"Avant d'accompagner son mari militaire en Afrique, Danièle Trohet reçoit toute une série de vaccins. Sur place, rapidement, elle se plaint d'une grande fatigue ; ses troubles s'aggravent. Deux ans après, elle souffre de douleurs musculaires, articulaires, de troubles de la mémoire, de la déglutition. Elle multipliera les examens médicaux à son retour en France jusqu'à ce qu'un neurologue souligne les nombreux vaccins reçus 6 ans auparavant puis qu'un article de presse l'éclaire sur la myofasciite à macrophages, un syndrome lié à l'hydroxyde d'aluminium présent dans les vaccins. « Que Choisir Santé » raconte son périple pour faire reconnaître sa maladie et les combats de l'E3M, une association d'aide aux victimes. Les travaux du Pr Ghérardi relatifs aux dangers des adjuvants aluminiques des vaccins permet par ailleurs de faire le point sur les débats qui entourent le lien entre l'aluminium vaccinal et la maladie."
Après plusieurs années de demi-traitement et 5 ans de procédures, cette décision de la CAA de Lyon pourrait permettre à Nadine de récupérer son salaire entier.
« Toutes les pathologies imputables à l'utilisation d'aluminium dans les vaccins n'ont pas été analysées par cette enquête, et notamment pas la myofasciite à macrophages (MFM), avec ses symptômes de douleurs musculaires, d'épuisement et de troubles cognitifs. Or, les recherches menées par l'Inserm confirment, de leur côté, l'impact de l'aluminium, non seulement sur le cerveau, mais aussi sur la rate », indique Didier Lambert, le président de l'association de malades E3M. Qualifiant cette étude de l'ANSM d' « occasion manquée », le militant battait le pavé lundi devant le Sénat, où la loi de Santé est arrivée en discussion. Objectif : lancer une campagne « Pour des vaccins sans aluminium ».
La fibromyalgie est en relation directe avec la myofascite à macrophage déclenchée par les adjuvants à l'aluminium des vaccins. Cet axe de recherche n'est pourtant pas exploré par la médecine officielle. Pas plus que deux nouvelles pistes qui mettent, elles aussi, en cause l'action délétère de certains médicaments comme les benzodiazépines (antidépresseurs) ou une classe extrèmement répandue d'antibiotiques.
"Nous vivrions à l'âge de l'aluminium. Et l'utilisation de ce métal ne fera qu'augmenter dans les prochaines années. C'est le pronostic de Christopher Exley, biologiste, qui intervenait le 27 novembre dernier dans un colloque au sénat, "Aluminium et vie quotidienne", organisé par l'association E3M (Entraide aux Malades de Myofasciite à Macrophages). Or contrairement au fer, au cuivre ou au zinc, ce métal n'a aucune fonction biologique dans notre organisme et son effet neurotoxique est reconnu.
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émission de France Culture en présence du Pr Gherardi et de André Cicolella.
Aluminium dans les vaccins ou les antitranspirants et perturbateurs endocriniens sont au menu. En assaisonnement : la remise en cause de la (co)gestion du système de santé par l'industrie.
Très bel article de "Santé Corps Esprit", qui présente le livre "Toxic Story" et décrit le parcours semé d'embûches du Pr Gherardi dans son minutieux travail sur la toxicité de l'aluminium vaccinal