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Aurialie Jublin

Fiche de lecture d'Eloge du carburateur. Essai sur le sens et la valeur du travail de Matthew B Crawford - 0 views

  • idées qu'il défend - caractère central de l'expérience, importance de la confrontation avec le réel, primauté du rapport physique avec les choses
  • le malaise actuel de la société tient en partie au malaise dans le travail, au malaise du travail. Le sens du travail s'est perdu, le travail ouvrier et le travail de bureau ont subi une dégradation certaine, les travailleurs ne comprennent plus ce qu'ils font
  • Les travailleurs ne sont plus en confrontation directe avec le réel
  • ...18 more annotations...
  • L'utilité du produit final et sa qualité sont perdus de vue, les travailleurs ne savent plus pour qui ni pourquoi ils travaillent, dés lors, le travail n'a plus de direction, plus de sens.
  • Crawford impute dans un premier moment la responsabilité essentielle de cette perte de sens au management et à la place exorbitante que les instruments déployés par celui-ci ont prise
  • L'activité de travail qui, comme une grande partie des activités humaines tire sa plénitude et sa perfection de son exercice même, a été en quelque sorte pourrie dans son cœur même dés lors qu'il a été décidé qu'on pourrait la séparer en une « conception » susceptible d'être déléguée à des bureaux des méthodes par exemple, et une « exécution » dont la performance serait mesurée
  • La société du savoir apparaît brutalement dans sa vérité, comme requérant des « arts serviles », cependant que la réparation de moto, symbole des arts mécaniques auparavant assimilés aux arts serviles apparaît comme source de liberté
  • D'un côté, donc, le travail moderne, voué définitivement à l'hétéronomie et à la séparation d'avec soi-même. La raison principale, Crawford s'en explique bien au chapitre 6, c'est la logique capitaliste qui s'est imposée au cœur du travail et a radicalement subverti le sens de celui-ci : « la présence de cette tierce partie qui cherche à maximiser une plus value sur mon dos en restant complètement insensible aux limitations de rythme dues à la nature même de la tâche effectuée tend par définition à, pousser le processus de travail au de là de ces limites.
  •  l'aliénation engendrée par un environnement de travail qui subordonne impitoyablement le bien intrinsèque d'une activité aux exigences extrinsèques du profit 
  • De l'autre, l'idéal de l'action réussie qui aujourd'hui s'est réfugié dans le loisir (seules les activités réalisées dans le temps libre manifesteraient notre vraie personnalité) mais qui pourraient, selon Crawford, exister à nouveau aujourd'hui dans le travail.
  • Crawford propose d'« essayer de trouver un travail dans les interstices de l'économie, un emploi dont le débouché marchand soit entièrement compatible avec l'échelle humaine des interactions face à face
  • Alors que le travail « moderne » repose en fin de compte sur des faux semblants et de la servilité, le travail tel que proposé par Crawford prend appui sur l'objectif de bien-être de la communauté, se développe à son service et est évalué par elle : c'est la communauté son origine et son point d'arrivée et le travail apparaît comme cette action pleine de sens qui permet non seulement à l'individu d'être en coïncidence avec lui-même, d'éprouver sa liberté, et en même temps d'être, sans servilité, au service d'une communauté d'usagers
  • nous sommes nombreux à être d'accord avec Crawford sur le fait que la logique capitaliste, la profondeur de la division du travail et le caractère subordonné du travail constituent des obstacles radicaux à la possibilité d'un travail « libre » et qu'une véritable révolution serait donc nécessaire si nous voulions que le travail actuel soit libéré et devienne conforme aux attentes immenses qui pèsent sur lui
  • Considérer le travail, ou du moins certains types de travaux ou de métiers, telle que la réparation ou les travaux manuels comme relevant de la praxis, terme généralement appliqué par Aristote aux activités morales et politiques comporte évidemment un très fort potentiel révolutionnaire...Mais de façon étonnante, Crawford ne justifie pas ce bouleversement qui pourrait constituer le fondement théorique d'une nouvelle pensée du travail.
  • nos économies devraient fonctionner à une autre échelle. Nous devrions prévenir la concentration du pouvoir économique qui porte atteinte aux conditions de possibilité d'un épanouissement humain authentique et Crawford appelle de ses vœux une position « républicaine » sur le travail. En effet, nombre de ses propos rappellent les arguments des républicains américains et notamment leur souci de développer des conditions économiques susceptibles de garantir avant toute chose l'indépendance des travailleurs.
  • Comment revenir à des échelles plus humaines, et remettre le souci de l'humain, de la vie bonne, de l'épanouissement au centre des sociétés et de leurs politiques ? « Je laisse à d'autres, mieux versés que moi dans les rouages des politiques publiques et mieux prévenus de leurs possibles conséquences involontaires, l'initiative de proposer des mécanismes qui permettraient de préserver un espace pour ce type d'activité entrepreneuriale
  • l'objectif de bien-être de la communauté
  • travail « moderne » repose en fin de compte sur des faux semblants et de la servilité
  • travail « moderne » repose en fin de compte sur des faux semblants et de la servilité, le travail tel que proposé par Crawford prend appui sur l'objectif de bien-être de la communauté
  • travail « moderne » repose en fin de compte sur des faux semblants et de la servilité
  • devrions prévenir la concentration du pouvoir économique qui porte atteinte aux conditions de possibilité d'un épanouissement humain authentique
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    Fiche de lecture faite par Dominique Méda : "L'Eloge du carburateur est un plaidoyer en faveur du travail manuel, qui déroule une critique implacable des politiques systématiques d'allongement de la scolarité et des visions optimistes qui conçoivent l'avenir du travail sous la forme radieuse de la "société de la connaissance", et de son armée de "manipulateurs de symboles" et de travailleurs intellectuels."
Aurialie Jublin

