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Gartner Says That by 2017, 25 Percent of Enterprises Will Have an Enterprise App Store - 0 views

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    "Gartner Says That by 2017, 25 Percent of Enterprises Will Have an Enterprise App Store Growing Number of Enterprise Mobile Devices and Enterprise Adoption of MDM Will Drive Demand and Adoption of Enterprise App Stores Analysts Examine the State of the Industry at Gartner Application Architecture, Development By 2017, 25 percent of enterprises will have an enterprise app store for managing corporate-sanctioned apps on PCs and mobile devices, according to Gartner, Inc. Enterprise app stores promise greater control over the apps used by employees, greater control over software expenditures and greater negotiating leverage with app vendors, but this greater control is only possible if the enterprise app store is widely adopted.  "Apps downloaded from public app stores for mobile devices disrupt IT security, application and procurement strategies," said Ian Finley, research vice president at Gartner. "Bring your own application (BYOA) has become as important as bring your own device (BYOD) in the development of a comprehensive mobile strategy, and the trend toward BYOA has begun to affect desktop and Web applications as well. Enterprise app stores promise at least a partial solution but only if IT security, application, procurement and sourcing professionals can work together to successfully apply the app store concept to their enterprises. When successful, they can increase the value delivered by the application portfolio and reduce the associated risks, license fees and administration expenses."  Gartner has identified three key enterprise app store trends and recommendations of how organizations can benefit from them:  The increasing number of enterprise mobile devices and the adoption of mobile device management (MDM) by enterprises will drive demand and adoption of enterprise app stores. Enterprises already have numerous choices for downloading software onto PCs, but most of them don't include support for smartphones and tablets. Enterprises are beginning to f
abrugiere

Et si les bibliothèques municipales devenaient des incubateurs de petites ent... - 1 views

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    La bibliothèque : un bon lieu d'incubation des start-ups ?  Les bibliothèques « regroupent à peu près tout ce dont un innovateur du 21e siècle peut avoir besoin: un accès à internet, un espace de travail, des documents de référence et une aide professionnelle », observe Emily Badger dans The Atlantic. Dans une étude auprès de 730 directeurs de bibliothèque que j'ai aidé à réaliser conjointement avec Library Resource Guide, nous avons découvert que beaucoup considèrent leur institution comme un pôle qui contribuera à réduire l'écart entre chômage et pénuries de compétences parmi les employeurs. Sept sur dix signalent une hausse de la demande pour l'accès à internet, et plus d'un tiers indiquent que le public est plus nombreux à rechercher des formations et informations techniques ou des informations sur le développement de carrière et la recherche d'emploi. Certaines bibliothèques sont déjà en train de se renouveler en tant que centres d'impression 3D ou laboratoires dédiés aux bidouilleurs informatiques. En 2011, la bibliothèque Fayetteville Free Library de Fayetteville, dans l'État de New York, a endossé une nouvelle mission dans le but d'offrir à ses utilisateurs des équipements d'impression 3D: le « FFL Fab Lab » est un espace à part doté de technologies d'impression 3D, qui cherche à encourager l'innovation et l'apprentissage du concept.
Aurialie Jublin

E-Mail: Not Dead, Evolving - Harvard Business Review - 1 views

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    Periodically you may hear digital hipsters claim that e-mail is dead. Don't believe them. People still spend half their workday dealing with it, they trust it, and overall they're satisfied with it, according to our 2012 survey of 2,600 workers in the U.S., UK, and South Africa who use e-mail every day. E-mail is not dead, it's just evolving. It's becoming a searchable archive, a manager's accountability source, a document courier. And for all the love social media get, e-mail is still workers' most effective collaboration tool. It's far from perfect: Three-quarters of all e-mail is junk, and we're wasting lots of time dealing with less important messages. But it remains the mule of the information age-stubborn and strong.  Résumé IA : Très intéressante infographie sur les usages de l'e-mail, notamment au travail. Nous envoyons en moyenne 11500 e-mail par an. 42% des e-mails qui nous arrivent (hors spam que nous ne voyons pas : nous n'en voyons que 8%) sont essentiels ou critique. Il demeure l'outil principal de nos modes de travail en collaboration. Et nous passons environ 111 jours de travail (50%) de notre temps avec eux : 22% de ce temps à chercher, archiver ou gérer, 15% à lire et 13% à en écrire. Il sert principalement à échanger des documents, envoyer des informations à des groupes…
Aurialie Jublin

