Skip to main content

Home/ Tic&Travail/ Group items tagged innovation emploi travail

Rss Feed Group items tagged

Aurialie Jublin

Que devient le travail dans l'économie digitale ? - Metis - 1 views

  • Cette économie ne peut se définir uniquement par les technologies digitales elles-mêmes mais par un ensemble de propriétés radicalement nouvelles. On en citera quelques unes qui montrent que l'on aborde des rivages nouveaux :- le rendement croissant des innovations et le coût marginal zéro. Le principe des rendements croissants, lié aux externalités de réseaux positives, fait que la valeur d'un bien ou d'un service digital est d'autant plus élevée qu'il bénéficie d'un réseau étendu. La conséquence est que les coûts de production et de distribution, quasiment indépendants du volume produit, doivent être payés dès l'investissement initial. Jusqu'ici nous avions vécu dans une économie de rendements décroissants !- des nouveaux modèles d'affaire se développent autour des plateformes en ligne générant une nouvelle forme de marché appelée marché « à deux versants ou bifaces ». Cela concerne des produits ou des services qui sont proposés simultanément à deux catégories d'utilisateurs via internet. Ces marchés induisent des types de concurrence en rupture avec les marchés traditionnels où plusieurs concurrents coexistent et sont en compétition. Là, le gagnant prend tout (the winner takes all).
  • Concernant l'impact des ruptures technologiques sur les environnements de travail, les auteurs, après avoir recensé six nouveaux champs (le cloud, les données massives, les applications mobiles, la géolocalisation, l'internet des objets, les machines apprenantes et la robotique mobile) notent bien des potentiels de transformation du travail notamment par un déplacement de la frontière entre les capacités des humains et des machines.
  • Les auteurs distinguent les nouvelles formes de travail ou d'emploi suivantes plus spécifiquement liés au développement de l'économie digitale:- les « nomades numériques » qui peuvent être des travailleurs salariés ou des indépendants. Leur activité est réalisée à l'extérieur des locaux de l'employeur ou du client. Cette forme de travail repose sur une grande autonomie et permet à des personnes exclues habituellement des emplois classiques de travailler. Mais qu'en est-il de la prise en charge de la santé et de la sécurité de ces nomades numériques ?- l' « externalisation ouverte » (crowd working) qui désigne le travail réalisé à partir de plates-formes en ligne permettant à des organisations ou des individus d'accéder, via internet, à un groupe indéfini et inconnu d'autres organisations ou individus pour résoudre des problèmes spécifiques ou fournir des services ou des produits spécifiques en échange de paiement. Ceci se traduit par le développement d'un marché orienté sur la tâche plutôt que sur l'emploi et une baisse de la qualité du travail ; on constate souvent un détournement des normes d'emploi. Certains parlent de «cybertariat » (cyber-prolétariat). D'une certaine manière, cela s'apparente à une formalisation de l'économie informelle.- le travail sur appel organisé par des plateformes. Il consiste en une relation d'emploi continu formalisée par un contrat de travail sans travail continu. Ce type de contrat repose sur le principe du travail sur appel, en fonction de la demande : c'est un travail occasionnel intermittent, une nouvelle forme d'intermédiation entre une demande de travail et des réserves de travailleurs en attente de tâches et de missions. Ces emplois sont caractérisés par un temps de travail très flexible, un salaire très variable et une disponibilité étendue : ils matérialisent un découplage entre le contrat de travail et le temps de travail, et soumettent la vie quotidienne à des horaires imprévisibles.
  • ...1 more annotation...
  • Ces nouvelles formes de travail se caractérisent par un brouillage des frontières : recouvrement entre vie professionnelle et vie privée, ambivalence entre le statut de salarié et d'indépendant, ou parfois de collaborateur bénévole, difficultés à distinguer le producteur du consommateur, etc. D'où la conclusion provisoire : « si ces formes de travail ne sont pas entièrement neuves et si elles sont en partie porteuses d'éléments positifs pour les travailleurs, elles sont aussi accompagnées de nombreux effets qui suscitent l'inquiétude, qui bousculent les systèmes de relations sociales et qui requièrent des formes de régulation appropriées ».
  •  
    "Le document de travail de Patricia Vendramin et Gérard Valenduc à l'origine de cet article est publié par l'Institut syndical européen (European Trade Unions Institute), un centre de recherche et de formation de la Confédération Européenne des syndicats (CES). L'Institut a demandé à deux professeurs-chercheurs de faire le point sur l'impact des technologies digitales sur le travail."
Aurialie Jublin

