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Aurialie Jublin

Etudes - les Français et le travail pendant les vacances - 0 views

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    Un quart des actifs français (26%) disent continuer à travailler pendant leurs vacances, selon une étude d'OpinionWay pour VoyagerMoinsCher.com publiée jeudi 28 juin. Parmi ceux-là, près des deux-tiers (62%) consultent leurs mails au moins une fois par jour, via l'ordinateur ou le smartphone. Au total, près de la moitié des actifs sondés (42%) disent ne pas "arriver à décrocher totalement du travail" en vacances. Un bonne partie sont joignables à tout moment sur téléphone portable (42%) ou consultent leurs mails (38%), d'autres prennent des contacts, font des courriers professionnels, s'informent, etc (20%).
Aurialie Jublin

24 heures de la vie d'une chômeuse : « Tu fais quoi de tes journées ? » | Rue... - 0 views

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    "Candidatures, rendez-vous foireux... L'agenda d'Eléonore est toujours plein à craquer mais son entourage s'inquiète : « Tu te fais des expos ? Tu vas te balader ? »" « Contrairement à ce qui est inscrit dans l'inconscient collectif, et dans le langage, être sans emploi n'est pas synonyme d'être sans activité, écrit-elle à Rue89. Mon agenda est toujours plein à craquer, je me réveille à une heure où nombre de mes amis chaudement protégés par un CDI roupillent tranquillement en rêvant à leurs prochaines vacances (le sans-emploi, lui, n'a jamais de vacances), et je me couche quand ces derniers trinquent à l'achat d'un appartement (le sans-emploi, même optimiste, a rarement des occasions pour trinquer). »
Aurialie Jublin

Les enfants gâtés de la Silicon Valley - 2 views

  • "Le mot 'talents' est devenu extrêmement populaire. Mais si une entreprise offre ces avantages à tout le monde, alors il s'agit simplement d'un synonyme pour employés", estime David Lewin, professeur en ressources humaines à l'université de Californie à Los Angeles, soulignant que certains postes pourraient être facilement pourvus sans.
  • Le coût annuel de ces politiques peut se chiffrer à plusieurs dizaines de milliers de dollars par employé. Mais les entreprises assurent être gagnantes. Chez Google, on explique que les repas gratuits permettent de favoriser les rencontres et les échanges entre les équipes, d'où naissent parfois des idées inattendues. Avec trois repas offerts par jour, les salariés sont incités à rester plus longtemps sur leur lieu de travail. Et les navettes gratuites équipées de Wi-Fi qui relient San Francisco aux différents campus de la Silicon Valley, c'est potentiellement deux heures de travail en plus par jour !
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    "Etre payé pour partir en vacances ? Chez Evernote, c'est possible. La start-up californienne, connue pour son service de prise de notes en ligne, offre 1 000 euros à chacun de ses salariés réalisant au moins un voyage d'une semaine par an. Et ce n'est pas tout : la jeune société pratique également les congés illimités. "Nous voulons encourager nos salariés à prendre les vacances qu'ils méritent, sans limitation." "Snacks à volonté, massages, yoga, fitness, coiffeur, blanchisserie, ménage à domicile, journée consacrée à un projet personnel, subventions pour acheter une voiture électrique, prime pour la naissance d'un enfant, tablettes, smartphones et autres gadgets informatiques... La liste des perks - certains gratuits, d'autres à prix réduits - est longue."
julien camacho

In a hyper-connected world it is healthy to ... | Social Media Info... - 1 views

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    Une infographie sur la déconnexion volontaire pour bine profiter de ses vacances.. pour celles et ceux qui en auront.
Aurialie Jublin

Nouveau ! Après les congés payés et les RTT : les vacances à volonté - Le nou... - 2 views

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    "Chez Evercontact, c'est tous les jours la fête du travail, potentiellement. La start-up française permet à ses salariés de prendre autant de jours off qu'ils le souhaitent..."
Aurialie Jublin

Les salariés et le stress électronique - Baromètre 2012 - 0 views

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    La première vague du baromètre BVA - TRYANE, destiné à évaluer l'impact du stress technologique sur les salariés en France, montre que 86% des salariés traitent immédiatement leurs emails ou au plus tard dans la journée. Un traitement qui demande un temps non négligeable : 26% y consacrent plus d'une heure par jour(37% des cadres).  Selon l'enquête BVA, 61% des salariés qui ont accès à leurs mails professionnels en dehors du bureau les consultent régulièrement le soir. Ils sont près d'un sur deux (47%) à les consulter régulièrement le week- end ou pendant les vacances (43%). Cette consultation est source de stress pour près d'un salarié sur deux. L'utilité globale des mails est reconnue mais de manière assez nuancée. Une partie des mails reçus est ainsi perçue comme inutile.
julien camacho

