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abrugiere

"No managers" ou comment travailler autrement ? - 2 views

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    « NoManagers », « self-management », « holacracy », « déhiérarchisation », le vocable diffère, mais vise un même objectif : redonner du pouvoir aux salariés. Cette tendance, qui ne tient plus de l'épiphénomène, fait de plus en plus parler d'elle. Pas nécessairement à appliquer à la lettre, elle braque le projecteur sur un type d'innovation souvent négligé : l'innovation organisationnelle. L'incessante collecte de chiffres, indispensable au reporting, a participé à l'institution d'un management quantitatif, qui incite les salariés à passer plus de temps à se justifier qu'à innover. Résultat, tout pousse aujourd'hui à la remise en question de contrôles excessifs jugés dévastateurs Non satisfaisant in fine, ce type de management pousse nombre d'entreprises à sérieusement considérer la question de la « codétermination », nécessaire au développement d'une vision collective constructive. Aux États-Unis, Morningstar (800 salariés, qui a créé un institut de self-management), Zappos, Treehouse, Medium et, en Grande-Bretagne, Gamevy ont bousculé leur organisation et leur hiérarchie. Tout comme Gore Tex et Favi en France. Ces entreprises, qui allient « libération » et performance, savent gérer les fertilisations croisées et motiver les équipes, auxquelles elles accordent un plus grand degré de liberté pour tester des idées. Schéma sur le management selon les pays : UK, USA, France, Suède, Germany, ASIA, etc. :)
anonymous

Gartner Says That by 2017, 25 Percent of Enterprises Will Have an Enterprise App Store - 0 views

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    "Gartner Says That by 2017, 25 Percent of Enterprises Will Have an Enterprise App Store Growing Number of Enterprise Mobile Devices and Enterprise Adoption of MDM Will Drive Demand and Adoption of Enterprise App Stores Analysts Examine the State of the Industry at Gartner Application Architecture, Development By 2017, 25 percent of enterprises will have an enterprise app store for managing corporate-sanctioned apps on PCs and mobile devices, according to Gartner, Inc. Enterprise app stores promise greater control over the apps used by employees, greater control over software expenditures and greater negotiating leverage with app vendors, but this greater control is only possible if the enterprise app store is widely adopted.  "Apps downloaded from public app stores for mobile devices disrupt IT security, application and procurement strategies," said Ian Finley, research vice president at Gartner. "Bring your own application (BYOA) has become as important as bring your own device (BYOD) in the development of a comprehensive mobile strategy, and the trend toward BYOA has begun to affect desktop and Web applications as well. Enterprise app stores promise at least a partial solution but only if IT security, application, procurement and sourcing professionals can work together to successfully apply the app store concept to their enterprises. When successful, they can increase the value delivered by the application portfolio and reduce the associated risks, license fees and administration expenses."  Gartner has identified three key enterprise app store trends and recommendations of how organizations can benefit from them:  The increasing number of enterprise mobile devices and the adoption of mobile device management (MDM) by enterprises will drive demand and adoption of enterprise app stores. Enterprises already have numerous choices for downloading software onto PCs, but most of them don't include support for smartphones and tablets. Enterprises are beginning to f
abrugiere

« Souvent, les salariés estiment passer de 20% à 30% de leur temps à quantifi... - 0 views

