Refonder l'entreprise : entretien avec Armand Hatchuel et Blanche Ségrestin -... - 1 views
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entretien vidéo
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Notes brutes sur la vidéo USA : gouvernance actionnariale/rachat d'action (équivalent au budget R&D) / gestion des capitaux au lieu de gestion de l'entreprise / Création et innovation collective sous-évaluée Pas de modèle de l'entreprise (ni juridique, ni théorique), d'où importance de la corporate gouvernance // pas de droit de l'entreprise en tant que tel (droit du travail, droit des contrats, droit commercial ...) Entreprise différent de société commerciale : 1874-Valras-"entrepreneur"-loue des territoires, des services, .../1932-Mills-"modern cooperation", "manager"/1880-1910, luttes syndicales, 1898 "chef d'entreprise" responsable en cas d'accident du travail, contrat de travail apparait 1881-business school apparait 3 caractéristiques de l'entreprise : 1) dynamique de création collective (domestiquer l'innovation)-> subordnation/contrat de travail/nouveaux métiers/figure du chef d'entreprise, manager différent du propriétaire et du créateur // 2) collectif organisé // 3) figure de gestion Théorie de l'agence : focalisation de la shareholder value / mangement par objectif / décomposition du collectif / surveillance des dirigeants / stockoptions interdits jusqu'au début des années 80 Perspectives (refonder l'entreprise qd responsabilité sociale des entreprises inssufisante et shareholder value prépondérante) : 1) refonder l'entreprise autour de l'idée de la création collective : nouveaux usages des ressources mobilisées pour créer qq chose de nouveau / parler de potentiel plutôt que de capital 2) nécessité d'une personne pour inventer ces nouveaux usages (ne représentant aucune entité ou groupe) / parler d'habilitation plutôt que de mandat / renoncer à biaiser leur jugement (par ex avec des stock options) 3) céder son autonomie de gestion : les salariés aussi assument des risques (pas que les actionnaires) puisqu'ils renoncent à une partie de leur autonomie 4) règle de solidari
Future Work Skills 2020 - 0 views
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Les 10 compétences qui seront essentielles à tous les travailleurs en 2020 selon l'université de Phoenix : Transdisclinarité Collaboration virtuelle Sense-making Intelligence sociale Competence cross-culturelle Cognitive load management Novel and adaptive thinking Computational thinking New media literacy Design mindset
L'entreprise de demain : BYOD, DYOJ et CYOB ? | Le Blog de Claude Super - 1 views
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Avec les schémas d’organisation qui se profilent, le rôle sera probablement plus valorisé que la fonction mettant ainsi à bas une longue tradition d’appréciation de la personne au regard de sa position dans un organigramme et c’est un énorme chantier notamment pour les personnes travaillant dans les RH.
Motivation des salariés : le Job Crafting, donner du sens au travail - 0 views
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Concrètement, qu'est-ce que le Job Crafting ? Traduit littéralement, cela signifie peu ou prou « travail façonné par la main », autrement dit c'est la manière dont le collaborateur adapte, modèle, sculpte, transforme son job afin de le rendre plus attrayant, moins routinier, moins rythmé par les mêmes tâches répétitives, donc moins ennuyeux...
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Le Job Crafting, dont l'objectif est de remobiliser continuellement les talents, consiste à laisser le collaborateur libre de réorganiser son travail, par exemple en passant moins de temps sur une tâche rébarbative pour se consacrer davantage aux missions qui l'enthousiasment et lui procurent du plaisir. Cela suppose l'autonomie et la polyvalence des salariés.
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L’architecte de son propre réseau est appelé Network Crafter. En créant du lien pour s’épanouir dans leur poste, il utilise les réseaux internes et externes comme outils de travail. L’idée est de développer les relations humaines pour mieux appréhender la personnalité et le rôle de chacun au sein de l’organisation. Le Network Crafter propose par exemple, un échange de poste pour comprendre les différentes missions de son interlocuteur interne. Ainsi les demandes sont mieux orientées et les réponses deviennent plus efficaces. Ce gain de temps contribue à l’efficacité de son travail.
