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abrugiere

La clé du teletravail : le management des usages - 1 views

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    Retour sur les enseignements du tour de France du télé-travail. Interview de X. de Mazenod Le télétravail n'est pas une priorité des DRH, nous avons eu du mal à en faire venir lors du Tour de France. Mais ils ne constituent pas des freins. Dans les entreprises, c'est surtout le middle management qui lui est hostile L'ouverture d'une entreprise au télétravail dépend aussi de sa culture. Les mentalités sont en train d'évoluer. Près de la moitié (48%) des entreprises du CAC 40 se sont engagées à proposer des accords de télétravail à leurs salariés. Il y a celles du secteur IT évidemment, mais aussi de grandes entreprises industrielles, comme Renault ou Michelin par exemple. La condition sine qua non du télétravail, c'est la confiance. Un rapport de 2009 du Centre d'analyse stratégique (CAS) montrait que les pays anglo-saxons, plus avancés en matière de télétravail, ont un mode de management qui repose sur la confiance, un management par objectifs. Alors qu'à l'inverse, la France ou l'Italie sont encore dans le contrôle. Or le télétravail est numérique, il sur un fonctionnement horizontal, en réseau. C'est donc toute l'organisation et le style du management qui doivent évoluer si l'on veut véritablement inscrire le télétravail dans l'ADN de son entreprise.
hubert guillaud

La surveillance est un modèle d'affaire - Bruce Schneier - 0 views

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    Google a récemment annoncé qu'il aller commencer à utiliser les photos et les noms des utilisateurs dans certaines annonces, sans votre consentement. Malgré le "Do not track", les grandes entreprises de technologie ne cessent de nous traquer, d'une manière toujours plus agressive, estime le spécialiste en sécurité, Bruce Schneier. Ces entreprises ont systématiquement amélioré leur produit (nous) en réduisant la vie privée des utilisateurs. Le Do not track va permettre d'arrêter l'affichage de publicités personnalisées, mais ne nous garantira en rien l'arrêt du suivi de votre activité en ligne, la revente et la réutilisation des données collectées par devers vous. Plus qu'un Do Not Track, cette loi n'est rien d'autre qu'un "Suivez moi en secret". La plupart des gens ne sont pas conscients des données que les entreprises collectent sur eux, et le Do Not track fait tout pour que cela continue ainsi. Google a une image plus intime de nous que notre épouse, plus intime que nous même... "Google sait exactement ce que je pense, combien de fois j'y pense et quand je m'arrête d'y penser... Et il s'en souvient pour toujours". La NSA n'a pas construit son modèle seul, comme le montre les révélations d'Edward Snowden. Son modèle est né de l'écoute existante dans le monde des entreprises du net. Pour Bruce Schneier, nous avons besoin de réglementations protégeant nos vies privées et limitant ce que ces sites peuvent faire de nos données. "La surveillance est le modèle d'affaire de l'internet". Les principaux sites de l'internet fonctionnent sur le ciblage publicitaire... Tant que nous demeurerons le produit, les entreprises seront peu incitées à nous fournir une réelle intimité."
abrugiere

Comment les seniors sont-ils perçus en entreprise en 2013 ? | Les seniors en ... - 0 views

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    A quel âge peut-on prétendre être senior ? Les avis diffèrent selon la personne à laquelle on adresse cette question. Environ 48 % des 40/60 ans estiment que les entreprises considèrent qu'une personne est senior à partir de 45 ans. Or, pour les consultants en recrutement ce chiffre tombe à 24%. Quant aux entreprises, seules 11 %  jugent qu'une personne est considérée comme senior à 45 ans ; 55 ans étant l'âge d'un senior pour la majorité des entreprises (38%).
Aurialie Jublin

Les nouveaux risques (et opportunités) des entreprises / InternetActu.net - 0 views