Et si l'on se débarrassait une fois pour toutes de l'emploi ? - 0 views

  • Le travail comme contrôle social Une première solution serait de continuer à travailler, même si cela ne sert plus à rien, ne serait-que pour préserver un certain ordre social, comme l'imaginent Léo Henry et Jacques Mucchielli dans leur nouvelle Demain l’usine
  • Le travail comme expression de soi Il serait évidemment préférable de se remettre en quête du sens de ce que l’on nomme encore aujourd’hui « travail ». On ne peut cependant pas s’en tirer par des expressions toutes faites telles que « créativité » ou « empathie », puisqu’on fait aujourd’hui toutes sortes d’efforts pour doter les robots et les IA de ce type de capacités.
  • Le travail comme oeuvre collective Mais on ne travaille pas tout seul, ni pour soi. Le travail est par essence une activité sociale, tant dans son déroulement que dans son résultat. Beaucoup d’utopies des XIXe et XXe siècle s’organisaient autour d’une manière de travailler ensemble
  • ...3 more annotations...
  • Le travail comme assurance-futur Oeuvrer, d’accord, mais à quoi ? Dans son article « The Option Value of the Human », situé à la lisière de la recherche et de la spéculation, l’informaticien et penseur de l’économie Steve Randy Waldmann suggère qu'à l'heure de la robotisation, la fonction du travail pourrait consister, d’une part, à garder en vie les savoir-faire et même les systèmes productifs du passé et d’autre part, à inventer le plus grand nombre de choses possibles, indépendamment de leur utilité immédiate.
  • ... Ou plus de travail du tout ? À moins… que nous apprenions à accepter l’oisiveté au nom de la contemplation, de l’amélioration de soi et de la philosophie, comme nous y invitent certaines des fictions les plus anciennes sur la robotisation du travail humain - le travail résiduel devenant une forme de “service social”, d’impôt temporel, comme dans la pièce « R.U.R, les Robots Universels de Rossum », de Karel Capek
  • Au fond, la disparition éventuelle du travail n’est peut-être un problème que dans un monde où la majorité des activités humaines s’inscrit dans un contexte marchand, justifiant dès lors un calcul coût-avantage qui tournera souvent à l’avantage de la machine. Tout en cherchant à inventer les métiers de demain, on pourrait aussi chercher aussi à imaginer la disparition de l’idée de métier, pour s’intéresser à l’infinie variété des « activités », des manières d’être utile à soi et aux autres.
  •  
    "Les deux premiers épisodes de la série d'articles « Boulofictions » se penchaient respectivement sur la façon dont la fiction nous aide à penser les futurs du travail et sur l'origine et les intentions des robots. Dans ce troisième épisode, Daniel Kaplan, à l'initiative du projet Work+, explore le scénario suivant : à supposer que les robots se substituent effectivement aux humains dans la plupart des emplois actuels et que la création de nouveaux emplois (notamment de servants, de réparateurs ou de coaches des machines) ne vient pas compenser la destruction des anciens, que pourrions-nous bien faire de nos vies ?"
Chamila Puylaurent

Etude : 42 % des professionnels français pensent que le travail flexible prov... - 0 views

  •  
    "S'inspirant des récentes initiatives mises en place par des entreprises comme Google et Dell3, Regus s'est penché sur les facteurs considérés comme essentiels par les cadres et dirigeants pour encourager l'innovation dans l'environnement de travail. "
Aurialie Jublin

