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The Center for Science and Technology Studies at Leiden University advocates the use of specific normalizations for assessing research performance with reference to a world average. The Journal Citation Score (JCS) and Field Citation Score (FCS) are averaged for the research group or individual researcher under study, and then these values are used as denominators of the (mean) Citations per publication (CPP). Thus, this normalization is based on dividing two averages. This procedure only generates a legitimate indicator in the case of underlying normal distributions. Given the skewed distributions under study, one should average the observed versus expected values which are to be divided first for each publication. We show the effects of the Leiden normalization for a recent evaluation where we happened to have access to the underlying data.

Vast numbers of scientific articles are published each year, some of which attract considerable attention, and some of which go almost unnoticed. Here, we investigate whether any of this variance can be explained by a simple metric of one aspect of the paper's presentation: the length of its title. Our analysis provides evidence that journals which publish papers with shorter titles receive more citations per paper. These results are consistent with the intriguing hypothesis that papers with shorter titles may be easier to understand, and hence attract more citations.

Citedin is a combination of a searchable database and webservice for citations in the literature, biomedical databases, blogs, books and wiki's. It is provided by the department of Bioinformatics of Maastricht University

La souche actuelle semble être quasi exclusivement fondée sur PubMed, y compris tel article publié dans Physical Review E, par exemple, pas franchement biomédical, mais visible sous PubMed. Il est vraisemblable qu'il faille attendre que des papiers d'autres disciplines saisis notamment sur Mendeley, fassent leur apparition pour justifier une pluridisciplinarité. Autrement, cela risque de se cantonner toujours au même domaine que privilégient les citations au niveau mondial, i.e. le biomed.

Google Scholar. "Journal Scholar Metrics: An international and open access alternative for measuring the citation impact of Arts, Humanities & Social Sciences journals ", 5 mai 2016

Ryan Whalen. "Context is everything: Making the case for more nuanced citation impact measures." LSE (London School of Economics), 6 janvier 2016

Sur le trop faible nombre de mentions de Data dans les références bibliographiques terminales d'articles et la nécessité de citer les données au même titre que des articles ou des proceedings.

Using the full-text corpus of more than 75,000 research articles published by seven PLOS journals, this paper proposes a natural language processing approach for identifying the function of citations.

Last Thursday, Elsevier announced CiteScore metrics, a free citation reporting service for the academic community. The primary metric promoted by this service is also aptly named CiteScore and is similar, in many ways, to the Impact Factor. Both CiteScore and the Impact Factor are journal-level indicators built around a ratio of citations to documents.

Les calculs de distribution constituent une bonne façon d'appréhender la bibliométrie. La co-occurrence d'un grand nombre de citations à bref délai se trouve généralement prolongée par un effet de traîne qui décroît régulièrement sur la durée. On dit alors que s'applique un modèle fondé sur la loi de puissance (power-law) et l'on postule souvent que ce modèle classique s'applique dans la quasi totalité des cas de figure (notamment de manière pluridisciplinaire). Cet article montre une grande diversité de résultats lors de l'application du modèle classique de la loi de puissance en fonction des disciplines, à partir du réservoir de Scopus, préféré pour la démonstration à celui du WoS. La loi de puissance est parfaitement adaptée au couple Physique-Astrophysique, plus modérément mais positivement avec la biologie, la chimie, les sciences de la matière. Elle est inadaptée aux SHS mais aussi à d'autres secteurs STM comme les mathématiques, l'informatique et les sciences de l'ingénieur. D'autres modèles s'appliquent alors, très divers, beaucoup plus nuancés et impropres à la généralisation. En guise de commentaire de ce qui précède, on pourrait dire que grosso modo et mutatis mutandis ( !), les résultats issus des tableaux comparatifs présentés reflètent assez bien la comparaison de la décroissance des facteurs H et G sur un spectre allant de la biologie aux mathématiques.

Official Full-Text Publication: The counting house, measuring those who count: Presence of Bibliometrics, Scientometrics, Informetrics, Webometrics and Altmetrics in Google Scholar Citations, ResearcherID, ResearchGate, Mendeley, & Twitter on ResearchGate, the professional network for scientists.

La fin annoncée de UniPhy, pionnier en matière de cartographie des (co)citations de chercheurs en Physique. La concurrence prétendue d'autres produits ne tient pas totalement la route, cet outil restant original et efficace à plus d'un titre

Le Web of Science et le JCR n'ont pas les mêmes modalités de calcul de cumul de citations. Les calculs de médianes sur le JCR sont impossibles en raison de la dichotomie des deux produits. On reste bloqué sur des calculs de moyennes parce que le JCR ne permet pas de faire autre chose. Il se contente de mentionner à la marge l'Eigenfactor (sans l'expliquer) et le JIF percentile comme alternatives à ses calculs bruts.

National Institutes of Health. iCite.

"The iCite database currently contains articles published between 1995 and 2016; Relative Citation Ratios are available for articles published between 1995 and 2015."