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hubert guillaud

Google : comment les gens travaillent - Quartz - 3 views

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    Si beaucoup a été dit sur l'organisation du travail chez Google, le grand changement récent repose sur l'utilisation de données pour la politique d'embauche et le management. S'inspirant de l'étude longitudinale Framingham Heart - http://www.framinghamheartstudy.org , qui depuis 1948 suit quelques 5000 Américains pour comprendre sur le long terme leur santé et leur bonheur - Google a lancé le gDNA, une étude sur deux ans pour comprendre comment les gens travaillent, estime Laszlo Bock, le responsable des ressources humaines de Google : http://blogs.hbr.org/2014/03/Googles-scientific-approach-to-work-life-balance-and-much-more/ En se basant sur une enquête concernant quelques 4000 employés qui vient compléter le dispositif de management piloté par les Big Data de l'entreprise : à savoir le projet d'analyse des recrutements - http://qz.com/180247/why-Google-doesnt-care-about-hiring-top-college-graduates/ - et le projet Oxygen : http://www.theatlantic.com/business/archive/2013/10/how-Google-uses-data-to-build-a-better-worker/280347/ L'étude de Google a permis d'identifier 2 approches concurrentes pour équilibrer sa vie personnelle et sa vie professionnelle. Il y a les "Segmentors", ceux qui tracent une ligne stricte entre les deux. 31% des employés de Google seraient de ce type. Et les "Integrators", ceux qui confondent les deux... 69% des employés de Google seraient dans ce cas et la moitié d'entre eux voudraient être "Segmentors". Pour résoudre cela, Google envisage de lancer un programme empêchant ses employés d'emmener leurs appareils chez eux...
Aurialie Jublin

Google Entreprise devient Google for Work - 0 views

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    "L'offre va donc désormais s'appeler Google for Work. "Nous n'avons jamais cherché à créer un environnement de travail "classique" : nous avons voulu réinventer une nouvelle façon de travailler. Il est donc maintenant grand temps d'opter pour un nom qui reflète nos ambitions. C'est pourquoi nos produits "Google Enterprise" s'appelleront désormais simplement "Google for Work". Lorsque nous utilisons les outils qui simplifient notre vie, comme la recherche, Google Apps, Google Maps, Chrome, Android ou encore Cloud Platform, notre travail aussi s'en trouve amélioré. Et ça, c'est une motivation extraordinaire pour se lever le matin !, indique Eric Schmidt, p-dg du géant."
Aurialie Jublin

