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Aurialie Jublin

Le BYOD et les risques juridiques - 0 views

  • L’étude explique ainsi qu’auparavant, dans l’ère pré-BYOD, la vie privée de l’employé restait « résiduelle » vis-à-vis du matériel apporté par son patron. « Alors que dans un cadre BYOD, la vie privée devient prépondérante dans l’environnement de travail », ce qui change totalement la situation. Certes, les données qui appartiennent à l’entreprise, même sur un appareil de l’employé, restent la propriété de l’entreprise d’un point de vue juridique. Il n’y a donc pas de risque à ce niveau. Par contre, le BYOD peut entrainer des conflits au sujet du temps de travail par exemple.
  • Autre risque juridique lié au BYOD, un employé travaillant sur son propre matériel, un PC portable par exemple, pourrait avancer dans certains cas bien précis que son travail a été réalisé sur son temps personnel, et donc par conséquent que ce travail est sa propriété, et non celle de l’entreprise.
  • Du fait de cette situation, on peut ainsi bien comprendre que de nombreuses entreprises hésitent encore à se lancer dans le BYOD. En tout cas, sa généralisation totale est difficile tant cela implique un haut degré de confiance envers l’intégralité des salariés.
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    "Si les risques de sécurité sont régulièrement mis en avant dès que l'on parle de BYOD (Bring Your Own Device), les risques juridiques ont une visibilité bien moindre. C'est pourtant ce volet qui pousse de nombreuses entreprises à éviter le BYOD."
hubert guillaud

Les scientifiques doivent être les fers de lance de l'usage éthique des Big Data - Politico.com - 1 views

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    Pour le physicien Albert-László Barabási, le spécialiste de l'analyse des réseaux, la façon dont la NSA recueille les données personnelles des américains a brisé le modèle traditionnel qui lie la science et la société. La plupart des technologies ont plusieurs usages (pensez à l'énergie atomique, au génie génétique...) et on ne peut pas pour autant décider d'arrêter toute recherche du fait des risques qu'elles comportent. Au lieu de cela, les scientifiques doivent faire preuve de transparence sur les risques et les abus possibles et parvenir à un consensus avec la société pour l'usage de ces technologies. Les scientifiques dont les travaux ont alimenté la NSA ont échoués à montrer les dangers de ces outils. Les politiques, enivrés par la puissance de ces outils, n'ont pas réussi à faire que leur utilisation respecte les cadres strictes de la constitution. Les Big Data sont un saint Graal. Ils promettent de mettre à jour les lois mathématiques qui régissent la société. Barabási explique qu'il a lui-même utilisé des données de millions d'utilisateurs de téléphone mobile pour faire des analyses, sauf que les siennes étaient anonymisées afin de ne pas nuire aux utilisateurs. Mais oui, la fouille de données peut être une arme, reconnaît le chercheur. Il peut être tout aussi dommageable que la bombe atomique. Il empoisonne la confiance. Il peut cibler des combattants, mais aussi des civils innocents. Utilisée comme une arme, elle doit être traitée comme une arme. Et Barabási d'en appeler au concept de la non-prolifération pour tenter de trouver une règle d'apaisement en rendant public les outils, en prônant le désarmement et l'utilisation pacifique. Pour cela, il faut tisser une nouvelle alliance avec la société en amendant les droits de l'homme par le droit de propriété de ses données. Il faut réaffirmer que les données (mon historique et modèle de navigation, mes habitudes de consommation, mon historique de
Aurialie Jublin

« Le risque d'un chômage technologique de masse peut être écarté » - Rue89 - L'Obs - 1 views

