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Aurialie Jublin

Quand le temps de travail déborde sur le temps personnel... - UdeMNouvelles - 0 views

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    Qq conclusions (connues) sur la limite de plus en plus fou entre tps de travail et tps pers, d'une chercheuse québécoise, Mme Genin. Elle est à mi- chemin de son projet de trois ans et veut approfondir le volet qualitatif de ce phénomène en observant des éléments comme les stratégies qu'adoptent les travailleurs concernés par ces changements, les répercussions sur la vie de famille et le rapport au travail. L'articke dit aussi qu'il y aura aussi un volet théorique portant sur les pratiques et structures «relatives aux différentes temporalités dans lesquelles évoluent les individus». En plus de jeter un nouvel éclairage sur un monde du travail en mutation, notamment en comparant la situation du Québec avec celle de la France, la recherche a pour objectif d'informer les gestionnaires des «avantages et dangers potentiels de la restructuration des espaces et du temps de travail».
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    Voilà la chercheuse dont il est fait référence dans l'article : http://www.eri.umontreal.ca/personnel/Emilie_Genin.htm Et voilà le lien d'une de ces enquêtes "Remodelage des temps et des espaces de travail chez les travailleurs indépendants de l'informatique : l'affrontement des effets de marchés et des préférences personnelles" : http://temporalites.revues.org/1111
Aurialie Jublin

Le problème avec la mobilité, c'est qu'elle vous suit partout (2) - Etherciel - 0 views

  • Les systèmes de messagerie permettent en effet de laisser un message en cas d'absence, qui sera systématiquement adressé en réponse à tous les courriels. Depuis le "Absent jusqu'au xx, messages non lus" jusqu'au "je consulte mes messages et ferai en sorte de vous répondre aussi vite que possible", en passant par tous les stades de "messages lus épisodiquement" ou "m'appeler en cas d'urgence", la pratique a déjà inventé différents paliers de disponibilité. Ces paliers mériteraient d'être formalisés, prévus et organisés au niveau collectif, plutôt que laissés à la fantaisie des salariés ou à l'arbitraire des patrons. Ce que les salariés "absents" définissent ainsi sont des niveaux de service, des paliers de pression, des temps de réponse aux sollicitations électroniques. Cette création de la pratique, improvisée par les individus concernés, pourrait passer en force de loi.
  • Les inventeurs du "droit à la déconnexion" ont oublié une étape intermédiaire importante, qui va consister à analyser l'obligation de connexion qui s'impose actuellement à des millions de salariés. Cette obligation ne saurait être combattue, elle fait partie des conditions imposées par la nature du terrain, l'Etherciel. Mais elle peut être maîtrisée, mesurée. Il faut la négocier. Et il faut souhaiter que, dans une certaine mesure, cette obligation s'efface, pour certaines plages horaires, dans le cadre d'un droit à la déconnexion qui a toute sa raison d'être.
  • Dans un souci de cohérence, un "droit à la mobilité" pourrait être reconnu : droit de travailler depuis n'importe quel point sur la surface du globe. Un droit à la mobilité géographique assorti d'engagements de service apparaît comme l'autre face de l'obligation de connexion, qui tend à s'imposer, en pratique. La présence au bureau ne doit plus être le point de référence qu'elle est aujourd'hui. Puisque les outils permettent de travailler "à distance" de la même façon que au bureau,
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    Demain, comment seront fixées les conditions de travail du salarié téléchargé ? Pour tenir compte du bouleversement en cours lié à l'adoption des outils numériques mobiles, nous allons devoir redéfinir les paramètres sur lesquels se fonde la relation employeur/employé :   - droit à la mobilité géographique, concrètement je peux travailler de n'importe où, cela revient au même, alors je ne vois pas pourquoi je serais obligé de venir tous les jours au bureau pour y passer un quota d'heures   - obligation de connexion, par contre, quel que soit le lieu où je trouve, je me dois de rester en ligne, pour faire mon travail, effectuer la prestation attendue,   - niveaux de service ...et je me dois de respecter des pourcentages de disponibilité, des taux de réponse fixés à l'avance. Ces niveaux de service varient au fil de la journée. 
Aurialie Jublin

