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Aurialie Jublin

Où va le travail à l'ère du numérique ? - Chapitre I-4. Les métiers des TIC :... - 2 views

  • La manière de créer des « nous » dans le travail et l’organisation est empreinte d’un nomadisme, actif et / ou latent. La notion de nomadisme désigne à la fois le mouvement, la dynamique de collectif en collectif en fonction des projets et des expériences professionnelles mais aussi la volonté et la nécessité constante de travailler avec l’autre, de coopérer et de créer de la solidarité dans le travail.
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    "L'individualisation des conditions de travail et d'emploi y est omniprésente ; la technologie est au cœur du métier et du quotidien du travail ; les relations allient présence et distance ; les modes d'organisation privilégient le travail en réseau et par projets ; l'absence de règles s'érige paradoxalement en règle. La manière d'être ensemble au travail, de créer des « nous » dans l'organisation et l'activité prend la forme d'un nomadisme coopératif, c'est-à-dire une volonté et un besoin constants de s'associer aux autres à la fois pour réaliser l'activité professionnelle mais aussi pour porter un projet personnel ; mais une volonté qui ne suppose ni la préexistence, ni la pérennité des collectifs, ni leur inscription visible dans l'espace. L'engagement dans un collectif est une inscription personnelle dans un parcours collectif."
Aurialie Jublin

[Slides] Qu'est-ce que le Digital Labor ? (séminaire 26 mars 2013) d'Antonio ... - 2 views

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    La parution récente de l'ouvrage 'Digital Labor. The Internet as playground and factory', dirigé par Trebor Scholz couronne plusieurs années de recherches et fait connaître au public international un domaine émergent de réflexion autour de l'économie de la contribution d'Internet. Face aux exaltations du « don et contre-don hi-tech » et du rôle des amateurs (qui avaient marqué les études des usages TIC respectivement de la première et de la deuxième partie des années 2000), les théoriciens du digital labor pointent l'apparition d'activités sur les réseaux socio-numériques lesquelles, en tant que productrices de valeur, peuvent s'assimiler à du travail. C'est un travail banal, non spécialisé et à faible valeur marginale, comme effectuer des recherches sur Google, poster un lien sur Twitter, évaluer un produit. Mais c'est bien l'activité qui permet la création d'énormes bases de données exploitables par les géants du Web comme Facebook, ou fait vivre des plateformes d'externalisation massive du travail (crowdsourcing) comme Amazon MTurk. A partir de ce constat, bien des questions se posent : comment ce « travail numérique » réinterroge la notion même du travail et de la (co)production de la valeur ? peut-on parler d'exploitation ? nos vieux cadres d'analyse, nous permettent-ils de penser ce qui se joue là, voire de définir les contours d'un « capitalisme cognitif » ?
julien camacho

Le numérique en entreprise : les DRH out ? - France Conditions de travail, am... - 1 views

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    Co auteur d'un rapport relatif à l'impact des TIC sur les conditions de travail publié conjointement par la Direction Générale du Travail et le Centre d'Analyse Stratégique (1), Daniel Ratier répond aux questions de Metis sur les principaux risques mais aussi les nombreuses opportunités du numérique pour le travail en entreprise.
abrugiere

FTU - Association pour une Fondation Travail-Université asbl - 1 views

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    Plusieurs petits articles à lire, des co-directeurs du centre de recherche sur le Travail de l'université de Louvain - Gérard Valenduc et Patricia Vendramin - L'emploi dans le secteur des technologies de l'information et de la communication / le télé-travail rêvé, réel ou redouté / les jeunes et le travail entre attentes et désillusions / L'évolution des conditions de travail - une perspective européenne / etc. 
Chamila Puylaurent