  • Stefano Scarpetta résume en chiffres : « Ce serait plutôt 9% en moyenne des emplois aux Etats-Unis et dans les pays de l’OCDE qui seraient automatisables, avec plus de 70% de tâches substituables par des machines. C’est beaucoup moins que les 47% ! »
  • Mais l’OCDE nuance : « les travailleurs peuvent s’adapter en changeant leurs tâches », d’où la nécessité de la formation continue tout au long de la vie professionnelle, et « le changement technologique génère aussi des emplois supplémentaires », même si ces derniers ne remplacent pas les emplois perdus, car les compétences ne sont pas les mêmes. Ce sont les effets indirects : « Selon certaines estimations, chaque emploi créé par le secteur de la haute technologie entraîne la création d’environ cinq emplois complémentaires. » Pas d’angélisme pour autant : l’OCDE reconnaît qu’il y aura bien des suppressions d’emplois et « les travailleurs moins instruits sont ceux qui courent le plus de risques de voir leur emploi supprimé ».
  • Citant les exemples du Turc mécanique d’Amazon, des plateformes TaskRabbit ou Youpijob pour les tâches du quotidien, l’OCDE ne cache pas son inquiétude sur l’émergence d’emplois de faible qualité et le « risque de pauvreté dans l’emploi ». Et dresse une conclusion éminemment politique à l’attention des dirigeants des pays riches : « Dans ce contexte, il faudra adapter les systèmes de prélèvements et de prestations (sociales) afin de garantir que le travail, même faiblement rémunéré, apporte un revenu suffisant pour échapper à la pauvreté. »
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    "Selon les économistes de l'OCDE, le taux d'emplois automatisables serait plus proche de 9%. Le moindre besoin de main d'œuvre dû à l'automatisation et au numérique pourrait se traduire plutôt par… la baisse du temps de travail."
hubert guillaud

Comment les employés peuvent-ils souffrir dans des entreprises sans patron, comme GitHub - Wired.com - 1 views

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    De nombreuses entreprises se mettent aux structures organisationnelles plates, estime Klint Finley pour Wired. A l'exemple du développeur de jeu Valve ou de WL Gore, la firme derrière Gore-Tex. GitHub a la même ambition, et elle est d'autant plus symbolique que GitHub fournit un service qui permet justement de collaborer librement sur des projets logiciels. Mais les structures démocratiques plates ne veulent pas dire structures sans jeu de pouvoir. La semaine dernière GitHub a suspendu un de ses fondateurs accusé harcèlement. En 1972, Jo Freeman a décrit dans "La tyrannie de l'absence de structure" les premières expériences d'auto-organisation féministes. Le problème avec les organisations non-hiérarchiques est que les structures de pouvoir sont invisibles et donc inexplicables ce qui conduit souvent à des dysfonctionnements et des abus. Fred Turner décrit les mêmes problèmes quand il évoque les communautés hippies qui ont voulu éviter la division traditionnelle du travail et qui ont fini par envoyer les femme faire la cuisine, le nettoyage et l'éducation des enfants. Les communautés régies par des structures plus explicites finissent par pouvoir être plus progressives, les responsabilités pouvant être réparties de manière plus égales. La même impulsion anti-hiérarchique existe dans la Silicon Valley que dans les communautés autonomes des années 60, estime Finley. Un ancien de Valve révélait que l'entreprise ressemble parfois à une cours d'école, où les enfants les plus populaires et les fauteurs de troubles accaparent le pouvoir. Le risque est d'embaucher des gens qui correspondent à la culture de l'entreprise au risque de sa diversité. La Kellog School of Management a montré dans plusieurs études que la diversité des équipes était un meilleur moyen de résoudre les problèmes que d'avoir des décideurs : http://insight.kellogg.northwestern.edu/article/better_decisions_through_diversity . Le culte des employés qui corre
julien camacho

"Un revenu de base pour tous et sans condition? Une idée au service de l'esprit d'entreprise" - 1 views