Comment changer le fonctionnement des entreprises - Francis Pisani - 0 views
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Pour Dignan :« Les entreprises qui ont le plus d’impact et qui croissent le plus vite aujourd'hui utilisent un modèle d'exploitation complètement différent [du modèle hiérarchique]. »« Ce sont des machines à apprendre "maigres et méchantes" (lean and mean). »« Elles ont un parti pris intense en faveur de l'action et une réelle tolérance du risque, qui se manifeste dans l'expérimentation fréquente et l'implacable itération des produits. »« Elles bidouillent (hack) produits et services, les testent et les améliorent pendant que leurs compétiteurs qui fonctionnent comme hier (legacy competition) affinent leur PowerPoints. »
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"Mais alors comment faut-il s'organiser ? Dignan propose différents modèles inspirés de sociétés à succès : Zappos (qui vend des chaussures et des vêtements online), Spotify qui a bouleversé la consommation de la musique et Valve, une productrice de jeux. Avec des variations, elles ont en commun de : - Chercher à distribuer autorité et autonomie en les confiant aux individus et aux équipes. - Elles permettent que la nature changeante du travail […] ait un impact sur la structure des rôles et des équipes. - Elles valorisent la transparence et la communication fluide. - Elles permettent aux individus de travailler dans plusieurs groupes. - Elles réduisent le rôle de la direction aux problèmes de stratégies exigeant une vue d'ensemble et laissent tous les autres se résoudre à la marge."
Entreprise 2.0, un nouveau cycle ? - 0 views
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Avis d'Anthony Poncier - "Même les entreprises lancées dans le 2.0 en interne sur le mode productiviste vont devoir faire évoluer leur modèle de management et leur organisation sous la pression des médias sociaux." Les entreprises ont toujours du mal à travailler en mode collaboratif et n'y affecte pas les ressources nécessaires...
Frustrée, la jeunesse française rêve d'en découdre - 1 views
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« Les 18-25 ans qui ont participé font voler en éclats le mythe d'une société méritocratique » : voilà le second enseignement majeur de l'enquête, à entendre les deux sociologues. Près des trois quarts (70 %) d'entre eux ont le sentiment que la société française ne leur donne pas les moyens de montrer ce dont ils sont capables. « C'est massif, et en forte progression. En 2006, ils étaient 53 % dans ce cas. »
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D'autant que dans la sphère professionnelle non plus, les jeunes n'ont pas l'impression que leurs mérites et efforts soient récompensés. 60 % des répondants ne se croient pas payés, par exemple, à la hauteur de leurs qualifications.
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Les jeunes valorisent d'autant plus le travail qu'il leur échappe, un quart d'entre eux connaissant le chômage. Seule une toute petite frange le rejette, envisageant de vivoter en marge du système. 81 % des répondants disent que le travail est important dans leur vie. Et pas seulement pour gagner de l'argent. La moitié déclare que travailler sert avant tout à s'épanouir. « Qu'ils soient soucieux de l'équilibre vie privée-vie professionnelle ne veut pas dire que la valeur travail se perd », commente Camille Peugny, pour qui rien n'est plus faux que les clichés sur une « génération feignasse » : « Impossible de faire une conférence sur les jeunes sans qu'un manager assure qu'à peine arrivés en entreprise, les jeunes ne s'intéressent qu'à leurs RTT. Platon déjà évoquait la décadence de la jeunesse, c'est un discours vieux comme le monde, lié au cycle de l'âge, à la difficulté à concevoir le changement apporté par les jeunes. »
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"L'autoportrait est sombre. Amenés à définir leur génération, ce sont les mots « sacrifiée » ou « perdue » qui leur viennent le plus souvent à l'esprit. A l'automne 2013, les jeunes de 18 à 34 ans étaient conviés par France Télévisions à répondre à un long questionnaire en ligne sur eux-mêmes et leur génération. 210 000 se sont pris au jeu de cette opération « Génération quoi ? ». Leurs 21 millions de réponses fournissent un matériau de recherche exceptionnel pour les deux sociologues de la jeunesse Cécile Van de Velde et Camille Peugny, maîtres de conférences respectivement à l'EHESS et à l'université Paris-VIII, qui ont contribué à concevoir le questionnaire. Ils en tirent aujourd'hui pour Le Monde les principaux enseignements, en se focalisant sur la tranche d'âge des 18-25 ans, centrale pour l'analyse."
