Skip to main content

Home/ Tic&Travail/ Group items tagged créativité

Rss Feed Group items tagged

Aurialie Jublin

Vivre ensemble et travail : pour un droit à la collaboration, Le Cercle - 2 views

  • n vise à réconcilier le beau travail et la performance, dût-elle aller à l’encontre des mythes du "tout communication" et de l’ouverture à 360 degrés. Je la conçois comme l’une des deux modalités du travail (avec la coopération), et comme un impératif, en ce sens qu’il incombe à l’employeur, lorsque son activité s’y prête, de mettre en place les conditions matérielles et organisationnelles propices à la collaboration. En ce sens, l’on pourrait presque parler, du point de vue du travailleur, d’un droit à la collaboration et d’un devoir de collaboration.
  • Ce droit à la collaboration, complémentaire à la coopération, me semble de nature, par sa simplicité et la diversité des situations qu’il embrasse, de sous-tendre de nombreux axes d’amélioration du travail. Côté pile, la collaboration : à elle la prise de recul, la réflexion stratégique et tactique initiale, la créativité individuelle, la veille et la lenteur du travail bien fait. Côté face, la coopération : à elle la mise en débat du travail, la réflexivité, la créativité collective, la tactique opérationnelle ou la prise de décision.
  •  
    "Le travail s'effectue de plus en plus souvent dans des espaces partagés. Face à la mythologie de l'open space, il faut parfois savoir laisser de la place à la réflexion et à la créativité individuelles et favoriser le travail en retrait."
Aurialie Jublin

La Renaissance des Artisans … en col blanc? - 1 views

  • Et si les Managers devenaient des  Artisans du Savoir? Les environnements complexes sont la nouvelle norme.Il  est essentiel de développer son relationnel, car pour avancer dans le  savoir complexe, il faut partager.. et ça prend du temps de partager le savoir implicite, alors il faut réserver du temps pour donner du sens, réfléchir, et converser. Tout cela représente un changement significatif de la manière de travailler , mais ça peut être maîtrisé avec un socle stable de « PKM » pratiqué par des artisans de la connaissance interdépendants et autonomes. Quand tout le monde est engagé dans la quête de sens, toute l’organisation peut beaucoup mieux sentir où elle doit se diriger.
  •  
    "Aujourd'hui, la plupart des organisations s'interrogent sur l'impact des bouleversements technologiques sur la nature du "travail". Il est d'autant plus difficile d'y voir clair que, dans le contexte actuel de transformations économiques et politiques et de raréfaction des ressources naturelles, tout devient plus  complexe." Il faudrait : - promouvoir la créativité et l'initiative - structurer le développement des réseaux personnels et organiser les sources d'informations - maîtriser le nouveau langage des réseaux et communautés numériques
Aurialie Jublin