Le « free seating » ou la liberté de ne plus avoir de siège au boulot | Rue89 Eco - 1 views

  • Même Accenture a dû revoir sa méthode, qui avait été poussée à l’extrême : il fallait réserver à l’avance sur l’Intranet un créneau horaire. Une place en open space était alors attribuée de manière aléatoire. Difficile de manager dans ces conditions, se souvient un ancien cadre dirigeant : « Comme l’équipe se retrouvait éclatée, nous échangions par e-mail. J’ai mis quatre mois à croiser tous mes collaborateurs. En fait, personne ne se connaissait plus dans l’entreprise. D’ailleurs, on repérait facilement les nouveaux, ils disaient “bonjour” quand ils entraient dans l’ascenseur. »
    • Aurialie Jublin
       
      Extrait d'un article sur le free-seating (ne plus avoir de bureau attitré dans l'entreprise)
Aurialie Jublin

3 missions RH qui font l'entreprise numérique - 0 views

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    Les RH ont un rôle crucial à jouer lors de la transformation numérique de leur entreprise : > Recruter de nouveaux profils et les responsabiliser > Éviter les frictions entre les équipes numériques et physiques > Se numériser (aussi) pour montrer l'exemple Témoignage de Christine Lanoé (DRH d'Orange France), Franck Lapinta (Société Générale), Frédérique Chemaly (DRH de L'Occitane) et Emelyne Bourgoin (DRH de Dailymotion), recueillis lors de la conférence Web 2Business...
Aurialie Jublin

Les ressources humaines doivent-elles changer de nom ? - 0 views

  • Passée la tentation d’externaliser cette fonction de l’entreprise, l’autre solution selon lui serait de dissocier le service RH en deux : une équipe chargée de conforter les salariés dans leur travail (motivation, développement de la culture d’entreprise, bien-être…) et une autre chargée d’optimiser la composition de la force de travail pour l’entreprise (évolution des compétences en interne, recrutement, gestion du turn-over). Dans cette optique, la première équipe s’occupe des hommes et des femmes quand la seconde s’intéresse, de façon plus froide et scientifique (avec des indicateurs clés de performances), aux ressources animées de l’entreprise.
  • Faute de trouver mieux, elle préfèrerait le titre de directrice des talents humains. « Derrière l’idée de ressource, il y a la notion de quantité alors que les RH doivent mettre en avant la créativité et l’individualité des collaborateurs, au service d’un collectif », estime-t-elle.
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    "Sur LinkedIn le débat fait rage. Le post du consultant américain Bernard Marr s'interroge sur la pertinence du terme "ressources humaines". Si le premier actif d'une entreprise sont ses salariés, peut-on les considérer comme de simples ressources ?"
Aurialie Jublin