Billet : Que signifie manager en 2013 ? | Expectra - 0 views

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    "Dans ce cadre, le manager doit revisiter son rôle et assurer quatre missions : - Donner du sens à l'action collective, en permettant à chacun d'insérer ses activités dans une stratégie globale. Selon la parabole des maçons, chacun d'entre nous peut tailler des pierres, construire un mur ou bâtir une cathédrale. Tout dépend de la communication de celui qui détient les plans. - Faire converger les enjeux stratégiques de l'entreprise avec les compétences et aspirations de ses collaborateurs, en positionnant les bonnes personnes sur les bons projets au bon moment. Sachant qu'un développeur informatique est deux fois plus efficace lorsqu'il est motivé, autant lui confier un projet qui l'intéresse, parce qu'il lui permet de renforcer une compétence ou de découvrir une nouvelle technologie, - Proposer un environnement de travail, combinant attentes individuelles et valeurs collectives, permettant à chacun de donner le meilleur de lui-même. On pense immédiatement au télétravail dans le cas de personnes habitant loin de leur lieu de travail. Le manager doit néanmoins veiller au fait que répondre aux attentes (légitimes) individuelles ne crée pas une organisation bancale, ou une culture ne répondant plus aux valeurs de l'entreprise, - Arbitrer une décision quand - et seulement quand - cela est nécessaire. Par exemple, le choix de recruter ou non une personne supplémentaire au sein de l'équipe nécessite de croiser a minima des informations financières organisationnelles et stratégiques. Le manager est parfois le seul à détenir toutes ces informations."
Thierry Nabeth

ISR: Special Issue on Information, Technology, and the Changing Nature of Work - 0 views

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    Special Issue on Information, Technology, and the Changing Nature of Work Deadline for Ideas Extended The date for submission of ideas for this special issue has been extended from February 15, 2013, to February 25, 2013. (See the first bullet point under "Process" below.)
Aurialie Jublin

Métiers disparus, métiers pas encore apparus - Information - France Culture - 0 views

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    "Et même, merveille de ces rapprochements, deux métiers - l'un disparu, l'autre pas encore inventé - se font échos d'une recension à l'autre. Au dix-neuvième siècle, il y avait un métier - c'était une plutôt une pratique délictueuse - consistant à déterrer des cadavres pour les revendre à des universités qui les disséquait, les pilleurs de tombes. Demain, il y aura un nouveau métier, le conseiller en funérailles numériques, celui qui vous aidera à choisir comment vous mourrez dans les réseaux : déciderez-vous qu'une page mémorial soit ouverte sur Facebook ? Voudrez-vous être enterré dans un cimetière numérique ? Ou au contraire voudrez-vous que toutes vos informations personnelles soient supprimées des réseaux pour ne pas risquer d'être la victime des nouveaux pilleurs de cadavres numériques qui séviront sur Internet?"
hubert guillaud

Pourquoi l'évaluation/rémunération sur indicateurs ne marche pas - Atoute.org - 0 views