"Patrons ! Soyez curieux ! Twittez !", lance Françoise Gri - 0 views

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    Françoise Gri est sans doute l'une des dirigeants les plus "geeks" de France. Ecrivant régulièrement sur son blog francoisegri.com depuis 2009, la directrice générale de Pierre&Vacances, ancienne présidente de Manpower en France, fait partie de ces patrons qui tweetent (depuis deux ans). Dans son dernier billet, elle invite ses confrères et consoeurs à ne pas se méfier de Twitter mais à s'en emparer au nom de la curiosité. Morceaux choisis.
Aurialie Jublin

Avec le «co-living», vous pourrez bientôt vivre sur votre lieu de travail (ou... - 0 views

  • Ce promoteur immobilier d’un nouveau genre proposera dans ces résidences un mode de vie hybride, réalisant la jonction parfaite entre travail, loisirs et vie privée. Il s’agit d’immeubles réhabilités et dont l’intérieur est réagencé pour permettre aux travailleurs indépendants de disposer d’un micro-appartement et d’espaces de travail et de vie commune. Le ménage, l’entretien et même les courses sont réalisés par le personnel, de sorte que les co-livants peuvent se concentrer exclusivement sur leur travail.
  • WeWork s’adresse aux travailleurs indépendants des secteurs créatifs et numériques ainsi qu’aux professions libérales (avocats, comptables, consultants), la «WeGeneration», qui adhèrent sans réserve au mythe high-tech californien: s’enrichir en poursuivant sa passion et en se réalisant totalement dans son travail, perçu comme une «mission» pour «changer le monde» ou à tout le moins l’améliorer.
  • Alors que la force de travail intellectuelle aux États-Unis a grossi les bataillons des travailleurs freelance, WeWork proposait non seulement le «gîte» à ces travailleurs atomisés, mais également de l’accompagnement et un sens de la communauté pour lutter contre la solitude. Les tarifs démarrent démarrent à 45 dollars par mois pour l'accès «flexible» aux espaces de travail communs, et à 450 dollars pour une utilisation à plein temps.
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  • Son modèle de location (WeWork n’achète jamais ses immeubles) le rapproche de leaders de l’économie de plateforme et de mise en relation comme les célèbres Uber et Airbnb, ayant en commun de ne pas investir en priorité dans le capital matériel.
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    "Le mode de vie des habitants des résidences WeLive réalisera la jonction parfaite entre travail, loisirs et vie privée. Il fallait bien que ça arrive un jour. Le dernier avatar de l'idéologie californienne, selon laquelle chacun doit se réaliser par son engagement monacal dans le travail, tout en évoluant dans des environnements sociaux à cheval entre le camp de vacances scout et l'open space, se nomme le co-living, et il est malheureusement déjà plus qu'une tendance abstraite ou qu'un hashtag creux."
Aurialie Jublin

Le congé parental "illimité" chez Netflix, progrès ou arnaque - 0 views

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    "La direction sait que les salariés ne vont pas vraiment prendre tous ces congés." Et de citer l'exemple de l'entreprise allemande Travis CI, qui a adopté un programme de congés payés illimités, avant de finalement revenir sur sa décision, après avoir remarqué que la conséquence de cette mesure était que les salariés hésitaient à s'absenter, de peur d'être celui qui prend le plus de vacances. "C'est devenu une course à celui qui en prendra le moins, au lieu d'être une marche vers une entreprise reposée et heureuse", explique le PDG de l'entreprise dans un post de blog."
Thierry Nabeth

European Commission: Grand Coalition for Digital Jobs - 0 views

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    The Commission is leading a multi-stakeholder partnership to tackle the lack of ICT skills and the several hundred of thousands of unfilled ICT-related vacancies.
Aurialie Jublin

Gandi laisse une semaine à ses salariés pour innover en toute liberté - 0 views

  • La Free Week est également l'occasion pour les salariés de mélanger les équipes et de faire appel à des compétences inhabituelles. «Cela permet de casser les carcans, insiste Aurélien. Nous comprenons mieux le travail de l'autre, nous partageons nos connaissances. L'essentiel reste de se faire plaisir.»
  • Pour déceler cette «valeur ajoutée» propre à chaque candidat et les aider à se familiariser avec la culture d'entreprise de Gandi, un test de compatibilité avec les équipes est disponible sur le site de l'entreprise. Le candidat doit ainsi préciser s'il préfère le ping-pong ou le babyfoot, le roller ou la trottinette… Au bout d'une dizaine de questions, un message affiche le pourcentage de «Gandiens» qui ont choisi les mêmes réponses que le candidat. Une étape de recrutement peu conventionnelle mais qui colle à l'esprit participatif de l'entreprise. «Il n'y a pas de case, pas de titre, très peu de hiérarchie, acquiesce Nicolas Lhuillery. Tous nos employés deviennent actionnaires au bout de six mois.»
  • La mobilité interne permet également à certaines recrues de changer rapidement de poste et de se découvrir des compétences dans des domaines insoupçonnés. «Un développeur peut se retrouver chef de projet s'il est plus à l'aise», glisse Nicolas Lhuillery dans un sourire. Parce qu'à Gandi, le bien-être d'un salarié témoigne de la santé de l'entreprise.
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  • Mise en place il y a trois ans, la Free Week est rapidement devenue un événement très attendu. Pendant que la direction prend des vacances, la centaine de salariés que compte la PME travaille parfois nuit et jour sur les projets de son choix.
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    "Inspirée du management de Google, la «Free Week» de la société française permet aux salariés d'exprimer leur créativité. L'entreprise fait du bien-être de ses employés un élément central de sa réussite."
Thierry Nabeth

