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Aurialie Jublin

L'engagement étudiant permet désormais de gagner des points - 0 views

  • La nouvelle loi « Egalité et citoyenneté » demande en effet aux établissements d’enseignement supérieur de créer un dispositif « garantissant la validation, pour l’obtention d’un diplôme, des compétences, connaissances et aptitudes acquises par leurs étudiants dans l’exercice d’activités associatives, sociales ou professionnelles », notamment en accordant une partie des crédits nécessaires pour valider son diplôme, précise un décret du 10 mai, complété d’une circulaire, publiée le 5 octobre.
  • il reste à fixer les modalités d’évaluation des compétences acquises dans un emploi étudiant, indique Nicole Rascle, la vice-présidente chargée de la vie étudiante sur ce campus : « Ce n’est pas simple de savoir quelles compétences développe une étudiante qui travaille comme caissière… C’est plus simple quand un étudiant travaille sur le campus, à la bibliothèque par exemple. »
  • Selon la circulaire du 5 octobre, les étudiants peuvent bénéficier soit « de l’attribution d’éléments constitutifs d’une unité d’enseignement, soit de l’attribution de crédits ECTS [Système européen de transfert et d’accumulation de crédits], soit de l’attribution de point(s) “bonus” dans la moyenne générale, sur proposition du jury, ou enfin de la dispense de stage ou d’enseignement ». Ils peuvent aussi obtenir un aménagement d’emploi du temps afin de mener de front leur cursus et leur activité associative ou professionnelle.
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  • A l’université de Bordeaux, l’unité d’enseignement Citoyenne, qui existait déjà, offre aux étudiants un bonus de trois crédits ECTS, qui peuvent augmenter leur moyenne mais ne sont pas pris en compte dans les soixante crédits nécessaires pour valider l’année.
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    "Les établissements du supérieur ont maintenant l'obligation de reconnaître, de différentes façons, les compétences acquises hors cursus. Voici comment."
Aurialie Jublin

Nous sommes entrés dans l'économie des compétences ! | Jerome Introvigne | Li... - 0 views

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    "Apple fait travailler des milliers et des milliers d'individus et d'entreprises, chaque jour, gratuitement, pour alimenter ses stores ; Facebook et Google se nourrissent du contenu créé par la foule, Amazon de milliers de vendeurs indépendants, et Tesla ouvre ses brevets dans l'espoir que d'autres s'en emparent pour les améliorer ! Ces entreprises seraient entrées dans l'économie du savoir ! Elles attirent les meilleurs talents et proposent des produits d'une qualité exceptionnelle à leur écosystème, souvent gratuitement ! On parle de Talent Management… Mais dans les faits, elles font du  skills-management ! Elles gèrent un écosystème de compétences dont elles repoussent sans cesse les limites !"
hubert guillaud

Pourquoi tant d'hommes incompétents deviennent-ils des leaders ? - Harvard Bu... - 0 views

