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Aurialie Jublin

Understanding Fair Labor Practices in a Networked Age - 0 views

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    Internet-enabled technologies allow people to connect in unprecedented ways. Although everyday social practices are widespread and well known, these same tools are reconfiguring key aspects of work. Crowdsourcing and distributed labor technologies increasingly allow companies to outsource everything from mundane tasks (e.g., Amazon Mechanical Turk) to professional services (e.g., oDesk). Sharing economy - or peer economy - tools (e.g., Airbnb) allow people to barter goods or services or get paid for these exchanges outside of the dominant business framework. These services have enabled new forms of contract or freelance labor and reduced risk for companies; however, there is often an increase in risk for the associated laborers. At the same time, divisions between what constitutes work, hobby, and volunteerism get blurred, especially as many organizations rely on volunteer labor under the assumption that it's mutually beneficial (e.g., blogs and journalistic enterprises that republish work or see the offer of a platform as valuable in and of itself). While all of these labor issues have unmediated precedents (e.g., free internships), technology magnifies the scale of these practices, minimizes the transactional friction, and increases the visibility of unpaid and freelance work. Collectively, this raises critical questions about what fair labor looks like in a networked world, where boundaries dissolve and existing mechanisms of labor protection do not address the varied work scenarios now available.
Aurialie Jublin

Nous sommes entrés dans l'économie des compétences ! | Jerome Introvigne | LinkedIn - 0 views

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    "Apple fait travailler des milliers et des milliers d'individus et d'entreprises, chaque jour, gratuitement, pour alimenter ses stores ; Facebook et Google se nourrissent du contenu créé par la foule, Amazon de milliers de vendeurs indépendants, et Tesla ouvre ses brevets dans l'espoir que d'autres s'en emparent pour les améliorer ! Ces entreprises seraient entrées dans l'économie du savoir ! Elles attirent les meilleurs talents et proposent des produits d'une qualité exceptionnelle à leur écosystème, souvent gratuitement ! On parle de Talent Management… Mais dans les faits, elles font du  skills-management ! Elles gèrent un écosystème de compétences dont elles repoussent sans cesse les limites !"
Aurialie Jublin

Arrondissez vos fins de mois en débusquant les bugs d'Oculus Rift - L'Usine Digitale - 0 views

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    "Pinterest, Adobe, Airbnb, Amazon, Apple, Cisco, Dropbox... les plus puissants sites internet et éditeurs de logiciels s'y sont mis et comptent sur l'effet de masse pour réaliser des audits de leurs codes pour une poignée de dollars. Du "gagnant-gagnant" grâce auquel les développeurs améliorent rapidement et régulièrement leurs sites, applications et logiciels, et les férus d'informatique arrondissent leurs fins de mois. L'année dernière, Facebook a déboursé 1,5 million de dollars dans ces primes, raconte The Verge. Et il pourrait augmenter son budget en 2014 avec l'intégration récente d'un programme qui devrait ravir plus d'un chercheur de bugs : le casque de réalité virtuelle Oculus Rift, tombé dans son escarcelle au printemps pour 2 milliards de dollars."
Aurialie Jublin

FouleFactory | Ressources as a service | Crowdlabor - 0 views

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    Service français reprenant le principe Amazon Mechanikal Turk
Aurialie Jublin

The case of sharing economy - 0 views

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    A whole slew of labor platforms have come up over the last couple of years, powering what is widely referred to as the Gig Economy or (rather inappropriately) the Sharing Economy. Remote freelancing (Freelancer, Elance-Odesk) and micro-tasking (Amazon Mechanical Turk) platforms have been around for quite some time, as have classifieds (e.g. Craigslist), all of which enable service providers to find new gigs. But a whole new range of vertical-specific platforms have come up in recent times creating two broad classes of new opportunities: - Higher end gigs: Consulting platforms like Clarity and Experfy now enable highly skilled individuals to find gigs on platforms. - Real world gig coordination: Platforms like Homejoy and Postmates allow people with spare time to find a new source of income in the 'real' world.
Aurialie Jublin