  • C’est un mouvement social qui affecte tous les métiers, y compris immatériels et relationnels. Le service public, depuis le passage à la LOLF (loi organique relative aux lois de finances, en 2006) expérimente ce passage au « tout quantitatif ». Chaque mission doit être déclinée en actions suivies avec des indicateurs quantifiés. Dans les hôpitaux, la « tarification à l’acte » imprime, par exemple, une logique comptable et marchande à tous les actes médicaux et de soin. Dans le travail social, arrive une logique de comptage du nombre d’entretiens réalisés, du nombre de problématiques abordées, de cases « cochées »…
  • Pourquoi, dans leur grande majorité, les salariés semblent coopérer à ce management par les chiffres ? Existe-t-il des résistances ? Dans un premier temps la quantification peut être comprise comme une promesse de reconnaissance : « Ils vont enfin se rendre compte du boulot qu’on abat ! », « Il faut savoir tout ce que l’on fait ! », entend-on. C’est une première raison de coopérer. Ensuite, la mise en concurrence sur des moyens crée une forme d’obligations à jouer le jeu, si on ne veut pas tout perdre, tout de suite. Lorsque le classement des individus, des équipes, des services ou même des pays se fait à partir de mesures, et qu’elle alimente une comparaison automatique, chacun a intérêt à produire les meilleurs chiffres possibles, même à contrecœur et à contresens. Pour contester ce management, il faudrait que tous ceux qui sont mis en compétition par ces chiffres arrêtent simultanément de les fournir.
  • Ces chiffres sont centralisés, et servent à fabriquer des tableaux de bord généraux, permettant de comparer des individus, les équipes, les organisations sur des critères quantitatifs
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  • Les travailleurs perçoivent très bien l’enjeu de faire remonter les « bons chiffres »
  • chacun va donc consacrer du temps à la fabrication de ces chiffres, à leur arrangement, de sorte qu’ils soient « bons »
  • « pour mesurer la performance, il faut commencer par la dégrader ». Car pour fabriquer un bon « reporting », il faut tordre le réel.
  • incommensurable : la compétence collective, la confiance, les routines discrètes, la qualité de l’écoute, la justesse d’un sourire
  • . Ils sont pourtant décisifs pour la performance, la santé des travailleurs et le sens du travail.
  • La quantification prétend ainsi rendre compte de situations complexes, mouvantes et plurivoques au moyen de chiffres simples, stables et univoques : ils donnent une image partielle du réel. Étonnamment, cette réduction de la réalité, et finalement son amputation, sont réputées « objectiver » la connaissance qu’il est possible d’en avoir
  • Les pratiques dites « d’évaluation » dans le management ne cherchent généralement pas à créer les cadres d’une délibération permettant de savoir « ce que vaut » ce que l’on est en train de produire et comment.
  • Pourtant, travailler, c’est aussi évaluer
  • Elles réalisent plutôt une mesure du travail
  • Or cette évaluation de la valeur du travail fourni, qui demande du temps et de la délibération, est régulièrement découragée par le management
  • ’évaluation qualitative, délibérative et contradictoire perd du terrain face à une quantification bureaucratique réputée indiscutable
  • Nous assistons à un conflit social sourd, entre ceux qui expérimentent des situations professionnelles concrètes et ceux qui la saisissent et pensent la connaître au moyen de chiffres. Les premiers disent être du côté du « réel », tandis que les seconds disent agir au nom du « réalisme économique ».
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    "Des chaînes de production aux salles de classes, des plateformes téléphoniques aux hôpitaux, le management par les chiffres, les « entretiens d'évaluation » et le reporting, ont envahi le monde du travail. Une tendance qui s'appuie sur la quête d'une traduction financière rapide et qui frappe le secteur public comme le secteur privé. Cette évaluation du travail uniquement quantitative demeure « partiale et partielle », explique la chercheuse Marie-Anne Dujarier. Et nuit à l'activité, quand elle ne dégrade pas la santé des salariés. Entretien."
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    la mesure quantitative a progressivement gagné du terrain dans les pratiques managériales, au point de devenir omniprésentes et banalisées. le salariat saisit l'activité humaine comme produit, échangé sur le marché du travail La sélection des travailleurs sur des critères physiques, sociaux et maintenant psychologiques a été progressivement étendue et rationalisée avec la mise en place de tests et d'épreuves visant à mesurer les qualités des hommes au regard des compétences attendues pour les postes.  mesurée, tracée, commentée lors « d'entretiens d'évaluation » et finalement comparée Ces quatre formes de quantification ont ouvert la voie à la comparaison, et finalement à la compétition, qu'il s'agisse des produits, du salaire, de l'accès à l'emploi, ou enfin, de la légitimité des équipes et organisations. « pour mesurer la performance, il faut commencer par la dégrader ». Car pour fabriquer un bon « reporting », il faut tordre le réel Ce qui pose problème, c'est la réduction qu'opère la quantification.  L' incommensurable : la compétence collective, la confiance, les routines discrètes, la qualité de l'écoute, la justesse d'un sourire…. Ils sont pourtant décisifs pour la performance, la santé des travailleurs et le sens du travail.
Aurialie Jublin

In big move, Accenture will get rid of annual performance reviews and rankings - The Wa... - 0 views

  • “Imagine, for a company of 330,000 people, changing the performance management process—it’s huge,” Nanterme said. “We’re going to get rid of probably 90 percent of what we did in the past.
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    Accenture sur le point de supprimer l'entretien annuel  "Imagine, for a company of 330,000 people, changing the performance management process-it's huge," Nanterme said. "We're going to get rid of probably 90 percent of what we did in the past.
Aurialie Jublin

