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Aurialie Jublin

Numérique et transformation des métiers publics… quelles perspectives ? | Modernisation - 0 views

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    "L'étude prospective réinterroge les métiers publics à l'aune du numérique et dégage plusieurs maîtres-mots dont pourrait se saisir chaque administration soucieuse d'avancer sur ce sujet : oser réinterroger les métiers à l'aune du numérique ; cartographier les métiers et les compétences ; développer les outils de GPEC et d'accompagnement RH ; dessiner et prioriser ses trajectoires numériques en lien avec les métiers ; partager ses expériences de transformation numérique et se nourrir de celles des autres. Telles semblent être les principales conditions pour que la transformation numérique soit à la hauteur des formidables promesses qu'elle dessine pour réinventer les métiers des agents publics, au service du cœur de leurs missions."
Aurialie Jublin

Métiers disparus, Métiers pas encore apparus - Information - France Culture - 0 views

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    "Et même, merveille de ces rapprochements, deux métiers - l'un disparu, l'autre pas encore inventé - se font échos d'une recension à l'autre. Au dix-neuvième siècle, il y avait un métier - c'était une plutôt une pratique délictueuse - consistant à déterrer des cadavres pour les revendre à des universités qui les disséquait, les pilleurs de tombes. Demain, il y aura un nouveau métier, le conseiller en funérailles numériques, celui qui vous aidera à choisir comment vous mourrez dans les réseaux : déciderez-vous qu'une page mémorial soit ouverte sur Facebook ? Voudrez-vous être enterré dans un cimetière numérique ? Ou au contraire voudrez-vous que toutes vos informations personnelles soient supprimées des réseaux pour ne pas risquer d'être la victime des nouveaux pilleurs de cadavres numériques qui séviront sur Internet?"
Aurialie Jublin

Recrutement : ces métiers qui montent, qui montent… Atelier de l'emploi - 0 views

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    Quels métiers recrutent de plus en plus... et recruteront de plus en plus ? Aux États-Unis, où le taux de chômage a retrouvé son niveau de fin 2008 et où 2 millions d'emplois ont été créés en 2013, les statistiques du Bureau of Labor Statistics sont formelles : les métiers de demain se situent dans les services d'aide à la personne, les métiers du social et de la santé.
Aurialie Jublin

Un dico collaboratif pour inventer les métiers de demain @ Les Propulseurs - 1 views

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    "Depuis toujours, le progrès et les nouvelles technologies entraînent tant la disparition de certains métiers que la création de créneaux porteurs d'emploi. Internet et la numérisation de toutes les activités accélèrent et amplifient le phénomène de manière exponentielle. Avec l'explosion des réseaux sociaux, de la mobilité, de la 3D, de la robotique ou encore des nanotechnologies, la réalité des métiers de demain va demain dépasser les fictions les plus audacieuses."
Aurialie Jublin

Ces métiers qui n'existaient pas il y a dix ans | www.lesfrontaliers.lu - 2 views

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    Le marché du travail évolue et les métiers également. Il n'y a pas si longtemps que cela, certains postes, aujourd'hui populaires, n'existaient même pas ! Ce sont notamment les domaines de l'informatique et du sport qui sont concernés par ces changements qui suivent les grandes tendances. Le site Référence.be a ainsi repris le classement réalisé par Linkedin qui a étudié le profil de 259 millions d'inscrits pour établir un classement des dix métiers qui n'existaient quasiment pas il y a dix ans.
Aurialie Jublin

Votre travail est-il « scalable » ? - Christian Fauré - 0 views

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    "Scalable" est un terme décidément étrange et plus que jamais d'actualité à l'heure du numérique en réseau. « Scalable » signifie "qui peut passer à de très grandes échelles" mais aussi "qui peut bénéficier d'un effet de levier important". L'eldorado : un effort minimal pour un bénéfice maximal, et pas de limites structurelles sur de très grandes échelles. Plus on gagne : plus on gagne encore plus. Ex : romancier, métier du design et de la conception, cinéma, ... Travail non "scalable" : docteur, ouvrier, enseignant, boulanger, ... métiers ont besoin de la présence de la personne.
Aurialie Jublin

Anticipe ou crève ? Ces métiers de demain auxquels on ne peut pas se préparer - 1 views