A quoi ressembleront les emplois dans vingt ans? | Slate.fr - 2 views

  •  
    L'emploi change et va encore changer. Comme les innovations, la plupart des nouveaux métiers qui seront courants dans vingt ans n'existent pas encore, ou seulement à l'état embryonnaire. Sur la forme d'abord. Certes, l'emploi s'est déjà beaucoup «déstructuré», le poste à temps plein à durée indéterminé étant de plus en plus rare. C'est pourquoi le Conseil d'orientation pour l'Emploi travaille sur l'évolution des formes d'emploi : temps partiel, horaires atypiques, salariat «porté», groupements d'employeurs… La gamme est vaste et l'on n'a certainement encore pas tout vu.
Aurialie Jublin

Etude européenne sur les nouvelles formes d'emploi | Fondation ITG - 3 views

  •  
    Les 3 principaux enseignements : - Émergence du travail autonome en Europe : depuis le début des années 2000, ils représentent plus de 15% des travailleurs européens et 4% de la population active française. Le nombre de ceux qui ont recours à ces formes hybrides d'emploi n'a cessé de progresser. - Les formes hybrides d'emploi se développent partout en Europe : le portage salarial français fait incontestablement partie des innovations les plus abouties, mais il existe aussi le « payrolling » aux Pays Bas et en Belgique, les umbrella companies au Royaume Uni et egenanställning en Suède, coopératives en Espagne… - Un besoin d'harmonisation des législations : il subsiste une forte hétérogénéité juridique au sein des pays étudiés. Dans ce cadre, la France à un rôle à jouer, avec le portage salarial c'est le seul pays à avoir développé une forme aussi aboutie sur le plan réglementaire."
Aurialie Jublin

L'innovation pour faire reculer le chômage - Initiative France Info - 2011/20... - 0 views

  •  
    "Alors que l'emploi reste la préoccupation première des français, des professionnels du recrutement sur internet proposent des outils innovants pour faire baisser le chômage." Remarque : Quand elle parle "d'outils innovants" il s'agit en fait d'un site qui est sensé matcher l'offre (les gens qui s'inscrivent en 3 minutes) avec la demande (les offres d'emploi).
julien camacho

Erik Brynjolfsson : La solution pour la croissance ? Faire la course avec les machines.... - 0 views

  •  
    Alors que les machines s'approprient davantage de travail, beaucoup se retrouvent sans emploi ou voient leurs augmentations de salaire sans cesse repoussées. Est-ce la fin de la croissance ? Non, selon Erik Brynjolfsson -- ce sont simplement les difficultés grandissantes d'une économie radicalement réorganisée. Un cas fascinant qui expose pourquoi les grandes innovations sont devant nous… si nous considérons les ordinateurs comme faisant partie de notre équipe.
Aurialie Jublin

Imprimantes 3D : illusoire émancipation par la technologie, par Johan Söderbe... - 1 views

  • Les divagations qui entourent la promotion commerciale de l’imprimante 3D MakerBot, selon lesquelles cette « révolution » permettra aux ouvriers américains licenciés de retrouver un emploi créatif et innovant en se reconvertissant en makers indépendants, n’ont de sens que si l’on occulte l’histoire industrielle de ces outils. La fabrication individuelle permettra peut-être aux ouvriers de renouer avec le savoir-faire et l’inventivité, mais c’est oublier que les emplois d’usine n’ont pas toujours été aussi abrutissants. Et que c’est cette même technologie — qui contribuerait, nous dit-on, à réintroduire des métiers à compétence dans l’économie — qui a rendu le travail en usine si démoralisant.
  •  
    "Les makers ne sont donc pas les héritiers du mouvement ouvrier - ils sont plutôt le résultat historique de la négation de ce mouvement. Ainsi, nombre des figures connues du mouvement maker viennent du MIT, l'institut qui a joué un rôle déterminant dans la création de machines à commande numérique. "
Aurialie Jublin

