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4 articles pour penser le futur du travail au temps des robots - 0 views

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    "1/ Comment la fiction nous aide-t-elle à penser les futurs du travail ? Ce premier article décortique les trois scénarios proposés par le prospectiviste Stowe Boyd dans un article publié en 2015 par Wired. Celui-ci explore l'avenir du travail à l'aune du réchauffement climatique, du renforcement des inégalités sociales et de l'arrivée de l'intelligence artificielle sur le marché du travail. Daniel Kaplan éclaire ici le propos du prospectiviste en convoquant les écrits de plusieurs auteurs de science-fiction, dont Philip K.Dick, Paolo Bacigalupi ou encore Margaret Atwood. 2 / Et si la robotisation précédait le robot ? Dans le second épisode de sa série « Boulofictions », Daniel Kaplan explore l'hypothèse d'une humanité toujours plus dépendante des robots en revenant aux origines de cette dépendance : d'où viennent nos robots ? Où vont-ils ? Et surtout, que veulent-ils - ou plutôt, de quelles intentions sont-ils les outils ? 3 / Et si on se débarassait une fois pour toute de l'emploi ? Le troisième épisode de la série « Boulofictions » interroge la possibilité d'un futur dans lequel l'humanité parviendrait à confier la quasi totalité de ses tâches à des robots. Citant Alain Damasio, Philippe Curval ou encore H.G. Wells, Daniel Kaplan se demande ici sur quelles bases les humains parviendraient, dans un tel cadre, à donner un sens nouveau à leurs vies. 4/ Et si nous acceptions le robot en nous ? Dans le dernier article de sa série, Daniel Kaplan nous propose « d'accepter le robot en nous ». Évoquant notamment les imaginaires de fiction autour de la figure du cyborg, l'auteur se demande si le robot n'est pas à la fois le miroir et le futur de l'humanité. Un révélateur des liens de domination entre humains, comme entre humains et non-humains qui, sous certaines conditions, peut aussi se transformer en outil de libération."
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Five Trends Shaping the Future of Work - Forbes - 0 views

  •  The technologies in the consumer web help encourage and support new behaviors such as creating communities, being open and transparent, sharing information and ideas, easily being able to find people and information, and collaboration.  These behaviors (and technologies) are now making their way into our organizations and are helping shape the future of work.
  • Virtually every collaboration platform today has a cloud-based deployment option.  This means that the barrier to entry is virtually zero.  Business units no longer need to wait for corporate approval or the blessing of IT to make investments in these areas.
  • Most organizations today are struggling to adapt to this changing workforce as baby boomers are starting to make their way out.  This is a big factor shaping the future of work as organizations seeking to attract and retain top talent are going to need to adapt.
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  • The idea of “connecting to work” is become more prevalent within organizations as they are starting to allow for more flexible work environments.  With an internet connection you can now access everything you need to get your job done.  The notion of having to work 9-5 and commuting to an office is dead.
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    "When it comes to the future of work there are a few key trends which business leaders need to pay attention to.  Understanding these trends will allow organizations to better prepare and adapt to the changes which are impacting the way we work.  These five trends are: 1) changing behaviors which are being shaped by social media entering the enterprise 2) new collaborative technologies 3) a shift to the "cloud" 4) millennials soon becoming the majority workforce and 5) mobility and "connecting to work.""
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Three Scenarios for What the Future of Work Will Look Like [Podcast] | Real Business - 0 views

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    What you will learn in this episode - About Toni Cusumano and her role at PwCAn overview of the PwC report, - "The Future of Work: A Journey Through 2022," and the three scenarios: The Orange World, The Blue World, The Green World - Observations on organizations' approach to talent - Five megatrends identified in the PwC report - The future of job security - Cusumano's perspective on work/life balance - Four dimensions of the connected employee experience - Cusumano's advice to organizations and employees and more!
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Modes de vie du futur : sobriété et coopération, seules issues soutenables - 1 views