  • On dit aussi que l'allocation universelle pourrait favoriser l'esprit d'entreprise... On distribue un revenu dés le début et sans condition, on stabilise les perspectives d'avenir des citoyens, qui seront plus enclins à prendre des risques car ils sauront que quoiqu'il arrive, s'ils ratent, ils trouveront un filet de sécurité. C'est plus efficace que d'agiter le bâton en disant, attention, si vous ne travaillez pas, on vous coupe les vivres. Cela stabilise les gens et permet en effet de restaurer la liberté d'initiative, d'entreprendre. L'État social doit avoir un rôle actif pour favoriser l'esprit d'entreprise.
  • Dans nos sociétés post-aristocratiques, pour exister socialement, les gens doivent faire leurs preuves. Il existe sans doute quelques profiteurs, il y en a partout, mais la plupart des gens savent que l'existence sociale provient de ce que l'on fait, donc bien souvent du travail.
  • En Suisse, la réflexion sur le système de couverture sociale des risques est très avancée. Au sein même des grands organismes de sécurité sociale, on songe sérieusement à rationaliser le système des prestations, de le simplifier et de le rendre plus transparent. Car la multiplication des prestations sélectives est lourde, coûteuse, oppressive. Elle représente une charge non seulement bureaucratique mais aussi psychique importante.
  • ...2 more annotations...
  • La gauche n'aime pas l'idée du revenu de base parce qu'elle considère qu'il n'est pas socialisant, qu'il est juste financier, monétaire, qu'il renforce l'assistance alors qu'elle veut se défaire de cette image d'assistanat. Elle veut passer à un État social actif. C'est-à-dire que le citoyen doit démontrer qu'il souhaite contribuer à la production.
  • Cela ne risque-t-il pas d'accroître le nombre de sans emplois ? C'est là que l'allocation universelle a un rôle à jouer. Dans la grande production automatisée, il est clair que le travail de masse n'aura plus sa place. Tendanciellement, toute activité mécanisable a vocation à l'automation. Il convient de préparer et favoriser le décollage d'un secteur, que j'appelle "quaternaire", d'activités non mécanisables, c'est-à-dire personnelles et autonomes, et cela, quel que soit le domaine: manuel, relationnel ou intellectuel. En attendant, il faut assurer la continuité du système par l'instauration de revenus exogènes à flux réguliers.
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    "Gauchiste, l'idée d'un revenu pour tous sans condition ? Plus compliqué que cela. Même la Suisse s'y intéresse de près. Le philosophe Jean-Marc Ferry considère qu'il s'agit d'une nécessité pour faire face à la concurrence accrue des pays émergents et à la captation de richesses par la finance au détriment de l'économie réelle."
Aurialie Jublin

Les nouveaux risques (et opportunités) des entreprises / InternetActu.net - 0 views

  • Le surcoût moyen d’un projet informatique est de 27% estiment les chercheurs en conclusion de leur recherche. Mais, un projet sur six subit un dépassement de 200% !
  • Un outil d’analyse qui peut être un moyen d’identification des difficultés ou des forces d’une entreprise, que ce soit pour elle, comme pour la concurrence. Une méthode qui pose en tout cas la question de l’usage des médias sociaux par les employés et de leurs conséquences. Mais ce n’est pas le seul risque que courent les entreprises avec les réseaux sociaux. D’après une étude du cabinet de conseil Gartner, faute d’objectifs bien définis au départ, seuls 10 % des projets de déploiement de réseaux sociaux d’entreprises réussissent, rapporte Zdnet.
  • “La vie privée et la sécurité sont toujours négociées, si dévoiler votre vie privée vous procure un avantage, alors le plus souvent vous êtes près à y concéder”, rappelle l’un des chercheurs responsables de l’expérimentation, Michael Bernstein.
  • ...4 more annotations...
  • “Un grand nombre des exigences de la vie quotidienne nécessitent une créativité que les machines n’ont pas encore”, estime Scott Klemmer du groupe Interaction homme-machine de Stanford.
  • la question pourrait surtout être de comment rendre ces données exploitables, décisives pour faciliter la prise de décision de l’entreprise.
  • Pour lui, la plupart des organisations ont des quantités massives de données, mais elles ne parviennent pas toujours à l’utiliser de manière significative. Comment faire parler les données pour identifier les objectifs stratégiques et les décisions tactiques à prendre ? Pour Davenport, l’analytique doit aider à prendre de meilleures décisions. Elle doit induire une boucle de rétroaction (comme l’expliquait Simon Chignard en évoquant l’open data), c’est-à-dire, que les données doivent permettre d’améliorer l’action des organisations.
  • Pour Tom Davenport, c’est la créativité à l’élaboration de ces tableaux de données qui va animer demain la réussite des entreprises. Choisir les bons indicateurs, les bonnes visualisations, extraire les bonnes données… Le tableau de bord de l’entreprise est assurément, lui aussi, l’un des enjeux de l’entreprise demain.
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    "La transformation induite par le numérique bouleverse le fonctionnement des entreprises, on le sait. Les défis sont innombrables et s'accumulent. Sans vouloir être exhaustif, en voici 4 qui nous ont semblé particulièrement… stimulants ou effrayant. "
Aurialie Jublin