Le business model des plateformes d'innovation - 0 views

  • Tous les services qui peuvent être rendus à des entreprises entrent dans le champ commercial des plateformes, en particulier l’accompagnement à l’intrapreneuriat, le conseil en innovation ou le soutien aux activités de créativité et d’idéation. Le modèle des sociétés par actions simplifiées devient progressivement la référence, avec ou sans mise en place parallèle d’une association sans but lucratif pour gérer une partie des services destinés à la vie de la communauté d’usagers ou pour rester éligible à divers types de subventions.
  • Les logiques de subvention persistent, mais elles prennent des formes directes et indirectes. Directes sous la forme de versements ou d’aides au démarrage ; indirectes quand il s’agit de faciliter l’accès à des locaux à un tarif préférentiel, de garantie sur des signatures de baux ou de dégrèvements fiscaux dans des zones à revitaliser.
  • Cela concerne pour l’essentiel des collectivités locales et territoriales qui émettent des appels d’offres, et pour lesquels les plateformes peuvent manifester leurs compétences distinctives ou leurs modèles économiques originaux dans la phase de mise en concurrence. C’est par exemple le cas du Tuba et de You Factory à Lyon, qui répondent conjointement à des appels d’offres de la communauté urbaine ou de la région. Gagner ce genre d’appel d’offres sert aussi de vitrine et donne de la crédibilité pour interagir avec d’autres interlocuteurs, publics ou privés.
  • ...6 more annotations...
  • L’analyse des modèles d’affaire ou business models suppose d’articuler plusieurs parties : un modèle de services (le portefeuille des activités proposées aux clients ou usagers), un modèle de revenus (le chiffre d’affaires et la façon de tarifier les prestations), un modèle d’opérations (toutes les charges d’opération) et un modèle de financement.
  • Le modèle de financement peut prendre des formes très différentes (dette, autofinancement, subvention, prise de participation, etc.). Les coûts du financement et des investissements doivent être couverts d’une façon ou d’une autre par la marge brute. Il est également nécessaire d’anticiper le niveau des besoins en fonds de roulement (BFR) et en trésorerie.
  • Toutes les plateformes travaillent avec des flux de revenus parallèles et complémentaires, liés à des services rendus à leurs communautés, aux startups et aux grands comptes. Certains services rendus à la communauté sont payants, d’autres sont compris dans la participation à la plateforme d’innovation.
  • Les travaux réalisés depuis 2015 conduisent à souligner que l’adéquation entre sources de revenus et missions principales n’est pas toujours acquise. Ces éléments sont le plus souvent liés à une démarche pragmatique où les plateformes saisissent les opportunités qui se présentent pour générer du chiffre d’affaires. Elles se donnent pour cela un objet social large. L’enjeu consiste alors à aligner les orientations stratégiques avec les services pour lesquels la plateforme d’innovation est visible auprès de ses clients potentiels ou de ses concurrents.
  • Le problème se situe ailleurs, au niveau de la vie des communautés et de la qualité des interactions entre des acteurs aux intérêts et aux expériences variés. Tant que les liens entre membres de la communauté restent forts, alors la qualité de service reste assez élevée et permet d’attirer les usagers tout en améliorant la qualité du service qui leur est rendu. Mais au niveau des ressources incorporelles, réseau des experts et équipe d’animation, la croissance n’est pas infinie et les rendements ne croissent pas sans limite. Dès que les liens au sein de la communauté ou de l’écosystème s’affaiblissent, les rendements décroissent.
  • Dans le business model, il existe donc une logique de taille critique à prendre en compte pour les ressources incorporelles. Au moment où les liens forts se transforment en liens faibles au sein de la communauté, la qualité des prestations baisse. On constate alors un changement profond de la nature de l’activité. Quand la plateforme ne sait plus gérer les coûts d’animation de la communauté, dès qu’elle ne sait plus générer ou faire les liens « forts », elle va se transformer en une société de conseil tout à fait traditionnelle, et perdre son originalité initiale…
  •  
    "Les travaux menés dans les dernières années sur les laboratoires d'innovation ouverte et sur les plateformes d'innovation ont permis de souligner plusieurs tendances qui contribuent à la stabilisation de ces organisations. Dans de précédents articles, nous avons déjà eu l'occasion de souligner le rôle des communautés, porteuses de nouvelles relations de travail ou encore l'importance de manager les processus de créativité. Nous avons aussi rappelé la nécessité de bien gérer l'espace physique."
julien camacho

Du domaine public comme fondement du revenu de base (et réciproquement ?) - R... - 0 views

  •  
    Un billet qui resitue le débat sur le revenu d'existence ou de base dans un questionnement global sur le domaine public et le partage de la connaissance comme moteur de la créativité. L'auteur envisage le découplage entre revenu et activité comme la seule manière de promouvoir une propriété intellectuelle collective, l'occasion de mettre à plat l'ensemble des problématiques en jeu sur cette question, propriété, monnaie, source de financement et de solidarité, numérisation des supports.
Aurialie Jublin