  • Le surcoût moyen d’un projet informatique est de 27% estiment les chercheurs en conclusion de leur recherche. Mais, un projet sur six subit un dépassement de 200% !
  • Un outil d’analyse qui peut être un moyen d’identification des difficultés ou des forces d’une entreprise, que ce soit pour elle, comme pour la concurrence. Une méthode qui pose en tout cas la question de l’usage des médias sociaux par les employés et de leurs conséquences. Mais ce n’est pas le seul risque que courent les entreprises avec les réseaux sociaux. D’après une étude du cabinet de conseil Gartner, faute d’objectifs bien définis au départ, seuls 10 % des projets de déploiement de réseaux sociaux d’entreprises réussissent, rapporte Zdnet.
  • “La vie privée et la sécurité sont toujours négociées, si dévoiler votre vie privée vous procure un avantage, alors le plus souvent vous êtes près à y concéder”, rappelle l’un des chercheurs responsables de l’expérimentation, Michael Bernstein.
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  • “Un grand nombre des exigences de la vie quotidienne nécessitent une créativité que les machines n’ont pas encore”, estime Scott Klemmer du groupe Interaction homme-machine de Stanford.
  • la question pourrait surtout être de comment rendre ces données exploitables, décisives pour faciliter la prise de décision de l’entreprise.
  • Pour lui, la plupart des organisations ont des quantités massives de données, mais elles ne parviennent pas toujours à l’utiliser de manière significative. Comment faire parler les données pour identifier les objectifs stratégiques et les décisions tactiques à prendre ? Pour Davenport, l’analytique doit aider à prendre de meilleures décisions. Elle doit induire une boucle de rétroaction (comme l’expliquait Simon Chignard en évoquant l’open data), c’est-à-dire, que les données doivent permettre d’améliorer l’action des organisations.
  • Pour Tom Davenport, c’est la créativité à l’élaboration de ces tableaux de données qui va animer demain la réussite des entreprises. Choisir les bons indicateurs, les bonnes visualisations, extraire les bonnes données… Le tableau de bord de l’entreprise est assurément, lui aussi, l’un des enjeux de l’entreprise demain.
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    "La transformation induite par le numérique bouleverse le fonctionnement des entreprises, on le sait. Les défis sont innombrables et s'accumulent. Sans vouloir être exhaustif, en voici 4 qui nous ont semblé particulièrement… stimulants ou effrayant. "
Aurialie Jublin

Vers la next entreprise, l'entreprise en mode beta - 0 views

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    La next entreprise, c'est le nouveau modèle de l'entreprise, une entreprise en évolution permanente comme les logiciels. Encore faut-il se doter des instruments, réflexions, outils et analyses requis pour cette nécessaire transformation.
Aurialie Jublin

Un nouveau paradigme pour planifier les horaires... - A lire ailleurs - 0 views

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    "Pourtant les technologies de la planification peuvent tout à fait être programmées pour proposer des horaires stables, prévisibles, adaptés et efficaces, qui ne sont pas seulement bons pour les employés, mais aussi pour les ventes et la satisfaction de la clientèle. Mais pour cela, plus que de nouveaux outils, il faut adopter un nouveau paradigme. C'est ce à quoi s'attache l'initiative Fair Work Week qui a travaillé avec plusieurs entreprises, comme Starbucks pour construire un système de planification efficace tant pour les employés que pour les employeurs. Certes ce n'est pas si simple, explique la chercheuse en évoquant plusieurs grandes entreprises avec lesquelles elle travaille, montrant que quand on rééquilibre une chose, on en déséquilibre une autre… Pour que cela fonctionne, estime Carrie Gleason, il faut écouter les employés. "Pour réussir à identifier les bonnes pratiques qui devraient passer à l'échelle, les employés doivent avoir un rôle significatif dans l'évaluation des pratiques de leur entreprise et dans l'élaboration des politiques de planification horaires de leur entreprise""
Aurialie Jublin

Les plateformes de collaboration s'ouvrent à l'extérieur - Entreprise20.fr - 1 views

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    Exemple de plateforme collaboratif entre différentes "communities" d'une entreprise (marketing, commercial, support, ...) "Certaines questions restent en suspend, comme par exemple la gestion des communautés entre-elles : possibilité de faire communiquer deux communautés initiées par deux entreprises ? De fusionner deux communautés ? De scinder une communauté en plusieurs sous-communautés ?"
Aurialie Jublin

