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Aurialie Jublin

Test de l'application Epic Win - 1 views

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    Epic Win transforme vos tâches du quotidien en quêtes de jeu vidéo pour vous encourager et vous aider à ne rien oublier. L'application EpicWin apporte une approche intéressante de gestion du temps : les tâches y sont des mini-quêtes à accomplir qui vous permettent de collecter des points d'expérience (Force, Endurance, Intelligence, Sociabilité et Esprit) et des trésors. Plus vous en accumulez, plus vous passez des niveaux - comme dans un jeu de rôle. 
Aurialie Jublin

Serious games : et maintenant, l'intégration des nouveaux salariés - 0 views

  • Le processus de transmission des savoirs passe par l’acquisition de connaissances et une mise en pratique. Le jeu et les techniques ludiques comme la gamification aident à dépasser les clivages générationnels, en créant une relation forte entre un nouvel entrant et un ancien autour de la résolution de cas pratiques ou le partage de savoir-faire informels. Un aspect essentiel, car le maintien des salariés âgés dans leur emploi passe par une reconnaissance et une valorisation de leur savoirs, de leurs compétences.
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    "Les serious games s'installent progressivement comme un outil de communication RH et de formation complémentaires des autres dispositifs existants. Preuve en est avec un nouveau territoire de jeu : l'on-boarding - ou intégration des nouveaux entrants. Le jeu apparaît comme un puissant levier d'intégration et de transmission de la culture d'une grande entreprise."
Aurialie Jublin

L'enfer du Harlem Shake en entreprise | Slate - 0 views

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    "La règle du jeu d'un mème doit pouvoir se lire dans chacune de ses productions et c'est le cas du Harlem Shake: une vidéo de 30 secondes découpée en 2 séquences égales; un protagoniste qui danse seul dans l'indifférence générale, puis l'hystérie collective. " (...) "En entreprise, le lipdub et maintenant le Harlem Shake sont devenus aussi automatiques que le baby-foot ou le séminaire en Normandie. C'est une injonction à être cool, une injonction à jouer le jeu, faute de passer pour un rabat-joie. "
hubert guillaud

Comment les employés peuvent-ils souffrir dans des entreprises sans patron, c... - 1 views

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    De nombreuses entreprises se mettent aux structures organisationnelles plates, estime Klint Finley pour Wired. A l'exemple du développeur de jeu Valve ou de WL Gore, la firme derrière Gore-Tex. GitHub a la même ambition, et elle est d'autant plus symbolique que GitHub fournit un service qui permet justement de collaborer librement sur des projets logiciels. Mais les structures démocratiques plates ne veulent pas dire structures sans jeu de pouvoir. La semaine dernière GitHub a suspendu un de ses fondateurs accusé harcèlement. En 1972, Jo Freeman a décrit dans "La tyrannie de l'absence de structure" les premières expériences d'auto-organisation féministes. Le problème avec les organisations non-hiérarchiques est que les structures de pouvoir sont invisibles et donc inexplicables ce qui conduit souvent à des dysfonctionnements et des abus. Fred Turner décrit les mêmes problèmes quand il évoque les communautés hippies qui ont voulu éviter la division traditionnelle du travail et qui ont fini par envoyer les femme faire la cuisine, le nettoyage et l'éducation des enfants. Les communautés régies par des structures plus explicites finissent par pouvoir être plus progressives, les responsabilités pouvant être réparties de manière plus égales. La même impulsion anti-hiérarchique existe dans la Silicon Valley que dans les communautés autonomes des années 60, estime Finley. Un ancien de Valve révélait que l'entreprise ressemble parfois à une cours d'école, où les enfants les plus populaires et les fauteurs de troubles accaparent le pouvoir. Le risque est d'embaucher des gens qui correspondent à la culture de l'entreprise au risque de sa diversité. La Kellog School of Management a montré dans plusieurs études que la diversité des équipes était un meilleur moyen de résoudre les problèmes que d'avoir des décideurs : http://insight.kellogg.northwestern.edu/article/better_decisions_through_diversity . Le culte des employés qui corre
julien camacho