  • identifie les variables clés de l'évolution des modes de vie en France, et leurs impacts sur les émissions de CO2 : émergence de nouveaux comportements à travers l'habitat groupé, les régimes alimentaires, les nouvelles pratiques de mobilité, la simplicité volontaire, mais aussi, plus généralement, l'évolution des représentations sociales, des modes d'habiter, de consommer, de travailler, dont les effets sont significatifs sur les consommations d'énergie.
  • Le premier scénario est celui de la continuation actuelle de la société du consumérisme vert, scénario tendanciel en regard des modes de vie en Europe. "Le maître mot : l'adaptation, au stress, à la pénurie de fonds publics, au changement climatique... doublée de demandes multiformes de sécurité. Les modes de vie sont conformistes et hiérarchisés. Le travail reste une valeur pivot. Les NTIC transforment les relations sociales entre les proches"
  • Un second scénario, celui de la "société de l'individu augmenté", célèbre l'arrachement au temps et à l'espace. Le nucléaire voit sa part croître dans le système énergétique, les investissements dans la fusion nucléaire se poursuivent, peaux photovoltaïques, smart grids, biocarburants artificiels et agrocarburants se répandent. Une élite de cyborgs bénéficiant de la convergence de technologies NBIC (nano-bio-info-cognitif) coexiste avec des tissus péri-urbains "paupérisés et bricolés". La dualisation sociale et environnementale bat son plein, "on vit dans des espaces sous bulle, l'extérieur étant dégradé par la crise climatique et écologique et marqué par la fin du tourisme".
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  • Les trois autres sociétés du futur (S3-S4-S5) sont en partie porteuses d'espoir et d'utopies réalisées. Ainsi la "société duale de sobriété plurielle" voit les décroissants et créatifs culturels du XXème siècle ouvrir la voie. La sobriété est imposée par la précarité. Les valeurs cardinales sont la tolérance, le pluralisme, la diversité culturelle. C'est l' "âge de faire" et l'époque de l'exode urbain. 60% de la société du "premier monde" continue d'alimenter le système économique historique dans les métropoles, tandis que les 40% restant ont "décroché", créant de nouvelles formes d'organisation sociale. La montée en puissance du système D amplifie les alternatives. Une centrale nucléaire sur deux n'est pas remplacée car la demande énergétique du "second monde" a fortement baissé.
  • Quant à la "société de l'écocitoyenneté", elle voit la crise climatique induire des formes de pénurie en même temps qu'un système productif vertueux.
  • Enfin, la "société âge de la connaissance" se caractérise par le réinvestissement de l'espace public, le retour aux savoirs vivants, des voies nouvelles en agriculture, une descente énergétique, la régression de la consommation, la vigueur de l'autoproduction et une économie plurielle partagée entre travail salarié et bénévolat. Les "grands créatifs" sont les héros de la société.
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    "Comment penser les modes de vie en 2050 en France et leurs impacts sur les émissions de CO2 ? Un exercice collectif de la Mission prospective du ministère de l'Écologie propose des visions contrastées du futur."
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The Future Knowledge Worker - 0 views

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    In this guest blog, Jacob Morgan, author, speaker and futurist, shares his vision for how the Internet of Everything will shape the day-to-day lives of future knowledge workers. As evidenced by the results of Cisco's 2014 Connected World Technology Report, the future of work will be more collaborative than ever before. As a result, the typical day of tomorrow's knowledge worker will be dramatically different than it is today.
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CASBS Future of Work and Workers Project | Center for Advanced Study in the Behavioral ... - 0 views

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    Des dizaines d'articles sur le Futur du travail, publiés depuis 2014 par le CASBS Stanford
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Can This Board Game Prepare You For The Future Of Work? - 0 views

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    Other than a brief chat with a college career counselor, or that time a family member asked what you wanted to be when you grew up, has anyone encouraged you to look into the future? Were you ever formally taught how to develop your capacity for foresight? Me neither.
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Le monde dans 100 ans vu par 10 économistes: des robots partout, de l'agricul... - 1 views