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    Bien qu'appliqué à la médecine, la réflexion de Dominique Dupagne, l'auteur de "La revanche du rameur", pourrait s'appliquer à bien d'autres choses. Il revient sur les théories de l'économiste américain Robert Lucas qui estimait que les statistiques n'aident pas à prédire les comportements futur des agents économiques. "Une corrélation observée peut devenir trompeuse si elle est utilisée dans un but de prévision ou d'évaluation." Pour Lucas, les agents ne modifient pas forcément leur comportement face à un nouvel indicateur qui les concerne. Charles Goodhart, allait même plus loin encore : "Lorsqu'un indicateur est choisi pour guider une politique économique, il perd du même coup la valeur informative qui l'avait qualifié pour remplir cette fonction. Pour le sociologue américain Donald Campbell : "Plus un indicateur quantitatif est utilisé pour prendre des décisions, plus il va être manipulé et plus son usage va aboutir à corrompre le processus qu'il était censé améliorer". Et Dominique Dupagne d'afficher son sceptiscisme face aux méthodes d'évaluation et de rémunération incitatives. Alors quelles évaluations mettre en place ? Pour Dupagne, la solution est d'avoir une palette d'indicateurs très large et de conserver le secret sur ces indicateurs.
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    Bien qu'appliqué à la médecine, la réflexion de Dominique Dupagne, l'auteur de "La revanche du rameur", pourrait s'appliquer à bien d'autres choses. Il revient sur les théories de l'économiste américain Robert Lucas qui estimait que les statistiques n'aident pas à prédire les comportements futur des agents économiques. "Une corrélation observée peut devenir trompeuse si elle est utilisée dans un but de prévision ou d'évaluation." Pour Lucas, les agents ne modifient pas forcément leur comportement face à un nouvel indicateur qui les concerne. Charles Goodhart, allait même plus loin encore : "Lorsqu'un indicateur est choisi pour guider une politique économique, il perd du même coup la valeur informative qui l'avait qualifié pour remplir cette fonction. Pour le sociologue américain Donald Campbell : "Plus un indicateur quantitatif est utilisé pour prendre des décisions, plus il va être manipulé et plus son usage va aboutir à corrompre le processus qu'il était censé améliorer". Et Dominique Dupagne d'afficher son sceptiscisme face aux méthodes d'évaluation et de rémunération incitatives. Alors quelles évaluations mettre en place ? Pour Dupagne, la solution est d'avoir une palette d'indicateurs très large et de conserver le secret sur ces indicateurs.
Aurialie Jublin

In Head-Hunting, Big Data May Not Be Such a Big Deal - NYTimes.com - 0 views

  • Years ago, we did a study to determine whether anyone at Google is particularly good at hiring. We looked at tens of thousands of interviews, and everyone who had done the interviews and what they scored the candidate, and how that person ultimately performed in their job. We found zero relationship. It’s a complete random mess, except for one guy who was highly predictive because he only interviewed people for a very specialized area, where he happened to be the world’s leading expert.
  • On the hiring side, we found that brainteasers are a complete waste of time. How many golf balls can you fit into an airplane? How many gas stations in Manhattan? A complete waste of time. They don’t predict anything. They serve primarily to make the interviewer feel smart.
  • We found that, for leaders, it’s important that people know you are consistent and fair in how you think about making decisions and that there’s an element of predictability. If a leader is consistent, people on their teams experience tremendous freedom, because then they know that within certain parameters, they can do whatever they want. If your manager is all over the place, you’re never going to know what you can do, and you’re going to experience it as very restrictive.
  • ...2 more annotations...
  • One of the applications of Big Data is giving people the facts, and getting them to understand that their own decision-making is not perfect. And that in itself causes them to change their behavior.
  • the manager treats me with respect, the manager gives me clear goals, the manager shares information, the manager treats the entire team fairly. These are fundamental things that turn out to be really important in making people feel excited and happy and wanting to go the extra mile for you.
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    Interview de Laszlo Bock, senior vice president of people operations à Google. Il revient sur l'utilisation de Big Data dans la gestion du personnel.
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    Résumé d'Hubert : Intéressante interview de Laszlo Bock responsable des ressources humaines de Google sur l'utilisation des Big Data par Google pour le recrutement. Google a regardé les entretiens passés avec ses cadres pour constater qu'il n'y avait pas de relation avec la façon dont ils ont finalement effectuer leur travail. Chez Google, la taille d'un groupe idéal est de 6 personnes et Google cherche à comprendre pourquoi les équipes fonctionnent et d'autres ne fonctionnent pas. Pour l'embauche, les casses-têtes auquel Google soumettait les candidats (combien de balles de golf peut-on faire entrer dans un avion ?) sont une perte de temps. Les entrevues comportementales où les gens parlent de leur expériences sont plus cohérentes, permettant de savoir comment il réagit en situation et ce qu'il considère comme une situation difficile. Pour les dirigeants, il est important qu'ils soient cohérents, cela donne de la liberté aux équipes. Chez Google, les managers sont évalués par leurs employés. L'information amène les gens à modifier leurs comportements, suggère Laszlo Bock et leur donner des faits issues de données les amène à les modifier. Le fait que le responsable traite les gens avec respect, qu'il donne des objectifs clairs, qu'il partage des informations de gestion et qu'il traite l'équipe de manière équitable sont fondamentales. Les résultats scolaires n'ont finalement pas grande importance, et le nombre de gens qui ne sont jamais allé à l'université augmente chez Google. Pour Laszlo Bock, cela s'explique parce que les milieux académiques sont des environnements artificiels où il faut apporter la réponse qu'on attend de vous. C'est beaucoup plus dur que de résoudre des problèmes là où il n'y a pas de réponse évidente. Les Big data ne suffisent pas, nous avons aussi besoin d'un élément de compréhension humain. Le succès dépend du contexte et ce qui fonctionne chez Google n'est peut-être pas la même chose que ce
Aurialie Jublin