Vers de nouvelles propositions de valeur - Nicolas Colin - 0 views

  • La seule manière pour les entreprises de survivre dans cette économie est de détourner leurs utilisateurs d’une vulgaire comparaison des prix. Rappelons-le : dans l’économie numérique, il y a toujours mieux et moins cher ailleurs. C’est pourquoi les entreprises dont la proposition de valeur est purement transactionnelle finissent par disparaître, écrasées par la rudesse de la concurrence sur les prix. Mais si vous créez une expérience qui dépasse le transactionnel et s’étend à l’inspiration, à la recommandation, au service, à la valorisation, à l’interaction, alors vous avez une chance que vos clients ne regardent plus seulement le prix mais se posent une question beaucoup plus subtile : avec quelle entreprise suis-je le plus à l’aise? Quelle est celle qui m’offre un haut niveau de qualité ? C’est le défi relevé par Amazon. Il lui a permis de se distinguer de tous les autres « e-commerçants ». Tandis qu’ils se font concurrence uniquement sur le prix, Amazon a développé pour ses clients une extraordinaire expérience d’inspiration, d’achat et de service dont le prix n’est plus qu’un paramètre.
  • L’économie numérique créera des emplois, majoritairement non qualifiés d’ailleurs, dès lors que nos institutions seront mises à niveau. Pour créer des emplois dans l’économie numérique, il nous manque trois choses : un financement de l’économie adapté, ménageant plus de place au capital-risque ; des réglementations sectorielles en phase avec le nouveau régime de création de valeur ; enfin, une protection sociale qui couvre les risques qui deviendront les plus critiques dans l’économie numérique. La difficulté à se loger et l’intermittence – c’est-à-dire le fait que nous changerons de plus en plus d’employeur et que nos parcours professionnels seront caractérisés par la discontinuité – constituent les risques les plus aigus dans l’économie numérique de demain.
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    "Les modèles d'affaire qui émergent aujourd'hui offrent l'image d'une hyperconcurrence. Dans l'économie numérique, il y a toujours mieux et moins cher ailleurs, et cette dynamique déborde aujourd'hui les frontières du Net. Comment une entreprise peut-elle survivre dans cette jungle, comment peut-elle se distinguer? De nouvelles logiques émergent, de nouvelles propositions de valeur qui pourraient devenir la clé du monde économique de demain."
Aurialie Jublin

Microsoft Bug Testers Unionized. Then They Were Dismissed - Bloomberg - 0 views

  • In California, Uber, Lyft, TaskRabbit, and a half-dozen other companies are lobbying to defang a court ruling that could make it difficult to avoid reclassifying such workers as employees. And in Washington, the Republican-dominated National Labor Relations Board has made moves to undo an Obama-era precedent that could make big employers legally liable for contract workers even if they have only indirect control over them.The GOP takeover in Washington is one reason the Temporary Workers of America, a union of bug testers for Microsoft Corp., gave up on what had been, for people in the software world, an almost unheard of unionization victory, says the group’s founder, Philippe Boucher.
  • Boucher and his ex-colleagues are among a growing population of tech workers, including many Uber drivers, Amazon.com warehouse loaders, and Google software engineers, who lack the rights and perks of those companies’ full-fledged employees.
  • Google parent Alphabet Inc. now has fewer direct employees than it does contract workers, some of whom write code and test self-driving cars.
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  • “Companies are deciding they don’t want to make long-term commitments to people, and they’re using a variety of devices to shift that work out,” says David Weil, dean of Brandeis University’s social policy and management school who oversaw federal wage-and-hour enforcement during the Obama presidency.
  • To help demonstrate that Microsoft was a joint employer, the union provided documents such as an email appearing to show a Lionbridge manager sharing performance metrics with Microsoft counterparts and a list of Microsoft managers who worked in the same office and oversaw Lionbridge employees’ work—at least one of whom listed his management of contractors on his LinkedIn résumé.
Aurialie Jublin