  • «Nous pourrions vivre dans “le mauvais rêve d’une économie ” où les robots assurent toute la production, y compris la production des robots.» Les technologies pourraient également rendre de moins en moins utiles «les interactions en face-à-face», écrit Alvin Roth, de l’université de Stanford. Ce qui fait prédire au journaliste du Financial Times Simon Kuper: «La réelle proximité physique pourrait n’être indispensable que pour le sexe (et encore).» Business Week s’est en particulier penché sur les spéculations concernant le changement climatique. Le site note que c’est «le sujet sur lequel se sont tous attardés les dix essayistes».
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    "Ignacio Palacios-Huerta, de la London School of Economics, publie un livre intitulé In 100 Years: Leading Economists Predict the Future (Dans 100 ans: des économistes confirmés prédisent le futur), où dix économistes décrivent le monde tel qu'ils l'imaginent en 2114. «On vivra en moyenne jusqu'à 100 ans»; «Les gens seront plus efficaces grâce à des médicaments qui amélioreront "la concentration, la mémoire, ou encore l'intelligence"»; «Peut-être aura-t-on plusieurs épouses pour les différentes phases de notre vie». Ce sont quelques-unes des prédictions que retient le Financial Times dans la présentation de ce livre."
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IFTF : Technology Horizons - 0 views

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    En 2014, l'Institut pour le Futur compte travailler sur l'horizon des technologies via de nouvelles cartes combinatoires pour aider à naviguer dans le futur. Au menu de 2014, deux thèmes notamment : un sur le rapport homme machine, via les interfaces et les nouvelles modalités d'interactions et un autre sur les Maker Cities, du faire au refaire.
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L'entreprise du futur - 2 - L'avènement de l'ultra client - 0 views

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    "Quelle que soit la forme qu'elle prenne, l'entreprise du futur poursuivra un objectif traditionnel : servir et satisfaire ses clients. Mais dans la réalisation de cet objectif, elle devra tenir compte d'une réalité entièrement nouvelle : les technologies dont dispose désormais le client lui confèrent des connaissances et en font une force de proposition qui imposent au vendeur de réévaluer de fond en comble la relation et le rapport de force avec ce client. Face à un consommateur qui peut se renseigner, se regrouper et donner publiquement son avis grâce aux médias électroniques et aux réseaux sociaux, le producteur de biens et services devra quitter son piédestal et entrer dans une logique de coproduction avec le client devenu pro-sommateur, c'est-à-dire un consommateur qui veut devenir de plus en plus une partie prenante influente de l'élaboration des biens et services. Qu'il s'agisse de commerce BtoC ou BtoB, la frontière entre producteur et consommateur va donc s'estomper, au profit d'une autre configuration. Des coalitions ad hoc vont se constituer et se défaire, sur le modèle du « crowd ». Elles seront composées d'entreprises et de clients dont la collaboration débouchera sur des services de plus en plus complets dans la logique d'une économie de la fonctionnalité dictée par l'usage plus que par la possession."
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10 Principles of The Future Manager - Jacob Morgan - 0 views

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    When it comes to the future of work it's not just employees that are changing, managers are also having to change the ways in which they lead and in fact are HAVING to become leaders. These are 10 core principles or characteristics that managers will and must possess going forward :  - être un leader - être sur le front - comprendre la techno - mener par l'exemple - accepter la vulnérabilité (oser demander de l'aider) - croire en l'intelligence collective - être un "fire starter" (qui challenge les conventions, expérimente, ..) - donner des retours et des félicitations en temps réel - être conscient des limites personnelles
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Et si l'on se débarrassait une fois pour toutes de l'emploi ? - 0 views