Le BYOID, un sésame pour la transformation numérique | CXP - 0 views

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    Encore un BYO... "Familier du web et des réseaux sociaux, vous connaissez certainement ce service que proposent divers réseaux grand public et qui vous invite à vous identifier une seule fois pour pouvoir ensuite aller partout : écouter de la musique avec des amis sur Spotify, rivaliser avec des copains sur une plateforme de jeu en ligne ou encore partager des informations professionnelles sur LinkedIn. Ce dispositif sécuritaire relève du concept Bring Your Own Identity ou BYOID (1). Son premier avantage est de faciliter la vie de l'internaute (qui n'a pas à s'encombrer d'une accumulation de mots de passe), de fluidifier son accès aux sites sur lesquels il s'inscrit et ainsi de le fidéliser. "
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    Encore un BYO... "Familier du web et des réseaux sociaux, vous connaissez certainement ce service que proposent divers réseaux grand public et qui vous invite à vous identifier une seule fois pour pouvoir ensuite aller partout : écouter de la musique avec des amis sur Spotify, rivaliser avec des copains sur une plateforme de jeu en ligne ou encore partager des informations professionnelles sur LinkedIn. Ce dispositif sécuritaire relève du concept Bring Your Own Identity ou BYOID (1). Son premier avantage est de faciliter la vie de l'internaute (qui n'a pas à s'encombrer d'une accumulation de mots de passe), de fluidifier son accès aux sites sur lesquels il s'inscrit et ainsi de le fidéliser. "
abrugiere

METIS / information travail emploi europe, information conflit du travail, ét... - 0 views

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    Metis est un journal en ligne, engagé, indépendant, financé par le soutien de ses abonnés. Son projet : contribuer au débat nécessaire que suscitent les mutations qui affectent le monde du travail en Europe. Parce que les questions du travail sont au cœur de la vie démocratique, Metis pense qu'elles conditionnent la « reprise » du projet européen et la constitution d'une Europe sociale.Metis souhaite vous donner à lire une Europe en devenir.
Aurialie Jublin

Ce robot journaliste prend des photos, pose des questions et publie en ligne | Gizmodo - 0 views

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    Des chercheurs du Intelligent Systems Informatics Lab (ISI) de l'Université de Tokyo ont développé un robot journaliste qui peut explorer son environnement en toute autonomie et écrire sur ce qu'il trouve.  Le robot détecte des changements dans son environnement, décide s'ils sont pertinents, et prends alors des photos avec sa caméra embarquée. Il peut ensuite aller recueillir des informations en posant des questions, et il se sert d'Internet pour parfaire ses connaissances sur le sujet. Si c'est intéressant, il va alors écrire un petit article et le publier sur le web.
abrugiere

Synergetics : e-portfolio - 2 views

shared by abrugiere on 25 Mar 13 - Cached
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    Un espace virtuel pour rassembler toutes vos informations sur vos compétences. Objectifs : formation et employabilité 
Aurialie Jublin