How Freelancers Are Redefining Success To Be About Value, Not Wealth | Co.Exist - 0 views

  • Time is a new currency, and successful freelancers manage, save, and spend it wisely.
  • Independent workers value community, because collaboration and camaraderie are more than warm and fuzzy feelings--they’re the foundation of success in the emerging independent economy.
  • Freelancers value eating healthy, going to the gym or practicing yoga, meditating to reduce stress, and working in spaces with plenty of light and fresh air. For a freelancer, success in work means being healthy enough--physically and mentally--to enjoy life.
  • ...2 more annotations...
  • Freelancers are shaping the new economy. As flexible schedules and ubiquitous communication become the norm, the work-life balance that we’ve always struggled for is becoming achievable. As community and teamwork become more necessary than ever to thrive, the lonely, closed-off cubicle will make way for meaningful collaboration. And as the demand for healthy food and workspaces increases, industry will increasingly connect corporate profits and social good.
  • The American workforce is changing, and the definition of success is changing with it. For freelancers, freedom in work, health in life, and community in both are the ticking hands on the new gold watch.
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    "The old model of slaving for 40 hours a week in exchange for a paycheck is eroding. When you can control your own time, you can control your own well-being--and that might be worth more than money."
Aurialie Jublin

La génération Y réclame plus d'éthique et d'innovation aux entreprises - 0 views

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    "Les salariés de la génération Y représenteront demain 75% des effectifs professionnels à travers le monde. Deloitte leur consacre une nouvelle étude."
Aurialie Jublin

Innovation: Ce silence qui tue votre entreprise | Le blog de Philippe Silberzahn - 0 views

  • Alors voilà, petit conseil d’ami. Sachez d’abord que je n’ai pas de recette miracle pour vous rendre plus innovant. Personne n’en a. Ou si, peut-être un seul: dégagez le passage. Laissez faire vos employés. Ils en savent plus que vous. Ils sont aujourd’hui sur-éduqués. Sur-connectés. Sur-créatifs. Plus au contact des clients que vous. Je suis chaque fois effaré par le nombre d’idées intelligentes que n’importe quel employé de votre entreprise peut avoir en dix minutes de discussion, et par leur degré de lucidité sur la situation de celle-ci. Alors laissez-les parler. Vous souhaitez vraiment interdire quelque chose? Vous y tenez? Alors interdisez le silence, ce silence qui vous tue comme il a tué la Tchécoslovaquie socialiste*. Et dégagez vos stratèges en culotte courte et cravate, ils sont inutiles; des stratèges, des vrais, vous en avez des milliers et ils travaillent déjà pour vous. Ils sont même plus attachés à votre entreprise que vous, qui souvent n’êtes que de passage. Laissez-les s’organiser. A qui allez-vous faire croire qu’ils ne peuvent pas se contrôler, si vraiment on veut du contrôle, en plus de dix minutes par jour? A-t-on idée du gaspillage que représente ces 30% consacrés au contrôle? Là encore, dégagez. Au revoir!
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    "Donc je résume: vous dépensez des fortunes pour recruter des gens intelligents, puis vous faites en sorte qu'ils consacrent 30% de leur temps à vous rendre des comptes et à surveiller leurs subordonnés. Vous leur interdisez de parler. Et si par malheur l'un d'entre-eux s'avise d'essayer quelque chose et que ça ne réussit pas, cet échec restera comme stigmate pour le restant de ses jours parmi vous. S'il reste. Et avec tout ça, vous me dites vouloir innover? De qui vous moquez-vous?"
Chamila Puylaurent