« Voice picking » : dans le casque, mon chef cette machine | Rue89 Eco - 0 views

  • L’homme-robot dirigé par la machine ? On n’en est peut-être pas loin. Même si Gilles Chasson estime que cette technologie est plus une aide qu’autre chose – puisqu’elle réduirait le risque de faire une erreur et le taux d’accidents du travail –, ce système pose question car il s’étend en France.
  • C’est vrai que je travaille plus vite depuis que j’ai le casque et que je suis plus concentré. Mais j’ai moins de contact avec les collègues et ça me demande beaucoup d’énergie. Après sept heures de boulot, je suis beaucoup plus crevé qu’avant. 
  • Outre un rythme de travail accru ne permettant aucune relâche, ainsi qu’une diminution de l’attention portée sur son environnement, ce sont les risques psychosociaux qui interpellent : « une dépendance à la machine  : développement d’un sentiment de déshumanisation du travail (voix synthétique), diminution de la conscience de l’effort (fatigue, risque de troubles musculo-squelettiques (TMS)), suppression de l’autonomie dans l’organisation du travail malgré la possibilité d’arrêter le système à tout moment [...] ; une modification des relations du travail  : la limitation des communications entre collègues et avec la hiérarchie, et la réduction du nombre de passages au bureau préparateur participent à la diminution du lien social et collectif de travail ; une diminution des aptitudes attendues  : l’appauvrissement des tâches, l’absence de visibilité globale de la commande pour construire une palette et la disparition de l’autocontrôle rendent le métier moins attrayant. »
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    Cette technologie, c'est celle du « voice picking ». « Voice » renvoyant à la voix, « picking » exprimant le déplacement, d'une zone de stockage à l'autre, du préparateur de commandes.  En plus de libérer les mains de l'opérateur, cette technologie a deux avantages importants : elle permet d'abord d'augmenter la productivité des travailleurs : ceci évite à l'employeur d'avoir à engager du personnel supplémentaire à des périodes où le nombre de commandes explose. Comme à Noël ; ce système supprime les "ruptures de charge" : ces moments où l'employé cesse de travailler pour regarder un code-barres, une étiquette ou son scanner. »
Aurialie Jublin