Les quatre R de l'entreprise 2.0 - 0 views

  • En 2020, la moitié des personnes sur lesquelles une entreprise s'appuie pour développer son activité ne seront pas des salariés qui travaillent pour elle. Cette assertion un peu provocatrice figure dans l'étude annuelle 2013 du cabinet Deloitte sur les tendances RH. Elle se justifie par l'évolution d'un marché de l'emploi toujours plus ouvert et le développement de nouvelles formes du travail : modes d'organisation du travail reconçues par le numérique, extension du télétravail, externalisation, recours plus massif aux contractuels et aux talents extérieurs...
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    Economie collaborative : serons-nous nostalgiques de l'entreprise traditionnelle? "L'intrusion du numérique bouscule les business models. Au point de nous passer de la manufacture (grâce à notre imprimante 3D), de notre agence de voyage, de la détention d'une voiture. La notion même d'entreprise va-t-elle résister à cette vague déferlante ? Face à l'avenir incertain que nous prépare l'extension du numérique, devons-nous envisager de ressentir la nostalgie de l'entreprise ?"
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    "En 2020, la moitié des personnes sur lesquelles une entreprise s'appuie pour développer son activité ne seront pas des salariés qui travaillent pour elle. Cette assertion un peu provocatrice figure dans l'étude annuelle 2013 du cabinet Deloitte sur les tendances RH. Elle se justifie par l'évolution d'un marché de l'emploi toujours plus ouvert et le développement de nouvelles formes du travail : modes d'organisation du travail reconçues par le numérique, extension du télétravail, externalisation, recours plus massif aux contractuels et aux talents extérieurs... "
anonymous

The home page of Laurie Marrauld, Post-doctoral at Telecom ParisTech - 1 views

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    Post-doc à Télécom Paris tech :  "Mes travaux de recherche s'intéressent à la question de la mobilité « équipée » par les TIC (technologies de l'information et de la communication) et, plus précisément, aux facteurs d'adoption et de diffusion des nouvelles technologies de communication et de collaboration en milieu organisationnel. Dans ce cadre, nous nous intéressons à la notion du « télétravail » dans son acception la plus classique (le travail à domicile), mais également dans les réalités plus diverses qu'il pourrait aujourd'hui recouvrir. Cela signifie toutes les formes de « travail à distance » c'est-à-dire les formes d'organisation et/ou de réalisation du travail hors de la classique unité de temps et de lieu. Nous proposons une approche d'analyse sociotechnique des pratiques de travail « à distance » équipé dans la perspective de l'action située. Dans le cadre d'un projet de création d'une technologie innovante soutenu par OSEO, nous avons réalisé plusieurs études qui ont fait l'objet de rapports et de publications académiques. "
Aurialie Jublin

Entre travail et vie privée: Le chien, réponse à un meilleur équilibre dans l... - 0 views

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    De surprenantes expériences scientifiques révèlent que les chiens permettent d'atténuer les effets nocifs des événements stressants. Ils réduisent le niveau d'anxiété, la perception de solitude et de dépression. Meredith Wells et Rose Perrine, deux chercheurs en psychologie, ont mené une expérience au sein de plusieurs types d'entreprises. Celle-ci a révélé qu'amener son chien au travail influait positivement sur la psychologie du travailleur et l'organisation du travail. Le chien s'est avéré avoir le rôle de "lubrifiant social", améliorant les interactions et les conversations au travail aussi bien parmi les employés qu'entre les différents niveaux hiérarchiques, mais également avec les clients. Commentaire : le terme de "lubrifiant social" est peut être un concept à pousser un peu plus, en y incluant une notion Tic
hubert guillaud

Du social graph au work graph - Entreprise20.fr - 0 views

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    La collaboration sociale, via les fameux réseaux sociaux d'entreprise, est une pratique peu couru dans les entreprises françaises. Certes, imposer des modules sociaux ne suffit pas à faire collaborer les gens. Mais trop souvent on a proposé aux entreprises un réseau social d'employés, plutôt qu'un réseau social d'intérêts. Comme l'explique Wired - http://www.wired.com/opinion/2013/10/its-time-to-focus-on-the-work-graph-not-social-networks-at-work/ - une bonne partie de nos journées de travail ne sont pas consacrées au travail, mais à des tâches connexes. Dans ce contexte, les réseaux sociaux d'entreprises ne sont d'aucune utilité, car ils ne permettent pas de réduire le nombre de réunions ou d'e-mails. La raison est que le social graph est souvent développé à la place du work graph, consistant à mettre en relation un réseau d'entités en rapport avec le quotidien des employés (idées, taches, objectifs, processus, clients...), des informations à propos de ces unités de travail (documents, conversations, statuts, données...) ainsi que les interactions qui vont avec (alertes, commentaires, notifications...). Pour Cavazza, l'entreprise a surtout besoin d'outils complémentaires...
Aurialie Jublin