Salaire à vie: l'emploi est mort, vive le salariat! | Slate - 1 views

  • L'échelle des revenus serait de 1 à 4, soit de 1.500 à 6.000 euros. Le passage d'un niveau à l'autre serait fonction de la qualification, équivalent du grade dans la fonction publique, attestant qu'une personne «peut participer à un certain niveau de création de valeur économique et a donc droit à un tel niveau de salaire». Ces qualifications, dont la liste précise serait sujette à délibérations, incluraient l'ancienneté, la pénibilité, les diplômes...
  • Pour cet universitaire, le chantage à l'emploi fait de nous des «mineurs sociaux» qui ne sont pas reconnus comme «producteurs de valeur économique», et le salaire à vie nous transformerait en «majeurs sociaux».
  • Il rappelle que le salaire à vie existe déjà: en effet, les fonctionnaires et les retraités touchent déjà un salaire universel. En le généralisant à l'ensemble des Français, le sociologue ne veut pas seulement éradiquer la misère, mais bien dessiner les contours d'un nouveau système:
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  • En effet, entre les cotisations dites «patronales» et «salariales», près de la moitié de notre salaire est aujourd’hui socialisé et permet de financer la sécurité sociale et les minimas sociaux. Bernard Friot propose de prolonger cette conquête et de socialiser 100% du salaire.
  • Mais Bernard Friot ne s'arrête pas là: il propose que toute la valeur ajoutée de l'entreprise soit socialisée et que le profit soit donc supprimé. L'argent ainsi collecté servirait à payer les salaires mais aussi l'investissement des entreprises et la Sécurité sociale.
  • Les porteurs de projets devraient demander des financements auprès d'une caisse chargée d'en étudier la viabilité et l'utilité. Ainsi, ils ne seraient plus dépendants des prêts bancaires, de leur épargne personnelle ou du bon vouloir des apporteurs de capitaux et leur vision court-termiste.
  • Pour autant, les entrepreneurs, qu'il définit comme «des personnes qui impulsent des productions et des collectifs de travail» existeront toujours, de même que la hiérarchie au sein des entreprises.
  • Enfin, il met en garde contre «l'ethnocentrisme petit-bourgeois» qui fait croire que certains arrêteront leur activité jugée dégradante. S'appuyant sur une étude, il relève que les éboueurs, contrairement à ce que l'on pourrait croire, non seulement aiment leur métier mais ont conscience de leur utilité sociale. Il faut ajouter à cela le besoin humain de reconnaissance de son utilité sociale, qui passe notamment par le travail.
  • Un autre argument avancé contre le salaire à vie est la nécessité d'avoir des entrepreneurs compétents dont la seule motivation serait l'argent.
  • Bernard Friot fait valoir que sur le web, la coopération non lucrative marche très bien, prenant l'exemple des logiciels libres. De même, dans le milieu universitaire, la motivation n'est pas tant le salaire que celle d'être «le premier à mettre à jour une nouveauté».
  • Les défenseurs du revenu de base mettent également en cause le caractère constructiviste de la proposition de Friot: elle ne laisserait pas assez de place à l'individu pour décider de la société dans laquelle il veut vivre, contrairement au revenu de base, qui serait lui plus humaniste et adaptable aux volontés de tous.
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    "Et si, de la même manière que le suffrage universel est venu récompenser notre capacité à tous participer à la chose publique, un salaire à vie venait consacrer notre capacité à tous produire de la valeur? C'est l'idée mise en avant par l'économiste et sociologue Bernard Friot."
Aurialie Jublin