L'en-jeu professionnel > Produits | Thot Cursus - 0 views

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    En France, la loi du 24 novembre 2009 relative à l'orientation et à la formation professionnelle tout au long de la vie, qui met notamment en place le DIF (droit individuel à la formation), réaffirme le droit au salarié d'être acteur de son évolution professionnelle. Une évolution qui a inspiré l'Apec, Opcalia et le FONGECIF Île-de-France, créateurs d'un serious game tout récemment mis en ligne : L'en-jeu professionnel.
Aurialie Jublin

Google concilie travail et intérêts personnels - 1 views

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    "Exit l'emploi du temps rigide. De plus en plus de jeunes diplômés plébiscitent en effet les entreprises où ils peuvent jongler entre leur travail et leur vie privée sans que cela soit mal vu. Google, Ubisoft, Canal+ et Electronic Arts les font rêver." Raison : possibilité d'intégrer intérêts personnels dans son emploi du temps grâce à la flexibilité, entreprises associées à la festivité et à la détente (Pernod Ricard, Heineken) Chez Google, 20% de temps dispo sur un projet personnel + repas gratuits, jeu, sport, ... Chez Décathlon a attiré les jeunes en développant récemment des "business games" pour se faire connaître des futurs diplômés. Ces jeux, qui consistent à mettre en compétition des équipes étudiantes autour d'une mission professionnelle fictive, semblent avoir atteint leur objectif.
Aurialie Jublin

Trois leçons que les jeux vidéo peuvent donner en matière de télétravail | Le... - 0 views

    • Aurialie Jublin
       
      Leçon 1) "les raids" : avoir un objectif commun, ou "éviter la réunionite" Lorsqu'une entreprise veut animer une équipe virtuelle, elle doit absolument se rendre compte que la définition de son objectif doit précéder sa création !  Leçon 2) "Choisir sa guilde" : garantir la cohérence de l'équipe, ou "attacher de l'importance aux valeurs" Trop souvent, lorsqu'on met en place une équipe virtuelle, les valeurs partagées sont mises sur le côté. Penser que "l'avantage des équipes virtuelles est qu'elles ne doivent pas respecter les mêmes règles que les équipes classiques" est une énorme erreur.  Leçon 3) "In Real Life" : du rôle de l'empathie dans un groupe N'oubliez jamais l'adage : "on commence un job, on quitte une équipe". Et si on n'est pas attaché à l'équipe, on quitte d'autant plus facilement le job. Il faudra donc s'assurer que les individus créent des liens empathiques. Tout d'abord, veiller à ce que les outils de partage (par exemple le réseau d'entreprise) permettent de se créer une personnalité : une photo, un pseudonyme, et des informations personnelles… Ensuite, il ne faut pas hésiter à sortir du cadre imposé : donner quelques éléments sur "qui on est" permettent de dépasser le virtuel et de nous rendre humain. Enfin, il faut permettre à l'équipe d'interagir autant que possible d'une manière non verbale : par vidéo, in-real life, etc. Gérer votre équipe virtuelle comme vous géreriez une équipe classique, la technologie en plus !
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    "De plus en plus d'entreprises se posent la question du télétravail. Comment mettre en place des équipes virtuelles efficaces ? Quels sont les facteurs de succès ? Nous sommes confrontés à de nombreuses difficultés en la matière. Pourtant, il existe des communautés qui collaborent à distance avec succès depuis de nombreuses années et dont nous pourrions prendre exemple : celles du jeu vidéo."
Aurialie Jublin