L'impact des TIC sur les conditions de travail (Note de synthêse CAS 266 ) - 2 views

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    Rapport du Conseil d'analyse stratégique - 
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    A noté entre autre la typologie des collectifs de travail que l'on peut associer aux différentes cultures et types de TIC (p6 de la version courte de la note)
hubert guillaud

Un salarié produira en 2060 autant que deux salariés aujourd'hui - Démocratie... - 1 views

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    "Les seuls chiffres du Conseil d'orientation des retraites (Cor) qui sont, aujourd'hui, mis en évidence par notre gouvernement comme par les grands médias, sont ceux du nombre de cotisants rapporté au nombre de retraités. Ce rapport démographique se dégradera : de 1,65 cotisant pour 1 retraité en 2011, il passera à environ 1,35 cotisant pour 1 retraité en 2060. C'est cette dégradation qui justifierait l'allongement de la durée de cotisation. Dans le même temps cependant, toujours selon le Cor, la productivité du travail doublera : en une heure de travail, en 2060, il sera possible de produire ce qui est produit en 2 heures de travail en 2011. A partir de là, le calcul n'est pas très difficile à faire : 1,35 cotisants en 2060 produira autant que de 2,7 cotisants en 2011. La situation sera donc bien meilleure qu'aujourd'hui."
Aurialie Jublin

Tous Talent : le réservoir de productivité des prochaines années | Le Cercle ... - 1 views

  • L’envie et la motivation intrinsèque des femmes et des hommes de ce capital est un facteur majeur de surperformance. En effet, considérons un collaborateur au 35h, son travail ne l‘occupe que 33% de son temps disponible chaque semaine. Ses capacités à s’épanouir et à s’investir peuvent alors aisément être portées par des activités hors de son temps professionnel. En revanche, si l’entreprise oriente cette capacité en fournissant à ce collaborateur tout l’espace et les moyens nécessaires pour s’investir et s’épanouir, la productivité de son temps professionnel s’en ressentira grandement. En partant de ce constat, deux options diamétralement opposées s’offrent aux entreprises pour augmenter les sources de motivation de leurs collaborateurs.
  • elle en proposant une somme de services, d’avantages et d’activités extra-professionnels réservés à leurs collaborateurs (crèches, salles de sport, activités financées, mécénat d’entreprise, journées créatives…). La seconde option tente de rendre, par une politique RH performante, le temps consacré au travail le plus motivant possible. Les populations qui passent le plus de temps au travail – les agriculteurs et les professionnels de santé – ont généralement le taux de suicide le plus important !
  • La plupart des études consacrées au capital humain montrent régulièrement que les principaux facteurs de motivation sont l’intérêt du travail, la mobilité fonctionnelle et la mise en œuvre de nouvelles compétences, l’autonomie et la responsabilisation et les perspectives d’évolution. L’ambiance au travail, des objectifs individuels motivants et le soutien du manager dans des situations difficiles sont dans le top 5 des facteurs du bien-être au travail. Par ailleurs, le premier facteur de démotivation est le manque de reconnaissance. Au regard de ces éléments, les gisements de productivité et d’innovation sont clairs : mettre en œuvre une politique RH permettant à l’ensemble des collaborateurs d’être reconnu et de se reconnaître comme des « talents » capables d’évoluer, de se développer et de s’épanouir dans leur travail.
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    "Après la productivité par l'industrialisation des processus de l'entreprise et l'intégration des TIC, l'efficience du capital humain devient le principal levier de productivité pour les dix prochaines années."
abrugiere

