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Alors que de plus en plus de personnes souffriraient de "nomophobie", la peur de perdre son portable ou son accès à Internet, qui conduit par exemple à garder un filet de connexion (comme un portable de secours), des pionniers du numérique font le choix inverse. Richard Stallman, le gourou du logiciel libre, explique qu'il travaille désormais déconnecté. "La plupart du temps, écrit-il sur son site, je n'ai pas Internet. Une ou deux fois par jour, parfois trois, je me connecte pour envoyer et recevoir mes courriels. Je relis tout avant d'envoyer." Se déconnecter est devenu un acte volontaire. Aujourd'hui chercheur à la Carnegie Mellon University, Fred Stutzman avait pris l'habitude de travailler dans un café pour pouvoir rédiger sans être interrompu. "Il fallait que je m'échappe de la frénésie d'Internet." Sa méthode a pris l'eau quand un voisin s'est équipé d'un routeur qui a arrosé le café de sa connexion Wi-Fi. Voilà qui l'a conduit à développer Freedom, un logiciel, qui, pour 10 dollars, bloque votre accès à Internet jusqu'à huit heures de suite, et vous oblige à redémarrer votre ordinateur pour le réactiver. Son autre appli, Anti-social, permet d'avoir accès à Internet mais pas à toutes ses joyeuses distractions : Facebook, Twitter... "Les ordinateurs sont devenus des machines à distraction. On s'équipe aujourd'hui de fonctionnalités qui les ramènent à un usage de machine à écrire", note-t-il, amusé. Plusieurs navigateurs ont installé des options de ce type. "C'est une façon de s'acheter du temps. Internet est partout, la seule réponse possible maintenant est individuelle."

In what is shaping up as an academic Battle of the Titans - one that offers vast new learning opportunities for students around the world - Harvard University and the Massachusetts Institute of Technology on Wednesday announced a new nonprofit partnership, known as edX, to offer free online courses from both universities. News, data and conversation about education in New York. Join us on Facebook » Follow us on Twitter » Harvard's involvement follows M.I.T.'s announcement in December that it was starting an open online learning project to be known as MITx. Its first course, Circuits and Electronics, began in March, enrolling about 120,000 students, some 10,000 of whom made it through the recent midterm exam. Those who complete the course will get a certificate of mastery and a grade, but no official credit. Similarly, edX courses will offer a certificate but will carry no credit

Plusieurs conférenciers au colloque Printemps des réseaux sociaux des 3 et 4 avril 2012 à Québec n'ont pas manqué de rappeler l'engouement que soulèvent chez nous et ailleurs sur la planète les Facebook, Twitter et autres plateformes communautaires. Pressant les organisations de se faire voir sur ces plateformes - l'internaute d'aujourd'hui est Social Local Mobile, n'est-ce pas?-, les « cracks » des RS n'en conditionnent pas moins la « construction » de cette présence à une réflexion de base en communication:

Déjà en 2008, ITBusinessEdge rapportait que près de 40 % des jeunes travailleurs seraient prêts à quitter un employeur qui n'autorise pas l'utilisation de Facebook au travail, tandis que plus de 20 % seraient embêtés par une telle pratique. Dans un monde du travail où le web et l'utilisation des réseaux sociaux sont encore vus comme une distraction, que fera-t-on de cette future cohorte de travailleurs qui aujourd'hui apprennent à utiliser Twitter au primaire? Selon Forbes, il faudra que le marché soit prêt à accueillir ces personnes pour qui les réseaux sociaux constituent des outils de travail et qui sont habituées à une rétroaction rapide

Apple, Facebook et Google décident seuls et en fonction de leurs seuls critères ce qui est publiable et ce qui ne l'est pas, invoquant le plus souvent le motif de "nudité" ou de "pornographie", et l'appliquant, par exemple, à la fermeture du compte d'un internbaute ayant osé choisir "l'origine du monde" de Courbet comme photo de profil. Les mêmes refusent aux internautes la possibilité de s'inscrire sous un pseudonyme mais, par le jeu d'un régime d'exception, "tolèrent" que Salman Rushdie reste inscrit sous son nom de plume après avoir dans un premier temps fermé son compte. La formidable chambre d'écho que Facebook ou Twitter constituèrent à l'occasion du soulèvement des peuples du "printemps arabe" ne doit pas faire oublier la systématisation de politiques qui, pour ces mêmes sites, vont du filtrage à la censure technique, amenant un collectif de chercheurs de l'université d'Harvard à parler de l'entrée, depuis les années 2010, dans une "4ème phase de contrôle du cyberespace".

One of the challenges that continually surfaces in Government 2.0 initiatives is what I call the tool syndrome. People get stuck on the tools. Should we use Facebook or Twitter? Do we need a blog or a wiki? Come on, admit it. We've all been there. I know I have.

Combien sont-ils à s'inscrire et à se rendre quotidiennement sur les réseaux sociaux ? L'infographie ci-dessous dresse le portrait des utilisateurs des réseaux les plus en vogue actuellement : Facebook Twitter Linkedin Google + Pinterest On savait déjà que ce dernier (Pinterest) était très populaire chez les femmes, et nous en avons la confirmation ! Pour les hommes, c'est principalement Google+ qui les attire. Du coté des autres réseaux, les hommes et les femmes se répartissent plutôt équitablement. En ce qui concerne le temps passé, Facebook gagne haut la main avec près de 405 minutes par mois. Le grand perdant est quant à lui Google+ qui ne récolte qu'une moyenne de 3 minutes…

Le Canada - et le Québec en particulier - migrent plus vite encore que les Etats-Unis  vers le numérique. La province francophone détient le record mondial de l'utilisation des réseaux sociaux : 78% des Québecois sont sur Facebook et 19% sur Twitter.  Ils passent 16 heures par semaine sur Internet. 38% possèdent un smart phone. C'est plus que la France.