Le BYOID, un sésame pour la transformation numérique | CXP - 0 views

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    Encore un BYO... "Familier du web et des réseaux sociaux, vous connaissez certainement ce service que proposent divers réseaux grand public et qui vous invite à vous identifier une seule fois pour pouvoir ensuite aller partout : écouter de la musique avec des amis sur Spotify, rivaliser avec des copains sur une plateforme de jeu en ligne ou encore partager des informations professionnelles sur LinkedIn. Ce dispositif sécuritaire relève du concept Bring Your Own Identity ou BYOID (1). Son premier avantage est de faciliter la vie de l'internaute (qui n'a pas à s'encombrer d'une accumulation de mots de passe), de fluidifier son accès aux sites sur lesquels il s'inscrit et ainsi de le fidéliser. "
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    Encore un BYO... "Familier du web et des réseaux sociaux, vous connaissez certainement ce service que proposent divers réseaux grand public et qui vous invite à vous identifier une seule fois pour pouvoir ensuite aller partout : écouter de la musique avec des amis sur Spotify, rivaliser avec des copains sur une plateforme de jeu en ligne ou encore partager des informations professionnelles sur LinkedIn. Ce dispositif sécuritaire relève du concept Bring Your Own Identity ou BYOID (1). Son premier avantage est de faciliter la vie de l'internaute (qui n'a pas à s'encombrer d'une accumulation de mots de passe), de fluidifier son accès aux sites sur lesquels il s'inscrit et ainsi de le fidéliser. "
Aurialie Jublin

Jeu vidéo : la contestation sociale s'internationalise - 0 views

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    Créée à l'inspiration d'un syndicat français, la jeune Game Workers Unite veut « connecter militants syndicalistes, travailleurs exploités et alliés ».
anonymous

"J'appelle un ami..." La mobilisation du réseau chez les entrepreneurs | Muti... - 0 views

  • marche la plus difficile est celle qui nous fait passer de 0 à 1 »
  • Aujourd’hui, l’explosion des plateformes de mises en  relation (professionnelles -Linkedin- ou non -Facebook-) a changé la donne pour ce qui est de faire appel à son réseau afin d’obtenir une ressource, et ce quelle que soit sa nature;
  • si la mobilisation du réseau a évolué dans sa forme, qu’en est-il du choix même de la mobilisation du réseau?
  • ...29 more annotations...
  • A quel moment et pourquoi
  • dans la visée d’obtenir une ressource qui, dans l’immédiat, lui fait défaut?
  • phénomène de mobilisation des réseaux et des energies
  • l’entreprise est une réponse à des besoins économiques mais est également « construite par des individus dont l’action est à la fois facilitée et limitée par la structure et les ressources disponibles des réseaux sociaux où ils s’inscrivent ». Le cadre social de l’entreprise facilite l’accès aux ressources car il réunit un ensemble de connaissances et de compétences complémentaires. Mais il peut s’avérer limitant si la rigidité des structures et le manque de communication avec l’exterieur freinent l’entreprise dans son accès aux ressources manquantes.
  • lorsqu’on se lance dans la création d’entreprise, tout est à construire ou à trouver : on ne dispose pas encore de toutes les ressources nécessaires à la réalisation du projet
  • son joker : son réseau et ses amis.
  • ’importance de la mobilisation des relations sociales dans le processus de création d’entreprise
  • pour accéder à des ressources par rapport à l’usage d’autres voies d’accès à ces ressources que sont les dispositifs de médiation comme par exemple l’appel contractuel à un bureau d’architectes pour le design du lieu de travail.
  • Le mode d’accès par les dispositifs de médiation s’oppose à la mobilisation du réseau social dans le sens où il s’agit d’accéder à des ressources sans disposer de relation préalable