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    Il y a 3 explications populaires à la sous représentation des femmes dans le management, estime Thomas Chamorro-Premuzic : elles ne sont pas capables, elles ne sont pas intéressées, elles sont à la fois intéressées et capables, mais incapables de briser le plafond de verre des stéréotypes et préjugés qui empêchent les femmes d'accéder aux postes de décision. Pour Thomas CHamorro-Premuzic, la principale raison du déséquilibre des genres dans les fonctions de direction repose sur notre incapacité à distinguer la confiance de la compétence. C'est-à-dire que nous avons tendance à interpréter les signes de confiance comme des signes de compétences. Le charisme et le charme sont souvent confondus avec le potentiel à diriger. De plus, nous avons tendance à élire comme chef des personnes égocentriques, narcissiques et qui ont une grande confiance en elles, des traits de personnalités plus fréquents chez les hommes que les femmes. Freud soulignait déjà combien les disciples remplacent leurs propres tendances narcissiques par celles de leur chefs, de sorte que leur amour pour le leader est une forme déguisée de l'amour-propre, ou un substitut à leur incapacité à s'aimer eux-mêmes. Enfin, les hommes ont tendance à penser qu'ils sont plus intelligents que les femmes. Pourtant, l'arrogance et la suffisance sont inversement proportionnels aux talents de leadership. Quelque soit le domaine, les meilleurs leaders sont pourtant souvent des gens humbles... C'est ce qui explique que les incompétents soient plus souvent promus à des postes de management et de direction que des gens compétents. Pas étonnant qu'avec ces mauvais dirigeants, les sociétés, entreprises et organisations soient massivement mal gérées. Pourtant, certaines études ont montré que les femmes cadres sont plus susceptibles de susciter le respect et la fierté de leurs adeptes, communiquer leur vision, responsabiliser leurs subordonnés et résoudre des problèmes de f
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    Il y a 3 explications populaires à la sous représentation des femmes dans le management, estime Thomas Chamorro-Premuzic : elles ne sont pas capables, elles ne sont pas intéressées, elles sont à la fois intéressées et capables, mais incapables de briser le plafond de verre des stéréotypes et préjugés qui empêchent les femmes d'accéder aux postes de décision. Pour Thomas CHamorro-Premuzic, la principale raison du déséquilibre des genres dans les fonctions de direction repose sur notre incapacité à distinguer la confiance de la compétence. C'est-à-dire que nous avons tendance à interpréter les signes de confiance comme des signes de compétences. Le charisme et le charme sont souvent confondus avec le potentiel à diriger. De plus, nous avons tendance à élire comme chef des personnes égocentriques, narcissiques et qui ont une grande confiance en elles, des traits de personnalités plus fréquents chez les hommes que les femmes. Freud soulignait déjà combien les disciples remplacent leurs propres tendances narcissiques par celles de leur chefs, de sorte que leur amour pour le leader est une forme déguisée de l'amour-propre, ou un substitut à leur incapacité à s'aimer eux-mêmes. Enfin, les hommes ont tendance à penser qu'ils sont plus intelligents que les femmes. Pourtant, l'arrogance et la suffisance sont inversement proportionnels aux talents de leadership. Quelque soit le domaine, les meilleurs leaders sont pourtant souvent des gens humbles... C'est ce qui explique que les incompétents soient plus souvent promus à des postes de management et de direction que des gens compétents. Pas étonnant qu'avec ces mauvais dirigeants, les sociétés, entreprises et organisations soient massivement mal gérées. Pourtant, certaines études ont montré que les femmes cadres sont plus susceptibles de susciter le respect et la fierté de leurs adeptes, communiquer leur vision, responsabiliser leurs subordonnés et résoudre des problèmes de f
Aurialie Jublin

Neelie Kroes: « L'absence de compétences numériques est une nouvelle forme d'... - 2 views

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    "La Commission européenne lance un réseau de MOOC (Massive Open Online Courses, des cours en ligne ouvert, ndlr) afin de permettre aux citoyens européens de se former aux compétences numériques dont les entreprises européennes ont besoin. L'ensemble des formations offertes est d'ores et déjà disponible sur le site Iversity qui sera géré par p.a.u. Education, une entreprise privée spécialisée dans les services pour l'enseignement. «D'ici 2020 - autant dire demain - 90 % des emplois nécessiteront des compétences numériques, et nous ne sommes pas prêts. Déjà, les entreprises européennes manquent de travailleurs qualifiés dans le domaine des technologies de l'information. Nous devons remédier à cette situation, et le réseau que nous lançons nous aidera à déterminer où se situent les lacunes » explique Neelie Kroes, vice-présidente de la Commission européenne chargée de la stratégie numérique."
Chamila Puylaurent

Collaboratif : les communautés de pratiques… et maintenant, l'entreprise-comm... - 0 views