Le nouvel algorithme Linkedin vous dit qui embaucher / ZDnet - 1 views

  • L’objectif selon Rob Humphrey, spécialiste de la gestion des talents chez Linkedin, est de leur permettre de chasser les proies les plus prisées ou « passive talents » : ces individus qui ne sont pas en recherche d’emploi mais déjà dans une position confortable. En réalité, seulement 15% des membres de Linkedin sont activement en quête d’un poste.C’est là qu’intervient le service connu sous le nom de « Recruiter », accessible aux entreprises ayant souscrit à un compte premium payant. Grâce à cette fonctionnalité, les recruteurs peuvent espionner tranquillement votre profil, sans que vous n’en ayez vent.
  • Mais c’est en mettant en place un algorithme (qui devrait être disponible dans quelques mois en France) proposant aux recruteurs  « les gens qu’ils devraient embaucher » que Linkedin entre dans une nouvelle dimension. 
  • Linkedin va-t-il uniformiser les processus sinueux de recrutement ? Probablement si le réseau continue sur sa lancée. Mais la Harvard Business Review va encore plus loin dans son article « Digital staffing : The Future of Recruitement-by-Algorithm ». Que ce soit en organisant un voyage sur TripAdvisor, en écoutant de la musique sur Spotify ou en commandant un ouvrage sur Amazon, la e-réputation des internautes ne se résume pas à leur profil policé sur Linkedin. Alors que les algorithmes permettant de traiter toutes ces données se complexifient, il sera un jour possible pour les recruteurs de synthétiser l’ensemble des informations disponibles pour générer un profil unique par individu, permettant de parfaitement cibler les talents. 
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    "Linkedin a mis en place un algorithme qui se base sur les actions des recruteurs afin de leur proposer « les utilisateurs qu'ils devraient embaucher »."
Aurialie Jublin

Tous pirates - error 404 - 0 views

  • Concernant mon précédent billet, et parce que la share economy recouvre une très forte variété de domaines, je n'ai pas fait la distinction entre la production et la consommation. J'y reviens ici sur des points de débats que j'ai eus. Enfin, les deux types de cette nouvelle économie mettent en exergue deux points essentiels de notre société : la raréfaction du travail, et la déconnexion patente de l'investissement (partant, la finance) envers l'économie réelle. Plus d'investissement productif, et une numérisation qui crée de la valeur sans créer de l'emploi; il y a donc un nouveau contrat social à définir.
  • Depuis la faillite du socialisme (politique), un subtil équilibre se joue entre le public et le privé. L'Etat crée par l'éducation une richesse - le travailleur - qui sera exploitée par l'entreprise. En échange, l'entreprise contribue par l'impôt et les taxes à l'organisation de l'Etat. Le code libre, c'est une richesse commune, exploitée par tous, mais dans une asymétrie d'échanges. S'il fait le bonheur de communautés (celles d'Ostrom), il fait aussi le bonheur de la sphère privée. Ainsi, les flux économiques apparaissent comme une captation de valeur sur des territoires et des individus hors marchés (de l'Europe vers les US, du libriste vers Microsoft) à coût nul, pour être ensuite revendus aux producteurs initiaux. Le libre, c'est un peu l'Afrique qui importe son chocolat après avoir vendu à prix dérisoire ses fèves de cacao.
  • Que se passe-t-il ? Il faut en fait considérer qu'il n'existe pas un marché du travail, mais deux marchés : un marché de l'emploi, et un marché du revenu, lesquels ne sont pas corrélés. Les rentiers, investisseurs en capital, dealers de drogue, proxénètes, n'existent pas sur le marché du travail mais le sont bien sur celui du revenu. Idem pour les travailleurs pauvres, stagiaires, qui n'existent - quasiment - pas sur le marché du revenu, mais bien sur celui du travail.
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  • Le droit de la concurrence implique des entreprises, non des individus. Or, Internet permet de mettre en concurrence n'importe quel cerveau humain avec un autre. Même dans un territoire soumis au droit national. On a beaucoup glosé sur les emplois à 1€ du système allemand, pour des emplois peu gratifiants, d'une économie de cols roses. Le stagiaire français, lui, arrive sur un marché de cols blancs à 3€ de l'heure (436,5€ pour une semaine de 35h).
  • De même, le crowdfunding - qui apparaît comme une solution au problème du financement de l'entrepreneuriat - n'est que le symptôme d'une maladie beaucoup plus grave : la rupture consommée entre travail et capital, qui était déjà initiée bien avant la crise des subprimes
  • Quant au web, c'est la force du factor system, amplifiée par l'électricité. Ce pourrait être Pinterest, Tumblr, Github, Facebook, Amazon qui mettent en place une plateforme de travail - ludique, altruiste, sociale - à destination des populations du monde. Et dont la création de richesse ne bénéficie ni à la collectivité (via les procédés d'optimisation fiscale), ni à "l'ouvrier" de la connaissance, puisqu'il n'y a plus de pièce, seulement des flux d'information dont on ne mesure pas la valeur, avec un capital qui reste aux mains de la plateforme. Et dont les bénéficiaires sont quelques passagers clandestins d'une étrange économie.
  • Puisqu'il y a rupture de l'équilibre ténu entre public et privé, on voit apparaître une nouvelle structure : la communauté. Communauté d'intérêts, elle se structure autour de ses propres besoins, en dehors (ou à coté) des deux sphères connues. Pour certains share economy, nouvelles monnaies, troc, AMAP. Un système adaptatif qui n'a rien de nouveau.
  • Ce qui est appelé improprement économie collaborative, c'est finalement la société humaine. Parce que l'Etat n'opère plus son rôle de balancier face au privé, ne restent que deux sociétés qui se développent en parallèle, l'économie de marché et les communautés. Et l'une devient petit à petit le parasite de l'autre. Passager clandestin d'une économie dite collaborative, tirant des bénéfices sans les contraintes de la structure, les "pirates" ne sont pas ceux qui téléchargent le dernier Beyoncé, mais des multinationales qui exploitent un travail gratuit, repackagent des biens du domaine public, ou libérés (voir les méfaits du copyfraud que dénonce inlassablement Calimaq). Ou réorganisent des flux de travail ou de capital à leur avantage, sur le dos des communautés.
  • Pirate vient du grec : peirao, qui signifie tester, mettre à l'épreuve. Hacker a la même signification. Organisations comme individus testent en permanence la solidité des modèles en cours; ils s'introduisent dans les failles du sytème (la PI, l'optimisation fiscale, la territorialisation du droit); ils inventent un monde à part, intangible, non juridiquement encadré, mais qui se développe sur l'écosystème en place (les dérivés financiers, le trading haute fréquence).
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    Pour @marklor le marché de l'emploi n'est plus celui des revenus et l'économie collaborative en est le symptôme
hubert guillaud

