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IRDES - Pratiques spatiales d'accès aux soins - 0 views

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    La question traitée ici est celle de l'accès effectif des patients aux soins qu'ils consomment. L'objectif est de comprendre ce qui conduit le patient à consulter un médecin (généraliste ou spécialiste) ou à choisir un établissement de santé plus éloigné que celui correspondant à l'offre disponible la plus proche de son lieu de résidence. Pour ce faire, nous avons analysé les consommations de soins lorsque le patient se déplace, en ville comme à l'hôpital de court séjour. Cette étude a été réalisée en exploitant l'Enquête santé et protection sociale (ESPS) de l'Irdes de 2010 appariée aux données de consommation de soins ambulatoires et hospitaliers issues du Système national inter-régimes de l'Assurance maladie (Sniiram) et du Programme de médicalisation des systèmes d'information hospitaliers pour le court séjour (médecine, chirurgie et obstétrique : PMSI-MCO). Sur le champ de l'ambulatoire comme celui de l'hospitalisation en court séjour, l'analyse met en évidence comment le contexte influence le choix du patient et comment les caractéristiques individuelles des patients interfèrent dans cette relation. Globalement, une faible disponibilité de l'offre de soins conduit les patients à plus souvent se déplacer, réduit leur possibilité de choisir librement un professionnel de santé et pose la question du lien entre accessibilité financière et territoriale à l'offre de soins.
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Santé : et si on plaçait le patient au cœur du système ? - Des idées pour demain - 0 views

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    "J'assistais lundi 16 janvier au Forum sur l'avenir de la santé organisé par l'OCDE. Le patient et l'usager étaient au cœur de ces échanges entre professionnels de santé, représentants des patients, économistes, ministres de la Santé et décideurs publics comme privés. Retour sur une journée de débats. "Value for patients is the True North" Les systèmes de santé des pays développés sont tous confrontés aux mêmes défis : des dépenses croissantes poussées par le progrès technique et la multiplication des maladies chroniques, des populations vieillissantes aux besoins de plus en plus complexes, et, enfin, des organisations cloisonnées et opaques qui ne répondent plus aux attentes des patients"
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DREES - Les personnes âgées aux urgences : une santé plu fragile nécessitant ... - 0 views

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    Le temps de passage aux urgences est plus long pour les personnes âgées : sa durée médiane est de 4 heures pour les patients âgés de 75 ans ou plus, contre 2 heures et 10 minutes pour les 15-74 ans, en excluant les patients ayant séjourné en unité d'hospitalisation de courte durée. En prenant en compte ces derniers, la durée médiane s'allonge, de façon plus marquée pour les patients âgés. Elle est de 4 heures et 30 minutes, contre 2 heures et 20 minutes pour les patients plus jeunes. Le nombre d'examens complémentaires, plus important pour les patients âgés, et les délais nécessaires à leur réalisation contribuent à augmenter la durée de passage aux urgences. À cela s'ajoutent les modalités d'hospitalisation éventuelle en aval des urgences : le délai pour obtenir un lit est plus important pour les personnes âgées. En cas de retour à domicile, des durées de passage plus longues pour les personnes âgées sont constatées dans les points d'accueil ayant des ressources en gériatrie, en lien avec des prises en charge plus adaptées dans ces points d'accueil.
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DREES - Les personnes âgées aux urgences : une patientèle au profil particulier - 0 views

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    Parmi les personnes accueillies aux urgences, les patients âgés constituent un groupe spécifique mobilisant les équipes d'urgence de façon particulière. Leurs conditions de vie et les affections liées à l'âge entraînent une fragilité supplémentaire chez ces patients. Leur prise en charge comporte un nombre d'actes plus élevé, une hospitalisation plus fréquente en unité d'hospitalisation de courte durée (UHCD), et se caractérise par une durée de passage plus longue que celle des patients plus jeunes. C'est principalement la modalité de sortie qui différencie leur passage aux urgences : 56 % des patients âgés sont hospitalisés dans un service conventionnel tandis que 38 % retournent à leur domicile et 5 % dans leur établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD). Se dessinent ensuite plusieurs profils de patients âgés en fonction de leur provenance et de leurs pathologies.
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Drees - Difficultés et adaptation des médecins généralistes face à l'offre de... - 0 views