America is no-vacation nation -- Salon, 26 August 2013 - 0 views

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    The US is the only developed economy without legally mandated vacations and it's costing us more than just money
Aurialie Jublin

Et pourquoi pas des congés illimités ? - 4 views

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    Exemple de sociétés qui ont proposer à leurs cadres de prendre un congés de 6 mois, voire autant de congés souhaités, tant qu'ils remplissent leurs objectifs. Le but des ces structures : le bien-être au travail, mais aussi attirer de nouveaux talents et/ou booster les équipes.
Aurialie Jublin

Comment Google surveillera ses salariés pendant 100 ans pour optimiser sa pol... - 1 views

  • L’entreprise américaine communique en effet de manière récurrente sur son approche scientifique des RH, comme le rappelait récemment son VP People Operations, Laszlo Bock, qui a contribué à réintroduire une dose de “certitude scientifique dans la manière dont on construit de bons environnements de travail, dont on maintient une culture de la très haute performance auprès de ses équipes, dont on maximise la productivité ou on améliore le bien-être”.
  • Depuis déjà plusieurs années, Google a quant à lui développé la data analysis  et une logique de R&D sur tous les pans ou presque de sa politique RH, afin d’“apporter le même degré de rigueur dans les décisions humaines que dans l’ingénierie“ – avec deux limites clairement posées, confidentialité et transparence : mise en oeuvre de KPI pour développer le leadership (Projet Oxygène) ; utilisation de méthodes de recherche et développement pour optimiser productivité, bien-être au travail… ou santé, en arrivant par exemple à la conclusion que la réduction de la taille des assiettes, à la cantine, réduirait l’apport calorique moyen (le “People & Innovation Lab”, modèle d’innovation RH “data-drivée” en voie de se répandre) ; développement d’un algorithme mathématique et de modèles prédictifs pour anticiper les envies de départ des collaborateurs, augmenter la diversité dans sa politique de promotion ou calculer la probabilité d’un recrutement réussi (“Project Janus”) ; etc.
  • La première session de gDNA, qui, espère le DRH, sera reproduite tous les ans pendant un siècle, a permis de distinguer deux catégories de “Googlers” : les “segmenteurs” (31% des salariés) dressent une barrière psychologique entre le stress du travail et le reste de leur vie : ils semblent peu affectés par la porosité – accrue par la technologie – entre les deux mondes et font de la déconnexion un élément important de bien-être  ; les “intégrateurs” (69% des salariés) vivent quant à eux un plus grand continuum entre vie professionnelle et vie personnelle, qu’il s’agisse d’actualiser frénétiquement son application boîte mail sur son smartphone avant d’aller se coucher ou de réserver ses prochaines vacances entre deux réunions. Avec le bien-être à la clé ? gDNA nuance : la moitié de ces intégrateurs souhaiteraient davantage “segmenter”.
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  • “Les datas de gDNA nous permettent de moduler nos pratiques RH en anticipant les besoins des salariés“, explique Laszlo Bock : et si le DRH précise que c’est sur le long terme que la “People Science” pourra dessiner de grandes tendances et appréhender le futur du travail, elle permet dès aujourd’hui d’adapter sa politique aux besoins réels. En l’occurrence : le design d’environnements de travail facilitant la déconnexion, une initiative – aux effets, positifs, quantifiés – obligeant les salariés à éteindre leurs devices (ou apps) professionnels en passant par l’accueil avant de rentrer chez eux, mais aussi, au quotidien, un management adapté auprès des segmenteurs, les encourageant notamment à ignorer les e-mails en dehors des heures de travail.
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    "Google collecte les données des utilisateurs... mais aussi celles de ses salariés. L'une des clés du succès de la firme américaine, qui a dépassé début février Exxon au rang de deuxième capitalisation boursière du monde, serait précisément l'approche scientifique de sa gestion RH. Cas d'école, avec une étude centenaire pour anticiper le futur du travail et mettre le bien-être en datas."
Christophe Gauthier