  • dans le top 10 des profils professionnels qui s’arrachaient en 2010, aucun n’existait en 2004 ! Expert du développement durable, développeur d’applications mobiles, technicien dans le cloud computing, data miner ou community manager : tous ces emplois, dont l’apparition se fait d’ailleurs plus rapidement que leur traduction en français, n’existaient pas en 2010.
  • parmi les métiers en émergence révélés par l’Association pour l’emploi des cadres (l’Apec), on pouvait relever trois figures de proue du travail de demain : les profils de protecteur (gestion du risque), d’optimisateur (gestion de la performance) et de story-teller (gestion du sens). L’exercice est sérieux : il sert l’anticipation des besoins en compétences des entreprises, pour une meilleure adéquation avec les profils sur le marché du travail, et en amont avec les offres de formation.
  • le futur est dans les soft skills, ces “compétences douces” – pensée critique, résolution de problèmes, créativité, savoir-être, etc. – qui assurent l’adaptation de l’individu à des postes potentiellement très différents, et sont donc les moteurs de l’employabilité.
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    Deux tiers des écoliers de maternelle occuperont des emplois qui n'existent pas encore aujourd'hui. S'orienter vers la bonne formation et savoir quel métier on va exercer : pari impossible ? L'économie se transforme si vite que les exercices d'anticipation s'apparentent souvent à de la divination, comment se préparer au travail de demain ? Infographie
Aurialie Jublin

Insee - Les salariés à temps complet travaillent 1 650 heures dans l'année - 0 views

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    "En 2003 et 2004, la durée annuelle du travail des salariés à temps complet, hors enseignants, s'établit, en moyenne, à 1 650 heures. Cela correspond à 35 heures et 52 minutes de travail par semaine pour un salarié qui bénéficie de cinq semaines de congés et de cinq jours fériés non travaillés dans l'année. La durée du travail est la plus élevée dans les secteurs où le service du client prévaut. Cette durée du travail diffère selon le sexe, la situation familiale, l'ancienneté dans l'entreprise du salarié mais aussi la taille et le statut de son entreprise. Selon les métiers, la durée du travail peut aller de 1 340 heures à 2 190 heures par an.Elle dépasse les 2 000 heures par an dans les métiers de service, de sécurité ou de santé."
Aurialie Jublin

L'invasion des «métiers à la con», une fatalité économique? | Slate - 0 views

  • David Graeber est bien conscient que personne n’a la légitimité pour décider quels boulots sont utiles et quels boulots sont «foireux». Il ne s’agit même pas d’une distinction entre travail productif et improductif, mais plutôt entre travail socialement utile et travail vidé de sens. D’ailleurs, comme il l’observe, un métier est d’autant moins payé qu’il est utile à la société.
  • Mais la division du travail est en général perçue par les anarchistes comme dénaturant l’individu en le cantonnant à une vie dans laquelle la technique a fait de lui un esclave, bien loin de le libérer. L’opposition entre tâches de conception et tâches d’exécution, la nostalgie vis-à-vis d’un monde où le travailleur n’était pas dépossédé du fruit de son travail ou la critique de la «techno-bureaucratie» sont en effet des thèmes forts de la pensée anarchiste, en lien avec son refus de la hiérarchie sociale
  • Graeber pense que l'explication de ce paradoxe des bullshit jobs n’est pas économique: elle est politique. C’est parce que «la classe dirigeante a réalisé qu’une population heureuse et productive avec du temps libre était un danger mortel» que le travail inutile continue à prospérer.
  • ...3 more annotations...
  • «Contrairement à une vision un peu critique de gauche qui dit que c’est de la faute du grand capital, en fait, il y a sans doute cette logique, mais nous sommes tous bureaucrates. Parce qu’au nom de la sécurité, du principe de précaution, de la facilité de la vie, on promeut cette extension de l’usage de la norme.»
  • Graeber est dans une mentalité qui rappelle celle de la génération Fight Club ou le choix de l’universitaire Matthew Crawford de quitter sa position de professeur pour… ouvrir un atelier de réparation mécanique. Mais le succès retentissant de son petit article, stimulant bien qu’un peu mal fichu, témoigne que derrière leurs écrans, les gens sont nombreux à prendre conscience des sacrifices qu'ils s'infligent en acceptant de telles routines professionnelles.
  • Mais le paradoxe ultime, c’est sans doute que seule une économie pleine de ces emplois jugés inutiles peut produire des textes comme celui de Graeber, des économistes pour le commenter, des journalistes pour le relayer et, plus encore… des gens pour le lire au bureau entre deux échanges d’emails avec le comité de pilotage.
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    "Alors que la technologie devait nous libérer du travail, l'économie contemporaine crée toujours plus de «métiers à la con» que ceux qui les exercent savent parfaitement inutiles, déplore l'anthropologue David Graeber. Ou pourquoi la semaine de 20 heures est encore loin."
hubert guillaud