Google: les secrets de son département des ressources humaines | Slate - 0 views

  • lorsqu’un employé meurt, Google verse à son conjoint ou partenaire la moitié de son salaire pendant dix ans. Il serait toutefois erroné de penser que Google distribue les bienfaits dans le seul but d’être sympa. POPS surveille attentivement des quantités de statistiques relatives à la façon dont les employés réagissent aux avantages octroyés: apparemment, l’entreprise ne jette pas l’argent par les fenêtres.
  • Depuis deux ou trois ans, Google a même embauché des chercheurs en sciences sociales pour étudier son organisation. Ces scientifiques –rattachés au groupe dit «PiLab» pour People & Innovation Lab– organisent des dizaines d’expériences sur les employés dans le but de connaître les meilleures réponses aux problématiques associées à la gestion d’une entreprise de grande taille.
  • Sa principale trouvaille, c’est que les managers intermédiaires servent à quelque chose, contredisant le postulat autrefois posé par les fondateurs de l’entreprise, Larry Page et Sergey Brin, selon lequel on peut faire tourner une entreprise où personne n’est le chef de personne.
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  • Mieux encore, en partant du résultat de leurs recherches, les analystes ont réussi à corriger les mauvais managers. En compulsant les retours obtenus au sein de leurs équipes par les bons managers, les chercheurs ont dégagé huit grands principes. Ils paraissent évidents et plutôt vague –«un manager qui obtient un score élevé est un bon coach», «un bon communicateur» évite de «micro-manager»– mais le système des grands principes a fonctionné. Lorsque POPS a diffusé ces vérités à travers l’organisation et isolé les managers les moins performants afin de les envoyer en formation, l’entreprise a constaté une amélioration de son management.
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    Comment l'entreprise américaine est devenue un endroit où il fait si bon travailler : amélioration du congés maternité pour que les femmes ne quittent plus l'entreprise (ce qui coute cher, car il faut remplacer la personne) + augmentation du bien être "En 2007, Bock décide donc de changer le système. Les nouvelles mères allaient obtenir cinq mois de congé maternité avec 100% de leur salaire, la prise en charge à 100% des cotisations retraite et maladie, et l'autorisation de répartir ces congés à la carte, afin par exemple d'en prendre une partie juste avant la date de l'accouchement. (...) De plus Google se mit à offrir les sept semaines de congé parental à tous ses salariés, partout dans le monde."
Aurialie Jublin

QVT et collectifs « heureux » : le rôle du manager - Metis - 0 views

  • la déconnexion des dirigeants au terrain, une problématique déjà évoquée par Michel Crozier et approfondie aujourd'hui par l'un de ses continuateurs, François Dupuy, auteur notamment de La fatigue des élites, Lost in management et La faillite de la pensée managériale. On retrouve justement la problématique de la quantophrénie et du chiffre. En effet, plus les dirigeants s'éloignent des processus de travail et ont du mal à les cerner et plus ils demandent du reporting, des données. Il y a alors une grande partie de l'énergie des opérateurs qui est dérivée, déviée vers la production de chiffres.
  • on est en France dans ce contexte particulier d'un taylorisme dont on a des difficultés à sortir. En même temps, ces vingt dernières années il y a eu un effort extrêmement important sur l'éducation : le niveau moyen s'est considérablement élevé et de plus en plus de jeunes sortent de l'université. Ainsi, des personnes de mieux en mieux formées se trouvent confrontées à des marges de manœuvre de plus en plus réduites. D'où cet intérêt vis-à-vis de l'entreprise libérée qui existe aussi en Belgique, mais nulle part à ce point ailleurs en Europe. D'où aussi le nombre important de jeunes qui veulent créer leur startup, préférant la liberté et le dynamisme à la contrainte. Cet esprit entrepreneurial est l'aspect positif, mais il y a un gros revers, c'est le désengagement d'autres personnes dans l'entreprise et ce que l'on appelle « la grève du zèle ». Quand tout le monde suit les consignes à la lettre, cela bloque le travail et les organisations. Cela prouve que l'hyper-prescription du travail n'est pas un gage de performance, ni sur le plan économique ni sur le plan humain.
  • En France, on a souvent une vue assez critique sur le management, on a même tendance à le diaboliser. Mais, pour moi, il ne faut pas aller dans le sens de ce que voudrait nous faire croire l'entreprise libérée qui développe son « modèle idéal » : dialogue direct entre le chef d'entreprise - le libérateur - et ses collaborateurs. J'estime au contraire que ce modèle est détestable dès que l'entreprise atteint une certaine taille et doit composer avec la complexité. L'étude de Technologia que j'ai mentionnée montre à quel point la fréquence et la qualité de la relation avec le manager de proximité sont déterminantes pour construire la QVT. Lorsqu'il y a un désaccord ou un conflit, on doit trouver les moyens de les résoudre. S'il n'y a plus personne pour le faire les tensions montent et les risques psychosociaux (RPS) avec. Même si les machines et algorithmes peuvent apporter un certain nombre d'informations, la dimension humaine est irremplaçable.
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    "La QVT qu'est ce que c'est ? Qu'est-ce qui pousse les dirigeants à s'en emparer ? Et pourquoi ne pas aller vers l'entreprise libérée ? Les collectifs sont-ils morts ? Dans un entretien croisé, une conversation entre Yves Grasset, sociologue du travail et auteur de Nourrir le collectif - sortir de l'individualisation pour sauver le travail et Martin Richer spécialiste de la Responsabilité Sociale des Entreprises et co-auteur du rapport Qualité de vie au travail : un levier de compétitivité, ces questions vont trouver réponse... et le manager sa juste place."
Aurialie Jublin