In Head-Hunting, Big Data May Not Be Such a Big Deal - NYTimes.com - 0 views

  • Years ago, we did a study to determine whether anyone at Google is particularly good at hiring. We looked at tens of thousands of interviews, and everyone who had done the interviews and what they scored the candidate, and how that person ultimately performed in their job. We found zero relationship. It’s a complete random mess, except for one guy who was highly predictive because he only interviewed people for a very specialized area, where he happened to be the world’s leading expert.
  • On the hiring side, we found that brainteasers are a complete waste of time. How many golf balls can you fit into an airplane? How many gas stations in Manhattan? A complete waste of time. They don’t predict anything. They serve primarily to make the interviewer feel smart.
  • We found that, for leaders, it’s important that people know you are consistent and fair in how you think about making decisions and that there’s an element of predictability. If a leader is consistent, people on their teams experience tremendous freedom, because then they know that within certain parameters, they can do whatever they want. If your manager is all over the place, you’re never going to know what you can do, and you’re going to experience it as very restrictive.
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  • One of the applications of Big Data is giving people the facts, and getting them to understand that their own decision-making is not perfect. And that in itself causes them to change their behavior.
  • the manager treats me with respect, the manager gives me clear goals, the manager shares information, the manager treats the entire team fairly. These are fundamental things that turn out to be really important in making people feel excited and happy and wanting to go the extra mile for you.
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    Interview de Laszlo Bock, senior vice president of people operations à Google. Il revient sur l'utilisation de Big Data dans la gestion du personnel.
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    Résumé d'Hubert : Intéressante interview de Laszlo Bock responsable des ressources humaines de Google sur l'utilisation des Big Data par Google pour le recrutement. Google a regardé les entretiens passés avec ses cadres pour constater qu'il n'y avait pas de relation avec la façon dont ils ont finalement effectuer leur travail. Chez Google, la taille d'un groupe idéal est de 6 personnes et Google cherche à comprendre pourquoi les équipes fonctionnent et d'autres ne fonctionnent pas. Pour l'embauche, les casses-têtes auquel Google soumettait les candidats (combien de balles de golf peut-on faire entrer dans un avion ?) sont une perte de temps. Les entrevues comportementales où les gens parlent de leur expériences sont plus cohérentes, permettant de savoir comment il réagit en situation et ce qu'il considère comme une situation difficile. Pour les dirigeants, il est important qu'ils soient cohérents, cela donne de la liberté aux équipes. Chez Google, les managers sont évalués par leurs employés. L'information amène les gens à modifier leurs comportements, suggère Laszlo Bock et leur donner des faits issues de données les amène à les modifier. Le fait que le responsable traite les gens avec respect, qu'il donne des objectifs clairs, qu'il partage des informations de gestion et qu'il traite l'équipe de manière équitable sont fondamentales. Les résultats scolaires n'ont finalement pas grande importance, et le nombre de gens qui ne sont jamais allé à l'université augmente chez Google. Pour Laszlo Bock, cela s'explique parce que les milieux académiques sont des environnements artificiels où il faut apporter la réponse qu'on attend de vous. C'est beaucoup plus dur que de résoudre des problèmes là où il n'y a pas de réponse évidente. Les Big data ne suffisent pas, nous avons aussi besoin d'un élément de compréhension humain. Le succès dépend du contexte et ce qui fonctionne chez Google n'est peut-être pas la même chose que ce
Aurialie Jublin

Captcha ou l'art de faire travailler sans rémunérer - Information - France Culture - 0 views

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    "Mais le CAPTCHA pose la question du travail à un autre degré, plus étonnant encore. Quel dommage, se sont dit un jour les chercheurs de l'Université Carnegie-Mellon, quel dommage que tous les jours, des centaines de millions d'internautes transcrivent des signes déformés, et que cela ne serve à rien ? Et ils ont inventé un système qui s'appelle Re-CAPTCHA et qui consiste à utiliser ces millions de transcriptions effectuées par les internautes pour améliorer les logiciels de numérisation des livres. En effet, quand on numérise des livres, bien souvent, des caractères sont déformés (parce que la page est abîmée, froissée, parce que l'encre a coulé etc.) et les logiciels de reconnaissance de caractère peinent alors à déchiffrer et retranscrire. En utilisant la retranscription humaine, plus fine, plus souple, plus intuitive, on améliore les logiciels. Ce qu'a très vite compris…. Google. Et oui, encore Google. Google, qui avec son projet Google Books numérise les livres du monde entier par brassée, s'est empressé d'acheter le système Re-CAPTCHA à l'Université Carnegie-Mellon pour améliorer ses logiciels de reconnaissance textuel. Ce qui signifie une chose toute simple : quand vous transcrivez un CAPTCHA, il y a des chances pour que vous participiez à l'amélioration des logiciels de Google, il y a des chances, donc, que vous travailliez pour Google. "
Aurialie Jublin