Pourquoi il faut rebâtir la "maison travail" - 0 views

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    "Parce que la révolution individualiste est en train de bouleverser le monde du travail et avec elle une économie de plus en plus aléatoire, il est nécessaire de repenser notre modèle social et notre façon d'appréhender nos carrières. Dans l'ouvrage « Travailler pour soi », l'auteur Denis Pennel nous invite à en comprendre les tenants et les aboutissants et propose des recommandations concrètes pour adapter nos acquis sociaux à ces nouveaux paradigmes du travail"
hubert guillaud

Les pionniers des données nous regardent travailler - FT.com - 1 views

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    Le Financial Times revient sur Evolv, une société pionnière dans l'analyse des données des employés. Pour les centres d'appels et les banques qui utilisent ces conseils, les effets semblent immédiats. Bank of America a mis en place des pauses collectives permettant d'augmenter de 23% la performance et faisant chuter le stress de ses employés de 19%, après avoir constaté que les travailleurs les plus productifs étaient ceux qui prenaient des pauses ensemble, leur permettant de se défouler et de partager des conseils pour mieux gérer les clients difficiles.
Aurialie Jublin

Recruteurs cherchent "gens bizarres", "procastinateurs" et "habitués à l'échec" pour réussir transformation numérique - 0 views

  • Pour la sociologue Brené Brown, un “inconfortable sentiment de vulnérabilité” est aujourd’hui nécessaire pour faire du “bon travail”. Une vulnérabilité qui s’exprime parfois dans un trop-plein de perfectionnisme : la procrastination, tendance à tout remettre au lendemain, réaction d’auto-défense et d’inhibition face à la performance et la perspective de l’accomplissement d’une tâche.
  • Une autre raison, plus fondamentale, tiendrait à l’évolution même du monde du travail, de plus en plus “déstructuré“. Entendre, faisant de plus en plus appel à l’autonomie, entre un management plus horizontal, une entreprise appelée à être de plus en plus décloisonnée et la nature même des fonctions allant en se complexifiant et se recomposant en permanence. La “transformation numérique”,  enjeu d’actualité pour les entreprises qui sont en voie de répercuter les conséquences de la révolution numérique dans leurs business models et leurs organisations, nécessite ainsi la “remise en question permanente”
  • Notant qu’à Google, “la proportion de gens sans diplôme universitaire a augmenté avec le temps”, Laszlo Bock dessine un avenir du recrutement où, loin des algorithmes, les références et les qualifications ne sont pas gages de succès. L’entreprise dispose de trois critères-clés pour assurer un bon recrutement : Plus que le QI et même l’expertise, les capacités cognitives telles que la capacité à apprendre et la curiosité Le leadership, mais un leadership moderne, dit “leadership émergent”, qui correspond à la capacité critique à savoir “prendre le lead” mais aussi, lorsqu’il le faut, renoncer au pouvoir et L’humilité et la maîtrise de soi, notamment l’humilité intellectuelle et une attitude collective de “problem-solving”
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    "Google engage de moins en moins de jeunes diplômés sortis de grandes universités prestigieuses. Un signe pour l'avenir du recrutement ? La capacité à savoir échouer, nouvelle vertu cardinale dans la recherche d'emploi ? Alors que les jeunes entrepreneurs vont jusqu'à se rencontrer dans des Fuck Up Nights pour partager leurs échecs, les recruteurs semblent également de plus en plus se tourner vers ces profils aptes à "rater avec grâce"."
abrugiere

Du salarié sédentaire et soumis à un individu libre et nomade | Atlantico - 2 views