Andre Gorz - YouTube - 2 views

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    Le travail est une invention du capitalisme industrielle.  DAns l'antiquité, le travail ne se déroulait pas dans la sphère publique. Les femmes travaillaient (ou sinon les esclaves), les hommes faisaient de la politique. Le travail était mal vu. Au Moyen-âge : il n'y avait pas de travail mais des besognes, des peines, des labeurs (paysan), l'oeuvre (des artisans).  Max Weber
Aurialie Jublin

Stefana Broadbent. L'intimité au travail. La vie privée et les communications... - 1 views

  • L’argument de productivité est d’une force redoutable : les communications privées sur le lieu de travail diminueraient la concentration du travailleur et, par là même, son efficacité et sa productivité. Stefana Broadbent porte des arguments riches contredisant cette justification : le problème serait plutôt à chercher du côté de la culture, du contrôle, de la hiérarchie et de la perception du travail. L’auteure qualifie l’argument de productivité d’irrationnel puisque des différences de confiance existent dans les organisations : alors que les communications personnelles sont fortement restreintes (voire interdites) pour les emplois peu qualifiés, elles ont libre-cours pour les cadres (considérés comme capables d’autodiscipline). Les processus de contrôle et de domination présents dans les organisations se retrouvent ainsi à travers l’usage des TIC à des fins personnelles.
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    Résumé de l'ouvrage de Stefana Broadbent qui nous plonge dans une chronique contemporaine des usages intimes des TIC au sein des institutions, via des témoignages, des passages tir&s de journaux de bord, de résultats d'étude, ... L'objectif de ce livre est d'expliciter les usages intimes des différents canaux de communication : téléphone (fixe et portable), messagerie électronique, sms, discussion instantannée, Skype, Facebook… Comment les TIC sont-elles utilisées à des fins personnelles ? Dans quel but ? Pour communiquer avec qui ? À quel moment de la journée ? Quelles en sont les effets (intraindividuels, interindividuels, organisationnels) ?
abrugiere

C'est personnel ! L'usage des TIC par les cadres... vers une rationalisation au travail ?" - 1 views

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    typologie de leurs comportements face aux "usages clandestins" des TIC pendant les heures contractuelles de travail. En effet, ces pratiques ne sont pas uniformes et varient notamment en fonction de la position dans l'entreprise, de l'équipement des personnes et de leur mode de vie conjugale. L'article s'interroge alors sur les nouvelles formes d'"agilité temporelle". Les TIC contribuent-elles à développer de nouvelles formes de rationalisation de l'existence ?
Aurialie Jublin

Le numérique en entreprise : les DRH out ? - Metis - 1 views

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    "Co auteur d'un rapport relatif à l'impact des TIC sur les conditions de travail publié conjointement par la Direction Générale du Travail et le Centre d'Analyse Stratégique (1), Daniel Ratier répond aux questions de Metis sur les principaux risques mais aussi les nombreuses opportunités du numérique pour le travail en entreprise."
hubert guillaud

Ericsson : Next Generation Working Life (.pdf) - 1 views

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    Ericsson publie un court rapport sur l'avenir du travail, du lieu de travail aux espaces de partages.
hubert guillaud

L'inquiétante banalisation du dopage des cadres - LeMonde.fr - 0 views

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    "A partir des années 2000, ces pratiques de dopage se sont développées et répandues dans l'ensemble du monde du travail", écrit Michel Hautefeuille, psychiatre, auteur de "Dopage et vie quotidienne". Stimulants et apaisants sont très répandus, notamment auprès de ceux qui travaillent en grande entreprise et auprès des dirigeants de PME.
abrugiere

A quoi ressemblera le travail dans 40 ans? Exercice d'anticipation - Le Nouvel Observateur - 2 views