Une employée d'Amazon raconte «la peur organisée» - Libération.fr - 1 views

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    Comment la surveillance permanente favorise la docilité. Comment la peur et l'hyperindividualisation contraignent. Comment la principale arme est la promesse d'un emploi.
Aurialie Jublin

This "Airbnb For Skills" Will Liberate You From Your 9 To 5 | Co.Exist - 1 views

  • Ultimately, he sees freelancing as the future. “We’re coming towards an automation kind of economy; most of Amazon will probably be automated within 10 years. As technology is liberating us, we’re becoming less necessary for routine jobs. Like Arthur C. Clarke and Buckminster Fuller said in the 1960s, 90% of people should just stay at home and play in the parks and have fun. If you build automation for the society, then the society can be free--and that’s starting to happen.”
  • The new site may help make that transition a little easier. “Airbnb has liberated apartments, and we can liberate people from their 9 to 5,” Hooks says. “We believe that most of us can freelance, most of us can Airbnb our place, most of us can take a day off to hang out with friends. That kind of shared economy is a visionary idea that is happening now.”
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    "More people are freelancing than ever before--by some estimates, around 42 million Americans. But entrepreneur Ryan Hooks thinks that eventually almost everyone will be able to leave their office jobs, and he's built a new website called Avbl to help. "Essentially it's kind of like the Airbnb model for skillsearch," Hooks explains. "Whatever city you're in, wherever you are in the world, you can search for a skill--like editor, designer, illustrator, or seamstress--and the results come up based on proximity and date." If someone needs a video editor today, or a web designer next month, they can search and book the right person."
Aurialie Jublin