Entreprise 2.0 : pourquoi ça coince encore - 2 views

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    Entreprise 2.0, social business, des mots qu'on entend de plus en plus dans le monde de l'entreprise, pour parler de l'entreprise de demain. Pourtant, quand on regarde les entreprises, rien ne change vraiment, à de rares exceptions prêts.
Aurialie Jublin

"L'entreprise « ouverte » : nouveaux modes d'organisation à l'ère numérique" - 1 views

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    Cahier de prospective de la Fondation Télécom, fruit des travaux menés avec les entreprises partenaires de la Fondation Télécom dans le cadre du think tank Futur Numérique de l'Institut Mines-Télécom. A travers des témoignages et des retours d'expériences sur la question du rapport entreprise/usages numériques, cet ouvrage, réalisé sous la direction de Carine Dartiguepeyrou, donne une vision des pratiques et des enjeux managériaux et organisationnels à venir pour les entreprises à l'ère du numérique.
hubert guillaud

Du social graph au work graph - Entreprise20.fr - 0 views

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    La collaboration sociale, via les fameux réseaux sociaux d'entreprise, est une pratique peu couru dans les entreprises françaises. Certes, imposer des modules sociaux ne suffit pas à faire collaborer les gens. Mais trop souvent on a proposé aux entreprises un réseau social d'employés, plutôt qu'un réseau social d'intérêts. Comme l'explique Wired - http://www.wired.com/opinion/2013/10/its-time-to-focus-on-the-work-graph-not-social-networks-at-work/ - une bonne partie de nos journées de travail ne sont pas consacrées au travail, mais à des tâches connexes. Dans ce contexte, les réseaux sociaux d'entreprises ne sont d'aucune utilité, car ils ne permettent pas de réduire le nombre de réunions ou d'e-mails. La raison est que le social graph est souvent développé à la place du work graph, consistant à mettre en relation un réseau d'entités en rapport avec le quotidien des employés (idées, taches, objectifs, processus, clients...), des informations à propos de ces unités de travail (documents, conversations, statuts, données...) ainsi que les interactions qui vont avec (alertes, commentaires, notifications...). Pour Cavazza, l'entreprise a surtout besoin d'outils complémentaires...
Chamila Puylaurent

Entreprise 2.0, un nouveau cycle ? - 0 views

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    Avis d'Anthony Poncier - "Même les entreprises lancées dans le 2.0 en interne sur le mode productiviste vont devoir faire évoluer leur modèle de management et leur organisation sous la pression des médias sociaux." Les entreprises ont toujours du mal à travailler en mode collaboratif et n'y affecte pas les ressources nécessaires...
hubert guillaud

Comment les employés peuvent-ils souffrir dans des entreprises sans patron, c... - 1 views

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    De nombreuses entreprises se mettent aux structures organisationnelles plates, estime Klint Finley pour Wired. A l'exemple du développeur de jeu Valve ou de WL Gore, la firme derrière Gore-Tex. GitHub a la même ambition, et elle est d'autant plus symbolique que GitHub fournit un service qui permet justement de collaborer librement sur des projets logiciels. Mais les structures démocratiques plates ne veulent pas dire structures sans jeu de pouvoir. La semaine dernière GitHub a suspendu un de ses fondateurs accusé harcèlement. En 1972, Jo Freeman a décrit dans "La tyrannie de l'absence de structure" les premières expériences d'auto-organisation féministes. Le problème avec les organisations non-hiérarchiques est que les structures de pouvoir sont invisibles et donc inexplicables ce qui conduit souvent à des dysfonctionnements et des abus. Fred Turner décrit les mêmes problèmes quand il évoque les communautés hippies qui ont voulu éviter la division traditionnelle du travail et qui ont fini par envoyer les femme faire la cuisine, le nettoyage et l'éducation des enfants. Les communautés régies par des structures plus explicites finissent par pouvoir être plus progressives, les responsabilités pouvant être réparties de manière plus égales. La même impulsion anti-hiérarchique existe dans la Silicon Valley que dans les communautés autonomes des années 60, estime Finley. Un ancien de Valve révélait que l'entreprise ressemble parfois à une cours d'école, où les enfants les plus populaires et les fauteurs de troubles accaparent le pouvoir. Le risque est d'embaucher des gens qui correspondent à la culture de l'entreprise au risque de sa diversité. La Kellog School of Management a montré dans plusieurs études que la diversité des équipes était un meilleur moyen de résoudre les problèmes que d'avoir des décideurs : http://insight.kellogg.northwestern.edu/article/better_decisions_through_diversity . Le culte des employés qui corre
Aurialie Jublin