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    En 2019, 7 médecins généralistes sur 10 estiment que l'offre de médecine générale dans leur zone d'exercice est insuffisante, et près de 4 sur 5 s'attendent à une baisse de cette offre dans les années à venir, d'après le Panel d'observation des pratiques et conditions d'exercice en médecine générale. Ils sont par ailleurs 8 sur 10 à déclarer des difficultés pour répondre aux sollicitations des patients. Nombreux sont ceux qui déclarent allonger leurs journées de travail ou refuser de nouveaux patients en tant que médecin traitant, sans que cela soit toujours lié au fait d'exercer en zone sous-dense. De plus, 3 généralistes sur 4 ont également des difficultés à trouver des confrères spécialistes pour assurer la prise en charge de leurs patients. Ces difficultés sont principalement liées aux délais d'obtention d'un rendez-vous, en particulier chez les ophtalmologues, les dermatologues et les psychiatres. Avec l'évolution de l'offre de soins environnante, 3 sur 10 déclarent se « spécialiser », notamment en gynécologie, en pédiatrie ou en gériatrie. Devant la perspective de la baisse de l'offre locale de soins, les médecins généralistes comptent adapter leurs pratiques, par exemple en rendant le patient plus autonome ou en rejoignant une structure d'exercice coordonné.
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Conseil national de l'ordre des médecins - Stratégie nationale de santé 2018-... - 0 views

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    a définition d'une stratégie quinquennale en santé consiste à identifier les priorités d'actions sur cette période, mais suppose également de les inscrire dans une politique générale de santé à plus long terme. Les politiques publiques doivent prendre en compte : les besoins sanitaires des populations et les organisations à mettre en œuvre pour satisfaire l'équité dans l'accès aux soins, à la prévention et à l'éducation à la santé sur l'ensemble des territoires de la République, la formation des médecins et autres professionnels de santé pour y répondre, les innovations techniques, technologiques et numériques afin de les inclure dans leur déploiement stratégique au bénéfice des patients. Il nous parait clair que notre système d'organisation des soins arrive à une échéance cruciale, non pas tant en raison des contraintes économiques qu'en raison des défis auxquels nous devons faire face : émergence des pathologies au long cours, vieillissement de la population avec son cortège de dépendances, transformations sociétales, nouvelles aspirations des patients et des médecins, obsolescence rapide des connaissances par les évolutions scientifiques et technologiques, essor de la société et de l'économie numérique, nouvelle organisation territoriale de la République … Il ne peut donc pas s'agir de construire une stratégie quinquennale en santé en préconisant des mesures palliatives devant une situation tendue ni non plus de proposer une rupture radicale dans les prises en charge des patients et dans notre modèle de protection sanitaire et sociale, quelles que puissent être les adaptations qu'elles nécessitent. Dans ces perspectives, le CNOM avance comme axes prioritaires : Un accès à des soins de qualité, à la prévention et à l'éducation à la santé partout sur le territoire national. Une réforme globale de la formation. L'inclusion des avancées tec
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Le Monde - Quand les cabinets médicaux discriminent les patients les plus pré... - 0 views

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    "Des médecins spécialistes qui refusent un rendez-vous au motif que le patient est bénéficiaire d'une aide à la complémentaire santé : le phénomène est bien présent et d'ampleur. C'est ce que montre le testing mené début 2019 par le Défenseur des droits et le Fonds CMU-C auprès de 1 500 cabinets médicaux. Selon cette enquête publiée mardi 29 octobre - la première d'une telle ampleur depuis près de quinze ans -, 9 % des chirurgiens-dentistes, 11 % des gynécologues et 15 % des psychiatres libéraux discriminent les patients bénéficiaires d'une aide sociale à la complémentaire santé en refusant de leur donner un rendez-vous qu'ils accordent dans le même temps à un patient « lambda »."
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IRDES - 219-recours-aux-soins-ambulatoires-et-distances-parcourues-par-les-patients.pdf - 0 views

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    "En France, l'offre de soins médicaux se situe dans la moyenne de celle des pays de l'Orga- nisation de coopération et de développemen t économiques (OCDE) mais elle est inégale- ment répartie sur le territoire. Les professionnels de santé sont concentrés dans les zones urbaines, les métropoles et le long du littoral. Les inégalités d'offre de soins de ville sont très marquées lorsqu'elles sont mesurées par l'indicateur d'Accessibilité potentielle locali- sée (APL) qui estime, au niveau communal, l' adéquation entre offre et demande de soins. Menée à partir de l'Enquête santé et protecti on sociale (ESPS) 2010 de l'Irdes appariée avec les données administratives de l'Assuranc e maladie, cette étude met en évidence des différences de recours aux soins ambulatoires en termes de taux de recours, de recours au professionnel de santé le plus proche et de distances supplémentaires parcourues par les patients. L'analyse tient compte des caractéristiques individuelles des patients ainsi que de trois indicateurs d'accessibilité territoriale aux soins. Les résultats montrent qu'une offre de soins de proximité peu disponible conduit les pa- tients à plus souvent se déplacer, c'est-à-dire à moins souvent recourir à l'offre de soins la plus proche. En revanche, ils sont moins enclins à parcourir des distances supplémentaires au-delà du professionnel de santé le plus pr oche lorsque ce dernier est éloigné du domi- cile, ce qui limite leur liberté de choix."
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Italie : traiter le fœtus comme un patient - Bioéthique - Politique - société... - 0 views