La mondialisation en France: qui est in, qui est out? | Slate - 1 views

  • «Ce n’est donc plus la division du travail qui est essentielle, mais son envers tellement oublié, la coopération. Ce qui fait la performance, dans tous les domaines, c’est la qualité de la relation entre les parties prenantes: concepteurs, exploitants, vendeurs, sous-traitants et bien sûr usagers, dont le retour d’expérience est crucial.»
  • On est donc passé d’un monde professionnel répétitif et routinier, mais prévisible, comme celui décrit par Orwell, à cette fluidité un peu désarmante où tout change tout le temps et où il faut faire preuve d’initiative. La fin d’un salariat «pépère»? En tout cas, une nouvelle attitude est attendue des travailleurs, qui ne sont plus seulement des bras et des cerveaux mais, dans un nombre croissant de métiers, des individus jugés sur leur comportement…
  • Ainsi, le travailleur se met désormais en jeu «en tant que personne» dans son travail: «Y compris pour des tâches banales, dès lors qu’elles sont mal cadrées, on n’entend plus: “Tel travail est bien ou mal fait” mais: “Untel est bon, mauvais ou nul”.»
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  • A mesure que la coopération a pris de l’importance et que les compétences «relationnelles» sont devenues cruciales, l’apport de chaque employé est devenu plus difficile à évaluer individuellement, à quantifier. Un certain flou artistique dans les organisations, aggravé par le «zapping permanent des dernières modes de management qui font vivre l’industrie du consulting», déstabilise les collectifs de travail. Le syndrôme du bullshit job n’est pas loin... L’idée de faire de sa compétence, et même de sa personne, une marque sur un marché concurrentiel, avec ses atouts distinctifs, a pu éclore dans un tel contexte. Dans la postface du Nouveau monde industriel, Pierre Veltz écrivait: «Le besoin d’attirer le regard sur sa propre performance privilégie exagérément les qualités de séduction. Il alimente les guerres sourdes du ressentiment entre ceux qui pensent maîtriser mieux le savoir-faire que le faire-savoir et ceux qui, à l’inverse, savent mieux “se vendre”.»
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    "Comment la mondialisation a-t-elle changé la vie au travail? Internet détruit-il les emplois des classes moyennes? Mon coiffeur doit-il ouvrir un compte LinkedIn? Réponses du sociologue et économiste Pierre Veltz sur les grands bouleversements du travail."
Aurialie Jublin

Vous apportez votre tablette perso au bureau ? La fin du salariat | Rue89 Eco - 0 views

  • Le mot d’ordre du PDG de cette société, Mark Templeton est clair : « N’importe quoi, n’importe où, n’importe quand. » Il s’agit de traiter le salarié comme un consommateur des données et de prendre en compte le fait qu’avec son ordinateur personnel et, de plus en plus, son smartphone ou sa tablette numérique, il va pouvoir accéder aux données de son entreprise en même temps qu’à ses propres fichiers personnels et, bien sûr, au Web.
  • cette fusion outil professionnel/appareil personnel prolonge le mouvement d’autonomisation des salariés. L’équation personnelle – compétences, réseau de relations et capacité à les utiliser dans le travail – compte toujours plus.
  • Les experts de Fing n’occultent pas les dangers de précarisation et d’exclusion pour ceux qui ne sauront pas s’adapter. Leur diagnostic retient cependant l’attention. Chaque individu devient responsable de son « employabilité » :
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  • 2010-2020 sera sans doute la période charnière pour le passage d’une société hiérarchique à un système de relations ouvert qui va dynamiter les organisations des entreprises et donner davantage de pouvoirs aux individus, pour le meilleur et pour le pire.
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    "Face aux aspirations à l'autonomie des salariés, les employeurs ont, jusqu'à présent, réussi à sauvegarder l'essentiel : la maîtrise de l'organisation du travail. Mais les nouvelles technologies de l'information sont en train de miner cet ordre social, en permettant la reprise en main de leur environnement de travail et de leur propre organisation par les salariés. Une sorte de re-privatisation du travail signant le délitement du salariat."
Aurialie Jublin

Les chinois coupent les nouilles en quatre : « la fin du travail » et… des hu... - 0 views

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    L'auteur de l'article traite plus de la place grandissante des robots dans notre société que de la fin du travail, mais à ce jour notre veille est plutôt orientée métier du tertiaire (ultra)connecté. Notre "individu autonome"peut-il être un ouvrier qui a perdu son travail à cause d'un robot ?
Aurialie Jublin

TaskRabbit ou l'emploi à la demande : les promesses (déçues) du futur du trav... - 1 views