Comment les employés peuvent-ils souffrir dans des entreprises sans patron, c... - 1 views
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De nombreuses entreprises se mettent aux structures organisationnelles plates, estime Klint Finley pour Wired. A l'exemple du développeur de jeu Valve ou de WL Gore, la firme derrière Gore-Tex. GitHub a la même ambition, et elle est d'autant plus symbolique que GitHub fournit un service qui permet justement de collaborer librement sur des projets logiciels. Mais les structures démocratiques plates ne veulent pas dire structures sans jeu de pouvoir. La semaine dernière GitHub a suspendu un de ses fondateurs accusé harcèlement. En 1972, Jo Freeman a décrit dans "La tyrannie de l'absence de structure" les premières expériences d'auto-organisation féministes. Le problème avec les organisations non-hiérarchiques est que les structures de pouvoir sont invisibles et donc inexplicables ce qui conduit souvent à des dysfonctionnements et des abus. Fred Turner décrit les mêmes problèmes quand il évoque les communautés hippies qui ont voulu éviter la division traditionnelle du travail et qui ont fini par envoyer les femme faire la cuisine, le nettoyage et l'éducation des enfants. Les communautés régies par des structures plus explicites finissent par pouvoir être plus progressives, les responsabilités pouvant être réparties de manière plus égales. La même impulsion anti-hiérarchique existe dans la Silicon Valley que dans les communautés autonomes des années 60, estime Finley. Un ancien de Valve révélait que l'entreprise ressemble parfois à une cours d'école, où les enfants les plus populaires et les fauteurs de troubles accaparent le pouvoir. Le risque est d'embaucher des gens qui correspondent à la culture de l'entreprise au risque de sa diversité. La Kellog School of Management a montré dans plusieurs études que la diversité des équipes était un meilleur moyen de résoudre les problèmes que d'avoir des décideurs : http://insight.kellogg.northwestern.edu/article/better_decisions_through_diversity . Le culte des employés qui corre
Le CDI ne fait plus le bonheur | Le Cercle Les Echos - 2 views
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Premièrement, le CDI ne protège plus les salariés : dans un environnement économique où la durée de vie des entreprises ne cesse de raccourcir (75 ans dans les années 1930, 15 ans à l’aube des années 2000), détenir un contrat permanent ne garantit plus un emploi à vie. En Italie, 50% des CDI sont interrompus au bout de deux ans. Pire, l’emploi salarié est trop souvent associé à de la souffrance au travail : cadences extrêmes, management par le stress, logique de résultats inatteignables.
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Deuxièmement, la relation de subordination incarnée par le CDI ne correspond plus à notre système productif. En se tertiarisant, l’économie exige prise d’initiative, agilité et adaptabilité. Il n’est plus demandé au salarié d’effectuer des tâches standardisées et répétitives, mais de mettre à la disposition de son employeur sa créativité, sa réactivité et sa personnalité. A l’heure du travail dématérialisé, le lien de subordination fait d’obéissance et de contrôles est devenu contre-productif et tend de plus en plus à être remplacé par du management collaboratif, où l’autonomie et la responsabilisation prévalent.
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Troisièmement, le salariat, conçu au départ comme un système de redistribution de revenus, de droits et protections, a perdu nombre de ses avantages : la hausse des cotisations sociales s’accompagne d’une baisse des prestations sociales (retraites, sécurité sociale, indemnités chômage). La répartition des profits se fait de plus en plus en faveur des actionnaires, au détriment des travailleurs. Les carrières ne sont plus ascensionnelles, la rémunération ne suit plus l’ancienneté.