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    "À l'hôpital Gemelli est né le 25 mai un « hospice périnatal ». Unique en Italie, il a pour but d'« accompagner le fœtus comme un patient, y compris dans les conditions pathologiques les plus extrêmes », en partant d'un constat, dressé par le Pr Giuseppe Noia, artisan de ce projet : « Dans le monde entier, les techniques ultrasoniques sont devenues des éléments de base pour guider des approches invasives vers le fœtus, apporter une série d'actes de diagnostic et de thérapie ayant pour conséquence de traiter le fœtus comme un patient. »"
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[Anti-brouillard] Accès aux soins : des promesses coûteuses aux contours flou... - 0 views

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    "Pour la première fois, la santé occupe une place importante dans la campagne présidentielle, et chaque candidat a présenté son ordonnance pour réformer notre système de santé. Au cœur des programmes : la question du remboursement des soins et du coût pour les patients. Les débats sur la santé se sont en effet beaucoup concentrés autour de cet enjeu : qui de la Sécurité sociale ou des mutuelles doit payer ? Comment permettre aux patients de ne plus débourser d'argent pour les soins les plus coûteux ? Comment lutter contre les dépassements d'honoraires et faire baisser la participation financière des patients ?"
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Santé connectée, m-santé et e-patients : création de France eHealthTech | All... - 0 views

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    "L'e-santé ou télésanté recouvre les différents instruments qui s'appuient sur les technologies de l'information et de la communication (TIC) pour faciliter et améliorer la prévention, le diagnostic, le traitement et le suivi médicaux ainsi que la gestion de la santé et du mode de vie. La m-santé recouvre un ensemble de services allant du bien-être à la santé dont l'usage est rendu possible en permanence via un appareil mobile, smartphones et tablettes. Les e-patients sont les consommateurs et patients de e-santé ou m-santé."
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Institut Montaigne - Évaluer la pertinence et la qualité des soins, un change... - 0 views

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    "Dans son rapport Système de santé : soyez consultés !, l'Institut Montaigne émet plusieurs propositions en faveur de la mise en place d'indicateurs de qualité et de pertinence des soins qui comptent pour les patients. Ces indicateurs, bien qu'indispensables pour aider les patients à s'orienter dans le système de santé, sont encore peu présents en France. Ils impliquent de nombreux changements dans la pratique de la médecine et dans la relation médecin-patient. Le professeur Patrick Pessaux, chirurgien à l'IHU et Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, nous donne son point de vue de médecin sur ces enjeux."
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CNCDH - Communiqué de presse - Agir contre les maltraitances dans le système ... - 0 views

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    Pour mettre fin aux atteintes au droit fondamental à l'accès aux soins, la Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH) appelle les pouvoirs publics à remettre l'humain au cœur du système de santé français. Si le système de soins français est envié dans le monde entier pour sa performance, si la compétence et le dévouement du personnel soignant sont largement reconnus, de nombreux actes de maltraitance, abondamment relayés dans les médias ces derniers mois, révèlent les dysfonctionnements d'un système qui engendre la souffrance des patients, des soignants et des aidants. Pour mettre fin aux atteintes au droit fondamental à l'accès aux soins, la Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH) appelle les pouvoirs publics à remettre l'humain au cœur du système de santé français. Loin de constituer une attaque contre le personnel soignant10, le terme « maltraitance » renvoie donc ici aux dérives actuelles du système de santé français. Comme l'indique le rapport Compagnon de 2009 « la maltraitance est avant tout le fait d'un système et non pas d'un individu »11. Il ne s'agit donc pas d'opposer les patients aux médecins et autres personnels de santé, mais plutôt de mettre en évidence les souffrances subies par l'ensemble des acteurs du système médical, qu'ils soient soignants, patients ou aidants. Il s'agit d'interroger les mécanismes d'un système de santé qui engendre des souffrances. La CNCDH propose, dans cet avis, de dépasser la logique strictement économique pour privilégier un système de santé fondé sur l'humain qui puisse garantir les droits fondamentaux en s'adaptant aux spécificités de chacun. Il s'agira dans un premier temps de constater en quoi le système de santé actuel peut générer de la maltraitance et faire obstacle au droit fondamental à l'accès aux soins ; puis, dans un second temps, de suggérer des pistes de réflexion
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CNCDH - Avis - Agir contre les maltraitances dans le système de santé : Une n... - 0 views