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    Retour sur la publication de l'ANACT : le travail en 2053
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    Etude aussi reprise dans le Figaro : À quoi ressemblera votre quotidien au travail en 2053 ? http://www.lefigaro.fr/emploi/2013/11/27/09005-20131127ARTFIG00192--quoi-ressemblera-votre-quotidien-au-travail-en-2053.php
hubert guillaud

Comment la technologie détruit la classe moyenne - NYTimes.com - 0 views

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    Sommes-nous en danger de perdre la "course contre la machine", comme l'affirment Erik Brynjolfsson et Andrew McAfee dans leur livre ? Les machines intelligentes nous menacent-elles de la misère à long terme, comme le prophétisent les économistes Jeffrey D. Sachs et Laurence J. Kotlikoff ? Avons-nous atteint la fin du travail, comme le déplore Noah Smith dans The Atlantic ? Les économistes ont pourtant toujours rejeté l'hypothèse selon laquelle l'augmentation de la productivité du travail réduit inévitablement l'emploi, notamment car celui-ci se déplace. Les ordinateurs et les robots ne sauront pas demain faire toutes les tâches à moindre coût. S'ils excellent dans les tâches de routines, ces tâches ne sont pas le fait de tous les emplois. Les robots et les machines ont du mal à remplacé ceux qui accomplissent des tâches abstraites (qui nécessitent la résolution de problèmes) et les tâches manuelles qui exigent de pouvoir s'adapter à une situation ou de l'interaction avec des humains. "L'informatisation a donc favorisé la polarisation de l'emploi, au profit d'emplois très bien payés et très mal payés, tandis que les emplois dans le milieu ont diminué." "Donc, l'informatisation ne réduit pas la quantité des emplois, mais plutôt dégrade la qualité des emplois pour un sous-ensemble important de travailleurs" Ce changement de la structure de l'emploi explique en partie la hausse des inégalités de revenus. Pour répondre à ce défi, l'avenir est assurément à une meilleure éducation et notamment avec la croissance de la demande en emplois semi-spécialisés, combinant tâches de routines et tâches abstraites, comme le font les "nouveaux artisans", métiers de la réparation ou certains types de services à la personne.
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    Sommes-nous en danger de perdre la "course contre la machine", comme l'affirment Erik Brynjolfsson et Andrew McAfee dans leur livre ? Les machines intelligentes nous menacent-elles de la misère à long terme, comme le prophétisent les économistes Jeffrey D. Sachs et Laurence J. Kotlikoff ? Avons-nous atteint la fin du travail, comme le déplore Noah Smith dans The Atlantic ? Les économistes ont pourtant toujours rejeté l'hypothèse selon laquelle l'augmentation de la productivité du travail réduit inévitablement l'emploi, notamment car celui-ci se déplace. Les ordinateurs et les robots ne sauront pas demain faire toutes les tâches à moindre coût. S'ils excellent dans les tâches de routines, ces tâches ne sont pas le fait de tous les emplois. Les robots et les machines ont du mal à remplacé ceux qui accomplissent des tâches abstraites (qui nécessitent la résolution de problèmes) et les tâches manuelles qui exigent de pouvoir s'adapter à une situation ou de l'interaction avec des humains. "L'informatisation a donc favorisé la polarisation de l'emploi, au profit d'emplois très bien payés et très mal payés, tandis que les emplois dans le milieu ont diminué." "Donc, l'informatisation ne réduit pas la quantité des emplois, mais plutôt dégrade la qualité des emplois pour un sous-ensemble important de travailleurs" Ce changement de la structure de l'emploi explique en partie la hausse des inégalités de revenus. Pour répondre à ce défi, l'avenir est assurément à une meilleure éducation et notamment avec la croissance de la demande en emplois semi-spécialisés, combinant tâches de routines et tâches abstraites, comme le font les "nouveaux artisans", métiers de la réparation ou certains types de services à la personne.
abrugiere

The Future of Work - Le monde du travail au 21ème siècle | ManpowerGroup - 0 views

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    Un livre blanc de l'Aspen Institue publié sur les changements induits par les TIC dans la nature et l'organisation du travail
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