affordance.info: Même pas peur : le salaire de l'Uber. - 0 views

  • Au-delà des avancées technologiques qui permettront l'automatisation d'un certain nombre de tâches, d'emplois ou de métiers, les critères d'une "uberisation" sont clairement posés dans cette interview d'Olivier Ezratty. En 1ère ligne des "uberisables" on trouve : "ceux qui génèrent de l'insatisfaction client" (des médecins aux plombiers pour - par exemple - raccourcir les délais d'attente et favoriser la mise en contact directe) "ceux susceptibles d'être désintermédiés par des plateformes d'évaluation", c'est à dire ceux qui nécessitent une forte évaluation client distribuée en pair à pair (ici les plateformes sont déjà en place pour l'hôtellerie et la restauration par exemple, mais pourraient s'étendre à d'autres "métiers) "ceux qui sont dans une situation de quasi-monopole" (les taxis donc, mais aussi, dans un tout autre registre ... l'éducation) "les métiers de service dans l'aide à la personne" (de la livraison à domicile en passant par la recherche de nounous ou de cours particuliers)
  • A l'aube du 21ème siècle, c'est la même question qu'il faut poser une fois acté le remplacement d'un certain nombre de tâches et de fonctions par des automates / algorithmes / robots, etc. Ces nouvelles formes de "travail journalier à la tâche", ce "salariat algorithmique" sera-t-il un privilège ou un droit ?  S'il doit devenir un privilège (c'est pour l'instant ce vers quoi nous nous dirigeons), alors il ne permettra qu'à quelques-uns d'accentuer leurs rentes en déployant une idéologie libérale devant laquelle notre actuel capitalisme dérégulé fera office de gentillet kolkhoze ; le modèle du Mechanical Turk d'Amazon deviendra la norme, on cotisera tous à la sécurité sociale de Google, nos points retraites seront chez Amazon, notre banque s'appellera Apple et Facebook fera office de mairie et d'état-civil. Fucking Brave New World. Pour qu'il puisse exister comme un droit, alors, plutôt que de lâcher 200 képis à la poursuite de pauvres auto-entrepreneurs ou d'interdire une application, c'est aujourd'hui que notre classe politique doit lire du Michel Bauwens (cf supra), c'est son rôle de faire en sorte que LE Droit puise offrir à chaque citoyen la possibilité de réinstaller au coeur d'un système outrancièrement individualiste l'horizon d'une représentation et d'une négociation collective possible. C'est aujourd'hui également que la question de savoir ce qui relève du bien commun inaliénable, dans nos usages sociaux comme dans nos ressources naturelles, doit être posée.  Bref, Candide avait raison : il nous faut cultiver notre jardin. Mais le cultiver en commun. Le cultiver comme un bien commun. Sinon on va tous se faire uberiser. A sec.
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    "Du côté de l'uberisation du monde et de nos amis les taxis, les derniers jours ont été riches d'enseignements et ont accessoirement permis à ma navritude (c'est un peu comme la bravitude) d'atteindre des niveaux jusqu'ici inégalés devant tant d'incurie politique."
Aurialie Jublin

L'économie collaborative ne partage que les restes - Influencia - 1 views

  • Ceci est le point culminant logique d’un processus qui a commencé il y a trente ans lorsque les entreprises ont commencé à sacrifier des emplois à temps plein pour des travailleurs temporaires, indépendants ou freelancers et consultants. C’était un moyen de déplacer les risques et inconnues sur le travailleur et une façon de contourner les lois du travail imposant des standards minimums de salaire, du nombre d’heures et des conditions de travail. Celles là mêmes qui permettent aux employés de se mettre ensemble pour négocier des salaires et bénéfices plus intéressants.
  • Les partisans de l’économie collaborative soulignent également que comme le travail à la demande continue de grandir, les travailleurs assemblent leur force pour acheter une assurance et d’autres bénéfices en groupe. Mais, clairement, ils ne se rassemblent pas pour négocier une part plus importante du revenu ou des horaires plus fixes. Cela s’appellerait un syndicat – quelque chose dont Uber, Amazon et les autres entreprises à la demandent ne veulent pas entendre parler.   Certains économistes font l’éloge du travail à la demande car c’est une façon plus efficace d’utiliser une force de travail. Mais le plus gros challenge économique auquel nous faisons face n’est pas l’efficacité. C’est la distribution du travail et une redistribution plus équitable de ses gains. Sur ce dernier sujet, l’économie de partage (des restes), sur certains points, nous renvoie encore bien en arrière...
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    "Et si l'économie collaborative en plus de ne pas profiter à tout le monde tuait le rêve du partage équitable et nous renvoyait à une époque où les droits et la protection des employés étaient inexistants ? La thèse de Robert Reich, l'ancien ministre du travail de Bill Clinton, méritait bien une traduction."
Aurialie Jublin