  • Le travail comme contrôle social Une première solution serait de continuer à travailler, même si cela ne sert plus à rien, ne serait-que pour préserver un certain ordre social, comme l'imaginent Léo Henry et Jacques Mucchielli dans leur nouvelle Demain l’usine
  • Le travail comme expression de soi Il serait évidemment préférable de se remettre en quête du sens de ce que l’on nomme encore aujourd’hui « travail ». On ne peut cependant pas s’en tirer par des expressions toutes faites telles que « créativité » ou « empathie », puisqu’on fait aujourd’hui toutes sortes d’efforts pour doter les robots et les IA de ce type de capacités.
  • Le travail comme oeuvre collective Mais on ne travaille pas tout seul, ni pour soi. Le travail est par essence une activité sociale, tant dans son déroulement que dans son résultat. Beaucoup d’utopies des XIXe et XXe siècle s’organisaient autour d’une manière de travailler ensemble
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  • Le travail comme assurance-futur Oeuvrer, d’accord, mais à quoi ? Dans son article « The Option Value of the Human », situé à la lisière de la recherche et de la spéculation, l’informaticien et penseur de l’économie Steve Randy Waldmann suggère qu'à l'heure de la robotisation, la fonction du travail pourrait consister, d’une part, à garder en vie les savoir-faire et même les systèmes productifs du passé et d’autre part, à inventer le plus grand nombre de choses possibles, indépendamment de leur utilité immédiate.
  • ... Ou plus de travail du tout ? À moins… que nous apprenions à accepter l’oisiveté au nom de la contemplation, de l’amélioration de soi et de la philosophie, comme nous y invitent certaines des fictions les plus anciennes sur la robotisation du travail humain - le travail résiduel devenant une forme de “service social”, d’impôt temporel, comme dans la pièce « R.U.R, les Robots Universels de Rossum », de Karel Capek
  • Au fond, la disparition éventuelle du travail n’est peut-être un problème que dans un monde où la majorité des activités humaines s’inscrit dans un contexte marchand, justifiant dès lors un calcul coût-avantage qui tournera souvent à l’avantage de la machine. Tout en cherchant à inventer les métiers de demain, on pourrait aussi chercher aussi à imaginer la disparition de l’idée de métier, pour s’intéresser à l’infinie variété des « activités », des manières d’être utile à soi et aux autres.
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    "Les deux premiers épisodes de la série d'articles « Boulofictions » se penchaient respectivement sur la façon dont la fiction nous aide à penser les futurs du travail et sur l'origine et les intentions des robots. Dans ce troisième épisode, Daniel Kaplan, à l'initiative du projet Work+, explore le scénario suivant : à supposer que les robots se substituent effectivement aux humains dans la plupart des emplois actuels et que la création de nouveaux emplois (notamment de servants, de réparateurs ou de coaches des machines) ne vient pas compenser la destruction des anciens, que pourrions-nous bien faire de nos vies ?"
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Et si le futur du travail était encore entre nos mains ? - Digital Society Forum - 1 views

  • La fin de l’emploi, de sa durée légale et de son déroulement dans un temps « long » (plusieurs mois ou plusieurs années), s’il n’est pas accompagné d’une évolution de notre système de protection sociale et de soutien aux personnes, risque de faire de nous des individus morcelés incapables de se projeter, de se construire, d’évoluer.
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    "En prenant un peu de recul, la bousculade que vient de vivre la SNCF pourrait bien nous donner un aperçu du futur. En effet, le premier rôle dans cette histoire semble tenu par quelques dynamiques bien connues du monde numérique : la dimension participative (les clients ne sont plus de simples consommateurs passifs), la transparence (revendication d'une gouvernance plus partagée) et la montée des indépendants. En fait, cette mobilisation autour d'une offre commerciale donne un aperçu concret de cette société du pair-à-pair dont Michel Bauwens s'est fait le héraut : une société où les frontières entre producteurs et consommateurs s'effacent ; où les services et les produits deviennent des biens communs plutôt que des propriétés privées exclusives ; où les systèmes hiérarchiques s'aplatissent ; où la taille des entreprises se réduit, le travail s'effectuant en petits groupes mis en réseau ponctuellement, etc. Elle donne aussi un avant-goût de l'organisation des travailleurs et du dialogue social de demain. "
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Le Recrutement géolocalisé : Fiction ou Réalité ? - 0 views

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    Le scénario sur le recrutement du futur est pas mal : http://www.blogdumoderateur.com/recrutement-du-futur/ Ça ringardise bcp le CV ! Et le cas d'Euro RSCG utilisant Foursquare pour déboucher chez ses concurrents est un bon exemple d'utilisation des nouveaux services web pour le travail.
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LinkedIn part à la conquête des (futurs) étudiants - 0 views

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    Le réseau social professionnel LinkedIn permet désormais aux universités de créer des pages dédiées pour informer les futurs étudiants. Et à partir de la rentrée, les inscriptions à LinkedIn seront ouvertes à partir de 13 ans.
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20 Jobs of the Future - Slideshare - 2 views

