la collectivité devrait fonctionner selon un principe de porosité symétrique : de même que quiconque désirant y apporter sa capacité contributive (productive, fiscale, vitale) devrait y être admis, quiconque manifestant son désir de ne plus y contribuer ne devrait pas y être retenu... Il se pourrait même que la nation ait beaucoup plus à y gagner à régulariser ceux qui veulent vivre régulièrement sur son sol qu’à tenter de retenir les Florent Pagny, les Alain Delon, et tous les faux indispensables du « dynamisme économique ». À ces derniers en tout cas il faudra expliquer le principe simple de la corrélation entre la nationalité et l’impôt. Et puis les inviter à faire leur choix — mais pour de bon. Qu’ils fuient sous d’autres cieux à la recherche des taux d’imposition qui accroissent encore un peu plus leur fortune, c’est leur affaire. Mais prière en partant de déposer passeport, carte d’électeur, carte de sécu, et d’aller définitivement se faire pendre ailleurs.