BBC News - Robot trucks do the jobs Australians shun - 0 views

  • John McGagh, head of innovation at mining leviathan Rio Tinto, assures me that there will always be people employed by mining, but they will move "up the chain". The company is working to automate its drilling and crushing as well as the dozens of mile-long trains that ship nearly a million tonnes of iron ore to the coast each day. However, it will still need remote operators, maintenance staff and experts in mechatronics
  •  
    Les robots camions font le travail que les Australiens évitent; évitant ainsi une crise industrielle dans un pays dont la géographie rend les emplois clés indésirables
Aurialie Jublin

Numérique et emploi : la création créatrice ? - Semaine de l'emploi #37 - 1 views

  •  
    "La robotique créerait 3,5 millions d'emplois dans le monde d'ici 2025... Plus loin que l'image des fermetures d'usines, symboles de la première phase du processus de destruction créatrice, peut-on regarder l'horizon d'une innovation technologique portant un nouvel élan de l'emploi ? Idées reçues et envoyées cette semaine."
Aurialie Jublin

The future of jobs: The onrushing wave | The Economist - 1 views

  • The machines are not just cleverer, they also have access to far more data. The combination of big data and smart machines will take over some occupations wholesale; in others it will allow firms to do more with fewer workers. Text-mining programs will displace professional jobs in legal services. Biopsies will be analysed more efficiently by image-processing software than lab technicians. Accountants may follow travel agents and tellers into the unemployment line as tax software improves. Machines are already turning basic sports results and financial data into good-enough news stories.
  • There will still be jobs. Even Mr Frey and Mr Osborne, whose research speaks of 47% of job categories being open to automation within two decades, accept that some jobs—especially those currently associated with high levels of education and high wages—will survive (see table). Tyler Cowen, an economist at George Mason University and a much-read blogger, writes in his most recent book, “Average is Over”, that rich economies seem to be bifurcating into a small group of workers with skills highly complementary with machine intelligence, for whom he has high hopes, and the rest, for whom not so much.
  •  
    "Previous technological innovation has always delivered more long-run employment, not less. But things can change"
julien camacho

Innovation: quand les idées viennent des salariés - L'EXPRESS - 1 views

  •  
    Les RSE constituent de véritables sources d'innovations pour les entreprises qui y voient l'opportunité d'impliquer tous les salariés dans l'exploration de nouvelles pistes, mais aussi de proposer un espace commun d'expression et de partage par delà le cloisonnement des métiers. Cependant, ces plateformes ne deviennent réellement efficaces que si certains animateurs (internes ou externes) s'investissent fortement et jouent à la fois un rôle d'initiateurs et d'accompagnateurs des managers de proximité. Ces derniers assurent une fonction clé de facilitation (pivot hiérarchique) et de validation qualitative.
Aurialie Jublin