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    Les métiers de demain n'existent pas. L'agence Sparks&Honey présente 20 boulots pour le futur, histoire de montrer que l'avenir est à l'imagination.
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​The Future of Robot Labor Is the Future of Capitalism | Motherboard - 0 views

  • According to Marx, automation that displaces workers in favour of machines that can produce more goods in less time is part and parcel of how capitalism operates. By developing fixed capital (machines), bosses can do away with much of the variable capital (workers) that saps their bottom line with pesky things like wages and short work days.
  • Capital itself is the moving contradiction, [in] that it presses to reduce labour time to a minimum, while it posits labour time, on the other side, as sole measure and source of wealth.
  • In Marxist theory, capitalists create profit by extracting what’s called surplus value from workers—paying them less than what their time is worth and gaining the difference as profit after the commodity has been sold at market price, arrived at by metrics abstracted from the act of labour itself. So what happens when humans aren’t the ones working anymore? Curiously, Marx finds himself among the contemporary robotic utopianists in this regard. Once robots take over society’s productive forces, people will have more free time than ever before, which will “redound to the benefit of emancipated labour, and is the condition of its emancipation,” Marx wrote. Humans, once freed from the bonds of soul-crushing capitalist labour, will develop new means of social thought and cooperation outside of the wage relation that frames most of our interactions under capitalism. In short, Marx claimed that automation would bring about the end of capitalism
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  • “Not immediately productive” is the key phrase here. Just think of all the forms of work that have popped up since automation began to really take hold during the Industrial Revolution: service sector work, online work, part-time and otherwise low-paid work. You’re not producing anything while working haphazard hours as a cashier at Walmart, but you are creating value by selling what has already been built, often by machines. In the automated world, precarious labour reigns. Jobs that offer no stability, no satisfaction, no acceptable standard of living, and seem to take up all of our time by occupying so many scattered parcels of it are the norm.
  • A radically different form of work is that of providing personal data for profit. This online data work is particularly insidious for two main reasons. First, because it is often not recognized as work at all. You might not think that messaging a pal about your new pair of headphones is work, but labour theorists like Maurizio Lazzarato disagree. Second, because workers are completely cut out of the data profit loop, although that may be changing.
  • Some people are already working toward this. The basic income movement, which calls for a minimum salary to be paid out to every living human regardless of employment status, is a good start, because it implies a significant departure from the purely economic language of austerity in political thought and argues for a basic income for the salient reason that we’re human and we deserve to live. However, if we really want to change the way things are headed, more will be needed.
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The Future of Work in the Age of the Machine. (about the Hamilton project at Brooking) - 1 views

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    The Hamilton Project explores the debate about how computerization and machines might change the future of work and the economy, and what challenges and opportunities this presents for public policy.
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Le Futur du travail - l'Entreprise 3.0 est-elle soluble dans la technologie ? - 0 views

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    Ce billet est plus une réflexion sur la nature du travail et de l'entreprise qu'un exercice de prospective. C'est le prolongement de mes travaux sur l'Entreprise 3.0. J'ai maintenant acquis la conviction que le modèle de l'Entreprise 3.0 est le seul qui résistera à l'avalanche de complexité et de changement du 21e siècle. Il est facile de se persuader que les modèles antérieurs, hiérarchiques et Taylorisés, sont incapables d'absorber ces épreuves. Il est plus intéressant de se poser la question de la capacité de cette « nouvelle entreprise » à résister à l'érosion technologique du nouveau monde qui commence à se dessiner - d'où le sous-titre provocateur de ce billet.
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    Conclusion : Le sujet du « futur du travail » est vaste et complexe, un billet de quelques pages ne peut faire qu'effleurer le sujet, j'aurai donc l'occasion d'y revenir. Pour conclure, je voudrais souligner trois idées qui résument cette première étape de ma réflexion : - Nous allons voir se consolider un réseau d'entreprises multi-échelle avec plus de grandes entreprises internationales (concentration) et plus de petites (qui exploiteront mieux le potentiel de diversification et d'interaction) - L'entreprise 3.0 n'est pas soluble dans la technologie. - L'entreprise 2030 est une entreprise en réseau ouvert - réseau d'équipes internes/ externes - qui exploitent les possibilités sans cesse croissante d'efficacité et de collaboration de la technologie mais qui s'appuie sur les principes de l'entreprise 3.0 (réseaux de petites équipes autonomes travaillant de façon synchrone autour d'une vision commune), parce que la complexité va continuer à augmenter. - La décroissance rapide des emplois dans la production va conduire à une augmentation des services à la personne, en s'appuyant sur des plateformes technologiques. Le passage de l'un à l'autre est forcément un bouleversement culturel et sociétal, avec une période de transition dont la pénibilité sera proportionnelle à la rigidité des choix politiques des pays.
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Comment la fiction nous aide-t-elle à penser les futurs du travail ? - 0 views