  • une communauté de pratiques se définit, pour l’entreprise, selon trois caractéristiques principales : l’intérêt commun des participants, un fonctionnement en dehors des liens hiérarchiques traditionnels et des échanges réguliers. Soit : “Un groupement de personnes réunies, de manière ponctuelle ou non, par un intérêt commun et dont les échanges sont animés de façon régulière.“ Côté finalités, trois objectifs peuvent être recherchés : Le développement de compétences opérationnelles (compétences métier ou transversales) Le renforcement de l’efficacité opérationnelle (sur un projet en particulier par exemple) La transformation des modes de fonctionnement et de la culture d’entreprise
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    "Souvent liées au déploiement d'outils collaboratifs, réseaux sociaux internes en tête, les communautés de pratiques font désormais partie du paysage de la gestion des compétences de l'entreprise. Et maintenant ?"
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    "EURÊKA. Souvent liées au déploiement d'outils collaboratifs, réseaux sociaux internes en tête, les communautés de pratiques font désormais partie du paysage de la gestion des compétences de l'entreprise. Et maintenant ? "
Aurialie Jublin

Salariés: les clés pour offrir son temps et ses compétences - L'Express - 0 views

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    "Bénévolat ou mécénat de compétences, "congé solidaire": offrir de son temps et de ses compétences à des associations est aujourd'hui en vogue. Tour d'horizon des dispositifs. "
Aurialie Jublin

Comment faire coopérer les tribus ? : Millenaire 3, Société - 0 views

  • Si l’on en donne une définition générale, coopérer consiste à travailler avec d’autres pour faire ce que l’on ne peut pas faire seul. Mais la forme particulière de coopération qui m’intéresse, c’est la coopération complexe qui consiste à communiquer avec des personnes que l’on ne comprend pas, des étrangers, voire des personnes que l’on n’aime pas. Malheureusement je constate que ces pratiques de coopération dans la différence sont en déclin dans de nombreux pays. En France, par exemple, seuls un quart des individus pensent spontanément que l’on peut faire confiance à autrui.
  • si vous avez pratiqué un sport, vous savez bien que vous devez coopérer avec votre équipe pour espérer vaincre l’équipe adverse. Mais, vous remarquerez aussi que dans le sport, il faut même coopérer avec son adversaire ! En effet, pour que le jeu et la compétition fonctionne, il est nécessaire de s’accorder sur les règles et sur ce que tricher veut dire. C’est entre cinq et huit ans que les enfants comprennent cela et apprennent à fonctionner en articulant coopération et compétition. De même, en tant qu’adultes, trouver le bon équilibre entre coopération et autonomie, entre coopération et compétition, fait partie du quotidien de notre vie. Pour que nous puissions vivre bien ensemble, notre société a besoin de cet état d’esprit, issu du jeu ou du sport, pour éviter de que notre monde devienne une caricature hobbesienne de société où la lutte entre les individus prime sur toute autre forme de relation.
  • La solidarité, pour moi, n’est pas une bonne option pour faciliter les relations entre des communautés très différentes. Je ne crois pas dans la valeur de solidarité car elle a une connotation trop idéologique. En outre, elle nous conduit à lisser les différences entre les personnes plutôt que valoriser leur diversité. La solidarité conduit à sacrifier la richesse qu’apporte la complexité. Il faut mobiliser d’autres moyens pour permettre le vivre ensemble, pour que les gens communiquent entre eux malgré leurs différences, ou en valorisant leurs différences. C’est tout le sens des compétences de coopération dont je parle dans mon livre. Cette forme d’interaction est la plus créative et la moins oppressive, elle laisse davantage de place à l’expression des singularités des individus
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  • Vous décrivez pourtant le déclin des compétences sociales de coopération. Peut-on les réparer ou les remobiliser ?Plutôt que de tenter de trouver les causes de ce phénomène pour y apporter des solutions globales, je propose d’observer la diplomatie du quotidien que déploient les gens dans leurs familles, dans leur vie professionnelle ou dans la rue. On y trouve des rituels et des pratiques de civilité qui ont traversé les âges et qui permettent à chacun de bien gérer ses relations avec l’autre, surtout quand il est vraiment différent de soi. Ces compétences mobilisées sont encore présentes et nous devons trouver le moyen de les réparer, de les reconfigurer pour pouvoir les mobiliser à nouveau dans la société.
  • La première compétence que l’on observe est une forme d’écoute dialogique qui ne permet pas forcément d’aboutir à un consensus mais qui fait que l’on apprend beaucoup sur soi-même et sur l’autre. A l’inverse, lorsque vous échangez avec quelqu’un dans une logique dialectique, c’est pour aboutir à une conclusion et à une synthèse, après avoir écouté s’énoncer la thèse et l’antithèse. Vous écoutez en cherchant à reformuler ce que l’autre vous dit pour faire converger vos idées. Alors que si vous pratiquez l’écoute dialogique, vous vous intéressez à la personne qui vous parle, à ses intentions, à ce qu’elle veut dire à mots couverts. Ce type d’échange est ouvert et il n’y a pas de moment où l’implicite, le caché, est rendu explicite et clarifié. Il n’y a pas de conclusion. C’est la même différence que l’on trouve entre un orchestre qui cherche à s’accorder en répétition sur la manière d’interpréter un morceau, et un groupe de jazz qui improvise en s’écoutant. Pour moi, l’écoute dialogique est bien une des bases de la diplomatie quotidienne et de l’art de la coopération, qui nous amène à valoriser le processus plutôt que le résultat, à rechercher ensemble des questions pertinentes autour desquelles dialoguer plutôt que de vouloir aboutir à des solutions consensuelles.
  • La deuxième compétence clé consiste à savoir utiliser un mode d’expression subjonctif. C’est le contraire d’une expression déclarative qui vise au maximum de clarté et qui est très souvent employée dans les débats pour persuader son auditoire. Le problème c’est que cela ne laisse pas beaucoup de place à la discussion et à la subtilité.
  • La troisième compétence à laquelle j’attache de l’importance consiste à gérer ses rapports aux autres avec empathie plutôt que sympathie. Bien sûr, ces deux modes de relation impliquent une reconnaissance de l’autre, nécessaire pour créer du lien. Dans certains cas, la sympathie fonctionne, vous aidant à surmonter les différences pour aider une personne en difficulté. Lorsqu’un inconnu se fait renverser par une voiture, vous courrez lui porter secours, par sympathie, parce que vous vous mettez à sa place et ressentez sa souffrance. Vous vous identifiez à lui. Mais dans d’autres cas, la sympathie vous conduit dans une mauvaise voie. Vous pensez bien agir mais vous vous mettez en position de supériorité par rapport à l’autre et, en fait, c’est vous qui avez le contrôle, voire de l’emprise sur lui dans une relation émotionnellement chaude et intense.
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    "<< Nous devons développer des institutions qui permettent aux différences d'entrer en dialogue, des institutions qui accueillent la diversité? >>."
Aurialie Jublin