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"Et si le salariat n'était plus synonyme d'épanouissement au travail ? Cette question (tout comme le titre provocateur de cet article) vise à remettre en cause notre vision monolithique mais obsolète du marché du travail : seul le CDI à temps plein protège les travailleurs et leur apporte sécurité et stabilité professionnelles."
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- Premièrement, le CDI ne protège plus les salariés : dans un environnement économique où la durée de vie des entreprises ne cesse de raccourcir (75 ans dans les années 1930, 15 ans à l'aube des années 2000), détenir un contrat permanent ne garantit plus un emploi à vie 2) Deuxièmement, la relation de subordination incarnée par le CDI ne correspond plus à notre système productif. En se tertiarisant, l'économie exige prise d'initiative, agilité et adaptabilité 3) Troisièmement, le salariat, conçu au départ comme un système de redistribution de revenus, de droits et protections, a perdu nombre de ses avantages : la hausse des cotisations sociales s'accompagne d'une baisse des prestations sociales (retraites, sécurité sociale, indemnités chômage). La répartition des profits se fait de plus en plus en faveur des actionnaires, au détriment des travailleurs. Les carrières ne sont plus ascensionnelles, la rémunération ne suit plus l'ancienneté.
A job is just a role that cannot change | Harold Jarche - 0 views
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The hierarchical organizational structure is outdated. Those outside the organization, including employees after work, have more connections and better access to knowledge than inside. Traditionally, companies have been users of human capital, demanding all intellectual property for themselves. But networks can empower individuals, building upon the strengths of each member. The innovators are moving away from companies and into networks already. Today, most new companies are hiring fewer employees and many existing companies are shedding employees at every opportunity. The newly unemployed often realize their professional networks outside the organization are inadequate. The industrial era social contract between capital and labour is broken. Workers are starting to get more professional value from their social networks than from their companies, especially through open knowledge-sharing.
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"Social networks disrupt hierarchical structures. Web-based social networks accelerate the spread of new ideas and lay bare organizational flaws. Anyone in a position of power and authority is losing some of that due to the growing power of social networks - doctors, teachers, managers, politicians. Social networks speed access to knowledge and accelerate learning. They allow people to quickly make and change connections. Seb Paquet calls this "ridiculously easy group-forming"."
How Apple Gets At-Home Workers To Work | TechCrunch - 0 views
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Les méthodes de management d'Apple pour maintenir le contrôle et la productivité de ses équipes de télétravaillleurs. Pression incomparable, Risques psycho-sociaux accrus, économie sur le bâti et recrutement qui s'affranchit des contraintes géographiques. "Si vous n'êtes pas assez bons, vous pouvez toujours travailler ailleurs", faites vos jeux..
Michelin, Parrot, LVMH... les meilleures pratiques RH des entreprises, par Didier Pitelet - 0 views
Tous Talent : le réservoir de productivité des prochaines années | Le Cercle ... - 1 views
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L’envie et la motivation intrinsèque des femmes et des hommes de ce capital est un facteur majeur de surperformance. En effet, considérons un collaborateur au 35h, son travail ne l‘occupe que 33% de son temps disponible chaque semaine. Ses capacités à s’épanouir et à s’investir peuvent alors aisément être portées par des activités hors de son temps professionnel. En revanche, si l’entreprise oriente cette capacité en fournissant à ce collaborateur tout l’espace et les moyens nécessaires pour s’investir et s’épanouir, la productivité de son temps professionnel s’en ressentira grandement. En partant de ce constat, deux options diamétralement opposées s’offrent aux entreprises pour augmenter les sources de motivation de leurs collaborateurs.
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elle en proposant une somme de services, d’avantages et d’activités extra-professionnels réservés à leurs collaborateurs (crèches, salles de sport, activités financées, mécénat d’entreprise, journées créatives…). La seconde option tente de rendre, par une politique RH performante, le temps consacré au travail le plus motivant possible. Les populations qui passent le plus de temps au travail – les agriculteurs et les professionnels de santé – ont généralement le taux de suicide le plus important !