e-RH - L'entreprise libérée est-elle socialement responsable ? - 1 views

  • Bon nombre de démarches de « libération » reposent simplement sur une approche de réduction drastique du management intermédiaire et des fonctions support. Cette approche est la conséquence d’une vision caricaturale du management, selon laquelle la ligne managériale serait « un empêcheur de diriger en rond ».
  • Le management intermédiaire joue un rôle majeur en termes de santé au travail (cf le rapport Pénicaud-Lachmann-Larose « Bien-être et efficacité au travail », publié en février 2010), de régulation sociale, de transition vers l’entreprise numérique (cf le rapport de Bruno Mettling, sur « Transformation numérique et la vie au travail », septembre 2015) et désormais de construction des parcours professionnels. Des études solides montrent que les entreprises qui investissent le plus dans la qualité de leur management en tirent les fruits sur le plan de l’efficacité productive et de la rentabilité financière (voir « Return on Management : ce que votre DAF doit savoir sur la performance »
  • Renforcer le pouvoir d’agir des collaborateurs est un objectif louable, qui va dans le sens de l’entreprise responsable. Mais ce renforcement ne doit pas être obtenu au prix de l’affaiblissement, voire de la disparition des parties prenantes, qui sont en mesure de soutenir les collaborateurs. J’ai constaté dans plusieurs démarches d’« entreprise libérées », une recherche délibérée d’un sur-investissement des collaborateurs par des méthodes proches de la manipulation.
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  • L’entrée en collision avec les modes de régulation sociale traditionnels (représentants du personnel et syndicats) ne se traduit pas (pour l’instant ?) par l’invention de modes nouveaux de relations sociales à même de proposer une alternative crédible. On est donc ici aux antipodes de l’entreprise responsable, qui valorise la régulation par les parties prenantes et les contre-pouvoirs.
  • En conduite du changement, on doit toujours être attentif au diagnostic de la situation actuelle et à la projection dans la situation future, mais surtout à ce qui fait le pont entre les deux : la trajectoire. Les démarches d’« entreprises libérées » sont très prolixes sur la situation future (malheureusement naïvement présentée comme un éden) mais généralement très faibles sur la trajectoire.  Elles oublient par exemple, que la démarche d’« empowerment » des opérateurs suppose une forte maturité professionnelle et une polyvalence développée.
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    "L'entreprise libérée : ce n'est plus un mot valise mais une expression container, tant on y trouve des contenus variés, de toutes origines, qui tous se revendiquent de ce mouvement. C'est pourquoi il faut revenir à la source, celle du livre écrit il y a 6 ans par Isaac Getz et Brian M. Carney, « Freedom Inc ». On y trouve les ingrédients de la « libération » :  le rôle déterminant de l'écoute, notamment de la part des dirigeants, le renoncement par ces mêmes dirigeants aux symboles, marques distinctives et autres privilèges, le travail sur la vision et le projet de l'entreprise, qui doivent être appropriés par les collaborateurs, l'allègement des contrôles, des normes de comportement, du prescrit, au profit de l'autonomie et de la responsabilisation des opérateurs, l'arrêt des stratégies de motivation (primes variables, etc.) au profit de la mise à disposition d'un environnement de travail favorable. "
Aurialie Jublin

L'entrée en scène des managers durables - LExpansion.com - 1 views

  • A PepsiCo, la présidente, Indra Nooyi, ne plaisante pas avec le sujet, elle qui prône le lien "inaliénable" entre performance économique et "investissement dans le capital humain".
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    "A PepsiCo, Danone ou Accenture, ils conjuguent déjà performance économique avec respect de l'environnement et implication sociale. Témoignages de pionniers."
Aurialie Jublin