The new work | Harold Jarche - 0 views

  • Another factor in the changing nature of work is the changing perception of value. In the creative economy, more value is coming from intangible assets than tangible ones.
  • Learning to better deal with intangibles is the next challenge for today’s organizations and workers. I developed the following graphic to describe the four job types in relation to 1) work competencies and 2) economic value. It appears that an economy that creates more intangible value will require a greater percentage of Thinkers and Builders.
  • As we move into a post-job economy, the difference between labour and talent will become more distinct. Producers and Improvers will continue to get automated, at the speed of Moore’s law. Those lacking enough ‘Talent’ competencies may get marginalized. I think there will be increasing pressure to become ‘Thinkers + Builders’, similar to what  Cory Doctorow describes as Makers in his fictional book about the near future.
  • ...1 more annotation...
  • What is relatively certain is that ‘Labour’ competencies, which most education and training still focuses on, will have diminishing value. How individuals can improve their Thinking and Building competence should be the focus of anyone’s professional development plan. How organizations can support Thinking and Building should be the focus of Organizational Development and Human Resources departments. While Producing and Improving will not go away, they are not where most economic value will be generated in the Network Era.
  •  
    En partant des 4 types de travail définis par Lou Adler (Thinker, Builder, Improver, Producer), des compétences définies par Gary Hamel (obedience, diligence, intellect pour l'économie industrielle et de la information; initiative, créativité et passin pour l'économie créative), Harold Jarche essaie de définir le futur du travail 
Aurialie Jublin

Chez Google, vélos et cafés sur le toit pour inciter les salariés à l'audace - 0 views

  • Comment traduire en programme architectural ce mode de management particulier – absence de hiérarchie, travail en équipes, refus des conventions, incitation à la communication, à l'audace...?
  •  
    "Pour les dirigeants de la société, qui emploie 38700personnes, le "changement" passe, entre autres, par un projet: bâtir une extension du Googleplex de Moutain View, le siège social californien du groupe, susceptible de révolutionner l'architecture de bureaux. Dans les tuyaux, neuf bâtiments de quatre étages, surmontés de toits verts, avec des cafés et des panneaux solaires, reliés par des ponts où circuleront des vélos, mais pas d'automobiles... Un campus pensé pour encourager la créativité des salariés chère au senior vice-président du groupe, Laszlo Block, qui pilote les ressources humaines."
Aurialie Jublin

Les nouveaux risques (et opportunités) des entreprises / InternetActu.net - 0 views

  • Le surcoût moyen d’un projet informatique est de 27% estiment les chercheurs en conclusion de leur recherche. Mais, un projet sur six subit un dépassement de 200% !
  • Un outil d’analyse qui peut être un moyen d’identification des difficultés ou des forces d’une entreprise, que ce soit pour elle, comme pour la concurrence. Une méthode qui pose en tout cas la question de l’usage des médias sociaux par les employés et de leurs conséquences. Mais ce n’est pas le seul risque que courent les entreprises avec les réseaux sociaux. D’après une étude du cabinet de conseil Gartner, faute d’objectifs bien définis au départ, seuls 10 % des projets de déploiement de réseaux sociaux d’entreprises réussissent, rapporte Zdnet.
  • “La vie privée et la sécurité sont toujours négociées, si dévoiler votre vie privée vous procure un avantage, alors le plus souvent vous êtes près à y concéder”, rappelle l’un des chercheurs responsables de l’expérimentation, Michael Bernstein.
  • ...4 more annotations...
  • “Un grand nombre des exigences de la vie quotidienne nécessitent une créativité que les machines n’ont pas encore”, estime Scott Klemmer du groupe Interaction homme-machine de Stanford.
  • la question pourrait surtout être de comment rendre ces données exploitables, décisives pour faciliter la prise de décision de l’entreprise.
  • Pour lui, la plupart des organisations ont des quantités massives de données, mais elles ne parviennent pas toujours à l’utiliser de manière significative. Comment faire parler les données pour identifier les objectifs stratégiques et les décisions tactiques à prendre ? Pour Davenport, l’analytique doit aider à prendre de meilleures décisions. Elle doit induire une boucle de rétroaction (comme l’expliquait Simon Chignard en évoquant l’open data), c’est-à-dire, que les données doivent permettre d’améliorer l’action des organisations.
  • Pour Tom Davenport, c’est la créativité à l’élaboration de ces tableaux de données qui va animer demain la réussite des entreprises. Choisir les bons indicateurs, les bonnes visualisations, extraire les bonnes données… Le tableau de bord de l’entreprise est assurément, lui aussi, l’un des enjeux de l’entreprise demain.
  •  
    "La transformation induite par le numérique bouleverse le fonctionnement des entreprises, on le sait. Les défis sont innombrables et s'accumulent. Sans vouloir être exhaustif, en voici 4 qui nous ont semblé particulièrement… stimulants ou effrayant. "
Aurialie Jublin