How to Get a Job at Google - NYTimes.com - 1 views

  • “There are five hiring attributes we have across the company,” explained Bock. “If it’s a technical role, we assess your coding ability, and half the roles in the company are technical roles. For every job, though, the No. 1 thing we look for is general cognitive ability, and it’s not I.Q. It’s learning ability. It’s the ability to process on the fly. It’s the ability to pull together disparate bits of information. We assess that using structured behavioral interviews that we validate to make sure they’re predictive.”
  • The second, he added, “is leadership — in particular emergent leadership as opposed to traditional leadership.
  • What else? Humility and ownership. “It’s feeling the sense of responsibility, the sense of ownership, to step in,” he said, to try to solve any problem — and the humility to step back and embrace the better ideas of others. “Your end goal,” explained Bock, “is what can we do together to problem-solve.
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  • The least important attribute they look for is “expertise.” Said Bock: “If you take somebody who has high cognitive ability, is innately curious, willing to learn and has emergent leadership skills, and you hire them as an H.R. person or finance person, and they have no content knowledge, and you compare them with someone who’s been doing just one thing and is a world expert, the expert will go: ‘I’ve seen this 100 times before; here’s what you do.’ ” Most of the time the nonexpert will come up with the same answer, added Bock, “because most of the time it’s not that hard.”
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    Pas forcément besoin de diplôme "LAST June, in an interview with Adam Bryant of The Times, Laszlo Bock, the senior vice president of people operations for Google - i.e., the guy in charge of hiring for one of the world's most successful companies - noted that Google had determined that "G.P.A.'s are worthless as a criteria for hiring, and test scores are worthless. ... We found that they don't predict anything." He also noted that the "proportion of people without any college education at Google has increased over time" - now as high as 14 percent on some teams. At a time when many people are asking, "How's my kid gonna get a job?" I thought it would be useful to visit Google and hear how Bock would answer."
Aurialie Jublin

Comment Google surveillera ses salariés pendant 100 ans pour optimiser sa politique RH - 1 views

  • L’entreprise américaine communique en effet de manière récurrente sur son approche scientifique des RH, comme le rappelait récemment son VP People Operations, Laszlo Bock, qui a contribué à réintroduire une dose de “certitude scientifique dans la manière dont on construit de bons environnements de travail, dont on maintient une culture de la très haute performance auprès de ses équipes, dont on maximise la productivité ou on améliore le bien-être”.
  • Depuis déjà plusieurs années, Google a quant à lui développé la data analysis  et une logique de R&D sur tous les pans ou presque de sa politique RH, afin d’“apporter le même degré de rigueur dans les décisions humaines que dans l’ingénierie“ – avec deux limites clairement posées, confidentialité et transparence : mise en oeuvre de KPI pour développer le leadership (Projet Oxygène) ; utilisation de méthodes de recherche et développement pour optimiser productivité, bien-être au travail… ou santé, en arrivant par exemple à la conclusion que la réduction de la taille des assiettes, à la cantine, réduirait l’apport calorique moyen (le “People & Innovation Lab”, modèle d’innovation RH “data-drivée” en voie de se répandre) ; développement d’un algorithme mathématique et de modèles prédictifs pour anticiper les envies de départ des collaborateurs, augmenter la diversité dans sa politique de promotion ou calculer la probabilité d’un recrutement réussi (“Project Janus”) ; etc.
  • La première session de gDNA, qui, espère le DRH, sera reproduite tous les ans pendant un siècle, a permis de distinguer deux catégories de “Googlers” : les “segmenteurs” (31% des salariés) dressent une barrière psychologique entre le stress du travail et le reste de leur vie : ils semblent peu affectés par la porosité – accrue par la technologie – entre les deux mondes et font de la déconnexion un élément important de bien-être  ; les “intégrateurs” (69% des salariés) vivent quant à eux un plus grand continuum entre vie professionnelle et vie personnelle, qu’il s’agisse d’actualiser frénétiquement son application boîte mail sur son smartphone avant d’aller se coucher ou de réserver ses prochaines vacances entre deux réunions. Avec le bien-être à la clé ? gDNA nuance : la moitié de ces intégrateurs souhaiteraient davantage “segmenter”.
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  • “Les datas de gDNA nous permettent de moduler nos pratiques RH en anticipant les besoins des salariés“, explique Laszlo Bock : et si le DRH précise que c’est sur le long terme que la “People Science” pourra dessiner de grandes tendances et appréhender le futur du travail, elle permet dès aujourd’hui d’adapter sa politique aux besoins réels. En l’occurrence : le design d’environnements de travail facilitant la déconnexion, une initiative – aux effets, positifs, quantifiés – obligeant les salariés à éteindre leurs devices (ou apps) professionnels en passant par l’accueil avant de rentrer chez eux, mais aussi, au quotidien, un management adapté auprès des segmenteurs, les encourageant notamment à ignorer les e-mails en dehors des heures de travail.
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    "Google collecte les données des utilisateurs... mais aussi celles de ses salariés. L'une des clés du succès de la firme américaine, qui a dépassé début février Exxon au rang de deuxième capitalisation boursière du monde, serait précisément l'approche scientifique de sa gestion RH. Cas d'école, avec une étude centenaire pour anticiper le futur du travail et mettre le bien-être en datas."
Aurialie Jublin