Nos chefs sont nuls - Slate.fr - 1 views

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    En France, comme dans les autres pays méditerranéens, la majorité des managers envisagent la direction de manière coercitive, c'est-à-dire dans le but d'obtenir un acquiescement immédiat des salariés. Alors que dans les pays d'Europe du Nord, le chef est là pour faire émerger la décision collectivement. Pourquoi en sommes-nous là ? Les écoles de management ne forment pas à l'humain, mais aussi parce que les managers ne sont pas choisis pour leurs qualités humaines mais pour leurs compétences métiers. L'évolution du management avec le développement du reporting (les indicateurs de résultats) remet en cause les métiers, mais pas l'autocratie.
Aurialie Jublin

Conseiller en robots ou thérapeute de fin de vie : quels seront les nouveaux métiers en 2030 ? - Le nouvel Observateur - 0 views

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    "c'est le site américain Mashable qui relaie les pronostics d'une agence canadienne. Elle a imaginé dix métiers qui existeront en 2030 : le nostalgiste : un décorateur intérieur spécialisé dans les objets vintage ; le télé-chirugien : un chirurgien qui opère ses patients à l'aide de robots et des nouvelles technologies ; le « rewilder » qui se chargera de remettre de la nature dans nos villes ; le designer de poubelle qui créera des objets d'intérieur à partir de déchets ; l'expert en simplicité qui conseillera les web-entrepreneurs ; le « navigateur de santé » qui aidera à se repérer dans le système de santé ; le thérapeute de fin de vie ; le développeur du quotidien qui créera des jeux vidéo utiles au quotidien ; le conseiller en robots ; le super DJ qui mixera aussi à partir de vidéos."
Aurialie Jublin

Bienvenue dans l'ère du salarié caméléon - Mode(s) d'emploi - 0 views

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    "Jusqu'à maintenant, les entreprises cherchaient des moutons à 5 pattes. Dans un avenir proche, le salarié idéal ressemblera plutôt à un caméléon. C'est ce que prédit une étude du cabinet EY et de LinkedIn sur la révolution des métiers qui est déjà en marche." - Les soft skills comptent de plus en plus - Les entreprises cherchent des recrues adaptables - Emergence de nouveaux métiers - Une révolution du travail dans le temps et l'espace
Aurialie Jublin

Emploi:Viadeo lance une nouvelle fonctionnalité - 2 views

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    "Viadeo, premier réseau social professionnel de France avec 8 millions de membres, lance une nouvelle fonctionnalité pour réunir autour d'un même métier recruteurs et salariés, afin d'aider ces derniers à mieux anticiper l'évolution de leur carrière. Lancée vendredi sur le site, après plusieurs jours en version bêta, la fonctionnalité "Face à Face" propose quelque 500 groupes de discussion autour d'un métier - d'artiste-plasticien à chef de projet informatique, en passant par directeur juridique ou kinésithérapeute."
Chamila Puylaurent

Le coworking testé grandeur nature - 1 views

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    "Prenez un panel de salariés, proposez-leur de travailler dans des espaces partagés proches de chez eux mais loin de leur entreprise, agitez le tout et observez. Depuis mai 2014, le Centre Michel Serres, un centre d'études et d'innovation qui rassemble des chercheurs de l'Ecole des hautes études en sciences sociales, de la Sorbonne ou encore des Arts et Métiers, mène avec le cabinet de conseil LBMG Worklabs une expérimentation sur le ressenti des usagers de ces nouveaux lieux où se côtoient des professionnels de différents Métiers et statuts."
Aurialie Jublin

En politique comme dans les entreprises, "les médiocres ont pris le pouvoir" - Idées - Télérama.fr - 0 views

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    "La médiocratie vient d'abord de la division et de l'industrialisation du travail qui ont transformé les métiers en emplois. Marx l'a décrit dès 1849. En réduisant le travail à une force puis à un coût, le capitalisme l'a dévitalisé, le taylorisme en a poussé la standardisation jusqu'à ses dernières logiques. Les métiers se sont ainsi progressivement perdus, le travail est devenu une prestation moyenne désincarnée. Aux yeux d'un grand nombre de salariés, qui passent de manière indifférente d'un travail à un autre, celui-ci se réduit à un moyen de subsistance. Prestation moyenne, résultat moyen, l'objectif est de rendre les gens interchangeables au sein de grands ensembles de production qui échappent à la conscience d'à peu près tout le monde, à l'exception de ceux qui en sont les architectes et les bénéficiaires."
Aurialie Jublin

Infographie - Ces métiers de demain auxquels on ne peut pas se préparer - 2 views