  • Dans un article de Wired publié en 2015 et intitulé « À quoi ressembleront les entreprises en 2050 ? », le prospectiviste Stowe Boyd construit trois scénarios à partir d’une démarche inductive qu’on ne peut décrire que comme une matrice fictionnelle. Ces scénarios reposent sur la combinaison de trois facteurs déterminants pour l’avenir du travail : l’IA, mais aussi le changement climatique et les inégalités, ces deux derniers – et en particulier le changement climatique – étant pratiquement absents du débat actuel sur le travail et l’emploi.
  • Pourtant, que deviendrait la robotique dans monde où l’énergie serait rare, sans parler des matériaux nécessaires pour fabriquer les robots ? Comment le travail se transformerait-il si une forme d’effondrement contraignait la majorité des terriens à relocaliser leur activité et la réorienter vers leurs besoins de base ? Que deviendrait-il si la dynamique de notre économie globalisée, nourrie par une innovation continue, se brisait ? Si les économies développées devaient faire face à des mouvements migratoires climatiques sans commune mesure avec ceux qui les inquiètent tant aujourd’hui ?
  • Dans le scénario «  Collapseland », l’absence d’action sur le climat conduit à un effondrement qui stoppe le progrès des technologies numériques, en partie faute de ressources, en partie parce que les grandes entreprises et les pouvoirs autoritaires qui dominent ce monde-là trouvent plus intéressant de faire travailler plus pour gagner moins. La fille automate de Paolo Bacigalupi (2009) nous invite dans une usine caractéristique de ce monde
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  • Dans le scénario « Néo-Féodalistan », les entreprises mènent le combat contre le changement climatique en optant pour le tout-technologique. L’automatisation est maximale, jusqu’à la direction des entreprises, sous la supervision de petites équipes d’experts et, au-dessus d’elles, des actionnaires. ·Un revenu universel, des services publics gratuits et des biens rendus beaucoup moins coûteux grâce à l’automatisation assurent la survie (et la soumission) d’une population dont l’immense majorité n’a pas d’emploi.
  • Enfin, le scénario «  Humania » résulte de choix politiques délibérés pour lutter à la fois contre le changement climatique et les inégalités, et limiter le recours à l’automatisation au nom d’un «  droit à l’emploi ». Le monde du travail qu’il décrit ressemble à celui que vantent aujourd’hui les start-up du Net : des organisations horizontales, agiles, que l’on rejoint et quitte au gré des projets, au sein desquelles on s’organise un peu à sa guise. Les conventions qui relient entreprises et collaborateurs prennent acte du caractère temporaire de leur relation, chacun s’engageant alors à aider l’autre à se passer de lui. Un revenu universel facilite l’arbitrage permanent entre travail rémunéré et autres activités.
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    "Appelant fin mars la science-fiction à « s'emparer du thème du travail », la ministre Muriel Pénicaut s'est attiré la réplique de Norbert Merjagnan sur le site d'Usbek & Rica, ainsi que d'un collectif d'auteur·es dans ActuaLitté : « Madame la ministre, la SF ne vous a pas attendue ! » Mais comment la fiction nous aide-t-elle à penser les futurs du travail ? Illustration dans cette série de 4 articles, issue des travaux du collectif pour une « Université de la Pluralité »."
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