In Head-Hunting, Big Data May Not Be Such a Big Deal - NYTimes.com - 0 views

  • Years ago, we did a study to determine whether anyone at Google is particularly good at hiring. We looked at tens of thousands of interviews, and everyone who had done the interviews and what they scored the candidate, and how that person ultimately performed in their job. We found zero relationship. It’s a complete random mess, except for one guy who was highly predictive because he only interviewed people for a very specialized area, where he happened to be the world’s leading expert.
  • On the hiring side, we found that brainteasers are a complete waste of time. How many golf balls can you fit into an airplane? How many gas stations in Manhattan? A complete waste of time. They don’t predict anything. They serve primarily to make the interviewer feel smart.
  • We found that, for leaders, it’s important that people know you are consistent and fair in how you think about making decisions and that there’s an element of predictability. If a leader is consistent, people on their teams experience tremendous freedom, because then they know that within certain parameters, they can do whatever they want. If your manager is all over the place, you’re never going to know what you can do, and you’re going to experience it as very restrictive.
  • ...2 more annotations...
  • One of the applications of Big Data is giving people the facts, and getting them to understand that their own decision-making is not perfect. And that in itself causes them to change their behavior.
  • the manager treats me with respect, the manager gives me clear goals, the manager shares information, the manager treats the entire team fairly. These are fundamental things that turn out to be really important in making people feel excited and happy and wanting to go the extra mile for you.
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    Interview de Laszlo Bock, senior vice president of people operations à Google. Il revient sur l'utilisation de Big Data dans la gestion du personnel.
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    Résumé d'Hubert : Intéressante interview de Laszlo Bock responsable des ressources humaines de Google sur l'utilisation des Big Data par Google pour le recrutement. Google a regardé les entretiens passés avec ses cadres pour constater qu'il n'y avait pas de relation avec la façon dont ils ont finalement effectuer leur travail. Chez Google, la taille d'un groupe idéal est de 6 personnes et Google cherche à comprendre pourquoi les équipes fonctionnent et d'autres ne fonctionnent pas. Pour l'embauche, les casses-têtes auquel Google soumettait les candidats (combien de balles de golf peut-on faire entrer dans un avion ?) sont une perte de temps. Les entrevues comportementales où les gens parlent de leur expériences sont plus cohérentes, permettant de savoir comment il réagit en situation et ce qu'il considère comme une situation difficile. Pour les dirigeants, il est important qu'ils soient cohérents, cela donne de la liberté aux équipes. Chez Google, les managers sont évalués par leurs employés. L'information amène les gens à modifier leurs comportements, suggère Laszlo Bock et leur donner des faits issues de données les amène à les modifier. Le fait que le responsable traite les gens avec respect, qu'il donne des objectifs clairs, qu'il partage des informations de gestion et qu'il traite l'équipe de manière équitable sont fondamentales. Les résultats scolaires n'ont finalement pas grande importance, et le nombre de gens qui ne sont jamais allé à l'université augmente chez Google. Pour Laszlo Bock, cela s'explique parce que les milieux académiques sont des environnements artificiels où il faut apporter la réponse qu'on attend de vous. C'est beaucoup plus dur que de résoudre des problèmes là où il n'y a pas de réponse évidente. Les Big data ne suffisent pas, nous avons aussi besoin d'un élément de compréhension humain. Le succès dépend du contexte et ce qui fonctionne chez Google n'est peut-être pas la même chose que ce
Aurialie Jublin

"Le travail à distance, levier de transformation des entreprises " | Zevillag... - 1 views

  • Elle va aussi se propager par communautés d’intérêt ; mais plus forcément à l’intérieur des « frontières » de l’entreprise. Les salariés vont trouver des échos à l’extérieur de l’entreprise, dans un écosystème beaucoup plus large. D’ailleurs intérieur et extérieur se fondent plus ou moins aujourd’hui : les frontières de l’entreprise deviennent poreuses.
  • Le nomadisme va obliger les entreprises à s’orienter vers des modes de coopétition, vers des logiques qui intègrent cette ouverture vers l’extérieur. Gérer cette évolution inéluctable de manière constructive est un des enjeux RH majeurs des années à venir.
  • Le nomadisme va obliger les entreprises à repenser la « culture du sens », et par conséquent à repenser leur projet. Le travail à distance, le nomadisme, ne peut réussir, être un succès que si chacun trouve le sens qui va animer son autonomie quotidienne. Les managers ne pourront faire autrement, pour faire vivre ce nouveau mode d’organisation, que d’interroger le projet, voire de le redéfinir et le faire évoluer. Ils vont devoir apporter des réponses à ceux qui colportent partout leur entreprise avec eux, et la pression va remonter dans la hiérarchie… jusqu’à la direction générale où il va bien falloir se poser la question de la cohérence.
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    "Patrick Bouvard et Patrick Storhaye viennent de publier Le travail à distance, une analyse originale sur la manière dont le nomadisme et le télétravail bouleversent l'organisation des entreprises. Tout en constituant un terreau fertile pour « réinventer le management et améliorer la performance ». Entretien avec Patrick Bouvard, l'un des deux auteurs et rédacteur en chef de RH Info."
hubert guillaud