Vous apportez votre tablette perso au bureau ? La fin du salariat | Rue89 Eco - 0 views

  • Le mot d’ordre du PDG de cette société, Mark Templeton est clair&nbsp;: «&nbsp;N’importe quoi, n’importe où, n’importe quand.&nbsp;» Il s’agit de traiter le salarié comme un consommateur des données et de prendre en compte le fait qu’avec son ordinateur personnel et, de plus en plus, son smartphone ou sa tablette numérique, il va pouvoir accéder aux données de son entreprise en même temps qu’à ses propres fichiers personnels et, bien sûr, au Web.
  • cette fusion outil professionnel/appareil personnel prolonge le mouvement d’autonomisation des salariés. L’équation personnelle – compétences, réseau de relations et capacité à les utiliser dans le travail – compte toujours plus.
  • Les experts de Fing n’occultent pas les dangers de précarisation et d’exclusion pour ceux qui ne sauront pas s’adapter. Leur diagnostic retient cependant l’attention. Chaque individu devient responsable de son «&nbsp;employabilité&nbsp;»&nbsp;:
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  • 2010-2020&nbsp;sera sans doute la période charnière pour le passage d’une société hiérarchique à un système de relations ouvert qui va dynamiter les organisations des entreprises et donner davantage de pouvoirs aux individus, pour le meilleur et pour le pire.
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    "Face aux aspirations à l'autonomie des salariés, les employeurs ont, jusqu'à présent, réussi à sauvegarder l'essentiel : la maîtrise de l'organisation du travail. Mais les nouvelles technologies de l'information sont en train de miner cet ordre social, en permettant la reprise en main de leur environnement de travail et de leur propre organisation par les salariés. Une sorte de re-privatisation du travail signant le délitement du salariat."
Aurialie Jublin