Google: les secrets de son département des ressources humaines | Slate - 0 views

  • lorsqu’un employé meurt, Google verse à son conjoint ou partenaire la moitié de son salaire pendant dix ans. Il serait toutefois erroné de penser que Google distribue les bienfaits dans le seul but d’être sympa. POPS surveille attentivement des quantités de statistiques relatives à la façon dont les employés réagissent aux avantages octroyés: apparemment, l’entreprise ne jette pas l’argent par les fenêtres.
  • Depuis deux ou trois ans, Google a même embauché des chercheurs en sciences sociales pour étudier son organisation. Ces scientifiques –rattachés au groupe dit «PiLab» pour People & Innovation Lab– organisent des dizaines d’expériences sur les employés dans le but de connaître les meilleures réponses aux problématiques associées à la gestion d’une entreprise de grande taille.
  • Sa principale trouvaille, c’est que les managers intermédiaires servent à quelque chose, contredisant le postulat autrefois posé par les fondateurs de l’entreprise, Larry Page et Sergey Brin, selon lequel on peut faire tourner une entreprise où personne n’est le chef de personne.
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  • Mieux encore, en partant du résultat de leurs recherches, les analystes ont réussi à corriger les mauvais managers. En compulsant les retours obtenus au sein de leurs équipes par les bons managers, les chercheurs ont dégagé huit grands principes. Ils paraissent évidents et plutôt vague –«un manager qui obtient un score élevé est un bon coach», «un bon communicateur» évite de «micro-manager»– mais le système des grands principes a fonctionné. Lorsque POPS a diffusé ces vérités à travers l’organisation et isolé les managers les moins performants afin de les envoyer en formation, l’entreprise a constaté une amélioration de son management.
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    Comment l'entreprise américaine est devenue un endroit où il fait si bon travailler : amélioration du congés maternité pour que les femmes ne quittent plus l'entreprise (ce qui coute cher, car il faut remplacer la personne) + augmentation du bien être "En 2007, Bock décide donc de changer le système. Les nouvelles mères allaient obtenir cinq mois de congé maternité avec 100% de leur salaire, la prise en charge à 100% des cotisations retraite et maladie, et l'autorisation de répartir ces congés à la carte, afin par exemple d'en prendre une partie juste avant la date de l'accouchement. (...) De plus Google se mit à offrir les sept semaines de congé parental à tous ses salariés, partout dans le monde."
Aurialie Jublin

Voici comment Google note ses employés. Vous devriez faire pareil - JDN Management - 1 views