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    Pour mettre fin aux atteintes au droit fondamental à l'accès aux soins, la Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH) appelle les pouvoirs publics à remettre l'humain au cœur du système de santé français. Si le système de soins français est envié dans le monde entier pour sa performance, si la compétence et le dévouement du personnel soignant sont largement reconnus, de nombreux actes de maltraitance, abondamment relayés dans les médias ces derniers mois, révèlent les dysfonctionnements d'un système qui engendre la souffrance des patients, des soignants et des aidants. Pour mettre fin aux atteintes au droit fondamental à l'accès aux soins, la Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH) appelle les pouvoirs publics à remettre l'humain au cœur du système de santé français. Loin de constituer une attaque contre le personnel soignant10, le terme « maltraitance » renvoie donc ici aux dérives actuelles du système de santé français. Comme l'indique le rapport Compagnon de 2009 « la maltraitance est avant tout le fait d'un système et non pas d'un individu »11. Il ne s'agit donc pas d'opposer les patients aux médecins et autres personnels de santé, mais plutôt de mettre en évidence les souffrances subies par l'ensemble des acteurs du système médical, qu'ils soient soignants, patients ou aidants. Il s'agit d'interroger les mécanismes d'un système de santé qui engendre des souffrances. La CNCDH propose, dans cet avis, de dépasser la logique strictement économique pour privilégier un système de santé fondé sur l'humain qui puisse garantir les droits fondamentaux en s'adaptant aux spécificités de chacun. Il s'agira dans un premier temps de constater en quoi le système de santé actuel peut générer de la maltraitance et faire obstacle au droit fondamental à l'accès aux soins ; puis, dans un second temps, de suggérer des pistes de réflexion
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Drees - E-Santé : les principaux outils numériques sont utilisés par 80% des ... - 0 views

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    D'après le Panel d'observation des pratiques et conditions d'exercice en médecine générale, près de 80 % des médecins généralistes de moins de 50 ans, contre 48 % seulement des 60 ans ou plus, utilisent quotidiennement les trois outils socles de la e-santé : le dossier patient informatisé, le logiciel d'aide à la prescription et la messagerie sécurisée de santé. L'exercice en groupe et au sein de structures collectives va généralement de pair avec une utilisation plus poussée de ces outils. L'âge et le fait d'exercer avec d'autres confrères s'avèrent donc deux facteurs déterminants pour l'utilisation des outils numériques socles en médecine générale. Si le dossier patient informatisé est couramment utilisé, 1 médecin sur 5 structure les motifs de consultations avec un codage particulier. Les médecins les plus jeunes codent le contenu de leurs consultations plus souvent que leurs confrères plus âgés. Les échanges entre professionnels sont, dans la très grande majorité des cas, sécurisés. En revanche, la sécurisation des données des patients reste à améliorer : seulement un quart des médecins hébergent les données de santé issues de leurs dossiers informatisés sur des plateformes agréées.
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Lyon - Coordonnées pour une demande de visite d'un prêtre ou d'un aumônier - 0 views

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    "La situation dans certains hôpitaux du diocèse commence à être tendue devant le nombre de patients. Nos équipes d'aumônerie sont solidaires et en lien avec les équipes soignantes et peuvent au cas par cas répondre aux demandes urgentes des patients ou de leurs familles, en particulier en fin de vie. Elles font aussi des accompagnements par téléphone pour les personnes hospitalisées isolées. Voici les numéros à appeler selon les hôpitaux pour une demande de visite d'un prêtre ou d'un aumônier. Pour l'instant, il n'est pas possible que des prêtres non reconnus par l'hôpital visitent les patients."
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La Croix - Entre le médecin généraliste et son patient, c'est l'amour vache - 0 views

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    "92 % des patients, selon une enquête, sont satisfaits de leur généraliste. Et pourtant, nombreux sont les médecins à dénoncer les vols commis par leurs patients… Alors, simples larcins, falsifications d'ordonnances ou sentimentalisme ?"
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DREES - Dix ans d'hospitalisation à domiciel (2006-2016) - 0 views