affordance.info: Du droit à l'oubli au capitalisme de la surveillance. - 0 views

  • Nous avons donc, d'un côté, les actuels GAFAM qui, pour mieux asseoir leur contrôle sur notre activité de consommation, opèrent une redistribution des règles de la privacy à leur seule convenance, avec le risque déjà palpable de la mise en oeuvre d'une société du contrôle Orwellienne, et fondent ce nouveau capitalisme de la surveillance. D'un autre côté, le High-Frequency Trading est le modèle déjà constitué et opératoire de régulation des marchés grâce à une analyse temps-réel dont sont seuls capables les algorithmes dédiés et la puissance de calcul associée, risquant à tout moment de nous plonger dans une nouvelle crise spéculative. En parallèle, est en train d'émerger, dans le sillage d'Airbn'B et d'Uber notamment, un nouveau modèle de salariat algorithmique, dont l'enjeu est de proposer un nouveau cadre de régulation de ce qui restera du travail ou des activités humaines non-automatisables, modèle qui en externalisant presque totalement les charges incombant jusqu'ici à l'employeur et en précarisant les travailleurs, renforce le risque d'une fin du modèle social compensatoire que nous connaissions jusqu'ici (et dans lequel les employeurs payaient des charges qui elles-mêmes permettaient de financer des politiques publiques, dans lequel un modèle de protection sociale était fondé sur l'impôt, etc ...).
  • Ceux qui supportent ces changements, c'est à dire ... nous, ont vaguement fait le deuil du rêve d'intelligence collective (trop rarement réactivé par exemple lors des négociations collectives autour de la privacy) qui avait présidé à l'émergence d'internet et se sont constitués en une nouvelle classe, un "cognitariat" jusqu'ici presque uniforme mais qui commence, du fait de la pression du salariat algorithmique et de la portion congrue des activités échappant encore au seul traitement calculatoire, un cognitariat disais-je, qui commence à voir émerger un sous-cognitariat. C'est ce cognitariat qui supporte des bouleversements dont l'enjeu d'est rien d'autre que la régulation des comportements sociaux (la régulation des comportements socio-culturels étant déjà opératoire au travers de la théorie de la bulle de filtre d'Eli Pariser notamment), régulation qui se fait notamment au travers de l'analyse prédictive permise par le traitement des "Big Data", et qui comporte également de nombreux risques liés à une essentialisation de l'humain ainsi qu'à une "biologisation" déjà à l'oeuvre au travers de l'essor de la génomique personnelle et de l'internet du génome.
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    "Fin du travail, plein d'amis mais sans famille, apatrides du numérique. Le "Digital Labor" sera à n'en pas douter la problématique politique et économique des 50 prochaines années. Il amènera des changements et des disruptions profondes dont nous peinons encore aujourd'hui à mesurer l'ampleur. Ces bouleversements se structureront autour de 3 grands axes en revanche déjà identifiables : celui de ce capitalisme de la surveillance et du rôle des GAFAM celui du salariat algorithmique cette fois préempté par le modèle d'une partie des NATU (AirB'B et Uber donc) et celui, enfin, d'une nouvelle classe 'trans-' ou 'hyper-'sociale, le cognitariat, et sa version sombre, le lumpen-cognitariat dont je vous parlais dans mon billet sur "les coolies de la pop économie"."
Aurialie Jublin

Vers de nouvelles propositions de valeur - Nicolas Colin - 0 views

  • La seule manière pour les entreprises de survivre dans cette économie est de détourner leurs utilisateurs d’une vulgaire comparaison des prix. Rappelons-le : dans l’économie numérique, il y a toujours mieux et moins cher ailleurs. C’est pourquoi les entreprises dont la proposition de valeur est purement transactionnelle finissent par disparaître, écrasées par la rudesse de la concurrence sur les prix. Mais si vous créez une expérience qui dépasse le transactionnel et s’étend à l’inspiration, à la recommandation, au service, à la valorisation, à l’interaction, alors vous avez une chance que vos clients ne regardent plus seulement le prix mais se posent une question beaucoup plus subtile : avec quelle entreprise suis-je le plus à l’aise? Quelle est celle qui m’offre un haut niveau de qualité ? C’est le défi relevé par Amazon. Il lui a permis de se distinguer de tous les autres « e-commerçants ». Tandis qu’ils se font concurrence uniquement sur le prix, Amazon a développé pour ses clients une extraordinaire expérience d’inspiration, d’achat et de service dont le prix n’est plus qu’un paramètre.
  • L’économie numérique créera des emplois, majoritairement non qualifiés d’ailleurs, dès lors que nos institutions seront mises à niveau. Pour créer des emplois dans l’économie numérique, il nous manque trois choses : un financement de l’économie adapté, ménageant plus de place au capital-risque ; des réglementations sectorielles en phase avec le nouveau régime de création de valeur ; enfin, une protection sociale qui couvre les risques qui deviendront les plus critiques dans l’économie numérique. La difficulté à se loger et l’intermittence – c’est-à-dire le fait que nous changerons de plus en plus d’employeur et que nos parcours professionnels seront caractérisés par la discontinuité – constituent les risques les plus aigus dans l’économie numérique de demain.
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    "Les modèles d'affaire qui émergent aujourd'hui offrent l'image d'une hyperconcurrence. Dans l'économie numérique, il y a toujours mieux et moins cher ailleurs, et cette dynamique déborde aujourd'hui les frontières du Net. Comment une entreprise peut-elle survivre dans cette jungle, comment peut-elle se distinguer? De nouvelles logiques émergent, de nouvelles propositions de valeur qui pourraient devenir la clé du monde économique de demain."
Aurialie Jublin