L'emploi à l'épreuve des algorithmes « InternetActu.net - 1 views

  • L’analyse des e-mails, des messageries instantanées, des appels téléphoniques, du moindre clic de souris des employés peut désormais être mise au service d’une plus grande efficacité de l’entreprise. Les données produites par les travailleurs sont en passe de devenir un atout précieux.
  • département People Analysis (“l’analyse des gens”), le laboratoire des ressources humaines de Google. Depuis 2007, Google a mené des enquêtes approfondies sur ses équipes et a constaté que les employés les plus innovants sont ceux qui ont un fort sens de leur mission tout en ayant une large autonomie personnelle. “Nos décisions sur nos employés ne sont pas moins importantes que nos décisions sur nos produits”,
  • Gild est une start-up qui ambitionne de révolutionner le recrutement de développeur par les Big Data. Parmi les principaux indicateurs pris en compte par la société, l’évaluation par les pairs des développeurs sur des sites de programmation communautaires comme Google Code, Github ou Bitbucket : le code proposé par le développeur est-il apprécié, réutilisé ? Comment communique-t-il ses idées ? Que dit-on de lui dans les réseaux sociaux ?…
  • ...4 more annotations...
  • Recruiter permet ni plus ni moins d’espionner les profils que le recruteur consulte, de les ajouter à des listes de candidats potentiels, d’entrer en contact avec les anciens employeurs ou d’être tenu au courant de qui s’attarde sur le profil d’un candidat, et ce…, sans que les utilisateurs eux-mêmes ne le sachent ! L’algorithme mis en place se base sur les actions du recruteur et se complexifie à mesure que l’employeur l’utilise, notamment en recommandant des utilisateurs à la formation et aux compétences similaires de ceux mis en sélection.
  • En fait, ce qui paraît le plus gênant dans ce système, c’est bien l’asymétrie de service, c’est-à-dire que les usagers ne sont pas sur un pied d’égalité. Que les recruteurs aient des outils dédiés pour se faciliter la tâche, certes. Mais que le candidat n’ait pas accès dans le détail à qui consulte son profil ne peut que générer une tension, un déséquilibre…
  • Mais ce n’est pas la seule société à utiliser de nouveaux types de capteurs pour mesurer la productivité des employés, explique Rachel Emma Silverman pour le Wall Street Journal. La Bank of America a ainsi équipé 90 de ses employés des badges développés par Sociometrics Solutions (dont nous parlions déjà ici et là). Le but : étudier les mouvements et les interactions des employés afin de comprendre la façon dont ils travaillent et interagissent.
  • Pour Dancy, bientôt, les entreprises vont commencer à mesurer leurs employés de la même façon qu’il se mesure lui-même. Nous n’aurons pas le choix, constate-t-il, fataliste. “Les entreprises ont besoin de nouvelles mesures pour saisir la productivité des travailleurs de la connaissance.” Même si les travailleurs rejettent la surveillance orwellienne de leurs employeurs, les travailleurs individuels seront contraints d’utiliser l’autosuivi pour acquérir un avantage concurrentiel sur les autres.
  •  
    L'analyse des grandes quantités de données - le Big Data - est appelée à révolutionner bien des domaines. L'emploi et les ressources humaines pourraient même devenir l'un de ses premiers terrains d'application. La preuve avec quelques résultats d'études menées dans différentes entreprises et différents secteurs.
Aurialie Jublin

Two People Doing The Same Job? It's Not Crazy For Engineers - FastCoLabs - 0 views

  • It turns out that developers have been working together to complete single tasks for decades, using a practice called “pair programming.” The basic idea is simple: Two developers sit in front of one computer. One programmer “drives,” typing out actual code, while the other observes and guides the driver, catching mistakes, and suggesting high-level strategies for completing the task.
  • Although it might sound counterintuitive and costly to employ two engineers to do one thing, its proponents swear that it actually saves money and time. Michael Kebbekus, a software engineering manager for collaboration software company Mindjet who spends 80% of his time pair programming, says the practice reduces costs and increases innovation by forcing developers to think through their decisions early
  • When you pair program, you have the perspective of a colleague, and every idea is just a starting point for something better. Before you start typing, you verbalize a solution, and in explaining your thoughts out loud you discover aspects of a problem you didn't even consider, and better yet, your partner does, too.
  • ...1 more annotation...
  • Although he acknowledges that it might not be beneficial to every division for every type of project, Kebbekus believes that everybody should at least try putting people together to work on high-value projects. His advice is to slowly start asking team members to work together on bigger, higher-cost projects and gradually formalize pairing people as they get used to the process.
  •  
    "Most people would find it absurd to hire two people to do the same job. An increasing number of software companies are doing just that and finding that it increases productivity and reduces costs. Here's how to apply the idea to your business."
Aurialie Jublin

Et si l'innovation technologique nuisait à la société humaine? | Slate.fr - 0 views

  •  
    Un autre article sur l'automatisation tuant l'emploi
1 - 15 of 15
Showing 20 items per page