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hubert guillaud

Le piège de la consommation collaborative - Medium - 0 views

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    Le piège de la consommation collaborative : que se passera-t-il quand nous partagerons tous nos vêtements pour de revenus tout juste suffisants ? Le risque de dépendance de ces services et plateformes pour un revenu tout juste suffisant, une des principales tensions de la consommation collaborative?
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    Qu'advient-il de notre sécurité financière quand nous louons nos canapés, nos voitures ou nos maisons ? interroge Mark Egerman. Dans "Le piège du double revenu", Elizabeth Warren et Amelia Tyagi, décrivent comment les familles de la classe moyenne deviennent plus vulnérables financièrement quand les deux parents travaillent. Certes, ils ont plus de revenus, mais ils demeurent en concurrence sur les mêmes ressources limitées (maisons, garde des enfants...) ce qui fait monter les prix, les coûts jusqu'à finir par consommer le revenu supplémentaire généré. Au final les familles avec deux revenus avec moins de revenus de garde dans les années 2000, que les familles où un seul parent travaillait dans les années 70. Enfin, les familles où un seul parent travaillait avaient un filet de sécurité possible. N'est-ce pas ce qui risque de se passer avec l'économie collaborative ? Certaines personnes ne peuvent payer leur loyer si elle ne loue pas un canapé chez elles. Les gens qui en sont à louer les vêtements de leurs placards ne sont pas dans une position de négociation. Est-ce que l'économie du partage est vraiment un avantage, à terme ?
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    Qu'advient-il de notre sécurité financière quand nous louons nos canapés, nos voitures ou nos maisons ? interroge Mark Egerman. Dans "Le piège du double revenu", Elizabeth Warren et Amelia Tyagi, décrivent comment les familles de la classe moyenne deviennent plus vulnérables financièrement quand les deux parents travaillent. Certes, ils ont plus de revenus, mais ils demeurent en concurrence sur les mêmes ressources limitées (maisons, garde des enfants...) ce qui fait monter les prix, les coûts jusqu'à finir par consommer le revenu supplémentaire généré. Au final les familles avec deux revenus avec moins de revenus de garde dans les années 2000, que les familles où un seul parent travaillait dans les années 70. Enfin, les familles où un seul parent travaillait avaient un filet de sécurité possible. N'est-ce pas ce qui risque de se passer avec l'économie collaborative ? Certaines personnes ne peuvent payer leur loyer si elle ne loue pas un canapé chez elles. Les gens qui en sont à louer les vêtements de leurs placards ne sont pas dans une position de négociation. Est-ce que l'économie du partage est vraiment un avantage, à terme ?
hubert guillaud

Vivre sans argent en France, pas si difficile que ça - Le nouvel Observateur - 2 views

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    Le projet Eotopia de Benjamin Lesage... http://www.eotopia.org Vivre sans argent en communauté...
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    Le projet Eotopia de Benjamin Lesage... http://www.eotopia.org Vivre sans argent en communauté...
hubert guillaud

Crowdfunding sans licences libres = piège à gogos ? - S.I.Lex :: - 2 views

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    La prochaine fois que vous participerez à une opération de crowdfunding demandez-vous si les droits du public sont bien respectés, si les contreparties de votre financement sont équitables, non pas seulement pour vous personnellement, mais également pour le projet...
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    La prochaine fois que vous participerez à une opération de crowdfunding demandez-vous si les droits du public sont bien respectés, si les contreparties de votre financement sont équitables, non pas seulement pour vous personnellement, mais également pour le projet...
hubert guillaud