La compétitivité des entreprises passe par le renforcement du pouvoir des sal... - 0 views

  •  
    Que signifie vraiment être compétitif pour une entreprise ? Est-ce réduire les coûts à tout prix, quitte à détruire les compétences des salariés et à étouffer toute créativité ? Pour François Daniellou, professeur d'ergonomie à l'École nationale supérieure de cognitique, la compétitivité des entreprises françaises passe au contraire par une démocratisation du travail et un renforcement du pouvoir des salariés, les mieux à même de définir « ce qui fait la performance de leur activité ». Une démocratisation dont le patronat ne veut pas.
Aurialie Jublin

A quoi ressemblera l'entreprise de demain ? - Entreprise20.fr - 2 views

  •  
    CR de Frédéric Cavazza de la réunion préparatoire de l'Enterprise 2.0 Summit. Un passage intéressant sur la définition de l'entreprise idéale du XXIe siècle :  Chacun a ainsi pu donner sa définition, l'occasion pour moi de noter quelques notions et mots-clés intéressants : - Responsabilisation (la collaboration est l'affaire de chacun, pas que des représentants de la génération Y) ; - Confiance (accepter de partager ses connaissances) ; - Plaisir (s'épanouir dans la collaboration et la performance collective) ; - Adaptabilité (prendre en compte le fossé culturel entre les nouveaux entrants et les "séniors") ; - Fluidité (des processus, des informations, mais également des collaborateurs) ; - Tolérance (vis-à-vis des idées qui sont partagées et des erreurs qui peuvent être faites lors de la phase d'adaptation aux pratiques collaboratives) ; - Engagement (principalement de la Direction et du Middle-Management) ; - Diversité (des profils, des parcours, des cultures) ; - Bienveillance (pas de censure ou d'inhibition). Au cours des discussions qui ont suivi, j'ai également pu noter des phrases et des idées dont je suis incapable de retracer l'origine (veuillez m'en excuser) : - "Arrêtons de parler de changement, car le changement fait peur, parlons plutôt d'adaptation" ; - "Les RSE (réseaux sociaux d'entreprise) sont les ERP de demain" ; - "Il faut reconfigurer l'organisation et les processus autour des savoirs et du capital humain" ; - "Nous devons passer à une logique d'apprentissage et de discussions / échanges permanents, donc trouver les bons stimuli auprès des collaborateurs" ; - "L'objectif est d'accélérer la prise de décision et la résolution de problèmes non plus grâce aux outils de production, mais à la collaboration" ; - "La hiérarchie devrait être là pour inspirer et modérer, plutôt que de surveiller et comptabiliser" ; - "Dans une dynamique de créativit
Aurialie Jublin

Infographie - Ces métiers de demain auxquels on ne peut pas se préparer - 2 views

  •  
    Les métiers qui n'existaient pas il y a 10 ans et ceux qui apparaitront en 2030 et les compétences qu'il faudra (esprit critique, résolution de pb, créativité, esprit d'entrepreneur, "digital literacy")
Aurialie Jublin

Gandi laisse une semaine à ses salariés pour innover en toute liberté - 0 views

  • La Free Week est également l'occasion pour les salariés de mélanger les équipes et de faire appel à des compétences inhabituelles. «Cela permet de casser les carcans, insiste Aurélien. Nous comprenons mieux le travail de l'autre, nous partageons nos connaissances. L'essentiel reste de se faire plaisir.»
  • Pour déceler cette «valeur ajoutée» propre à chaque candidat et les aider à se familiariser avec la culture d'entreprise de Gandi, un test de compatibilité avec les équipes est disponible sur le site de l'entreprise. Le candidat doit ainsi préciser s'il préfère le ping-pong ou le babyfoot, le roller ou la trottinette… Au bout d'une dizaine de questions, un message affiche le pourcentage de «Gandiens» qui ont choisi les mêmes réponses que le candidat. Une étape de recrutement peu conventionnelle mais qui colle à l'esprit participatif de l'entreprise. «Il n'y a pas de case, pas de titre, très peu de hiérarchie, acquiesce Nicolas Lhuillery. Tous nos employés deviennent actionnaires au bout de six mois.»
  • La mobilité interne permet également à certaines recrues de changer rapidement de poste et de se découvrir des compétences dans des domaines insoupçonnés. «Un développeur peut se retrouver chef de projet s'il est plus à l'aise», glisse Nicolas Lhuillery dans un sourire. Parce qu'à Gandi, le bien-être d'un salarié témoigne de la santé de l'entreprise.
  • ...1 more annotation...
  • Mise en place il y a trois ans, la Free Week est rapidement devenue un événement très attendu. Pendant que la direction prend des vacances, la centaine de salariés que compte la PME travaille parfois nuit et jour sur les projets de son choix.
  •  
    "Inspirée du management de Google, la «Free Week» de la société française permet aux salariés d'exprimer leur créativité. L'entreprise fait du bien-être de ses employés un élément central de sa réussite."
Aurialie Jublin