La fabrique de l'infélicité - Multitudes Web - 1 views

  • Qui accomplit un travail à contenu cognitif élevé, et donc à basse interchangeabilité, n’oppose pas son travail à la création d’entreprise&nbsp;; au contraire il tend à considérer son travail, même quand il est dépendant du pont de vue formel et même substanciel, comme l’entreprise à laquelle on dédie le meilleur de sa propre énergie, indépendemment de la dimension économique, juridique dans laquelle elle se manifeste.
  • tandis que le travailleur industriel consacrait son énergie mécanique à sa prestation salariée, selon un modèle répétitif, dépersonalisé, le travailleur high tech implique dans la production sa compétence singulière, son énergie communicationnelle, d’innovation, créatrice, en bref le meilleur de ses capacités intellectuelles.
  • La transformation technologique digitale a entrainé deux procés différents mais intégrés. Le premier est la mise en réseau, ou encore la coordination des différents segments de travail dans un flux unique d’information et de production, rendu possible par les infrastructures du réseau télématique. Le second est la dissémination du procés de travail en un archipel infini d’ilots productifs formellement autonomes, mais coordonnés et en dernière analyse dépendants.
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  • De plus en plus souvent, donc le travailleur se considère comme un entrepreneur de lui-même, et sur le plan juridique l’est réellement. Sur la plan substanciel l’autonomie de cet entrepreneur-travailleur est fiction pure et simple, en tant que ce n’est pas lui qui décide des plans à long terme, des modalités de développement de l’activité, et ainsi de suite.
  • e travail global est re-combinaison permanente de myriade de segments de production-élaboration-transmission et décodification de signes, et d’unités informationelles de tout type. Le travail est une activité cellularisée sur laquelle le réseau opère une recombinaison incessante. Le portable est l’instrument qui rend cette re-combinaison possible.
  • Dans un certain sens le portable réalise le rêve du capital qui consiste à pouvoir sucer (aspirer, extraire le moindre atome de temps productif possible au moment précis où le cycle de production en a besoin, de façon à disposer de toute la journée du travailleur en ne lui payant que les moments où on l’appelle. Le producteur de l’info (ou neuro-travailleur) configure son système nerveux pour que cette fonction d’appareil récepteur actif soit effective le plus longtemps possible. Toute une journée de vie devient ainsi disponible pour l’activation sémiotique, qui ne devient directement productive que quand c’est nécessaire. Quel est le prix émotionnel, psychique, existentiel du stress permanent cognitif de l’électrocution productive permanente&nbsp;?
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    Article de Bifo sur la notion de cognitariat
Aurialie Jublin

Quel travail, demain ? | Ecrivaine en Ressources Humaines - 0 views

  • Autre évolution: la personne, en tant qu’individu, envahit le monde du travail. «&nbsp;Avant, le travailleur s’adaptait au travail, maintenant, les travailleurs veulent que le travail s’adapte à eux : télétravail, rémunération variable,… Les jeunes, notamment, veulent des packages adaptés à leurs besoins. Ils n’ont pas nécessairement besoin de la voiture qu’on leur propose, mais veulent autre chose en échange&nbsp;»,
  • La relation de subordination est obsolète. Les managers doivent être des leaders qui fédèrent des talents et non plus des compétences. Les travailleurs viennent avec leurs qualités et défauts, ce qui implique plus d’émotion et de sensibilité. Le supérieur devient plus une sorte de coach. Il doit avoir du leadership, de l’expertise et de l’exemplarité. C’est en cumulant ses qualités qu’il sera respecté, et non plus par ce qu’il est le plus ancien
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    "Nous vivons une véritable révolution qui change notre façon de travailler. Notre modèle social doit s'y adapter. Place à l'individualisme !"
Aurialie Jublin