Entreprises: la bulle de l'externalisation au bord de l'éclatement | Slate - 0 views

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    "Findus avec la viande de cheval, Boeing avec les batteries de son dernier avion, comme auparavant Total avec l'Erika, Apple en Asie et bien d'autres: les problèmes liés à une sous-traitance excessive et mal maîtrisée sont omniprésents." Ainsi Alcatel, qui rêvait de devenir un groupe sans usine et a vendu un grande partie de ses unités de production, a finalement lâché prise sur le marché des télécommunications. Findus, qui s'est progressivement tourné vers des sous-traitants pour fabriquer ses plats préparés, est dans la même problématique. Lorsque l'externalisation touche des pans d'activité stratégiques, la perte de compétences devient un risque réel.
dkaplan

BYOD : l'Anssi s'enferme dans l'autisme | LeMagIT - 1 views

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    L'agence nationale de la sécurité des systèmes d'information fustige le risque qu'introduisent les terminaux "privés-professionnels". Et MagIT ironise...
abrugiere

Innover, c'est désobéir - 4 views

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    culture qui encourage tout le monde à innover et à prendre des risques intelligents ». D'où l'idée que « l'innovation est l'affaire de tous » et pas simplement des labos ou des directions de l'innovation ». Pour les auteurs, « les dirigeants de haut niveau [...] doivent mener la lutte pour l'innovation en comprenant comment elle fonctionne en améliorant leurs propres capacités à découvrir et en affutant leur habilité à encourager les innovations des autres. » C'est pour ça que les entreprises dans lesquelles la hiérarchie est sacro-sainte ont tant de mal à innover. Ce qu'un étudiant assistant à une de mes conférences à parfaitement compris dans ce résumé lapidaire : « Mais dans le fond, innover, n'est-ce pas désobéir » ?
abrugiere

Stress numérique : quelles limites pour le travail ? | inriality - 1 views

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    Alors que l'inquiétude monte dans les TPE, les employés des grandes entreprises françaises se sentent mieux au travail, selon l'étude annuelle de l'Observatoire de la vie au travail*. Dans les grandes entreprises, la mobilisation contre les Risques Psycho Sociaux semble avoir payé, en particulier les accords passés au niveau national sur le stress. Quant au stress lié aux nouvelles technologies - ou « stress numérique » - il n'a rien d'inéluctable comme l'explique Patrick Légeron
abrugiere

Génération Y... Les empêcheurs de travailler en rond - 1 views

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    Le moins de 30 ans ne "cherche pas un emploi mais une "séquence d'aventure de vie", "C'est la génération 'si c'est ça la vie, alors je mange le dessert d'abord', explique-t-elle encore. Les fameux enfants rois de Françoise Dolto. On a voulu qu'ils soient épanouis. On leur a donné plus d'amour que d'éducation et de règles. Mais ce sont aussi les enfants du divorce, de grands sensibles. Ils ont eu l'habitude d'être écoutés, cajolés. Leur éducation leur a donné une bonne image d'eux-mêmes." "Avant, on inculquait aux enfants l'idée d'avoir une bonne situation professionnelle, maintenant, on leur dit d'être heureux, résume Francis Boyer "Ce qui ne fonctionne pas, c'est l'injonction, la consigne" C'est aussi la brutalité du marché de l'emploi qu'invoque le philosophe Michel Serres dans Petite Poucette (éditions Le Pommier), son dernier livre, pour expliquer le détachement de cette génération vis-à-vis de l'entreprise : "Petite Poucette cherche du travail. Et quand elle en trouve, elle continue d'en chercher, tant elle sait qu'elle peut, du jour au lendemain, perdre celui qu'elle vient de dénicher." Mais sont-ils vraiment si différents ? Pas sûr...  "La jeunesse subversive mais créative et aimant le risque, ça a toujours existé. Le stéréotype de l'étudiant agité, en phase avec l'air du temps mais dangereux, inspire les mêmes sentiments depuis un siècle", assure le chercheur Jean Pralong.
Aurialie Jublin