  • Si TaskRabbit se présente comme le site de l’économie à la demande de demain, il suscite néanmoins de nombreuses critiques, parfois virulentes, s’attachant le plus souvent à la précarisation de l’emploi, à la baisse générale des salaires observable sur le site ou encore à la corvéabilité à merci des postulants. Consommation collaborative ou économie du petit boulot (gig economy), les ambigüités des promesses de TaskRabbit rejoignent les grandes interrogations liées à la dite « économie du partage ». Cependant, TaskRabbit pourrait bel et bien être un signe avant-coureur des structures du nouveau monde du travail, tel qu’il tendrait à l’être dans les années à venir, alors que l’emploi salarié devient minoritaire.
  • Dans un monde du travail qui n’a jamais autant fait place aux freelances, missions ponctuelles, et autres contributions irrégulières à des projets contributifs ou d’intérêts généraux, une régulation et une sécurisation des parcours seront néanmoins nécessaires pour éviter une trop importante atomisation de l’emploi fragilisant les individus. Reste à se tourner vers la protection, non plus d’emplois, mais bien de personnes, aux carrières plus mouvantes que jamais.
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    "Face à ce modèle attractif, mêlant promesses de désintermédiation, de matching (adéquation offre/demande) et d'hyper-flexibilité, beaucoup de postulants se trouvent néanmoins dans une situation délicate : la compétition accrue constatée sur ce site, notamment due au nombre d'offres postées largement inférieur au nombre d'inscrits, condamne certains d'entre eux à passer la majeure partie de leur temps les yeux rivés sur l'écran de leur smartphone, à la recherche de l'offre idéale. Une forme de précarisation qu'ils considèrent néanmoins parfois comme davantage enviable que l'inactivité."
Aurialie Jublin

Bienvenue dans l'ère du salarié caméléon - Mode(s) d'emploi - 0 views

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    "Jusqu'à maintenant, les entreprises cherchaient des moutons à 5 pattes. Dans un avenir proche, le salarié idéal ressemblera plutôt à un caméléon. C'est ce que prédit une étude du cabinet EY et de LinkedIn sur la révolution des métiers qui est déjà en marche." - Les soft skills comptent de plus en plus - Les entreprises cherchent des recrues adaptables - Emergence de nouveaux métiers - Une révolution du travail dans le temps et l'espace
Aurialie Jublin

Le modèle "collaboratif" va détruire des emplois | Le Cercle Les Echos - 1 views

  • Collaboration, intelligence collective et les concepts qui y sont liés, aident à gagner du temps, à mieux résoudre les problèmes, à raccourcir l’accès à des experts ou à des solutions. En bref, cela nous permet d’obtenir de réels gains de productivité au niveau de l’individu, de la société et de l’entreprise. Mais comme chaque fois qu’il y a gain de productivité se pose la question des traductions concrètes qu’il convient d’en faire : faut-il l’utiliser pour la croissance (produire plus avec les mêmes ressources), pour l’innovation (produire des choses nouvelles) ou pour diminuer les effectifs (produire la même chose avec moins de ressources) ?
  • Une partie des postes de cadres moyens vont disparaître. Parmi les activités des cadres moyens, celles qui consistaient à être des courroies de transmission pour aider les individus et les équipes à entrer en relation ou à se connecter à des connaissances ou des outils – dans la hiérarchie, trans-silos ou encore vers l’externe – vont disparaître avec le développement d’une culture collaborative, des annuaires "intelligents", des réseaux sociaux internes et externes.
  • Des emplois rémunérés seront remplacés par des travaux d’amateur disponibles gratuitement ou par des emplois faiblement rémunérés. Certains emplois dont la rémunération était justifiée par une valeur ajoutée difficile d’accès commencent à être remplacés par des services internet qui apportent "apparemment" une valeur similaire.
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  • En d’autres termes, une troisième économie est née, non pas souterraine et invisible, mais partout où des emplois peuvent disparaître en raison de l’explosion des usages liés aux technologies collaboratives.
  • En bref, l’approche de la seconde économie soutient que les gains de productivité globale des facteurs (productivité du travail plus productivité du capital) et l’intégration de plusieurs technologies numériques ont entrainé la disparition d’emplois au profit d’une économie comme en second plan, souterraine, entièrement automatisée. La troisième économie aura les mêmes effets sauf que la force de déplacement des emplois est les hommes eux-mêmes et non des systèmes automatisés.
  • En réalité, la collaboration est : pour la société une bonne occasion d’éliminer les coûts liés aux imperfections du marché et de se focaliser sur l’amélioration de la qualité ; pour les entreprises, un moyen permettant aux employés de se concentrer sur des tâches de haute qualité réellement productives ; et pour les cadres moyens, l’occasion d’apporter une vraie valeur ajoutée au travail de leurs équipes et des individus qui les composent.
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    Nombre de tâches intermédiaires vont disparaître, nombre d'emplois rémunérés vont disparaître du fait de la dimension collaborative de notre société et de nos entreprises. L'économie de la collaboration va faire peser une pression supplémentaire sur le marché de l'emploi, pression qui sera similaire et supplémentaire à celle qu'exerce déjà la "seconde économie".
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