  • Selon Klau, Google effectue des ORC sur une base annuelle et trimestrielle. L'ORC annuel fixe en cadre pour l'année et n'est pas immuable, il peut évoluer au fil des mois. Les ORC trimestriels, eux, ne changent pas. Toujours d'après lui, Google établit des ORC au niveau de l'entreprise, de l'équipe, de la direction et à un niveau personnel. Tous vont ensemble dans la même direction. Pour Klau, les employés devraient avoir 4 à 6 ORC par trimestre. Si vous en avez plus, vous allez exploser en vol. À la fin du trimestre, vous notez vos résultats-clés. Google utilise une échelle de 0 à 1. Le but n'est pas d'obtenir 1 sur chaque résultat-clé. Concrètement, vous devez viser un 0,6 ou un 0,7. Si vous obtenez 1 c'est que vous avez fixé un résultat-clé trop facile (ou comme il le dit : "Si vous obtenez 1, vous faites seulement du remplissage".) Si vous obtenez un résultat en dessous de 0,4, alors vous devez sérieusement réexaminer ce qui ne va pas.
  • Chez Google, tous les ORC sont publics, de Larry Page (fondateur de Google) au salarié tout en bas de l'échelle. Vous pouvez consulter les ORC de vos collègues dans l'annuaire des employés. Ils sont simplement là, comme leurs profils internes. Non seulement vous voyez leurs ORC mais vous voyez également les résultats de leurs ORC au fil des ans. Cela peut sembler intimidant, mais cela aide Google à comprendre sur quoi tout le monde travaille.
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    Dans la firme américaine, les collaborateurs s'autoévaluent plutôt que d'être jugés par leurs managers en établissant des ORC "Objectifs et résultats-clés" au trimestre
Aurialie Jublin

Limite et puissance du Big Data appliqué aux ressources humaines chez Google « InternetActu.net - 0 views

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    "Les promesses des Big Data appliquées à l'emploi sont à la fois stimulantes et terrifiantes, soulignions-nous il y a peu. Dans un entretien pour le New York Times, Laszlo Bock responsable des ressources humaines de Google revient sur l'utilisation des Big Data par Google sur le recrutement et autant le dire, le constat qu'il en tire (ou qu'il nous en révèle) en pointe surtout les limites."
Aurialie Jublin

Pour un Google Now du poste de travail - 1 views

  • La masse d’information disponible demande des capacités de filtrage avancées. D’abord par  l’individu qui doit pouvoir maitriser son flux d’information et transformer un fleuve en petit filet d’eau exploitable. Puis par des systèmes intelligents qui doivent être capable de dire à l’utilisateur, en fonction de son contexte (projets sur lesquels il travail, outil métier utilisé à un moment donné) « voici ce que tu devrais savoir maintenant ». Et le soir de lui dire « si tu n’avais que 10 choses à lire dans la journée ce sont celles-ci ». Mais à ce stade on ne traite que les flux d’information. Il manque encore pleins de choses utiles à un collaborateur. C’est là qu’on revient à Google Now. Des données du CRM quand il est chez un client, l’information selon laquelle vu les embouteillages il devrait tout de suite  se mettre en route, le fait de savoir si son train est en retard ou à l’heure etc. Pleins d’informations qu’il peut perdre du temps à chercher (et d’ailleurs qu’il cherche pas pour cette raison) mais qui si elles lui sont poussées au bon moment ont une vraie valeur.
  • L’outil pourrait se matérialiser au moins de trois manières : - des notifications dans l’activity stream - un widget sur l’intranet, dans le client mail… - une application mobile à la Google Now car il est évident qu’un tel dispositif prend encore plus de valeur en situation de mobilité, là où le contexte prend encore plus d’importance.
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    Alors que les outils grand public envahissent le bureau et que les collaborateurs croulent sous l'information, l'exemple même de l'application qui devrait rapidement être portée sur le poste de travail est Google Now, un service prédictif qui pousse à l'utilisateur les informations dont il a besoin quand il en a besoin. 
Aurialie Jublin

Etats-Unis. Voilà ce qui se passe quand on parle des salaires chez Google | Courrier international - 0 views

  • Les autres salariés remercient Erica pour le document et lui envoient des “peer bonuses”, sorte de primes de 150 dollars (137 euros) que peuvent s'envoyer les salariés entre eux quand ils estiment que quelqu'un a fait quelque chose de bien pour l'entreprise. Mais Erica découvre que, pour que ces primes soient accordées au salarié, il faut que son supérieur donne son aval. Et la supérieure d'Erica les a toutes rejetées. Au même moment, un autre salarié – un Blanc, précise Erica, qui est elle-même noire –, lui aussi très impliqué dans le tableur sur la transparence des salaires, a également reçu des peer bonuses. Sauf que les siens lui ont été accordés.
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    "Une ancienne salariée de Google a raconté dans une série de tweets comment elle a essayé de se pencher sur les inégalités de salaires au sein de l'entreprise. Et comment Google le lui a fait payer."
Aurialie Jublin