  • Les aspirations à l’autonomie de l’individu, qui jouent un rôle moteur dans la fin de la société salariale sont, d’une certaine manière, la résurgence de cette contestation du contrôle total qu’a imposé le modèle industriel et qu’il ne peut plus justifier à partir du moment où sa contrepartie, assurer une sécurité de l’emploi, n’existe plus.
  • Le chômage de masse apparaît à partir du premier choc pétrolier de 1973, qui n’est que le premier acte de la fin du monopole industriel des États-Unis et de l’Europe
  • Le changement social que constitue le retour de l’autonomie de l’individu dans les processus de production est tout aussi révolutionnaire. Le mode de management et de régulation des rapports sociaux dans l’entreprise va tenter de s’adapter à cette nouvelle donne. On a commencé doucement avec les horaires flexibles, pour, par touches successives, revenir à une individualisation des salaires, de la gestion des compétences, de la formation, à la fixation d’objectifs personnalisés, aux entretiens annuels, à la notation des performances. Le salarié s’est "réindividualisé", mais au prix du stress de l’adaptation permanente que nécessitent l’enrichissement des tâches et les changements d’organisation, de la comparaison avec les autres, avec les cercles de qualité, les tableaux de bord, et même parfois les tableaux d’honneur affichés dans les locaux, le contrôle des pairs impliqué par le travail en équipe.
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    Les aspirations à l'autonomie de l'individu, qui jouent un rôle moteur dans la fin de la société salariale sont, d'une certaine manière, la résurgence de cette contestation du contrôle total qu'a imposé le modèle industriel et qu'il ne peut plus justifier à partir du moment où sa contrepartie, assurer une sécurité de l'emploi, n'existe plus Le chômage de masse apparaît à partir du premier choc pétrolier de 1973, qui n'est que le premier acte de la fin du monopole industriel des États-Unis et de l'Europe. C'est la montée en puissance, non perçue à l'époque, des pays émergents, la limite de la production de masse standardisée et indifférenciée, l'irruption des technologies de traitement de l'information. Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/comment-on-est-passe-salarie-sedentaire-et-soumis-individu-libre-et-nomade-jean-pierre-gaudard-638206.html#ooaLi0Mpm7wVtgCQ.99
Aurialie Jublin

How GitHub Works - 0 views

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    "The three posts are: Hours are Bullshit Be Asynchronous Creativity is Important"
Aurialie Jublin

La confiance dans l'humain comme règle - 0 views

  • Un exemple concret : le système U&I mis en place permet à n’importe qui dans l’organisation de remonter des problèmes, qui remontent les échelons hiérarchiques si personne ne sait y répondre. Le tout de manière visible et transparente sur l’intranet. Cela permet de partager les problèmes, bien sûr, mais aussi met chaque employé dans la dynamique de potentiellement y répondre.
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    Résumé du livre "Les employés d'abord, les clients ensuite" de Vineet Nayar - la confiance à travers la transparence - inverser la pyramide organisationnelle - redéfinir le rôle du PDG
julien camacho

Comment comprendre et optimiser l'entreprise « agile » - 2 views

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    Alors que les applications mobiles professionnelles ne cessent de se développer, il est primordial d'optimiser l'information des connaissances, sa gestion, son partage, son accès ou sa diffusion à tous les collaborateurs de l'entreprise.
Aurialie Jublin

Le travail peut-il à nouveau nous faire vivre ? - RH info - 1 views

  • Il faut dire que les contextes qui permettaient à une personne de trouver une raison stable pour s’impliquer dans son travail sont en grande partie révolus. Les comportements cyniques en matière sociale ont fait tomber les illusions ; la réduction du syndicalisme et le management par la « stress-performance » se sont forgés au prix d’un individualisme accru ; le sens de l’œuvre et du service s’est noyé dans la violence du marché ; les comportements hyper courts-termistes des actionnaires et des investisseurs ont souvent détruit la logique entrepreneuriale et la cohérence des projets ; la valeur s’est déplacée du travail sur l’argent ; les cadres et les experts n’ont plus de scrupules à faire jouer la concurrence entre les entreprises et leur fidélisation est souvent devenue un vrai casse-tête.
abrugiere

7 (fausses) raisons pour ne pas lancer une démarche d'innovation collaborativeMotivationFactory|Management de l'innovation, motivation de réseaux|Logiciels collaboratifs et sociaux - 1 views