Formation professionnelle : L'employeur n'est plus responsable de rien | Alternatives E... - 0 views

  • Ce deuxième alinéa raconte une histoire, notamment jurisprudentielle&nbsp;: au moment du recrutement, tout salarié est par construction «&nbsp;employable&nbsp;». Au moment où la relation d’emploi cesse, l’employeur doit rendre au «&nbsp;marché du travail&nbsp;», un salarié dans l’état d’employabilité où il l’a embauché.
  • Ce deuxième alinéa raconte aussi une histoire politique, fruit d’un équilibre entre un accès à la formation d’adaptation au poste de travail, à la main exclusive de l’employeur, et la préservation de la capacité du salarié à occuper efficacement ce poste. La loi de 1971, faisant suite à l’accord national interprofessionnel (ANI) de 1970, avait «&nbsp;réglé&nbsp;» cette question en instituant, outre un droit individuel à un congé de formation, le plan de formation, soutenu par une obligation de dépense de l’employeur exprimée en % de la masse salariale.
  • Les réformes de 2013-2014 ont modifié substantiellement cet équilibre&nbsp;: à l’obligation de dépense des employeurs s’est substituée une obligation de «&nbsp;formation&nbsp;» ou plutôt une obligation de moyens pour permettre aux salariés de continuer à être «&nbsp;employables&nbsp;»3.&nbsp; L’ANI de décembre de 2013 a prévu que cette obligation de moyens soit respectée pendant toute la durée de l’emploi pour ne pas éviter que l’absence de formation soit constatée trop tard, au moment d’un licenciement. D’où l’introduction de l’entretien professionnel tous les deux ans et la sanction de l’absence de formation et/ou d’évolution professionnelle du salarié au bout de six ans.
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  • Le gouvernement ne fait que parachever ce qu’avaient commencé la loi Travail de 2016 et les ordonnances de 2017&nbsp;: l’employeur n’est dorénavant plus responsable de rien à l’égard de ses salariés. Il pourra appuyer le développement des compétences de certains de ses salariés, prendre en charge des compléments de formation pour ceux qu’il juge «&nbsp;à potentiel&nbsp;»… et se séparer des autres, en signant dans le pire des cas un chèque (forfaitaire, comme le souligne le projet de loi, article 1-II-13) après les avoir déqualifiés.
  • A cette heure, le projet de&nbsp;loi sur la formation professionnelle qui a été vendu&nbsp;comme le volet «&nbsp;sécurité&nbsp;» sensé&nbsp;équilibrer le volet «&nbsp;flexibilité&nbsp;» des ordonnances travail est avant tout un renforcement de la deresponsabililisation de l’employeur, l’employabilité se limitant à une responsabilité personnelle. On est très loin de l’équilibre que certains pouvaient espérer.
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    'L'annonce par la ministre du Travail du big bang de la formation professionnelle a fait l'objet de nombreux commentaires, qui ont généralement souligné la mise sous tutelle des partenaires sociaux et des régions par l'Etat et le transfert de l'apprentissage aux branches professionnelles. Toutefois, l'avant-projet de loi, baptisé « pour la liberté de choisir son avenir professionnel », contient une autre disposition particulièrement préoccupante pour l'avenir des relations de travail. En effet, dans la version présentée au Conseil d'Etat début avril 2018, l'article 6.III, annonce laconiquement que « A l'article 6321-1, le deuxième alinéa est supprimé… ». Or ce second alinéa structure depuis de nombreuses années le cadre de la subordination salariale en tant qu'il fait obligation à l'employeur de veiller au maintien de la capacité à occuper un emploi"
Aurialie Jublin

