"Nous vivrions à l'âge de l'aluminium. Et l'utilisation de ce métal ne fera qu'augmenter dans les prochaines années. C'est le pronostic de Christopher Exley, biologiste, qui intervenait le 27 novembre dernier dans un colloque au sénat, "Aluminium et vie quotidienne", organisé par l'association E3M (Entraide aux Malades de Myofasciite à Macrophages). Or contrairement au fer, au cuivre ou au zinc, ce métal n'a aucune fonction biologique dans notre organisme et son effet neurotoxique est reconnu.
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« Toutes les pathologies imputables à l'utilisation d'aluminium dans les vaccins n'ont pas été analysées par cette enquête, et notamment pas la myofasciite à macrophages (MFM), avec ses symptômes de douleurs musculaires, d'épuisement et de troubles cognitifs. Or, les recherches menées par l'Inserm confirment, de leur côté, l'impact de l'aluminium, non seulement sur le cerveau, mais aussi sur la rate », indique Didier Lambert, le président de l'association de malades E3M. Qualifiant cette étude de l'ANSM d' « occasion manquée », le militant battait le pavé lundi devant le Sénat, où la loi de Santé est arrivée en discussion. Objectif : lancer une campagne « Pour des vaccins sans aluminium ».
Article datant de mars 2017. Pour rappel.
Aluminium dans les vaccins : le rapport qui dérange
Dans un rapport jamais rendu public depuis mars, des scientifiques pointent les risques induits par la présence d'aluminium dans les vaccins.
Vaccination Covid : absence de transparence sur le plan politico-économique, informations insuffisantes sur l'efficacité des vaccins, manques cruciaux de données sur leur innocuité et leur surveillance post-injection, la population fera donc office de cobaye. Ce n'est certainement pas le bon chemin pour que nous retrouvions confiance dans nos institutions et dans la politique vaccinale.