"D'après un rapport publié par Zscaler, Facebook s'essouffle, attaqué de toute part sur son processus de publicité inefficace selon les marques, et pour son introduction en bourse sur-cotée. Malgré un petit sursaut de 1,42% au second trimestre 201, la tendance attendue est une chute vertigineuse de trafic de 11% en 1 an pour atteindre la modeste barre de 41,2% au 1er trimestre 2012. A contrario Twitter, lui, continue sa poussée vertigineuse de 7% au cours du 2ème trimestre."

As election season nears, more and more people are discussing the candidates and their positions online. Facebook and CNN want to be at the center of that conversation - but they have a long way to go if they really want to add to the debate. The two organizations announced Facebook-CNN Election Insights, a real-time tool that shows which candidate Americans are talking about online, sliced into a number of user-configurable demographics. The tool was architected by Mass Relevance under CNN's guidance. Mass Relevance also provided a curated Twitter tracker during the recent Olympic games.

The emergence of new social networking services such as Pinterest and a growing base of disgruntled 3rd party developers for the leading services shows that changes in the social networking industry are far from over. It's also causing a rethinking of the business models and partner ecosystems of what's become the old guard, Facebook and Twitter.

"Selon Richard Hammell, associé à Deloitte Analytics UK, » certaines organisations pensent qu' « ouvrir » signifie tout publier, mais ce n'est pas le cas. Les entreprises sont libres de choisir les données qu'elles publient, comme celles qui peuvent aider leurs client à mieux trouver, comparer et comprendre leurs produits et services. Pour de nombreux groupes, le compromis est positif, stimule la croissance et mène à une concurrence plus équitable. Tirer parti de cette opportunité unique peut améliorer l'innovation et l'ingéniosité au sein des entreprises« ."

Many civic and deliberative organizations are working to take advantage of the tremendous potential that new and digital media offer for citizens as they attempt to discuss and address problems at both the local and national levels. We know that many of these media (Facebook, Twitter, online forums) are used effectively for self-expression and organizing. There are challenges, however, in taking true deliberation-recognizing tradeoffs, considering other people's experiences, and making choices-online. This Kettering Foundation working paper by Laura Black focuses on the question: To what extent can digital media truly offer potential opportunities for deliberative decision making, particularly the practice of deliberation itself?

Comment aborder la notion de responsabilité individuelle et collective d'expression, de publication, de partage et d'appréciation sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Facebook…) ? Le groupe La Poste a mis en ligne fin mai 2012 une vidéo humoristique contextualisée sur la capacité à diffuser, distribuer une information et à la voir relayer sur les réseaux sociaux, ceci dans un contexte professionnel : Julien et la Thompanie. Sur ce thème, consulter notre dossier de ressources : 9 guides professionnels de responsabilité réseaux sociaux et chartes d'utilisation réseaux sociaux.

In one of his recent presentations, Frans Johansson explained why groundbreaking innovators generate and execute far more ideas than their counterparts. After watching his presentation The Secret Truth About Executing Great Ideas, my thoughts began to surface about how meaningful the presentation was regardless of a persons industry, culture, field or discipline. Anyone can come up with an amazing idea but how you execute the idea will determine your success.

Are you tired of friends who clutter up your Facebook feed with stuff you don't care about? Are you easily overwhelmed by the wide variety of information posted on Twitter on a daily basis? Is the Google+ population just not doing it for you? If you're looking for a social experience that caters to your specific interests, take a peek at these 10 niche networks you may not have heard of.

Aujourd'hui, les internautes ont en avant-première les déclarations des personnalités politiques grâce à Facebook et Twitter. Cette mise en avant de l'image publique représente-t-elle un danger pour l'avenir professionnel du personnage politique ? Quel danger représente cette limite fragile entre vie publique et vie privée ?

There's a Twitter account and a Flickr account and also a video up at YouTube - although this doesn't appear to have been embedded in the Canberra 2030 site itself. Despite a few basic usability issues and a little of a 'tickbox' approach, the site represents a real attempt to consult Canberrans in a more interactive way and it is worth a look.

Insurers' interest in data mining will only grow, says Kevin Pledge, the boss of Insight Decision Solutions, an underwriting-technology consultancy based near Toronto. He has investors interested in a project to develop software to comb Facebook and Twitter for promising sales leads: a woman proud of her pregnancy might want to buy life insurance, for example. Insurance firms will also analyse grocery purchases for clues about policyholders, he predicts. But that raises some sticky questions about privacy. Mr Pledge himself has begun to forgo his supermarket loyalty-card discount on junk food and pay for his burgers in cash. Promising as data mining is, much will depend on how regulators, and consumers, react.

Recently the Pew Research Center found that 95% of teens ages 12-17 were using the Internet. But their statistics found that a significantly smaller percentage of teens were using video functions like chatting, uploading video and streaming live video footage. The study did find that 80% of teens using the Internet used social networking sites, and video use by teens on sites like Facebook and Twitter was much more popular than teens who didn't have social networking accounts.