The new work | Harold Jarche - 0 views

  • Another factor in the changing nature of work is the changing perception of value. In the creative economy, more value is coming from intangible assets than tangible ones.
  • Learning to better deal with intangibles is the next challenge for today’s organizations and workers. I developed the following graphic to describe the four job types in relation to 1) work competencies and 2) economic value. It appears that an economy that creates more intangible value will require a greater percentage of Thinkers and Builders.
  • As we move into a post-job economy, the difference between labour and talent will become more distinct. Producers and Improvers will continue to get automated, at the speed of Moore’s law. Those lacking enough ‘Talent’ competencies may get marginalized. I think there will be increasing pressure to become ‘Thinkers + Builders’, similar to what&nbsp; Cory Doctorow describes as Makers in his fictional book about the near future.
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  • What is relatively certain is that ‘Labour’ competencies, which most education and training still focuses on, will have diminishing value. How individuals can improve their Thinking and Building competence should be the focus of anyone’s professional development plan. How organizations can support Thinking and Building should be the focus of Organizational Development and Human Resources departments. While Producing and Improving will not go away, they are not where most economic value will be generated in the Network Era.
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    En partant des 4 types de travail définis par Lou Adler (Thinker, Builder, Improver, Producer), des compétences définies par Gary Hamel (obedience, diligence, intellect pour l'économie industrielle et de la information; initiative, créativité et passin pour l'économie créative), Harold Jarche essaie de définir le futur du travail 
Aurialie Jublin

Anticipe ou crève ? Ces métiers de demain auxquels on ne peut pas se préparer - 1 views

  • dans le top 10 des profils professionnels qui s’arrachaient en 2010, aucun n’existait en 2004 !&nbsp;Expert du développement durable, développeur d’applications mobiles, technicien dans le&nbsp;cloud computing, data miner&nbsp;ou&nbsp;community manager&nbsp;: tous ces emplois, dont l’apparition se fait d’ailleurs plus rapidement que leur traduction en français, n’existaient pas en 2010.
  • parmi les métiers en émergence révélés par l’Association pour l’emploi des cadres (l’Apec), on pouvait relever trois figures de proue du travail de demain : les profils de protecteur (gestion du risque), d’optimisateur (gestion de la performance) et de story-teller&nbsp;(gestion du sens). L’exercice est sérieux : il sert l’anticipation des besoins en compétences des entreprises, pour une meilleure adéquation avec les profils sur le marché du travail, et en amont avec les offres de formation.
  • le futur est dans&nbsp;les soft skills, ces “compétences douces” – pensée critique, résolution de problèmes, créativité, savoir-être, etc. – qui assurent l’adaptation de l’individu à des postes potentiellement très différents, et sont donc les moteurs de l’employabilité.
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    Deux tiers des écoliers de maternelle occuperont des emplois qui n'existent pas encore aujourd'hui. S'orienter vers la bonne formation et savoir quel métier on va exercer : pari impossible ? L'économie se transforme si vite que les exercices d'anticipation s'apparentent souvent à de la divination, comment se préparer au travail de demain ? Infographie
Aurialie Jublin

Pour trouver du travail, faut-il devenir un outil à vendre sur eBay ? - Libér... - 0 views

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    Témoignage du chercheuse d'emploi de 47 ans Article tagguée pour cette phrase: "Dans l'entreprise déshumanisée, nous ne sommes plus des humains, nous sommes des outils ; alors, pour trouver un travail qui me permettra de concrétiser mes projets, je suis prête à me faire passer pour un outil à vendre sur eBay.fr." La où on emploie le mot compétence, certains emploient le mot bien moins positif de "outil"
abrugiere

Quelle prise en compte des compétences collectives et distribuées dans la ges... - 3 views

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    article de recherche sur les compétences collectives  Le travail collectif dans l'entreprise est aujourd'hui paradoxal : valorisé dans l'organisation par des formes variées de coopérations et contraint et fragilisé dans sa constitution et pérennité face à de nouvelles formes d'emploi.
Aurialie Jublin

A quoi ressemblera le travail demain ? - 0 views

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    Les nouvelles technologies transforment les entreprises. Comment repenser le travail, les organisations, les compétences individuelles et collectives ? Sandra Enlart et Olivier Charbonnier apportent des éléments de réponse dans "À quoi ressemblera le travail demain ?", un ouvrage qui sort aujourd'hui en librairie
Aurialie Jublin