Entreprise et transformation numérique : impossible est Français ? - 0 views

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    "L'enquête Accélérer la mutation numérique des entreprises de McKinsey, réalisée auprès de 500 sociétés, identifie quatre freins expliquant la difficile "numérisation" des entreprises françaises : difficultés organisationnelles, pénurie de "talents numériques", marges financières plus serrées que dans d'autres pays, manque d'implication visible des dirigeants. L'enquête Du rattrapage à la transformation, l'aventure numérique, une chance pour la France de Roland Berger, menée auprès de 505 entreprises françaises de plus de 50 salariés, montre que le coût, la résistance au changement et le manque de compétences sont les principaux obstacles à cette transformation."
abrugiere

Les processus "atypiques" de négociation collective en entreprise | France St... - 0 views

  • La consultation directe des salariés lors de négociations collectives est, quant à elle, appréhendée sous plusieurs facettes juridiquement encadrées ou non ; le recours au référendum peut ainsi répondre à de multiples logiques, entre stratégie de « passage en force » et démarche participative. Enfin, si la médiation renvoie d’abord à l’intervention d’un tiers en cas de conflit social, une acception plus large permet d’envisager le rôle facilitateur de différents acteurs externes tout au long du processus de négociation (consultants, experts, avocats, etc).
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    "Cette note présente une étude réalisée par ASTREES sur trois processus « atypiques » de la négociation collective en entreprise : l'implication des élus du personnel, l'usage du référendum et les formes de médiation."
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    Sommaire de la Note d'analyse 14 - Les processus "atypiques" de négociation collective en entreprise Trente ans d'extension et de mutation de la négociation collective d'entreprise Trois questions au cœur des pratiques atypiques Les représentants du personnel élus : quelle place dans les négociations ? Les multiples usages du référendum dans la négociation Les médiateurs ou facilitateurs de la négociation collective - See more at: http://www.strategie.gouv.fr/publications/processus-atypiques-de-negociation-collective-entreprise#sthash.kyov3gcH.dpuf
Aurialie Jublin