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La plupart des études consacrées au capital humain montrent régulièrement que les principaux facteurs de motivation sont l’intérêt du travail, la mobilité fonctionnelle et la mise en œuvre de nouvelles compétences, l’autonomie et la responsabilisation et les perspectives d’évolution. L’ambiance au travail, des objectifs individuels motivants et le soutien du manager dans des situations difficiles sont dans le top 5 des facteurs du bien-être au travail. Par ailleurs, le premier facteur de démotivation est le manque de reconnaissance. Au regard de ces éléments, les gisements de productivité et d’innovation sont clairs : mettre en œuvre une politique RH permettant à l’ensemble des collaborateurs d’être reconnu et de se reconnaître comme des « talents » capables d’évoluer, de se développer et de s’épanouir dans leur travail.
Dix français qui inventent le futur - Les Echos - 3 views
Le travail collaboratif, vecteur de mieux-être au travail - 0 views
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"L'édition 2014 des « Rencontres : Mieux-être au travail : bienveillance, santé et collaboration » s'est déroulée le 24 juin à Lyon. Organisée par Apicil, les Cabinets Psya et PrevHom, cette manifestation a mis en évidence le lien entre travail collaboratif et qualité de vie au travail. Chercheurs, managers, consultants professionnels des ressources humaines et de la santé étaient au rendez-vous."
Espaces de travail innovants : Dossier stratégique et pratique à lire - 1 views
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"La redéfinition de l'espace de travail est une considération majeure de notre temps. De plus en plus, le numérique impacte sur les territoires, dans les entreprises et les organisations. Le cabinet de conseil Utopies fournit un dossier sur ce qui se joue sur cette thématique et les enjeux "L'espace de travail : un outil de stratégie et de management"
Comment le numérique est en train de révolutionner l'organisation du travail - 2 views
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"De l'essor du travail collaboratif à la progression du télétravail, en passant par l'éclosion du management 2.0 ou l'arrivée des robots, le numérique et les nouvelles technologies bouleversent l'organisation du travail... et obligent les entreprises à s'adapter. Six tendances qui constitueront bientôt notre quotidien. "
Des entreprises sans chefs et sans bureaux - LeTemps.ch - 1 views
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"Un nombre croissant d'entrepreneurs et de start-up s'affranchissent des structures managériales archaïques. Le nomadisme numérique et l'holacratie émergent. Toujours plus de sociétés mais également de services publics cherchent de nouvelles façons de travailler. Découverte en cinq épisodes"
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Ghost.org plateforme de publication open source. récits de voyages de plusieurs free-lance. Tous sont des nomades numériques. Ce mode de vie professionnelle affranchie des contraintes habituelles un nombre croissant de start-up innove en proposant une nouvelle structure de gestion du pouvoir qui remplace le système pyramidal: c'est l'holacratie. Comme le nomadisme, ce modèle radical et ambitieux dématérialise le travail et responsabilise les employés. Il remet en cause l'organisation même de l'entreprise et non seulement les méthodes de travail. Né en 2007 de l'imaginaire de trois dirigeants d'un éditeur de logiciels américains, Ternary Software, l'holacratie supprime la hiérarchie et les organigrammes traditionnels. Les rôles sont définis en fonction des actions à entreprendre, et partagés selon les compétences de chacun. En d'autres termes, les postes évoluent au gré des actions. En janvier 2014, le pionnier américain de la vente de chaussures en ligne Zappos annonçait avec fracas la suppression de tous les postes de managers. Dix-huit mois plus tard, des dizaines d'employés ont claqué la porte après la transition, estimant le modèle holacratique trop rigide et formaté. Ce qui n'a pas empêché plusieurs centaines d'entreprises américaines de se lancer, comme Medium, fondée par l'ancien directeur général de Twitter, Evan Williams.
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