Peut-on encore ne pas travailler ? | Anthony Masure - 0 views

  • Le consommateur de la société hyperindustrielle est un consommateur qui se déqualifie à toute vitesse — et qui du même coup se désindividue, comme l’avait montré [Gilbert] Simondon pour le producteur. Il ne sait plus « faire à manger », il ne sait plus compter. Bientôt il ne saura plus conduire, sa voiture conduira toute seule. Les consommateurs sont préformatés dans leurs comportements de consommation, téléguidés, conditionnés, et, comme dit [Gilles] Deleuze, « contrôlés »
  • Ainsi, quand je like, que je commente ou que je publie un message publié sur média social, je renforce sa valeur financière en générant du temps d’activité (qui apparaîtra dans son bilan d’activité), en créant du contenu (qui pourra générer d’autres interactions), et en lui fournissant des informations personnelles (métadonnées : heure et lieu de connexion, etc.).
  • Selon Hannah Arendt, le « domaine public » se caractérise par le fait que chacun peut voir et entendre la place de l’autre, différente de la sienne
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  • Sans cette distinction, il ne saurait exister de lieu de rencontre, et donc de débat politique. Aussi, ces activités quotidiennes économisées en jeu (« gamifiées ») pour ne pas paraître laborieuses posent directement un problème politique, tant que les revenus dégagés (soustraits en grande partie à l’impôt) et que les modes de gouvernance (qui prennent la forme de « conditions d’utilisation » formulées pour ne pas être lues) échappent à la délibération collective — et se placent dès lors hors du domaine public qui caractérisait encore les « marchés d’échange » du capitalisme naissant. Evgeny Morozov parle ainsi de « réglementation algorithmique
  • » pour pointer le fait que chacune de nos actions est susceptible d’être enregistrée, quantifiée et corrigée, y compris par des États.
  • Aussi, plutôt que de chercher à sauver l’emploi, qui comme nous l’avons vu, a largement perdu de sa consistance, il faut plutôt œuvrer à redonner du sens au travail — compris non pas comme une souffrance (labeur) ou comme une activité récurrente s’épuisant dans la consommation, mais plutôt, au sens moderne du terme, comme l’idée d’« effectuer un exercice », de « fonctionner » (en parlant d’une machine) ou encore de « pouvoir être façonné » (« se travailler »)
  • Un tel design, inemployable, c’est-à-dire qui ne participe pas d’une instrumentalisation des relations humaines, n’est pourtant pas sans valeur. Les projets réalisés par l’architecte et designer Ettore Sottsass dans les années 1970 sont à ce titre révélateurs d’une démarche interrogeant les fondements de la culture industrielle, et plus globalement « des lois, des habitudes et du vocabulaire de la culture rationaliste
  • Alimentant et tirant profit de la disparition des métiers, voire des professions, des sociétés « de service » fournissent clé en main nourriture, amour, vacances, connaissances, langues, éducation, loisirs
  • peut-on encore ne pas travailler ? Pour répondre à cette question, il faut tout d’abord examiner la mutation de la notion de métier en profession à l’époque des Lumières, puis le développement du capitalisme
  • Cette première séparation conceptuelle entre les capacités techniques d’un individu et leur asservissement (voire leur aliénation) au sein de tâches d’exécution recouvre déjà des problématiques contemporaines :
  • est-il certain que toutes les compétences qu’un individu est en capacité d’exercer et de développer s’épuisent dans leurs applications économiques ?
  • C’est précisément cet écart qui sépare le travail de l’emploi
  • mince est la limite entre des emplois salariés, pour lesquels il faut en faire toujours plus, et une myriade de micro-tâches non rémunérées, qui donnent l’impression de travailler jour et nuit
  • Au capitalisme industriel (concentration des moyens de production) se sont ainsi ajoutés le capitalisme financier (ère de la spéculation et domination des institutions financières) puis le capitalisme cognitif
  • le design peut permettre de répondre à la question de départ, à savoir qu’il s’agit moins de chercher à ne pas travailler
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    "Tandis que le travail, en crise, est de plus en plus recherché, mince est la limite entre des emplois salariés, pour lesquels il faut en faire toujours plus, et une myriade de micro-tâches non rémunérées, qui donnent l'impression de travailler jour et nuit. Autrement dit : peut-on encore ne pas travailler ? Afin de traiter ce paradoxe, nous examinerons tout d'abord le passage du métier à des professions employées à faire croître le capital. Ensuite, après avoir vu en quoi l'époque contemporaine pourrait signer une possible « mort de l'emploi », nous analyserons en quoi le développement du « labeur numérique » (digital labor) et des objets supposément « intelligents » (smart) brouille la distinction entre le temps libre et le temps travaillé. Afin de sortir de ces impasses, nous nous demanderons si le design, en tant que travail de « qualités » inutiles, pourrait permettre d'envisager de nouveaux rapports au temps."
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