Vos désirs sont des ordres | Cosmo [†] Orbüs - 0 views

  • La morale, c’est qu’il n’y a pas de limites à la volonté de contrôle des corps. Le techno-capitalisme avance souvent main dans la main avec sa meilleure ennemie : la liberté individuelle. […] Les organisations qui ne savent pas promouvoir l’homme tel qu’il est (et la femme telle qu’elle est), dans toutes ses dimensions, dans toutes ses richesses (et faiblesses !), sont des organisations dont le design n’est pas prévu pour l’humain.
  • Dans un monde où les entreprises cherchent à dépasser les possibilités de leur main d’oeuvre humaine (cadence, qualité, standardisation de la production etc.) pour pas trop cher (ou vite rentabilisé), la machine semble être une solution logique. Le design de la machine industrielle (et du logiciel de service) est conçu pour accomplir précisément ce qu’elle est supposée faire (on en a déjà parlé). Ça paraît tout bête dit comme ça, mais ça va mieux en le disant : la machine est faite pour faire ce qu’on veut qu’elle fasse. Elle est donc complètement compatible avec les attentes de l’entreprise, contrairement à ces humains bourrés de vices de conception, qui dorment, mangent, prennent des pauses, font grève et… vont aux toilettes.
  • Certains prêchent qu’on aurait intérêt à s’entraîner pour concurrencer les machines qui, demain, nous remplacerons. D’autres évoquent l’impossibilité totale de battre le droïde sur son propre terrain (encore une fois : il est conçu pour une tâche précise. Comment voulez-vous lutter ?), et appellent à embrasser le Grand Remplacement Robotique qui serait pour demain.
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  • La première option n’en est pas une. S’entraîner pour accomplir ce qu’un robot manifestement imparfait fait déjà mieux que nous est une gageure. A moins de les perfuser en permanence (sucre + excitants + antidépresseurs), de les gaver de pilules anti-sommeil, de les enchaîner à la chaîne de montage et de tenir la Ligue des Droits de l’Homme à distance, les ouvriers de l’industrie automobile sont moins efficaces que les robots qui existent d’ores et déjà. Dans le futur, aucune « augmentation » transhumaniste ne changera jamais cet état de fait.
  • La deuxième option est plus intéressante. Souvent la réflexion de penseurs comme Ariel Kyrou (dans Réinventer le travail sans l’emploi) ou des auteurs de SF comme Norbert Merjagnan (CoÊve 2051) fait suivre le constat du tout-robotique à venir par un appel au Revenu de Base. Forcément : si les machines font si bien le travail, laissons leur. Mais si nous n’avons plus de boulot ni de salaire, qui achètera les quantités de produits débités par nos usines robotisées ? Le revenu de Base est parfois vu comme la face B, indissociable de la robotisation galopante. A moins de s’en remettre à la phrase de Catherine Dufour : « Avec la robotisation on nous avait promis les loisirs, et on a eu le chômage. »
  • Pendant que le service marketing s’essaye à la promesse, quelqu’un d’autre doit la tenir. Le paradis du consommateur est souvent l’enfer du salarié.
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    "Il y a des entreprises où les employés portent de couches parce qu'il n'ont pas le temps - parce qu'on ne leur laisse pas le temps - d'assouvir un besoin essentiel et commun à tou(te)s. Il y a des entrepôts d'Amazon environnés de tentes parce que les employés n'ont pas le temps - parce qu'on ne leur laisse pas le temps - de rentrer chez eux le soir. (Et encore, pour le moment ils n'ont pas de bracelet de surveillance.) Allons bon, ils ont toujours le choix ! Sauf qu'à trop faire la fine bouche, on leur rappellera que six millions de crevards demandeurs d'emplois attendent dehors pour prendre leur place. Comme le notait Mais où va le web dans son excellent article Pause pipi et ovocytes congelés : l'homme machine selon Heidegger, le fait que des entreprises en arrivent à de tels délires dans l'exploitation de leurs salariés est un problème de design. Ces entreprises et leur fonctionnement ne sont pas compatibles avec ce qu'est l'être humain. "
Aurialie Jublin

Site meilleures-entreprises.com - Faites la réputation de votre entreprise - 1 views

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    Message pour inciter les entreprises Vos collaborateurs sont vos meilleurs ambassadeurs ! Analysez les ressentis de vos équipes. Boostez ensemble votre attractivité. Développez votre visibilité dans un espace participatif."
Aurialie Jublin

L'adoption des RSE et plateformes collaboratives progresse lentement - Entreprise20.fr - 1 views