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    Les métiers qui n'existaient pas il y a 10 ans et ceux qui apparaitront en 2030 et les compétences qu'il faudra (esprit critique, résolution de pb, créativité, esprit d'entrepreneur, "digital literacy")
hubert guillaud

Comment la technologie détruit la classe moyenne - NYTimes.com - 0 views

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    Sommes-nous en danger de perdre la "course contre la machine", comme l'affirment Erik Brynjolfsson et Andrew McAfee dans leur livre ? Les machines intelligentes nous menacent-elles de la misère à long terme, comme le prophétisent les économistes Jeffrey D. Sachs et Laurence J. Kotlikoff ? Avons-nous atteint la fin du travail, comme le déplore Noah Smith dans The Atlantic ? Les économistes ont pourtant toujours rejeté l'hypothèse selon laquelle l'augmentation de la productivité du travail réduit inévitablement l'emploi, notamment car celui-ci se déplace. Les ordinateurs et les robots ne sauront pas demain faire toutes les tâches à moindre coût. S'ils excellent dans les tâches de routines, ces tâches ne sont pas le fait de tous les emplois. Les robots et les machines ont du mal à remplacé ceux qui accomplissent des tâches abstraites (qui nécessitent la résolution de problèmes) et les tâches manuelles qui exigent de pouvoir s'adapter à une situation ou de l'interaction avec des humains. "L'informatisation a donc favorisé la polarisation de l'emploi, au profit d'emplois très bien payés et très mal payés, tandis que les emplois dans le milieu ont diminué." "Donc, l'informatisation ne réduit pas la quantité des emplois, mais plutôt dégrade la qualité des emplois pour un sous-ensemble important de travailleurs" Ce changement de la structure de l'emploi explique en partie la hausse des inégalités de revenus. Pour répondre à ce défi, l'avenir est assurément à une meilleure éducation et notamment avec la croissance de la demande en emplois semi-spécialisés, combinant tâches de routines et tâches abstraites, comme le font les "nouveaux artisans", métiers de la réparation ou certains types de services à la personne.
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    Sommes-nous en danger de perdre la "course contre la machine", comme l'affirment Erik Brynjolfsson et Andrew McAfee dans leur livre ? Les machines intelligentes nous menacent-elles de la misère à long terme, comme le prophétisent les économistes Jeffrey D. Sachs et Laurence J. Kotlikoff ? Avons-nous atteint la fin du travail, comme le déplore Noah Smith dans The Atlantic ? Les économistes ont pourtant toujours rejeté l'hypothèse selon laquelle l'augmentation de la productivité du travail réduit inévitablement l'emploi, notamment car celui-ci se déplace. Les ordinateurs et les robots ne sauront pas demain faire toutes les tâches à moindre coût. S'ils excellent dans les tâches de routines, ces tâches ne sont pas le fait de tous les emplois. Les robots et les machines ont du mal à remplacé ceux qui accomplissent des tâches abstraites (qui nécessitent la résolution de problèmes) et les tâches manuelles qui exigent de pouvoir s'adapter à une situation ou de l'interaction avec des humains. "L'informatisation a donc favorisé la polarisation de l'emploi, au profit d'emplois très bien payés et très mal payés, tandis que les emplois dans le milieu ont diminué." "Donc, l'informatisation ne réduit pas la quantité des emplois, mais plutôt dégrade la qualité des emplois pour un sous-ensemble important de travailleurs" Ce changement de la structure de l'emploi explique en partie la hausse des inégalités de revenus. Pour répondre à ce défi, l'avenir est assurément à une meilleure éducation et notamment avec la croissance de la demande en emplois semi-spécialisés, combinant tâches de routines et tâches abstraites, comme le font les "nouveaux artisans", métiers de la réparation ou certains types de services à la personne.
abrugiere

Un exemple d'entreprise libérée : Sogilis | Contrepoints - 1 views

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    "Sogilis a transféré presque toutes les décisions aux cellules (ils parlent de « management cellulaire »), y compris le recrutement et la sélection des projets qu'elles accepteront ou refuseront. Les objectifs assignés à ces employés sont d'entretenir leur passion pour le métier, de rester à la pointe techniquement, d'enthousiasmer le client (s'il n'est que satisfait, c'est un échec). La cellule exerce la responsabilité de réaliser un chiffre d'affaire mensuel couvrant au moins les salaires de l'équipe et sa contribution aux frais de structure2. Malgré le succès et l'affluence des commandes, ils ont décidé de conserver une pente de croissance douce, « pour rester eux-mêmes ». Il leur faudrait d'abord comprendre en profondeur ce que cette expression signifie, afin de savoir précisément quoi défendre à tout prix à l'avenir."
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    Sogilis a transféré presque toutes les décisions aux cellules (ils parlent de « management cellulaire »), y compris le recrutement et la sélection des projets qu'elles accepteront ou refuseront. Les objectifs assignés à ces employés sont d'entretenir leur passion pour le métier, de rester à la pointe techniquement, d'enthousiasmer le client (s'il n'est que satisfait, c'est un échec). La cellule exerce la responsabilité de réaliser un chiffre d'affaire mensuel couvrant au moins les salaires de l'équipe et sa contribution aux frais de structure
Aurialie Jublin