  • possible de faire directement appel à un professionnel dont le métier est précisément de jouer les intermédiaires
  • recrutement, la cooptation est pratiquée très largement
  • « au fil du processus de création, les médias et les organismes privés interviennent de plus en plus, alors que la présence des organismes publics et des médiateurs humains diminue avec la période initiale ».
  • place prépondérante des relations sociales pour des entreprises ayant moins de trois ans d’existence
  • « réseau social» auquel fait appel un entrepreneur
  • moins que le réseau social privé, c’est le réseau professionnel qui joue à plus de 80%, amis de travail ou  connaissances ponctuelles
  • éseau professionnel n’est pas uniquement issu du milieu du travail, mais s’est également formé durant les études ou par le jeu de la sociabilité
  • l n’existe pas de corrélation entre l’efficacité et la pérennité du réseau mobilisé : autrement dit, les « liens forts » (amis, anciens collègues) n’apparaissent pas plus efficaces que les « liens faibles » (recommandations).
  • en relation les types de ressources et leur accès
  • «si tous les types de ressources sont susceptibles de mettre en jeu des relations sociales, celles-ci sont particulièrement sollicitées pour le montage de partenariats, le recrutement des employés ou le choix des fournisseurs, et relativement peu pour les informations ou idées permettant de monter le projet, et le financement ».
  • la mobilisation du réseau social reste prépondérante dans le processus de création d’entreprise, celle-ci est toujours en interaction (que ce soit par complémentarité ou concurrence) avec les autres formes d’accès aux ressources
  • question qui se pose pour l’entrepreneur est alors de savoir où placer le curseur; autrement dit quand s’avère-t-il plus sage, ou plus optimal, de faire appel à un dispositif de médiation?
  • C’est généralement la répartition de ressources et la confiance dans les autres acteurs qui dictera sa conduite.
  • Il existe également des moyens « matériels » qui permettent aux entrepreneurs d’accéder à un certain nombre de ressources. On pense notamment aux médias (presse, web),
  • elativiser au cas par cas
  • De manière un peu caricaturale, on pourrait retenir un code de conduite : si c’est une histoire de qualité : conseils, partenaires, employés, faites confiance à vos amis, si c’est une histoire de quantité (fonds, locaux…) demandez à ceux qui en ont !
  • quelle place reste-il aux réseaux sociaux générateurs de liens “faibles” , dont l’éloignement peut faire douter de la capacité de mobilisation réelle du réseau.
  • les liens forts sont les seuls à permettre d’engager concrètement des collaborations et une aide importante nécessitant un niveau de confiance élevé
  • limite d’Internet, les liens faibles qu’il génère favorisent l’accès à l’information mais la collaboration réelle nécessite toujours une confiance et un sentiment d’engagement mutuel
  • l’accès aux connaissances et aux compétences utiles, ce n’est pas seulement savoir à qui s’adresser, c’est c’est aussi savoir s’insérer dans un environnement riche en sérendipité … 
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    "Aujourd'hui, l'explosion des plateformes de mises en  relation (professionnelles -Linkedin- ou non -Facebook-) a changé la donne pour ce qui est de faire appel à son réseau afin d'obtenir une ressource, et ce quelle que soit sa nature; conseils techniques, juridiques, fonds, locaux… Ce phénomène a clairement bouleversé les manières d'envisager l'entrepreneuriat : en plus de faciliter les démarches, il ouvre un champ des possibles infiniment plus large qu'il y a trente ans pour une même action entrepreneuriale." "De manière un peu caricaturale, on pourrait retenir un code de conduite : si c'est une histoire de qualité : conseils, partenaires, employés, faites confiance à vos amis, si c'est une histoire de quantité (fonds, locaux…) demandez à ceux qui en ont !"
julien camacho