    • Aurialie Jublin
       
      Résultat de l'étude "évolution de la networked enterprise" : Si l'adoption de certaines technologies et fonctionnalités liées à la networked enterprise sont en hausse régulière, la tendance générale est plutôt à la stagnation ;  - Les bénéfices ressentis au sujet de ces nouveaux outils ou nouvelles pratiques sont plutôt mitigés (surtout liés à la réduction des coûts de communication ou de voyage) ; - Des préoccupations qui se déportent vers des sujets très techniques (accès mobile, sécurisation des données dans les nuages, big data…).
  • Même son de cloche avec l’étude 2013 sur la Social Collaboration en Allemagne, en France et au Royaume-Uni de PA Consultants. On y apprend que les entreprises allemandes et anglaises ont une approche pragmatique centrée sur l’efficacité ou la recherche de rapidité, alors que les entreprises françaises cherchent à améliorer la motivation, l’implication… mais comme ces derniers bénéficient d’un faible niveau d’autonomie, les résultats ne sont pas forcément au rendez-vous
  • Le principal enseignement de cette étude est que des solutions sont déployées, probablement dû à un bon travail d’évangélisation des éditeurs, mais que l’intégration aux outils du quotidien reste à faire. En d’autres termes : on colle des rustines pour faire bonne figure, mais les habitudes ne changent pas forcément à cause d’un déficit de volonté de changement.
  • ...1 more annotation...
  • Comme pour les études précédentes, si les entreprises se targuent d’un déploiement de solutions modernes (RSE, accès mobile…), elles sont beaucoup moins volontaires pour initier une mutation en profondeur des habitudes de travail. Ce qui manque le plus, comme le démontre ces études, est la mise en place d’une réelle dynamique de changement où la direction et le middle management expliquent, stimulent et participent de façon active à la transformation des outils et processus métiers.
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    Un article de synthèse de quatre études sur l'adoption des RSE et plateformes collaboratives parues récemment.
Aurialie Jublin

Isaac Getz : « L'organisation où les salariés sont libres vaincra toujours le... - 1 views

  • 1/ Pensez-vous que les pratiques managériales actuelles soient un frein à l’innovation et à la croissance en entreprise ?Isaac Getz : C'est une évidence, car toute innovation commence par une idée partagée. Or l'entreprise traditionnelle n'encourage pas ce partage, voire l'empêche. Quant à la croissance organique, elle ne provient que par l'innovation. C'est justement parce que les entreprises traditionnelles ne parviennent pas à être innovante durablement qu'elles recourent tant à la croissance externe par l'acquisition.
  • la libération de l'entreprise est une transformation radicale et elle commence par l'abandon de l'égo par le N+1. Quant aux managers, certes, une partie ne sera pas très enthousiaste par la transformation qui leur ôte du pouvoir et les invite à devenir des leaders au service de leurs équipes. Ces managers, il faut les former, coacher, voire inviter ceux qui ne s’accommodent pas de ce changement à évoluer vers d’autres missions dans l’entreprise, tout en gardant leur salaire, bien sûr.
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    Professeur à l'ESCP et co-auteur de « Liberté & Cie, Quand la liberté des salariés fait le bonheur des entreprises », Isaac Getz est spécialiste de l'innovation et du leadership libérateur. Il propose aux entreprises et à leurs dirigeants une méthode pour repenser et transformer leur modèle managérial en levier de croissance.
Aurialie Jublin

La compétitivité des entreprises passe par le renforcement du pouvoir des sal... - 0 views

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    Que signifie vraiment être compétitif pour une entreprise ? Est-ce réduire les coûts à tout prix, quitte à détruire les compétences des salariés et à étouffer toute créativité ? Pour François Daniellou, professeur d'ergonomie à l'École nationale supérieure de cognitique, la compétitivité des entreprises françaises passe au contraire par une démocratisation du travail et un renforcement du pouvoir des salariés, les mieux à même de définir « ce qui fait la performance de leur activité ». Une démocratisation dont le patronat ne veut pas.
Aurialie Jublin

Impossible d'innover sans vos salariés ! | Le Cercle Les Echos - 1 views

  • Il faut favoriser les interactions entre vos collaborateurs au-delà des frontières hiérarchiques et fonctionnelles. Les interactions sont source de créativité et de flexibilité. L’objectif est de permettre à votre entreprise de s’adapter aux évolutions de son environnement, dans de bonnes conditions économiques.
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    "Sans la participation de vos salariés, votre entreprise est figée. Savoir les intégrer au projet de l'entreprise de manière cohérente et valorisante, c'est une nécessité dans un contexte de crise. Le facteur humain, c'est la clé de l'adaptation de votre entreprise à son environnement. Comment conduire les changements ? Quelles actions, mener ? Quel sens donné aux changements ?"
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