Personne n'aime les critiques sur ses performances - WashingtonPost.com - 1 views

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    Donner des chiffres sur sa performance à un employé ? Oubliez ! Personne n'aime ça.
Aurialie Jublin

Ces patrons qui osent "libérer" leurs salariés - 1 views

  • L'exercice d'un contrôle autoritaire s'accompagne d'une multitude de coûts cachés qui ne pèsent pas seulement sur les bénéfices, mais sur la santé des employés [...] La grave erreur des bureaucrates est de s'imaginer que, parce qu'une chose s'appelle règle, elle est préférable à un arrangement moins formel. D'autant que la plupart de ces règles ne se bornent pas à saper le moral des salariés : elles empêchent la grande majorité d'entre eux de faire ce qui conviendrait.
  • « Lâcher prise » ? C'est la clé de ces transformations menées par ces patrons. En supprimant toute surveillance au profit de l'auto-organisation du personnel, ils ont décuplé la motivation au prix d'un intense effort sur leur rapport au pouvoir.
  • Au final, l'agilité d'une entreprise est déterminée par son leadership : « Pour atteindre la performance forte et durable qu'ils visaient, ces patrons ont renoncé à agir sur l'homme (à le contrôler, le motiver, le manager) et préféré agir sur son environnement pour que ce dernier le nourrisse », résume Isaac Getz. Mais avec deux cartes maîtresses, la transparence et la confiance, dans un jeu qui implique les salariés. Cela leur inspire une automotivation qu'aucun chèque ne produira jamais.
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    Persuadés que le meilleur moyen pour rester compétitifs est de responsabiliser leurs troupes, certains chefs d'entreprise ont fait le pari de lâcher la bride à leur personnel. Visite guidée dans ces laboratoires de ressources humaines qui affichent des performances très convaincantes. Pas d'échelon hiérarchique, ni grade; regroupement des collaborateurs par client et non pas service / organisation en mini-usine; pas d'emploi du temps; infos sur l'entreprise libres pour prendre les décisions en toute connaissance de cause; ...
Thierry Nabeth

Enquête sur les dérives du lean management -- les Echos - 0 views

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    Le Prix du meilleur ouvrage sur le monde du travail, organisé par le Toit Citoyen, a été remis à Marie-Anne Dujarier pour « Le management désincarné  » qui décrit les dérives des « planneurs », ces faiseurs de dispositifs qui opèrent sans scrupules loin du terrain. Chargés d'optimiser la performance d'une entité, de faire baisser les coûts (masse salariale, turn-over, absentéisme, risques, etc.), d'augmenter la valeur dégagée par l'entreprise (rendement, productivité, taux d'occupation, etc.), leur réussite (aux « planneurs ») se mesure à leur capacité à implémenter des dispositifs standardisés (ERP, lean, kaizen…) et à forcer le changement. Au service de la massification et de la standardisation, ces « planneurs», contrairement aux cadres de proximité, opèrent dans des bureaux éloignés des opérations concrètes et du terrain. Qui sont-ils ? Ni experts d'un métier ou d'un secteur, ni entrepreneurs, ni propriétaires, ni chercheurs, il sont intermédiaires financiers, auditeurs, ingénieurs méthodes, contrôleurs de gestion ou encore consultants, et rendent compte à des donneurs d'ordre (DRH, DSI, directeurs financiers et juridiques, associés de cabinet de conseil ou de fusions-acquisitions, etc.)
Aurialie Jublin