Du domaine public comme fondement du revenu de base (et réciproquement ?) - R... - 0 views

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    Un billet qui resitue le débat sur le revenu d'existence ou de base dans un questionnement global sur le domaine public et le partage de la connaissance comme moteur de la créativité. L'auteur envisage le découplage entre revenu et activité comme la seule manière de promouvoir une propriété intellectuelle collective, l'occasion de mettre à plat l'ensemble des problématiques en jeu sur cette question, propriété, monnaie, source de financement et de solidarité, numérisation des supports.
Aurialie Jublin

Salarié, étudiant, chômeur... Les nouveaux visages du créateur d'entreprise -... - 0 views

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    "Dans la famille auto-entrepreneur, je demande le " retraité " ! Une étude publiée mercredi 5 février par l'Insee, montre comment le régime de l'auto-entreprise a modifié les profils des nouveaux entrepreneurs. Une typologie sous forme d'un jeu de neuf familles."
Aurialie Jublin

Frustrée, la jeunesse française rêve d'en découdre - 1 views

  • « Les 18-25 ans qui ont participé font voler en éclats le mythe d'une société méritocratique » : voilà le second enseignement majeur de l'enquête, à entendre les deux sociologues. Près des trois quarts (70 %) d'entre eux ont le sentiment que la société française ne leur donne pas les moyens de montrer ce dont ils sont capables. « C'est massif, et en forte progression. En 2006, ils étaient 53 % dans ce cas. »
  • D'autant que dans la sphère professionnelle non plus, les jeunes n'ont pas l'impression que leurs mérites et efforts soient récompensés. 60 % des répondants ne se croient pas payés, par exemple, à la hauteur de leurs qualifications.
  • Les jeunes valorisent d'autant plus le travail qu'il leur échappe, un quart d'entre eux connaissant le chômage. Seule une toute petite frange le rejette, envisageant de vivoter en marge du système. 81 % des répondants disent que le travail est important dans leur vie. Et pas seulement pour gagner de l'argent. La moitié déclare que travailler sert avant tout à s'épanouir. « Qu'ils soient soucieux de l'équilibre vie privée-vie professionnelle ne veut pas dire que la valeur travail se perd », commente Camille Peugny, pour qui rien n'est plus faux que les clichés sur une « génération feignasse » : « Impossible de faire une conférence sur les jeunes sans qu'un manager assure qu'à peine arrivés en entreprise, les jeunes ne s'intéressent qu'à leurs RTT. Platon déjà évoquait la décadence de la jeunesse, c'est un discours vieux comme le monde, lié au cycle de l'âge, à la difficulté à concevoir le changement apporté par les jeunes. »
  • ...2 more annotations...
  • L'enquête Génération quoi ? fournit le plus grand échantillon d'intérimaires jamais réuni (8 000 répondants dans cette situation), et leur « souffrance » saute aux yeux des sociologues. « Il faut sortir du discours sur l'intérim choisi. Ces jeunes veulent travailler davantage, ils ont le sentiment insupportable que leur destin est aux mains des autres, que leur sort dépend d'un coup de téléphone, ce qui interdit toute projection dans l'avenir. »
  • Autre ambivalence, chez les jeunes cette fois : ils ne sont pas en conflit avec la génération parentale parce que les relations sont souples, les solidarités fortes. Mais cela ne les empêche pas d'en vouloir à leurs aînés de ne pas leur faire de place dans la société. Pour un jeune sur deux, les générations précédentes sont responsables de leurs difficultés. « C'est assez nouveau en France, et l'on peut penser que cela monte, surtout chez les étudiants, observe Cécile Van de Velde. Le problème d'équité entre générations se conscientise, sans doute du fait de la politique d'austérité, de la réforme des retraites et des débats sur le poids de la dette. Les jeunes pensent qu'ils font les frais de tout cela. »
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    "L'autoportrait est sombre. Amenés à définir leur génération, ce sont les mots « sacrifiée » ou « perdue » qui leur viennent le plus souvent à l'esprit. A l'automne 2013, les jeunes de 18 à 34 ans étaient conviés par France Télévisions à répondre à un long questionnaire en ligne sur eux-mêmes et leur génération. 210 000 se sont pris au jeu de cette opération « Génération quoi ? ». Leurs 21 millions de réponses fournissent un matériau de recherche exceptionnel pour les deux sociologues de la jeunesse Cécile Van de Velde et Camille Peugny, maîtres de conférences respectivement à l'EHESS et à l'université Paris-VIII, qui ont contribué à concevoir le questionnaire. Ils en tirent aujourd'hui pour Le Monde les principaux enseignements, en se focalisant sur la tranche d'âge des 18-25 ans, centrale pour l'analyse."
abrugiere

Sony parie sur le crowdfunding pour trier les idées de ses employés - 0 views

  • Ce n'est pas la première fois que Sony s'intéresse au financement participatif. L'entreprise avait déjà proposé aux internautes de financer sa FES Watch, ainsi qu'une serrure connectée sur une plate-forme externe. Plus récemment, la campagne Kickstarter d'un jeu pour PS4, Shenmue 3, a provoqué la polémique : le principe de départ du crowdfunding n'est-il pas perverti quand il est mis au service de grands groupes ? Sony, comme d'autres géants (Orange en France notamment), pense le contraire.
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    "Pour stimuler la créativité de ses équipes et promouvoir une culture d'innovation en interne, Sony lance la plate-forme de crowdfunding First Flight. Objectif : tester les idées de ses salariés à l'extérieur."
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    Pour insuffler de nouveau  l'envie d'innover parmi les employés, la firme japonaise a eu l'idée de créer une plate-forme web pour promouvoir les meilleures idées de ses salariés. Le site, baptisé First Flight (premier vol), présente des projets et produits développés par des employés de Sony. Les internautes sont invités à financer ceux qu'ils jugent les plus prometteurs. Une façon de tester l'appétit du public pour ces concepts novateurs.
Aurialie Jublin