How Zappos determines salaries in Holacracy - Business Insider - 0 views

  • There are also badges that are not tied to roles that result in a raise, such as the Teal 101 badge, which employees can earn after reading management guru Frederic Laloux's book, "Reinventing Organizations," and writing one to three paragraphs demonstrating their understanding, the Las Vegas Sun reports.
  • Badges also exist for non-monetary roles like proficiency in talking about Teal companies (what Zappos aspires to be) and teaching yoga. Jewett says these reinforce Hsieh's Core Value No. 3 to "create fun and a little weirdness," and self-expression has always been at the heart of Zappos.
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    ""At this time, compensation is tied to roles, and the badges encompass the work or skills being done in those roles," says Lisa Jewett, who has the role of "@Badge_Librarian" and is leading how compensation works in the Zappos Holacracy. "However, we are currently in the process of building a more robust badging system that will allow people to build their salary based on the avenues they would like to pursue." Essentially, that means that the pursuit of badges may eventually resemble a "leveling up" process from video games, where the acquiring of a new badge automatically equals a bigger paycheck. As of now, employees looking for a raise submit an application to Zappos' Compensation Circle, a group of employees responsible for approving salaries. "
Aurialie Jublin

Workers at Facebook (FB), Tesla (TSLA) and Amazon (AMZN) might as well work at Walmart (WMT) - Quartz - 1 views

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    "I've seen people pass out, hit the floor like a pancake, and smash their face open," a worker at Tesla's "factory of the future" told the Guardian in a report published this week. "They just send us to work around him while he's still lying on the floor." The Guardian report described long hours and intense pressure to meet CEO Elon Musk's production goals-even if that means enduring or ignoring injuries. Since 2014, according to the report, hundreds of ambulances have been called to the factory to treat workers. This portrayal doesn't quite jive with Musk's world-changing vision. And Tesla isn't only Silicon Valley company facing this type of irony. Technology companies' reputations as employers often stem from how they treat highly paid engineers, but many also employ thousands of blue collar workers. Tech workers at these companies receive high pay, elaborate perks, and progressive workplace policies, but blue collar workers for the same companies often work in circumstances that look much less...
Aurialie Jublin

On the Road with the 'Workampers,' Amazon's Retirement-Age Mobile Workforce - VICE - 0 views

  • Workampers" are mostly retirement-age migrant workers who have taken to the road in RVs and camper vans in pursuit of temporary jobs to make ends meet. Just like their truly retired counterparts, these workers travel the country, sightseeing and staying overnight in RV parks. But many workampers also depend on low-wage temp jobs like overseeing campgrounds, selling tickets at NASCAR races, or—as in LaFata's case—spending long nights packing boxes for the planet's largest e-commerce corporation.
  • Although workampers' schedules can be grueling, they are quick to express appreciation for the community and sense of belonging that their migratory life offers them. The workers at Buckeye not only lived and worked together but formed close bonds and shared a fierce camaraderie. With much help from her workamper neighbors, LaFata recently moved into a rented mobile home while she makes several much-needed repairs on her van. Advertisement
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    "These workers travel the country, sightseeing and staying overnight in RV parks while laboring in low-wage temp jobs-and at least some of them love the lifestyle."
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