Big data and hiring: Dehumanising human resources | The Economist - 0 views

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    Résumé par Planète plus intelligente sur Le Monde Les Big Data sont partout, même dans le recrutement. Dans une interview vidéo visible sur le site de The Economist, le journaliste spécialiste des données Kenneth Cukier explique que l'analyse des Big Data commence à être utilisée dans les très grosses entreprises, comptant des milliers d'employés et un gros turn over, comme le secteur des fast food ou de la distribution. Les résultats sont étonnants, les Big Data ont permis de découvrir que les employés qui ont installé un navigateur Chrome ou Firefox sont généralement meilleurs que les utilisateurs d'Internet Explorer, livré avec l'ordinateur. Dans le secteur des centres d'appel, le fait d'avoir un casier judiciaire n'est pas un handicap, mais plutôt un avantage : les personnes sont statistiquement plus eficaces. Le journaliste précise que le risque serait de laisser l'algorithme décider, mais note un bénéfice : les Big Data permettent de nous défaire de nos préjugés. 
marinealbarede

Le blues du fonctionnaire 2.0 - Acteurs publics - Informations et analyses sur les politiques publiques et la fonction publique - 0 views

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    L'usage des technologies de l'information a transformé de fond en comble le fonctionnement des administrations. Au risque de conduire à une détérioration des conditions de travail des fonctionnaires. C'est l'un des enseignements de deux notes très complètes du Centre d'analyse stratégique sur l'administration numérique.
marinealbarede

Les gains du télétravail sont d'ordre financier, mais aussi culturel et managérial | Zevillage : Télétravail, coworking et nouvelles formes de travail - 0 views

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    Le 5 décembre se tenaient les Entretiens Territoriaux de Strasbourg. 1500 responsables de collectivités étaient réunis autour du thème « éco-défis et cyber-enjeux », et ont montré beaucoup d'intérêt pour la conférence dédiée au télétravail. Ce fut l'occasion pour les intervenants de souligner les avantages et les risques de cette nouvelle forme de travail, mais aussi son impact sur le rôle des managers.
Aurialie Jublin

Le numérique en entreprise : les DRH out ? - Metis - 1 views

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    "Co auteur d'un rapport relatif à l'impact des TIC sur les conditions de travail publié conjointement par la Direction Générale du Travail et le Centre d'Analyse Stratégique (1), Daniel Ratier répond aux questions de Metis sur les principaux risques mais aussi les nombreuses opportunités du numérique pour le travail en entreprise."
julien camacho

Le numérique en entreprise : les DRH out ? - France Conditions de travail, amélioration des conditions de travail, santé, conditions de travail travail emploi europe - 1 views

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    Co auteur d'un rapport relatif à l'impact des TIC sur les conditions de travail publié conjointement par la Direction Générale du Travail et le Centre d'Analyse Stratégique (1), Daniel Ratier répond aux questions de Metis sur les principaux risques mais aussi les nombreuses opportunités du numérique pour le travail en entreprise.
Aurialie Jublin

L'encadrement en première ligne sur les conditions de travail - 0 views

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    L'Agence nationale pour l'améliorartion des conditions de travail (Anact) vient de présenter les résultats du sondage sur la place accordée à l'expression des salariés sur le travail et les conditions de travail dans l'entreprise. Les conditions de travail (environnement de l'activité, allongement de la vie au travail, santé au travail, risques psychosociaux, troubles musculo-squelettiques, organisations du travail…), on en parle de plus en plus. Entre collègues (notamment dans les petites entreprises), avec le manager de proximité mais également en dehors de la sphère professionnelle (famille, amis). Cependant, ''cette fréquence de discussion n'implique pas de mauvaises conditions de travail dans l'entreprise'' remarque l'Anact : 86% des sondés indiquent qu'elles sont bonnes ! Surprise : les mauvaises conditions perçues sont plus fréquentes dans les très grandes entreprises. Sans surprise, ce sont les plus de 50 ans qui relèvent les dégradations.
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