Microsoft Bug Testers Unionized. Then They Were Dismissed - Bloomberg - 0 views

  • In California, Uber, Lyft, TaskRabbit, and a half-dozen other companies are lobbying to defang a court ruling that could make it difficult to avoid reclassifying such workers as employees. And in Washington, the Republican-dominated National Labor Relations Board has made moves to undo an Obama-era precedent that could make big employers legally liable for contract workers even if they have only indirect control over them.The GOP takeover in Washington is one reason the Temporary Workers of America, a union of bug testers for Microsoft Corp., gave up on what had been, for people in the software world, an almost unheard of unionization victory, says the group’s founder, Philippe Boucher.
  • Boucher and his ex-colleagues are among a growing population of tech workers, including many Uber drivers, Amazon.com warehouse loaders, and Google software engineers, who lack the rights and perks of those companies’ full-fledged employees.
  • Google parent Alphabet Inc. now has fewer direct employees than it does contract workers, some of whom write code and test self-driving cars.
  • ...2 more annotations...
  • “Companies are deciding they don’t want to make long-term commitments to people, and they’re using a variety of devices to shift that work out,” says David Weil, dean of Brandeis University’s social policy and management school who oversaw federal wage-and-hour enforcement during the Obama presidency.
  • To help demonstrate that Microsoft was a joint employer, the union provided documents such as an email appearing to show a Lionbridge manager sharing performance metrics with Microsoft counterparts and a list of Microsoft managers who worked in the same office and oversaw Lionbridge employees’ work—at least one of whom listed his management of contractors on his LinkedIn résumé.
Aurialie Jublin

Quand les salariés sont rémunérés sur leurs valeurs - Lippi - 1 views

  • Selon Julien Lippi, la performance ne dépend pas d’un seul individu ou d’une seule équipe mais de toute l’entreprise. Mais faut-il ne récompenser que la performance ? En 2013, suite à une baisse du chiffre d’affaires, donc d’une diminution de « l’enveloppe budgétaire des augmentations de salaire », plutôt que de « saupoudrer » sur tout le monde, le comité d’entreprise a exprimé le souhait d’attribuer des promotions pour les personnes les plus engagées, exprime Odile de Nantes, Responsable Ressources Humaines de Lippi. Très bien, mais comment évaluer l’engagement, critère très différent de la performance individuelle ?  Et pourquoi ne pas relier l’engagement à l’appropriation des valeurs (encore faut-il qu’elles soient claires, compréhensibles et mesurables) ? C’est ainsi que cette entreprise a décidé de baser une partie des augmentations de salaires sur le niveau d’appropriation de leurs 4 valeurs : le respect des autres, la disponibilité pour les collaborateurs (pour le management), la disponibilité pour les autres services et unités et le lean (signaler les dysfonctionnement : apporter, quand c’est possible, la solution soi-même).
  • Tout le monde est concerné par cette « évaluation » qui se fait en mode 360° de manière collective. Au-delà de l’engagement, cette pratique a pour avantage de souligner l’importance des valeurs et de récompenser les salariés qui les font vivre au quotidien.
Aurialie Jublin

A quoi ressemblera l'entreprise de demain ? - Entreprise20.fr - 2 views

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    CR de Frédéric Cavazza de la réunion préparatoire de l'Enterprise 2.0 Summit. Un passage intéressant sur la définition de l'entreprise idéale du XXIe siècle :  Chacun a ainsi pu donner sa définition, l'occasion pour moi de noter quelques notions et mots-clés intéressants : - Responsabilisation (la collaboration est l'affaire de chacun, pas que des représentants de la génération Y) ; - Confiance (accepter de partager ses connaissances) ; - Plaisir (s'épanouir dans la collaboration et la performance collective) ; - Adaptabilité (prendre en compte le fossé culturel entre les nouveaux entrants et les "séniors") ; - Fluidité (des processus, des informations, mais également des collaborateurs) ; - Tolérance (vis-à-vis des idées qui sont partagées et des erreurs qui peuvent être faites lors de la phase d'adaptation aux pratiques collaboratives) ; - Engagement (principalement de la Direction et du Middle-Management) ; - Diversité (des profils, des parcours, des cultures) ; - Bienveillance (pas de censure ou d'inhibition). Au cours des discussions qui ont suivi, j'ai également pu noter des phrases et des idées dont je suis incapable de retracer l'origine (veuillez m'en excuser) : - "Arrêtons de parler de changement, car le changement fait peur, parlons plutôt d'adaptation" ; - "Les RSE (réseaux sociaux d'entreprise) sont les ERP de demain" ; - "Il faut reconfigurer l'organisation et les processus autour des savoirs et du capital humain" ; - "Nous devons passer à une logique d'apprentissage et de discussions / échanges permanents, donc trouver les bons stimuli auprès des collaborateurs" ; - "L'objectif est d'accélérer la prise de décision et la résolution de problèmes non plus grâce aux outils de production, mais à la collaboration" ; - "La hiérarchie devrait être là pour inspirer et modérer, plutôt que de surveiller et comptabiliser" ; - "Dans une dynamique de créativit
Aurialie Jublin