The new work | Harold Jarche - 0 views

  • Another factor in the changing nature of work is the changing perception of value. In the creative economy, more value is coming from intangible assets than tangible ones.
  • Learning to better deal with intangibles is the next challenge for today’s organizations and workers. I developed the following graphic to describe the four job types in relation to 1) work competencies and 2) economic value. It appears that an economy that creates more intangible value will require a greater percentage of Thinkers and Builders.
  • As we move into a post-job economy, the difference between labour and talent will become more distinct. Producers and Improvers will continue to get automated, at the speed of Moore’s law. Those lacking enough ‘Talent’ competencies may get marginalized. I think there will be increasing pressure to become ‘Thinkers + Builders’, similar to what  Cory Doctorow describes as Makers in his fictional book about the near future.
  • ...1 more annotation...
  • What is relatively certain is that ‘Labour’ competencies, which most education and training still focuses on, will have diminishing value. How individuals can improve their Thinking and Building competence should be the focus of anyone’s professional development plan. How organizations can support Thinking and Building should be the focus of Organizational Development and Human Resources departments. While Producing and Improving will not go away, they are not where most economic value will be generated in the Network Era.
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    En partant des 4 types de travail définis par Lou Adler (Thinker, Builder, Improver, Producer), des compétences définies par Gary Hamel (obedience, diligence, intellect pour l'économie industrielle et de la information; initiative, créativité et passin pour l'économie créative), Harold Jarche essaie de définir le futur du travail 
Aurialie Jublin

Yann Bramoullé: "Les réseaux sont au coeur des activités humaines" - 1 views

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    Si l'on considère que l'appartenance à un réseau est un moyen pour un individu d'acquérir de l'information pour améliorer sa propre situation et que l'acquisition de cette information a un coût, il est possible, en modélisant la position de chaque individu dans un réseau, ainsi que la forme de ce réseau, de prédire le gain que les individus, mais aussi la société dans son ensemble, peuvent en tirer. Avec mes coauteurs, nous avons modélisé les réseaux auxquels des personnes en emploi ou sans emploi appartiennent, et nous avons pu mesurer les effets de l'isolement sur la recherche d'un travail, le rôle bénéfique joué par la mise en réseau de chômeurs entre eux, et surtout avec des personnes en emploi. Nous avons aussi pu décrire le fonctionnement du favoritisme, du "piston", en montrant que la captation de la rente par un groupe se fait aux dépens de la création de valeur pour tous.
Aurialie Jublin

Pay with a Tweet - A social payment system - 0 views

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    "Dans le monde d'aujourd'hui la valeur d'avoir des gens parler de votre produit est parfois plus importante que l'argent que vous obtenez pour ce produit. ˜Pay with a Tweet"™ est le premier système de paiement social où les gens paient avec la valeur de leur réseau social. C'est simple, à chaque fois que quelqu'un paie avec un tweet ou un message, il (elle) informe tous ses amis de l'existence du produit."
Aurialie Jublin

The Future of Work - livre blanc de Esselte - 0 views

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    "As a result of the internet, new technologies, the huge increase in mobile or home working, part-time jobs and today's 'always on', 24/7 culture, we found that most people now spend more time working than sleeping. In fact by 2015 around 40% of the total workforce will be mobile. The reason for this is that work is no longer where the office is but for mobile workers it is wherever they are - be that their car, home, coffee shop, the airport, customer site or even on holiday. This is just one area our report identifies as having a massive impact on the way we work;" explains Richard Watson. Other factors covered in the paper include: Ageing workforces: By 2050 over 65's will represent around 50% of the working population in Europe Millennials and Gen Y: More tech-savvy than any other generation The generation gap: Millennials think senior management do not relate to them and use autocratic command and control structures Gender: The huge economic impact of getting more women in the workforce especially at senior levels. Eliminating the gap between male and female employment would boost GDP by 9% in US, 13% in Eurozone and 16% in Japan (Goldman Sachs). Mobile working: By 2015 new technologies mean 1.3 billion (or 40%) of the total working population will be mobile Security of Information: Workers will have their own devices (BYOD) and potentially work remotely creating huge security and data storage/retrieval challenges. Where will new talent for workforce come from? Talent scarcities worldwide mean that by 2030 the USA will need to add over 25 million workers to its talent base to sustain economic growth and Western Europe more than 45 million.
Aurialie Jublin