Google concilie travail et intérêts personnels - 1 views

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    "Exit l'emploi du temps rigide. De plus en plus de jeunes diplômés plébiscitent en effet les entreprises où ils peuvent jongler entre leur travail et leur vie privée sans que cela soit mal vu. Google, Ubisoft, Canal+ et Electronic Arts les font rêver." Raison : possibilité d'intégrer intérêts personnels dans son emploi du temps grâce à la flexibilité, entreprises associées à la festivité et à la détente (Pernod Ricard, Heineken) Chez Google, 20% de temps dispo sur un projet personnel + repas gratuits, jeu, sport, ... Chez Décathlon a attiré les jeunes en développant récemment des "business games" pour se faire connaître des futurs diplômés. Ces jeux, qui consistent à mettre en compétition des équipes étudiantes autour d'une mission professionnelle fictive, semblent avoir atteint leur objectif.
abrugiere

RH, People Analytics et servitude volontaire: et si on parlait management ? | McGulfin - 0 views

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    Google Analytics  Depuis 2011, la firme de Mountain View innove et fonde toute sa politique en Ressources Humaines sur des statistiques, ce qui donne naissance à un département: le « People Analytics ». Un schisme quant à la fonction RH telle que pratiquée au 20iéme siècles. Selon l'entreprise de Mountain View, l'innovation dépends du cumul de trois facteurs: l'apprentissage, la collaboration et le « fun ». Aussi, dans le cadre de son projet « Oxygen », qui a ensuite donné naissance au fameux département « People Analytics », Google a mis en lumière les comportements vertueux qui doivent animer ses managers, et qui sont transposables dans toutes les entreprises (source The New York Times): Des RH prédictives. De même, Google a élaboré un algorithme qui peut prédire « le moment où un collaborateur sera tenté d'aller voir ailleurs, et donc d'agir en amont pour éviter la fuite de talents. » En d'autres termes, en perpétuelle évolution et remise en question:« Le management est le plus vieux des métiers et la plus récente des professions. »(Lawrence Lowell).
hubert guillaud

La surveillance est un modèle d'affaire - Bruce Schneier - 0 views

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    Google a récemment annoncé qu'il aller commencer à utiliser les photos et les noms des utilisateurs dans certaines annonces, sans votre consentement. Malgré le "Do not track", les grandes entreprises de technologie ne cessent de nous traquer, d'une manière toujours plus agressive, estime le spécialiste en sécurité, Bruce Schneier. Ces entreprises ont systématiquement amélioré leur produit (nous) en réduisant la vie privée des utilisateurs. Le Do not track va permettre d'arrêter l'affichage de publicités personnalisées, mais ne nous garantira en rien l'arrêt du suivi de votre activité en ligne, la revente et la réutilisation des données collectées par devers vous. Plus qu'un Do Not Track, cette loi n'est rien d'autre qu'un "Suivez moi en secret". La plupart des gens ne sont pas conscients des données que les entreprises collectent sur eux, et le Do Not track fait tout pour que cela continue ainsi. Google a une image plus intime de nous que notre épouse, plus intime que nous même... "Google sait exactement ce que je pense, combien de fois j'y pense et quand je m'arrête d'y penser... Et il s'en souvient pour toujours". La NSA n'a pas construit son modèle seul, comme le montre les révélations d'Edward Snowden. Son modèle est né de l'écoute existante dans le monde des entreprises du net. Pour Bruce Schneier, nous avons besoin de réglementations protégeant nos vies privées et limitant ce que ces sites peuvent faire de nos données. "La surveillance est le modèle d'affaire de l'internet". Les principaux sites de l'internet fonctionnent sur le ciblage publicitaire... Tant que nous demeurerons le produit, les entreprises seront peu incitées à nous fournir une réelle intimité."
Aurialie Jublin