Human Workers, Managed by an Algorithm | MIT Technology Review - 0 views

  • Now several startups, including CrowdFlower and CrowdSource, have written software that works on top of Mechanical Turk, adding ways to test and rank workers, match them up to tasks, and organize work so it gets double- or triple-checked. “In the past [crowdsourcing] has been more experimental than a real enterprise solution,” says Stephanie Leffler, the founder of CrowdSource. “The reality is that it’s tough to do at any kind of scale.”
  • Two years ago, researchers at New York University estimated that 41 percent of all jobs posted to Mechanical Turk were for generating spam, generating clicks on ads, or influencing search engine results (see “How Mechanical Turk Is Broken”).
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    "The 38-year-old resident of Kingston, Jamaica, recently began performing small tasks assigned to her by an algorithm running on a computer in Berkeley, California. That software, developed by a startup called MobileWorks, represents the latest trend in crowdsourcing: organizing foreign workers on a mass scale to do routine jobs that computers aren't yet good at, like checking spreadsheets or reading receipts."
Chamila Puylaurent

Dans l'entreprise, fini l'autoritarisme, bonjour l'intelligence collective ! - 1 views

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    "L'organisation pyramidale a-t-elle fait son temps ? Pour renouer avec la performance certains dirigeants adoptent un nouveau mode de fonctionnement qui encourage la responsabilisation de chacun. Et ils obtiennent des résultats convaincants."
Aurialie Jublin

Manager une entreprise par les données, est-ce vraiment plus efficace ? | www... - 0 views

  • En tout, ils ont passé en revu les pratiques de 179 grandes entreprises. Résultat : ils ont calculé que celles qui ont basculé dans l’ère du DDD ont des résultats supérieurs de 5 à 6% à ceux de leurs concurrentes. Ils ajoutent que cette corrélation se retrouve aussi au niveau des performances financières et boursières de ces entreprises.
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    "question : est-il scientifiquement prouvé qu'il est plus efficace d'appuyer ses décisions sur des données que sur son intuition. "
Aurialie Jublin

Le DRH, stratège des temps | Le Cercle Les Echos - 0 views

  • Depuis les lois Aubry sur les 35 heures, la valeur temps prend davantage de relief et davantage encore à l’heure de la société de l’information. En filigrane de l’entreprise, de l’organisation, le temps se tord, se tend, se distend, au rythme des missions à accomplir, des clients et actionnaires à satisfaire et le travail passe d’une composante physique à une composante cognitive. La société de l’information succède à la société postindustrielle.
  • Nous sommes passés d’un droit étatique à un droit du temps de travail devenu dès le début des années 80, le champ d’application des accords dérogatoires. Aujourd’hui, place à l’accord d’entreprise ou à défaut l’accord de branche. Constituant le premier thème de la réglementation sociale, il incarne aujourd'hui la figure de la déréglementation.
  • Le forfait jour, compromis de la nomadisation illustre cette porosité des temps. Récemment, par l’arrêt du 24 avril, la jurisprudence a rappelé que la prudence devait rester de mise : à l’employeur de contrôler la charge et l’amplitude de travail de ses salariés. Des pratiques susceptibles d’entrainer la faute inexcusable. Le juge veille sur les conditions dans lesquelles ces conventions sont établies. L’accord collectif devant assurer le "respect des durées maximales de travail ainsi que des repos, journaliers et hebdomadaires" et, plus largement, "le respect du droit à la santé et au repos"… L’arrêt du 31 janvier 2012, l’arrêt du 26 septembre 2012 et plus récemment l’arrêt du 24 avril 2013 concernant la convention Syntec en attestent.
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  • Plus près de nous, par l’arrêt du 25 septembre 2013, la Cour de cassation considère que "l’instauration d’une modulation du temps de travail constitue une modification du contrat de travail qui requiert l’accord exprès du salarié".
  • Comment pour le DRH, manager ces temps du travail ? Les compensations financières comme le compte épargne temps, des compensations sur la réduction des trajets, des aménagements comme les crèches d'entreprise sont des solutions fonctionnant comme des amortisseurs.
  • L’autonomie de la charge de travail permet certes de s’abstraire de cette seule approche comptable du temps, mais elle nécessite de confronter le travail prescrit, le travail réel, et le travail subjectif. Construire une représentation partagée en mobilisant tous les acteurs de l’entreprise, pratiquer un management du travail, lui permettent en cela de travailler sur l’enjeu de la performance, mais aussi de la santé au travail et plus particulièrement de la charge mentale chez les cadres
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    "La société de l'information transforme profondément le rapport au temps et au lieu de travail. Une nomadisation plaçant le DRH au centre de nouveaux enjeux."
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