A quoi ressemblera le recrutement du futur ? - 0 views

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    Plate-forme de recrutement en ligne, forum de recrutement virtuel, concours pour gagner votre premier CDI, CV vidéo… La diversification des modes de recrutement par le jeu ou par la technologie s'affiche dans tous les salons professionnels comme sur les écrans d'ordinateurs des directions des ressources humaines. Le réseau LinkedIn vient ainsi de diffuser une carte interactive des compétences disponibles en Europe et aux Etats-Unis à destination des recruteurs. En outre, 75 % des DRH consultent désormais le profil des candidats sur Internet, indiquait en juillet une enquête du cabinet de recrutement Robert Half.
Aurialie Jublin

Pourquoi sommes-nous opposés au concept de « l'entreprise libérée » ? » Géomé... - 0 views

  • D’autre part, l’entreprise libérée ne se présente pas seulement comme une innovation managériale; c’est un engagement social du chef d’entreprise. Oui, les salariés ont leurs mots à dire. Oui les salariés doivent prendre part aux projets d’entreprises pour se sentir impliqués. Donnons-leur la possibilité de contribuer davantage… en leur donnant davantage de responsabilités… et que fait-on de la notion de compétences ? D’aptitude ? De reconnaissance ? De salaire ? Avoir des responsabilités, ce n’est pas seulement pouvoir porter des projets… mais c’est également les assumer. Tâche très compliquée, qui peut être ingrate, qui fait partie du « jeu ». Jeu délimité par un contrat de travail, une fiche de fonction, un salaire. L’entreprise libérée, paradoxalement, contraint ses collaborateurs à assumer des responsabilités pour lesquelles ils ne mesurent pas toujours les conséquences sur le long terme et pour lesquelles ils ne sont pas reconnus contractuellement.
  • En bref, le concept d’entreprise libérée, poussée à son paroxysme, ne nous séduit pas, et nous inquiète. Nous privilégions une approche davantage basée sur la collaboration, la mutualisation, et l’échanges de pratiques. Pour nous l’entreprise réellement libérée est une entreprise qui sécurise autant l’employeur que le salarié, sécurisation qui passe par un corpus de règles organisationnelles, partagé et appliqué par tous. Et qui est le mieux placé pour être le vecteur de ce corpus ? Le manager opérationnel.
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    "Deux points de vus sont cependant négligés par cette approche : - Le management est présenté comme une problématique. Ne faisons pas l'amalgame entre le management et sa pratique. Quand vous voyez jouer Lionel Messi ou votre collègue Patrick, vous jugez leurs pratiques du football respectives, leurs différences de « niveau », et non le football en soi. Idem pour le management. - Résoudre un problème en l'excluant ne le fait pas disparaitre, bien au contraire. N'oubliez pas que la nature a horreur du vide; supprimer officiellement le management intermédiaire et/ou transverse renforcera la légitimité et les pratiques de certains… officieusement. Mêmes problèmes donc, sauf que les solutions (légales) ne sont plus à votre portée. A quand l'entreprise libérée face aux conflits ?"
Aurialie Jublin