Unilever systématise la co-création - 0 views

  • Unilever a déjà mené une trentaine de projets de co-création avec Eyeka, pour 16 marques, dont Clear, CloseUp, Comfort, Lipton, Lux ou Pond’s. "Le rôle des marketeurs s’apparente à celui des magiciens : surprendre les consommateurs avec des idées innovantes et des produits qui les enthousiasment. Le fait d’inviter les consommateurs les plus créatifs à contribuer à cette démarche force Unilever à se réinventer constamment
  •  
    "Les clients n'ont pas qu'un avis, ils ont aussi des idées. Unilever est bien décidé à en systématiser la collecte pour l'aider à innover. Pour ce faire, il a signé un accord-cadre avec la plate-forme en ligne d'Eyeka, une start-up française qui fédère, dans 150 pays, quelque 250 000 membres prêts à participer à des concours de créativité. "
Aurialie Jublin

Auscultation d'une logique artisanale - Management post-moderne - 1 views

  •  
    "L'entreprise moderne avait une logique industrielle. Les organisations postmodernes auront une logique artisanale, cad : - autonomie - créativité - responsabilité - vocation - intelligence - dépassement
Aurialie Jublin

Vous voulez être productif? Rangez votre bureau. Créatif? Faites place au dés... - 0 views

  • Le bureau mal rangé fait régulièrement parler de lui. D'un côté, celui-ci éclaircit la pensée et permet aux employés de simplifier leurs tâches, et de l'autre, Forbes conseille de ranger et même désinfecter régulièrement votre espace de travail, car vos collègues vous jugent.
  •  
    "Selon les scientifiques, travailler à un bureau bien rangé favorise des comportements «généreux» et «conventionnels» ainsi qu'une «alimentation saine», alors qu'un bureau en bazar encourage la créativité et l'innovation."
Aurialie Jublin

Les 7 compétences clés du travail de demain - Le blog de la formation profess... - 2 views

  •  
    Collaboration à distance communication au travers du numérique agilité et adaptation créativité et sens de l'innovation esprit d'initiative et d'entreprise s'organiser efficacement apprendre à apprendre
Aurialie Jublin

Qui est vraiment menacé par l'automatisation ? La Fabrique de l'industrie - 0 views

  •  
    "Pour Autor, il y a donc deux types de tâches extrêmement difficiles à automatiser. Au-delà de celles qui réclament un haut niveau de connaissances, d'adaptabilité et de créativité, il faut aussi compter avec celles, très basiques, qui s'appuient sur la connaissance tacite, le « bon sens ». Seules les tâches de routine, répétitives, se prêtent bien à l'automatisation. Voilà donc de quoi expliquer la « polarisation ». Les travailleurs très qualifiés continuent de prospérer non seulement car ils sont dans le premier de cas de figure - haut niveau de connaissances - mais en plus parce qu'ils bénéficient à plein de l'automatisation « de complément » qui améliore significativement leurs performances. Comme, de surcroît, l'offre de leurs compétences est très peu élastique (il faut un temps significatif pour former de nouveaux travailleurs de ce type), ils voient leurs salaires se maintenir ou augmenter. A l'autre extrême, les travailleurs les moins qualifiés effectuant un travail basé sur la « connaissance tacite » ne peuvent être remplacés par un automatisme. Ils ne peuvent toutefois que rarement bénéficier de la complémentarité homme-machine. Leur activité ne craint rien mais, dans ce cas, l'abondance de main-d'œuvre conduit à une stagnation voire une régression de leurs salaires. Ce sont donc les autres, les travailleurs intermédiaires, effectuant des tâches de routine à faible valeur ajoutée, qui subissent et subiront de plein fouet automatisation et informatisation. A mesure que l'informatique progresse, leur travail devient de plus en plus facile à transformer en algorithme et les machines n'ont donc aucune peine à prendre leur place."
Chamila Puylaurent