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    En 2016, 313 établissements coordonnent des prises en charge d'hospitalisation à domicile (HAD), contre 170 en 2006. En dix ans, l'activité réalisée a plus que doublé (passant de 1,9 million à 4,9 millions de journées), tout comme les capacités de prise en charge : le nombre de patients pouvant être hospitalisés à domicile simultanément est passé de 6 900 à 16 300. Le taux de recours national a également augmenté et s'établit à 20 patients par jour pour 100 000 habitants en 2016 (8 en 2006). En France, l'HAD s'est développée d'abord par une augmentation du nombre d'établissements jusqu'en 2011. Le nombre d'établissements se stabilise ensuite et la croissance passe alors par l'augmentation régulière des capacités et de l'activité des établissements déjà installés. L'HAD reste dominée par les secteurs privé à but non lucratif et public, mais la place du secteur privé à but lucratif progresse nettement : il concentre 15 % de l'activité en 2016, contre 4 % dix ans plus tôt. Les prises en charge en HAD se modifient aussi avec le temps. Les soins liés aux pansements complexes (plaies cicatrisant mal, ulcères variqueux, escarres, etc.) deviennent peu à peu le principal motif de prise en charge, devant les soins palliatifs. L'âge moyen des patients augmente et les durées de séjours s'allongent. En dix ans, la part de l'HAD dans l'hospitalisation complète de court et moyen séjour a plus que doublé, passant de 2 % à 5 %.
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BVA - Résultats - L'impact du numérique dans le domaine de la santé - 0 views

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    Pour les Français, Internet occupe une place importante dans le domaine de la santé * Un Français sur trois consulte au moins une fois par mois des sites, rubriques ou forums sur la santé Des sites, rubriques ou forums consultés essentiellement de manière réactive face à une maladie ou un symptôme, plutôt que de manière préventive * Les informations santé trouvées sur internet sont jugées utiles et sont peu remises en cause 89% des personnes qui les consultent jugent ces informations utiles 70% des personnes qui les consultent les jugent fiables, moins d'un Français sur trois (29%) mettant en doute leur crédibilité * Un Français sur cinq a comme premier réflexe d'aller sur Internet en cas de petit souci de santé En cas de problème de santé leur paraissant peu important, 41% consultent leur médecin mais 21% vont sur internet, tandis que 20% demandent conseil à leur pharmacien et 17% demandent conseil à leurs proches Quels sont les atouts du numérique pour les Français ? * Des outils et services numériques jugés utiles dans le domaine de la santé préventive 78% des Français estiment que les outils et services numériques sont utiles pour aider les Français à améliorer leurs comportements préventifs pour éviter certaines maladies * Des effets perçus comme bénéfiques sur la recherche médicale et la qualité des soins 76% pensent que le développement du numérique va permettre à la recherche médicale de faire beaucoup de progrès à l'avenir 68% pensent que le développement du numérique va permettre d'améliorer la qualité des soins apportés aux patients * Une large approbation du maintien à domicile des patients 76% des Français sont favorables au développement du maintien à domicile des patients (ex : en post opératoire) avec un suivi et un accompagnement à distance * Des Français qui sont prêts à partager leurs données de santé à certains acteurs Si les données sont a
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BVA - Synthèse - L'impact du numérique dans le domaine de la santé - 0 views

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    "Pour les Français, Internet occupe une place importante dans le domaine de la santé * Un Français sur trois consulte au moins une fois par mois des sites, rubriques ou forums sur la santé Des sites, rubriques ou forums consultés essentiellement de manière réactive face à une maladie ou un symptôme, plutôt que de manière préventive * Les informations santé trouvées sur internet sont jugées utiles et sont peu remises en cause 89% des personnes qui les consultent jugent ces informations utiles 70% des personnes qui les consultent les jugent fiables, moins d'un Français sur trois (29%) mettant en doute leur crédibilité * Un Français sur cinq a comme premier réflexe d'aller sur Internet en cas de petit souci de santé En cas de problème de santé leur paraissant peu important, 41% consultent leur médecin mais 21% vont sur internet, tandis que 20% demandent conseil à leur pharmacien et 17% demandent conseil à leurs proches Quels sont les atouts du numérique pour les Français ? * Des outils et services numériques jugés utiles dans le domaine de la santé préventive 78% des Français estiment que les outils et services numériques sont utiles pour aider les Français à améliorer leurs comportements préventifs pour éviter certaines maladies * Des effets perçus comme bénéfiques sur la recherche médicale et la qualité des soins 76% pensent que le développement du numérique va permettre à la recherche médicale de faire beaucoup de progrès à l'avenir 68% pensent que le développement du numérique va permettre d'améliorer la qualité des soins apportés aux patients * Une large approbation du maintien à domicile des patients 76% des Français sont favorables au développement du maintien à domicile des patients (ex : en post opératoire) avec un suivi et un accompagnement à distance * Des Français qui sont prêts à partager leurs données de santé à certains acteurs Si les données sont a
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