Comment faire coopérer les tribus ? : Millenaire 3, Société - 0 views

  • Si l’on en donne une définition générale, coopérer consiste à travailler avec d’autres pour faire ce que l’on ne peut pas faire seul. Mais la forme particulière de coopération qui m’intéresse, c’est la coopération complexe qui consiste à communiquer avec des personnes que l’on ne comprend pas, des étrangers, voire des personnes que l’on n’aime pas. Malheureusement je constate que ces pratiques de coopération dans la différence sont en déclin dans de nombreux pays. En France, par exemple, seuls un quart des individus pensent spontanément que l’on peut faire confiance à autrui.
  • si vous avez pratiqué un sport, vous savez bien que vous devez coopérer avec votre équipe pour espérer vaincre l’équipe adverse. Mais, vous remarquerez aussi que dans le sport, il faut même coopérer avec son adversaire ! En effet, pour que le jeu et la compétition fonctionne, il est nécessaire de s’accorder sur les règles et sur ce que tricher veut dire. C’est entre cinq et huit ans que les enfants comprennent cela et apprennent à fonctionner en articulant coopération et compétition. De même, en tant qu’adultes, trouver le bon équilibre entre coopération et autonomie, entre coopération et compétition, fait partie du quotidien de notre vie. Pour que nous puissions vivre bien ensemble, notre société a besoin de cet état d’esprit, issu du jeu ou du sport, pour éviter de que notre monde devienne une caricature hobbesienne de société où la lutte entre les individus prime sur toute autre forme de relation.
  • La solidarité, pour moi, n’est pas une bonne option pour faciliter les relations entre des communautés très différentes. Je ne crois pas dans la valeur de solidarité car elle a une connotation trop idéologique. En outre, elle nous conduit à lisser les différences entre les personnes plutôt que valoriser leur diversité. La solidarité conduit à sacrifier la richesse qu’apporte la complexité. Il faut mobiliser d’autres moyens pour permettre le vivre ensemble, pour que les gens communiquent entre eux malgré leurs différences, ou en valorisant leurs différences. C’est tout le sens des compétences de coopération dont je parle dans mon livre. Cette forme d’interaction est la plus créative et la moins oppressive, elle laisse davantage de place à l’expression des singularités des individus
  • ...4 more annotations...
  • Vous décrivez pourtant le déclin des compétences sociales de coopération. Peut-on les réparer ou les remobiliser ?Plutôt que de tenter de trouver les causes de ce phénomène pour y apporter des solutions globales, je propose d’observer la diplomatie du quotidien que déploient les gens dans leurs familles, dans leur vie professionnelle ou dans la rue. On y trouve des rituels et des pratiques de civilité qui ont traversé les âges et qui permettent à chacun de bien gérer ses relations avec l’autre, surtout quand il est vraiment différent de soi. Ces compétences mobilisées sont encore présentes et nous devons trouver le moyen de les réparer, de les reconfigurer pour pouvoir les mobiliser à nouveau dans la société.
  • La première compétence que l’on observe est une forme d’écoute dialogique qui ne permet pas forcément d’aboutir à un consensus mais qui fait que l’on apprend beaucoup sur soi-même et sur l’autre. A l’inverse, lorsque vous échangez avec quelqu’un dans une logique dialectique, c’est pour aboutir à une conclusion et à une synthèse, après avoir écouté s’énoncer la thèse et l’antithèse. Vous écoutez en cherchant à reformuler ce que l’autre vous dit pour faire converger vos idées. Alors que si vous pratiquez l’écoute dialogique, vous vous intéressez à la personne qui vous parle, à ses intentions, à ce qu’elle veut dire à mots couverts. Ce type d’échange est ouvert et il n’y a pas de moment où l’implicite, le caché, est rendu explicite et clarifié. Il n’y a pas de conclusion. C’est la même différence que l’on trouve entre un orchestre qui cherche à s’accorder en répétition sur la manière d’interpréter un morceau, et un groupe de jazz qui improvise en s’écoutant. Pour moi, l’écoute dialogique est bien une des bases de la diplomatie quotidienne et de l’art de la coopération, qui nous amène à valoriser le processus plutôt que le résultat, à rechercher ensemble des questions pertinentes autour desquelles dialoguer plutôt que de vouloir aboutir à des solutions consensuelles.
  • La deuxième compétence clé consiste à savoir utiliser un mode d’expression subjonctif. C’est le contraire d’une expression déclarative qui vise au maximum de clarté et qui est très souvent employée dans les débats pour persuader son auditoire. Le problème c’est que cela ne laisse pas beaucoup de place à la discussion et à la subtilité.
  • La troisième compétence à laquelle j’attache de l’importance consiste à gérer ses rapports aux autres avec empathie plutôt que sympathie. Bien sûr, ces deux modes de relation impliquent une reconnaissance de l’autre, nécessaire pour créer du lien. Dans certains cas, la sympathie fonctionne, vous aidant à surmonter les différences pour aider une personne en difficulté. Lorsqu’un inconnu se fait renverser par une voiture, vous courrez lui porter secours, par sympathie, parce que vous vous mettez à sa place et ressentez sa souffrance. Vous vous identifiez à lui. Mais dans d’autres cas, la sympathie vous conduit dans une mauvaise voie. Vous pensez bien agir mais vous vous mettez en position de supériorité par rapport à l’autre et, en fait, c’est vous qui avez le contrôle, voire de l’emprise sur lui dans une relation émotionnellement chaude et intense.
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    "<< Nous devons développer des institutions qui permettent aux différences d'entrer en dialogue, des institutions qui accueillent la diversité? >>."
Aurialie Jublin

