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Olivier KAPPES

Le social bookmarking, pratique incontournable de formation tout au long de la vie - 1 ... - 0 views

  • Le social bookmarking
  • Le socialbookmarking est une pratique visant le partage de signets ou "bookmarks » qui permet  la mémorisation, le captage des adresses d’un site web que l’on peut alors retrouver et réutiliser.
  • En 2008, Diigo a été mis à jour avec de nouvelles fonctionnalités et je m'y suis inscrite. L’une des forces de Diigo est la possibilité de créer des groupes et listes dans lesquels plusieurs utilisateurs peuvent interagir. Il est ainsi possible de commenter des signets, de les annoter, d’ajouter des utilisateurs comme contacts et de communiquer avec eux en utilisant le service de messagerie interne. La notion de recommandation est de plus en plus présente sur Diigo. Vous pouvez  rechercher des utilisateurs qui ont les mêmes intérêts que vous et en rechercher d’autres qui sont actuellement en ligne. Là, ça a été la révélation ! La puissance de la veille est démultipliée, car en intégrant un groupe, on a l'assurance de trouver des ressources qui nous intéressent, et on peut aussi suivre chacun des membres du groupes, voir toutes les ressources que la personne indexe, au-delà de ce qu'elle propose dans le groupe.
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    • Olivier KAPPES
       
      Ah, cette image, ça me rappelle le bon temps (mais lequel ?)
  • Apprendre, progresser, innoverLes enseignants que vous avez interrogés dans le cadre de votre travail de thèse ont-ils le sentiment de se former, par le biais de leur pratique de socialbookmarking ?Assurément. Vous savez, les enseignants sont ce que Philippe Carré appelle des « travailleurs du savoir ». Ils aiment accompagner les élèves dans les apprentissages, parce qu'eux-mêmes aiment apprendre. Une enseignante interrogée  m'a dit « Avec le social bookmarking, je suis une machine à apprendre, et je le sais ».
Olivier KAPPES

"La bande est un outil de compensation sociale" - côté quartiers - le blog d'... - 0 views