affordance.info: Même pas peur : le salaire de l'Uber. - 0 views

  • Au-delà des avancées technologiques qui permettront l'automatisation d'un certain nombre de tâches, d'emplois ou de métiers, les critères d'une "uberisation" sont clairement posés dans cette interview d'Olivier Ezratty. En 1ère ligne des "uberisables" on trouve : "ceux qui génèrent de l'insatisfaction client" (des médecins aux plombiers pour - par exemple - raccourcir les délais d'attente et favoriser la mise en contact directe) "ceux susceptibles d'être désintermédiés par des plateformes d'évaluation", c'est à dire ceux qui nécessitent une forte évaluation client distribuée en pair à pair (ici les plateformes sont déjà en place pour l'hôtellerie et la restauration par exemple, mais pourraient s'étendre à d'autres "métiers) "ceux qui sont dans une situation de quasi-monopole" (les taxis donc, mais aussi, dans un tout autre registre ... l'éducation) "les métiers de service dans l'aide à la personne" (de la livraison à domicile en passant par la recherche de nounous ou de cours particuliers)
  • A l'aube du 21ème siècle, c'est la même question qu'il faut poser une fois acté le remplacement d'un certain nombre de tâches et de fonctions par des automates / algorithmes / robots, etc. Ces nouvelles formes de "travail journalier à la tâche", ce "salariat algorithmique" sera-t-il un privilège ou un droit ?  S'il doit devenir un privilège (c'est pour l'instant ce vers quoi nous nous dirigeons), alors il ne permettra qu'à quelques-uns d'accentuer leurs rentes en déployant une idéologie libérale devant laquelle notre actuel capitalisme dérégulé fera office de gentillet kolkhoze ; le modèle du Mechanical Turk d'Amazon deviendra la norme, on cotisera tous à la sécurité sociale de Google, nos points retraites seront chez Amazon, notre banque s'appellera Apple et Facebook fera office de mairie et d'état-civil. Fucking Brave New World. Pour qu'il puisse exister comme un droit, alors, plutôt que de lâcher 200 képis à la poursuite de pauvres auto-entrepreneurs ou d'interdire une application, c'est aujourd'hui que notre classe politique doit lire du Michel Bauwens (cf supra), c'est son rôle de faire en sorte que LE Droit puise offrir à chaque citoyen la possibilité de réinstaller au coeur d'un système outrancièrement individualiste l'horizon d'une représentation et d'une négociation collective possible. C'est aujourd'hui également que la question de savoir ce qui relève du bien commun inaliénable, dans nos usages sociaux comme dans nos ressources naturelles, doit être posée.  Bref, Candide avait raison : il nous faut cultiver notre jardin. Mais le cultiver en commun. Le cultiver comme un bien commun. Sinon on va tous se faire uberiser. A sec.
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    "Du côté de l'uberisation du monde et de nos amis les taxis, les derniers jours ont été riches d'enseignements et ont accessoirement permis à ma navritude (c'est un peu comme la bravitude) d'atteindre des niveaux jusqu'ici inégalés devant tant d'incurie politique."
abrugiere

RSLN | Data-diététicien, voisinetteur... et 18 autres métiers pour demain - 0 views

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    les consultants de l'agence américaine Sparks & Honey expliquent que désormais, notre vie professionnelle sera constituée d'un portfolio de micro-carrières. Parmi les métiers de demain : VoisiNeteur : un travailleur social utilisant le Net pour créer des liens entre voisins Le curateur numérique personnel : un diététicien de l'info pour vous sauver de l'infobésité Le ludosseur : un professeur utilisant des dispositifs ludiques pour l'acquisition des savoirs Le Skype coach, pour augmenter vos capacités en toute discrétion Légisboteur (spécialiste du droit des robots) au Funébriste (réalisateur d'enterrements virtuels) en passant par le Nomophobcteur (praticien spécialisé dans le traitement de la nomophobie, la peur d'être séparé de son téléphone mobile),
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