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    On n'arrête pas de se le répéter : L'innovation est un puissant levier de compétitivité pour l'entreprise Le collaboratif est un mode de travail qui apporte efficacité et performance au quotidien Et pourtant… on constate que plus de 70% des entreprises françaises tardent à intégrer le collaboratif dans leur culture et leurs pratiques managériales*. Pourquoi ce décalage entre la déclaration d'intention et la réalité ? La crise me direz-vous… Le manque de budget… Soit. Néanmoins, à côté du contexte économique (OK, qui est une vraie raison), nous avons listé les 7 excuses le plus souvent rencontrées (qui nous paraissent être de fausses raisons). Et totalement surmontables !
Aurialie Jublin

Challenges (18/11/2013) - Comment les entreprises veulent supprimer le code du travail - 0 views

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    L'association Entreprise et Progrès veut en finir avec "le tabou du temps de travail qui paralyse le dialogue social". Son idée: se pencher sur le temps de la vie (pro et perso) 7 jours sur 7.
Chamila Puylaurent

En période de crise, certains projets RSE valent mieux que d'autres - 0 views

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    "Les valeurs "collaboration", "engagement" ou "agilité" sont sur les lèvres de tous les dirigeants. Pourtant les tensions économiques contraignent les budgets et les projets collaboratifs ne sortent pas nécessairement gagnants dans les arbitrages." Le dirigeant de Lecko revient ici sur les grosses problématiques des entreprises qui veulent mettre un place un RSE...
anonymous

"L'entreprise doit se démocratiser ou elle finira comme les régimes d'Europe de l'est" affirme Denis Pennel - 0 views

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    Quand le travail s'adapte à l'individu et non plus l'inverse. Les effets positifs de la montée de l'individualisme dans le rapport au travail : vers une révolution démocratique de l'entreprise selon Denis Pennel, auteur de "Travailler pour soi".
Aurialie Jublin

La mondialisation en France: qui est in, qui est out? | Slate - 1 views

  • «Ce n’est donc plus la division du travail qui est essentielle, mais son envers tellement oublié, la coopération. Ce qui fait la performance, dans tous les domaines, c’est la qualité de la relation entre les parties prenantes: concepteurs, exploitants, vendeurs, sous-traitants et bien sûr usagers, dont le retour d’expérience est crucial.»
  • On est donc passé d’un monde professionnel répétitif et routinier, mais prévisible, comme celui décrit par Orwell, à cette fluidité un peu désarmante où tout change tout le temps et où il faut faire preuve d’initiative. La fin d’un salariat «pépère»? En tout cas, une nouvelle attitude est attendue des travailleurs, qui ne sont plus seulement des bras et des cerveaux mais, dans un nombre croissant de métiers, des individus jugés sur leur comportement…
  • Ainsi, le travailleur se met désormais en jeu «en tant que personne» dans son travail: «Y compris pour des tâches banales, dès lors qu’elles sont mal cadrées, on n’entend plus: “Tel travail est bien ou mal fait” mais: “Untel est bon, mauvais ou nul”.»
  • ...1 more annotation...
  • A mesure que la coopération a pris de l’importance et que les compétences «relationnelles» sont devenues cruciales, l’apport de chaque employé est devenu plus difficile à évaluer individuellement, à quantifier. Un certain flou artistique dans les organisations, aggravé par le «zapping permanent des dernières modes de management qui font vivre l’industrie du consulting», déstabilise les collectifs de travail. Le syndrôme du bullshit job n’est pas loin... L’idée de faire de sa compétence, et même de sa personne, une marque sur un marché concurrentiel, avec ses atouts distinctifs, a pu éclore dans un tel contexte. Dans la postface du Nouveau monde industriel, Pierre Veltz écrivait: «Le besoin d’attirer le regard sur sa propre performance privilégie exagérément les qualités de séduction. Il alimente les guerres sourdes du ressentiment entre ceux qui pensent maîtriser mieux le savoir-faire que le faire-savoir et ceux qui, à l’inverse, savent mieux “se vendre”.»
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    "Comment la mondialisation a-t-elle changé la vie au travail? Internet détruit-il les emplois des classes moyennes? Mon coiffeur doit-il ouvrir un compte LinkedIn? Réponses du sociologue et économiste Pierre Veltz sur les grands bouleversements du travail."
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