A quoi ressemblera l'entreprise de demain ? - Entreprise20.fr - 2 views

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    CR de Frédéric Cavazza de la réunion préparatoire de l'Enterprise 2.0 Summit. Un passage intéressant sur la définition de l'entreprise idéale du XXIe siècle :  Chacun a ainsi pu donner sa définition, l'occasion pour moi de noter quelques notions et mots-clés intéressants : - Responsabilisation (la collaboration est l'affaire de chacun, pas que des représentants de la génération Y) ; - Confiance (accepter de partager ses connaissances) ; - Plaisir (s'épanouir dans la collaboration et la performance collective) ; - Adaptabilité (prendre en compte le fossé culturel entre les nouveaux entrants et les "séniors") ; - Fluidité (des processus, des informations, mais également des collaborateurs) ; - Tolérance (vis-à-vis des idées qui sont partagées et des erreurs qui peuvent être faites lors de la phase d'adaptation aux pratiques collaboratives) ; - Engagement (principalement de la Direction et du Middle-Management) ; - Diversité (des profils, des parcours, des cultures) ; - Bienveillance (pas de censure ou d'inhibition). Au cours des discussions qui ont suivi, j'ai également pu noter des phrases et des idées dont je suis incapable de retracer l'origine (veuillez m'en excuser) : - "Arrêtons de parler de changement, car le changement fait peur, parlons plutôt d'adaptation" ; - "Les RSE (réseaux sociaux d'entreprise) sont les ERP de demain" ; - "Il faut reconfigurer l'organisation et les processus autour des savoirs et du capital humain" ; - "Nous devons passer à une logique d'apprentissage et de discussions / échanges permanents, donc trouver les bons stimuli auprès des collaborateurs" ; - "L'objectif est d'accélérer la prise de décision et la résolution de problèmes non plus grâce aux outils de production, mais à la collaboration" ; - "La hiérarchie devrait être là pour inspirer et modérer, plutôt que de surveiller et comptabiliser" ; - "Dans une dynamique de créativit
julien camacho

Linkedin serait-il le Google du monde professionnel ? - 0 views

  • Comme le rappelle faberNovel, Linkedin tire son chiffre d’affaires à 57 % de ses services destinés aux recruteurs ("talent solutions"), à 27 % de la publicité, et à 20 % de ses membres premium.
  • Depuis quelques mois, Linkedin se transforme et affiche donc de nouveaux services. Le plus en vue, ce sont les news, apparues en début d’année. Des informations uniquement orientées vers le monde professionnel et personnalisées pour le membre connecté. Elles pourraient aussi faire de Linkedin un média professionnel privilégié. De quoi concurrencer les Google News, les Yahoo! News mais aussi Flipboard.
  • le Californien affiche aujourd’hui un impressionnant ratio R&D sur chiffre d’affaires de 25 %. Un taux qui s’explique entre autres par le lancement, en 2011, d’un projet ambitieux, appelé Inversion. Objectif : redévelopper complètement le code de base du système pour qu’il tienne la charge des futures ambitions du réseau. Rien de moins. "Ils ont voulu se donner des moyens d’accélérer leur progression, raconte Caroline Pandraud. Alors ils ont tout défait et reconstruit pour que l’ensemble devienne une plateforme." Et que d’autres éditeurs ou développeurs puissent développer des plug-in, ou pour que d’autres sites intègrent des boutons "share" (partage) ou "Apply" (postule) à la manière des "j’aime" de Facebook ou des "tweeter" de Twitter.
  • ...4 more annotations...
  • Mais, pour monter en puissance encore plus vite, depuis l’an dernier, Linkedin a procédé à quelques acquisitions majeures. Fin 2012 :  le très prisé Slideshare sur lequel tous les professionnels partagent leurs présentations. En avril dernier, l’agrégateur de news Pulse, concurrent de Flipboard, qui a permis à Linkedin de lancer ses news en quelques jours à peine. En mai, enfin, le moteur de sondage autour de contenu Maybe.
  • Pour faberNovel, Linkedin pourrait devenir une place de marché d’experts si ceux-ci sont notés par leurs pairs, une place de marché de projets si les appels passent par sa plate-forme, un lieu où les start-up peuvent trouver des investisseurs, etc. Mais en extrapolant encore plus loin : "dans un ou deux ans, Linkedin pourrait devenir un Amazon du business,"
  • L’agence faberNovel publie ce mardi 2 juillet une étude fouillée du modèle Linkedin. Bien au-delà du réseau social professionnel, ce nouveau géant du numérique veut devenir le graphe de l’économie mondiale.
  • L’agence faberNovel publie ce mardi 2 juillet une étude fouillée du modèle Linkedin. Bien au-delà du réseau social professionnel, ce nouveau géant du numérique veut devenir le graphe de l’économie mondiale.
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    "La force historique de Linkedin, c'est son graphe. Cette toile vivante qui relie les membres entre eux, employés, recruteurs, entreprises, etc. Comme pour Facebook, Amazon mais aussi Google, c'est le cœur du business model. Celui qui alimente le système en données brutes et croisées, et qui exploite le principe des "affinités" entre membres pour proposer postes, informations ou publicités ciblés. Avec une différence notable par rapport aux autres médias sociaux : ici, tout le monde s'inscrit avec son identité réelle, car tout le monde y a intérêt. Graphe et big data sont les deux clés du système. Ils alimentent les trois moteurs Linkedin, comme l'explique faberNovel : le recrutement, le développement de business et le partage de contenu. "La singularité de Linkedin, c'est d'appliquer le big data au recrutement," insiste Caroline Pandraud, lead project analyst chez faberNovel. Derrière, trois algorithmes activent le moteur de recherche dans la base, le moteur du graphe et le moteur de recommandation."
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    L'agence faberNovel publie ce mardi 2 juillet une étude fouillée du modèle Linkedin. Bien au-delà du réseau social professionnel, ce nouveau géant du numérique veut devenir le graphe de l'économie mondiale.
Aurialie Jublin