« Des salaires pour facebooker » : du féminisme à la cyber exploitation - ent... - 0 views

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    "Quoi de commun entre le travail domestique et l'utilisation des réseaux sociaux ? En apparence, rien ne rapproche ces deux activités. La première met en jeu du temps, de la pénibilité, de la contrainte ; la seconde est le plus souvent ludique et orientée vers la consommation. Néanmoins, comme le note Kylie Jarrett dans cet entretien mené par Marc-Antoine Pencolé, les plateformes numériques génèrent des données marchandisées ; elles débouchent sur des formes de production diverses ; elles sont dès lors le maillon indispensable des chaînes globales de valeur, bien que non rémunérées, comme l'est la reproduction sociale de la force de travail. Jarrett montre les potentialités critiques et transformatrices insoupçonnées de ce rapprochement entre féminisme et critique du digital labor, et souligne la centralité de l'exploitation numérique dans l'élaboration d'un projet contre-hégémonique."
Aurialie Jublin

Pourquoi ce ne sont pas toujours les plus compétents qui sont promus - Le Temps - 0 views

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    "Dans un monde idéal, le vrai mérite devrait être la seule qualification pour un poste. Dans les faits, d'autres considérations entrent en jeu, telles que la confiance en soi, l'art de patienter et le réseautage"
Aurialie Jublin

Travail : quand le miroir numérique se substitue au réel - Union europeenne C... - 0 views

  • Je prêche donc, après en avoir été un apôtre et un acteur, pour limiter la projection numérique, en particulier en ce qui concerne le temps réel. Cela ne veut pas dire qu'il faut renoncer aux bénéfices apportés par la numérisation, mais simplement qu'il faut savoir s'arrêter pour laisser la part de jeu indispensable au bon fonctionnement. Un peu de numérisation est bénéfique, beaucoup peut être efficace, mais la numérisation totale est contre-productive parce qu'elle enlève au système la flexibilité et la capacité de jugement apportées par l'humain.
  • L'expertise tend à se sédimenter dans les systèmes informatiques et les progiciels ; le professionnalisme consiste de plus en plus à bien savoir utiliser ces dispositifs. Seul ou en collaboration, le travail consiste à nourrir ces dispositifs, à les enrichir avec des données de qualité, à les maintenir aux conditions opérationnelles et à les faire évoluer. La tendance est déjà à la mise à jour automatique de cette image. Bientôt, partout, la position et l'état de ces objets seront actualisés en temps réel.
  • Avant, les données numériques étaient le miroir de la réalité, elles suivaient son évolution. Avec ce retournement, c'est la réalité qui doit suivre et se conformer aux prévisions et aux simulations réalisées dans l'image numérique de l'entreprise. C'est bien l'image numérique qui devient l'instrument de travail, de prévision, de décision, de pilotage du réel : on doit atteindre les objectifs calculés par le tableur..., et d'ailleurs on en rend compte sur le même tableur.
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    "D'ici une dizaine d'années au plus, presque tous les « objets » d'une organisation (les hommes, les machines, les transactions...) auront leur image dans le système d'information (SI), en temps réel. C'est déjà le cas pour la plupart des objets : chaque agent, chaque objet important « existe » dans nos SI sous forme de fichier ou dans une base de données."
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