Travail : peut-on résister aux injonctions paradoxales sans péter un boulon ?... - 0 views

  • Option numéro un : développer des mécanismes de défense pour ne pas virer dingue. Enfermer ses doutes dans les profondeurs de son inconscient, ne plus penser par soi-même, rationaliser, se noyer dans le travail, refouler son moi et faire « comme si »…
  • Option numéro deux : résister activement. Pour ne pas se laisser piéger, il faut pouvoir mettre à distance la violence institutionnelle par l'humour ou la dénonciation. Rire entre collègues de sa « médaille en chocolat », de « chiffres hystériques » ou d'« évaluation au doigt mouillé ». Désinvestir psychiquement le travail ou réinvestir des métiers qui font sens. Vénérer la lenteur plutôt que la vitesse, préférer la tranquillité au mouvement, renoncer à vouloir se dépasser…
  • « Créer des lieux d'échange véritable ne peut avoir de sens que si l'initiative part des individus eux-mêmes, estime Danièle Linhart. Ces derniers pourraient déployer leurs compétences et leur expérience pour contribuer à inventer de nouvelles organisations du travail qui ne les rendent pas malades. » En attendant, certains prennent les devants, comme ce postier qui, après avoir assisté aux séminaires de Vincent de Gaulejac, a décidé de monter un groupe informel d'histoires de vie professionnelle à l'heure du déjeuner.
dkaplan

Les RH en 2018 : de quelles compétences aura besoin l'entreprise agile ? - 2 views

  • D’un point de vue organisationnel et managérial, les entreprises et les ressources humaines sont elles-aussi en mutation : pour faire face au flux,&nbsp;la souplesse devient la norme pour s’adapter rapidement à un environnement et des besoins mouvants.&nbsp;Quitte, de plus en plus, à basculer vers un modèle d’organisation hyper-flexible, qui nourrit sa culture du rebond et de l’adaptation, ouvre ses murs, se concentre sur son coeur de métier et externalise : trois quarts des décideurs RH s’attendent ainsi à “outsourcer” plus de tâches d’ici à 2018.
  • Pour certains, le “freelance est l’avenir de l’homme”. Demain, le travail se morcellera et pourrait être réalisé de n’importe où, n’importe quand. Et les compétences traditionnellement identifiées chez le freelance seront requises pour les salariés !
  • Au-delà de la recherche de résilience chez le candidat, c’est l’ensemble du marché du travail qui est amené à se transformer, avec par exemple des seniors qui préféreront de plus en plus le temps partiel à la retraite (selon 92% des responsables RH sondés), un développement des compétences apte à se construire dans des carrières multiples et parfois simultanées (79%) et plus de la moitié des actifs en emploi entrepreneurs, travailleurs indépendants ou en travail temporaire (60%).
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    "L'heure du travail flexible ? 91% des directeurs de ressources humaines britanniques interrogés estiment que les employés de demain seront recrutés avant tout sur leur capacité à s'adapter au changement."
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    "Dans une étude de Right Management (UK), leader mondial des solutions d'optimisation du capital humain en management des Talents et des Carrières, intitulée « The Flux report », les acteurs des ressources humaines britanniques identifient les changements liés au climat d'incertitudes et de volatilité de ces dix dernières années."
Aurialie Jublin

Les 8 tendances "lucides" pour le monde du travail en 2018. Partie 1 : freela... - 0 views

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    - Faire coexister plusieurs statuts de travailleurs et plusieurs générations de manière harmonieuse dans l'entreprise - Responsabilité l'individu sur le développement de ses compétences - Travailler avec des machines
abrugiere

Motivation - Credo générationnel | Le nouvel Economiste - 0 views

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    ndividualistes mais solidaires, autonomes mais soucieux de leur socialisation dans l'entreprise, les membres de la génération Y étonnent. Bousculant de nombreux codes professionnels, ils transforment les standards en termes de motivation du personnel. Leur credo : un management moins vertical et une reconnaissance de leurs compétences.
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