Objets immatériels et abstractions au travail : vers un environnement "case-c... - 0 views

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    Résumé : si l'on essaie de comprendre concrètement ce qu'est le travail à l'heure de l'économie du savoir, on se rend compte qu'il s'agit essentiellement de manier, assembler, organiser des objets immatériels afin de produire un résultat concrêt. Afin de rendre la chose plus aisée, nombre d'outils donnent une existence physique à ces objets sur nos écrans afin de rentre leur manipulation plus aisée. Au final un double constat s'impose : non seulement les compétences nécessaires à ce type de travail sont loin d'être acquises ou même enseignées mais, plus encore, l'outillage tel que proposé aujourd'hui ne fait qu'empirer la situation en fragmentant la matière travaillée entre les outils et dispersant l'attention du collaborateur qui la consacre à faire le lien entre des applications et des informations au lieu de s'en servir pour résoudre des problèmes. Le passage d'un environnement centré sur l'outil à un environnement centré sur les cas à traiter s'impose.
hubert guillaud

Du social graph au work graph - Entreprise20.fr - 0 views

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    La collaboration sociale, via les fameux réseaux sociaux d'entreprise, est une pratique peu couru dans les entreprises françaises. Certes, imposer des modules sociaux ne suffit pas à faire collaborer les gens. Mais trop souvent on a proposé aux entreprises un réseau social d'employés, plutôt qu'un réseau social d'intérêts. Comme l'explique Wired - http://www.wired.com/opinion/2013/10/its-time-to-focus-on-the-work-graph-not-social-networks-at-work/ - une bonne partie de nos journées de travail ne sont pas consacrées au travail, mais à des tâches connexes. Dans ce contexte, les réseaux sociaux d'entreprises ne sont d'aucune utilité, car ils ne permettent pas de réduire le nombre de réunions ou d'e-mails. La raison est que le social graph est souvent développé à la place du work graph, consistant à mettre en relation un réseau d'entités en rapport avec le quotidien des employés (idées, taches, objectifs, processus, clients...), des informations à propos de ces unités de travail (documents, conversations, statuts, données...) ainsi que les interactions qui vont avec (alertes, commentaires, notifications...). Pour Cavazza, l'entreprise a surtout besoin d'outils complémentaires...
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