Google et Facebook "sont des engins dont le carburant sont les données personnelles" | Humanite - 0 views

  • Ces activités produisent une ressource qui est par la suite commercialisée. C’est de l’exploitation au sens économique classique comme production de valeur, mais nous sommes aussi face à de l’exploitation au sens marxiste du terme, parce qu’on est dans de la création de plus-value appropriée par les propriétaires des plateformes et réinvestie dans un cycle productif. On ne peut toutefois pleinement comparer Google aux usines du 19ème siècle, parce qu’on est dans ce qu’on appelle un marché biface. Un marché biface, c’est aussi par exemple la télé : un marché où on a l’annonceur d’un côté et les utilisateurs de l’autre. Le public est à la fois client et travailleur. Plus il est nombreux, plus il crée de la valeur, du côté de l’annonceur.
  • La première logique de résistance, c’est introduire du conflit, casser la logique irénique de l’amitié à tout prix sur le Web social. Il faut reconnaître les éléments conflictuels, ne pas les gommer au prétexte de garantir une soit-disante civilisation de l’Internet.
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    "Entretien avec Antonio Casilli sur le Digital Labor, travail invisible que l'on produit à notre insu pour les géants du Web comme Google et Facebook. Une interview qui vient en complément des pages Travail publiées ce lundi dans l'Humanité."
julien camacho

Google, un exemple à méditer ? - 1 views

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    «Search inside yourself» : chaque année, les salariés de Google sont invités à suivre cette célèbre formation à la méditation, animée par Chade-Meng Tan. Mais en quoi peut-elle être utile à ces esprits brillantissimes ? Surtout à réduire leur stress. Car le scientifique qui a largement inspiré ce programme - Jon Kabat Zinn, professeur de médecine à l'université du Massachusetts - est l'inventeur de la Mindfulness Based Stress Reduction (MBSR ou de «réduction du stress par la méditation de pleine conscience»).
Aurialie Jublin

Google veut aider votre patron à surveiller votre boîte mail | Rue89 - 1 views

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    "Et si Google vous surveillait au bureau, pour le compte de votre boss ? La firme américaine vient de déposer discrètement un brevet en ce sens. Le « Policy Violation Checker » (« vérificateur de violation de règles ») est un système capable de détecter des phrases « problématiques » contenues dans vos documents électroniques : des déclarations qui vous mettraient en infraction avec la loi, le règlement intérieur de votre entreprise ou votre contrat de travail."
abrugiere

10 extensions Google Drive pour travailler efficacement | Autour du Web - 2 views

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    10 extensions Google Drive pour travailler efficacement
Aurialie Jublin

Management RH de Google : Top 10 des pratiques innovantes - JDN Management - 4 views

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    Sociétés citées : a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z Qui sommes nous ? Contact Publicité Recrutement Données personnelles Mentions légales Plan Corrections © 2012 CCM Benchmark
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    "Chez Google, les décisions RH se basent entièrement sur les données récoltées par le  service  « People Analytics » (Analyses du Personnel). Ce service effectue tout type de recherches  à l'aide d'enquêtes effectuées auprès du personnel. Il met en place des tableaux de bords, identifie des corrélations et émet des préconisations d'actions.  Le but est de justifier chaque décision RH avec une série de données à l'appui. "
Aurialie Jublin

Travailler chez google n'offre pas que des avantages - L'Express L'Entreprise - 1 views

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    "Pour beaucoup, décrocher un job chez Google, c'est le Graal. La réalité serait pourtant plus nuancée. Dans un fil de discussion lancé sur le site américain Quora, des employés racontent la partie moins reluisante de leur entreprise." - Un management trop distant - Une entreprise qui prend toute la place dans leur vie - Une entreprise trop grande pour être agile - Trop de gens "formidables" mais surqualifiés... (d'où difficile de progresser rapidement; oubli réalité extérieure) - Des esprits trop conformistes (embauchent les mêmes profils, issus des 10 mêmes universités, avec la même vision du monde, les mêmes centres d'intérets, ...)
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