  • Marwan Mohammed. Il existe un lien entre l’expérience scolaire et l’engagement dans les bandes, même si ce n’est pas la seule explication. Les difficultés rencontrées dès l’école primaire s’accentuent au collège. La rupture est d’ordre institutionnel. À l’école, la relation aux parents est fondée sur l’oral, avec un nombre d’interlocuteurs réduit. Au collège, ce rapport se distancie et se désincarne. Les interlocuteurs se multiplient et la communication s’appuie sur l’écrit. En sixième, les élèves arrivent avec un niveau correct et décrochent entre la sixième et la quatrième. Un tiers des effectifs lâchent à ce moment-là. C’est là que la bande entre en scène. Elle fonctionne par cooptation sur une base normative de comportement. Les bons élèves se regroupent et les mauvais vont développer des conflits. La bande va les aider à aménager collectivement le désamour scolaire, le conflit avec l’institution et à gérer l’ennui. Ils s’aménagent des voies de gratification qui ne sont pas celles que promeuvent les parents et l’école.
  • Marwan Mohammed. Il existe un lien entre l’expérience scolaire et l’engagement dans les bandes, même si ce n’est pas la seule explication. Les difficultés rencontrées dès l’école primaire s’accentuent au collège. La rupture est d’ordre institutionnel. À l’école, la relation aux parents est fondée sur l’oral, avec un nombre d’interlocuteurs réduit. Au collège, ce rapport se distancie et se désincarne. Les interlocuteurs se multiplient et la communication s’appuie sur l’écrit. En sixième, les élèves arrivent avec un niveau correct et décrochent entre la sixième et la quatrième. Un tiers des effectifs lâchent à ce moment-là. C’est là que la bande entre en scène. Elle fonctionne par cooptation sur une base normative de comportement. Les bons élèves se regroupent et les mauvais vont développer des conflits. La bande va les aider à aménager collectivement le désamour scolaire, le conflit avec l’institution et à gérer l’ennui. Ils s’aménagent des voies de gratification qui ne sont pas celles que promeuvent les parents et l’école.
  • Marwan Mohammed. Il existe un lien entre l’expérience scolaire et l’engagement dans les bandes, même si ce n’est pas la seule explication. Les difficultés rencontrées dès l’école primaire s’accentuent au collège. La rupture est d’ordre institutionnel. À l’école, la relation aux parents est fondée sur l’oral, avec un nombre d’interlocuteurs réduit. Au collège, ce rapport se distancie et se désincarne. Les interlocuteurs se multiplient et la communication s’appuie sur l’écrit. En sixième, les élèves arrivent avec un niveau correct et décrochent entre la sixième et la quatrième. Un tiers des effectifs lâchent à ce moment-là. C’est là que la bande entre en scène. Elle fonctionne par cooptation sur une base normative de comportement. Les bons élèves se regroupent et les mauvais vont développer des conflits. La bande va les aider à aménager collectivement le désamour scolaire, le conflit avec l’institution et à gérer l’ennui. Ils s’aménagent des voies de gratification qui ne sont pas celles que promeuvent les parents et l’école.
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  • Marwan Mohammed. Il existe un lien entre l’expérience scolaire et l’engagement dans les bandes, même si ce n’est pas la seule explication. Les difficultés rencontrées dès l’école primaire s’accentuent au collège. La rupture est d’ordre institutionnel. À l’école, la relation aux parents est fondée sur l’oral, avec un nombre d’interlocuteurs réduit. Au collège, ce rapport se distancie et se désincarne. Les interlocuteurs se multiplient et la communication s’appuie sur l’écrit. En sixième, les élèves arrivent avec un niveau correct et décrochent entre la sixième et la quatrième. Un tiers des effectifs lâchent à ce moment-là. C’est là que la bande entre en scène. Elle fonctionne par cooptation sur une base normative de comportement. Les bons élèves se regroupent et les mauvais vont développer des conflits. La bande va les aider à aménager collectivement le désamour scolaire, le conflit avec l’institution et à gérer l’ennui. Ils s’aménagent des voies de gratification qui ne sont pas celles que promeuvent les parents et l’école.
Olivier KAPPES

016192ar.pdf (Objet application/pdf) - 0 views

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    L'influence du capital social sur la formation du capital humain chez les élèves résilients de milieux socioéconomiques défavorisés
Olivier KAPPES

Researching Social Media in Education: What can we learn? - 0 views

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    Étude (diaporama) en deux volets - le premier, généraliste, traite de la E-literacy - le second est centré sur la publication...
Olivier KAPPES

Coupe du Monde de Football : la consécration du marketing social temps-réel - 0 views

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    Comme dit PPD : ça fiche la frousse !
Olivier KAPPES

DIASPORA* - 1 views

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    Réseau social basé sur la confidentialité et l'esprit collaboratif du logiciel libre - une alternative (bienvenue?) à la domination de facebook.
Olivier KAPPES

Why Technology Will Never Fix Education - Commentary - The Chronicle of Higher Education - 0 views

  • The real obstacle in education remains student motivation. Especially in an age of informational abundance, getting access to knowledge isn’t the bottleneck, mustering the will to master it is. And there, for good or ill, the main carrot of a college education is the certified degree and transcript, and the main stick is social pressure. Most students are seeking credentials that graduate schools and employers will take seriously and an environment in which they’re prodded to do the work. But neither of these things is cheaply available online.
  • In fact, studies confirm exactly this: Well-educated men with office jobs disproportionately complete MOOC courses, while lower-income young adults barely enroll. The primary effect of free online courses is to further educate an already well-educated group who will pull away from less-educated others. The educational rich just get richer.
  • So what is to be done? Unfortunately, there is no technological fix, and that is perhaps the hardest lesson of amplification. More technology only magnifies socioeconomic disparities, and the only way to avoid that is nontechnological: Either resolve the underlying inequities first, or create policies that favor the less advantaged.
Olivier KAPPES

RSA - Home - 0 views

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    Royal Society (for the encouragement) of Arts & techniques - ONG Britannique remontant au XVIIIe siècle - conférences sur l'innovation - voir aussi RSAnimates
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