Peur et manque de confiance, les principaux freins à l'innovation participative - 0 views

  •  
    "Contrairement aux idées reçues, la France est un pays de créateurs, sauf qu'ils ne sont pas assez reconnus et encouragés dans notre pays. Un constat partagé le 24 novembre par Innov'Acteurs lors du Carrefour de l'innovation participative, journée de réflexion autour des enjeux de l'innovation et de la créativité dans les entreprises. "
Chamila Puylaurent

Manager autrement en 2015. Il y a urgence ! - 1 views

  •  
    Donc à quand un nouveau modèle de management plus humain ? "Plus de 25% des actifs souffrent du stress au travail et ce stress au travail représente 2% du P.I.B national. On sait qu'il est également à l'origine de symptômes psychosomatiques qui deviennent souvent chroniques et qu'il est à l'origine de la plupart des burn out, qu'il se propage comme un virus qui détruit l'innovation, la créativité, l'expression de chacun, l'autonomie et la responsabilisation de tout un système... "
Aurialie Jublin

Le digital labor, un amateurisme heureux ou un travail qui s'ignore ? | InaGlobal - 0 views

  •  
    "En replaçant le débat sur le digital labor dans la perspective du travail des internautes capté par les monopoles et de la place du téléspectateur et de sa « part de cerveau » vendue aux annonceurs, le sociologue Patrice Flichy met l'accent sur la créativité et le plaisir des amateurs."
Aurialie Jublin

Vers un pair à pair de l'innovation sociale ouverte ? - @ Brest - 1 views

  • Apprendre à collaborer entre des milliers de personnes à reconnaître le travail de chacun à organiser les apports contributifs est une révolution méthodologique dans une société habituée à gérer la rareté. C’est du fonctionnement des communautés de contributeurs du logiciel libre et de wikipédia que nous avons appris de nouvelles méthodologies qui crée de nouvelles richesses partagées. Ce sont de nouveaux rapport sociaux qui encouragent et valorisent le pouvoir d’agir des contributeurs et ne sont plus essentiellement basés sur la fonction, le titre ou la place hiérarchique.Dans un monde numérique où la copie ne coûte rien, les données ouvertes, les logiciels libres, les ressources éducatives libres, et nos pratiques de la musique ou des films copiés sont issus de ce changement de paradigme de la rareté vers l’abondance qui nous fait découvrir la richesse des échanges de pair à pair et du partage.
  • La coopération ouverte est un profond changement de culture dans une société où le travail est organisé de manière cloisonnée et hiérarchique. Apprendre à donner à voir, copier, réutiliser, partager demande du temps parce que ce n’est pas dans nos habitudes.L’expérience nous montre que la coopération qui partage et mutualise est une expérience souvent irréversible. Nous prenons goût à cette forme de co-production où chacun-e est invité-e à co-produire, où sont reconnus celles et ceux qui font plutôt que les responsables hiérarchiques.
  • Aujourd’hui l’innovation ouverte progresse dans les entreprises où elle stimule la créativité, dans les services où elle favorise l’implication des personnes, dans le tiers secteur où elle est facteur d’innovation sociale.
  •  
    En donnant à voir des dizaines d'initiatives, nous nous rendons compte que l'innovation sociale ouverte est abondante sur le territoire du pays de Brest (et ailleurs si la même démarche est engagée). Les centaines de personnes concernées ont souvent en commun un souci de partage, de solidarité, de territoires en transition. En appliquant les méthodologies collaboratives issues du logiciel libre et des projets autour des biens communs numériques nous souhaitons explorer un pair à pair des acteur-ice-s de l'innovation sociale ouverte qui contribue au mieux vivre ensemble et à la transformation du territoire.
1 - 20 of 39 Next ›
Showing 20 items per page