Que signifient les poussées tarifaires d'Uber ? - NYTimes.com - 1 views

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    Annie Lowreyjan revient sur les poussées tarifaires d'Uber, la société de taxi nouvelle génération. Pour un même trajet, la veille du jour de l'an, un taxi normal coûtait 13$ (pourboire compris), quand un voyage avec Uber était proposé à 47 dollars. Le même service. La même quantité de temps. Le même voyage. Et pourtant un différentiel de 3,5 fois le prix. Face aux critiques sur ces poussées tarifaires au moment où les gens font le plus appel à ses services, Uber s'est montré clair, voire cynique : si vous ne voulez pas payer le prix, ne nous utilisez pas. En ayant accès à des données en temps réel sur la demande et l'offre ce qui lui permet d'adapter en permanence ses tarifs. Uber est haut de gamme et coûte généralement environ 50% de plus que la concurrence locale. Les voitures sont commandées en 15 minutes, vous payez via votre application et Uber garde 20% du prix de la course pour lui. Lors de la tempête ou des fêtes de fin d'années, nombreux sont ceux qui ont râlé sur les prix pratiqués par Uber. Mais c'est le logiciel qui est programmé ainsi, explique le patron d'Uber. La hausse des prix reflète l'état de la demande et de la disponibilité de celles-ci. Pour Kalanick, la tarification algorithmique bénéficie aux passagers : ils payent plus mais n'attendent pas. Les tarifs des taxis eux sont régulés pour protéger les consommateurs, qu'importe si c'est parfois au détriment du service et du temps d'attente. L'algorithme de Uber tente de maximiser le nombre de voyages, pas les revenus des chauffeurs. Reste que l'opacité de la tarification dynamique, du point de vue du client génère forcément de la frustration et du mécontentement. Uber fini par prendre un risque avec un tel algorithme qui génère de la grogne, et pourrait s'aliéner des clients à long terme. "L'efficacité du marché n'est pas toujours la même chose que le bénéfice des consommateurs". Il existe désormais des formes sournoises de discrimination p
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    Annie Lowreyjan revient sur les poussées tarifaires d'Uber, la société de taxi nouvelle génération. Pour un même trajet, la veille du jour de l'an, un taxi normal coûtait 13$ (pourboire compris), quand un voyage avec Uber était proposé à 47 dollars. Le même service. La même quantité de temps. Le même voyage. Et pourtant un différentiel de 3,5 fois le prix. Face aux critiques sur ces poussées tarifaires au moment où les gens font le plus appel à ses services, Uber s'est montré clair, voire cynique : si vous ne voulez pas payer le prix, ne nous utilisez pas. En ayant accès à des données en temps réel sur la demande et l'offre ce qui lui permet d'adapter en permanence ses tarifs. Uber est haut de gamme et coûte généralement environ 50% de plus que la concurrence locale. Les voitures sont commandées en 15 minutes, vous payez via votre application et Uber garde 20% du prix de la course pour lui. Lors de la tempête ou des fêtes de fin d'années, nombreux sont ceux qui ont râlé sur les prix pratiqués par Uber. Mais c'est le logiciel qui est programmé ainsi, explique le patron d'Uber. La hausse des prix reflète l'état de la demande et de la disponibilité de celles-ci. Pour Kalanick, la tarification algorithmique bénéficie aux passagers : ils payent plus mais n'attendent pas. Les tarifs des taxis eux sont régulés pour protéger les consommateurs, qu'importe si c'est parfois au détriment du service et du temps d'attente. L'algorithme de Uber tente de maximiser le nombre de voyages, pas les revenus des chauffeurs. Reste que l'opacité de la tarification dynamique, du point de vue du client génère forcément de la frustration et du mécontentement. Uber fini par prendre un risque avec un tel algorithme qui génère de la grogne, et pourrait s'aliéner des clients à long terme. "L'efficacité du marché n'est pas toujours la même chose que le bénéfice des consommateurs". Il existe désormais des formes sournoises de discrimination p
hubert guillaud

20+ Open Source Furniture Designs | MakingSociety - 0 views

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    Le mobilier Open Source.
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    Le mobilier Open Source.
hubert guillaud

Afficher sur sa porte les objets que l'on souhaite partager - SoonSoonSoon - 0 views

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    Pumpipupe - http://www.pumpipumpe.ch - vous propose de petits autocollants pour indiquer à vos voisins les objets que vous êtes prêts à leur prêter...
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    Pumpipupe - http://www.pumpipumpe.ch - vous propose de petits autocollants pour indiquer à vos voisins les objets que vous êtes prêts à leur prêter...
hubert guillaud

Peut-on vivre sans argent? Cet homme l'a fait - HuffingtonPost.fr - 1 views

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    Pas si simple de vivre sans argent !
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    Pas si simple de vivre sans argent !
hubert guillaud

Drôle de monnaies, une ethnographie des monnaies locales - Ethnography Matters - 3 views

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    L'ethnographe Mario Campana s'est intéressé aux monnaies complémentaires, et notamment à celle de Brixton en Grande-Bretagne. Si la plupart des travaux mettent en avant l'impact positif de ces systèmes sur la communauté locale (favorisant la résilience, la cohésion sociale...), le chercheur pointe les différences de perception de cette monnaie. Alors que les émetteurs, les initiateurs de cette monnaie la voit avec une forte composante idéologique, les utilisateurs sont plus pragmatiques. Ceux-ci sont surtout de jeunes professionnels de la classe moyenne bien éduqués et disposant de bons revenus et l'utilisent pour son côté pratique et économique (la monnaie de Brixton est disponible au format électronique et payer avec permet d'avoir une réduction de 10%), donc assez hédoniste. Quant aux entreprises qui acceptent cette monnaie, on se rend compte qu'elle marche mieux dans les pubs et restaurants que pour acheter de la viande ou des légumes locaux, mais montre un certain engagement idéologique avec les créateurs. Enfin, la plupart de la communauté locale rejette cette monnaie considérée comme un gadget qui appartient à la nouvelle communauté gentrifiée de Brixton. Pour Campana, la monnaie locale reproduit un discours de pouvoir local.
hubert guillaud

Etes-vous prêt à partager votre frigo? | Slate.fr - 1 views

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    "Un tiers de la production alimentaire mondiale destinée aux hommes termine à la poubelle. En 2013, on a beaucoup entendu ce chiffre impressionnant et beaucoup parlé de lutte contre le gaspillage alimentaire, devenue grande cause nationale et internationale. Plein de solutions ont été évoquées, comme mieux réfléchir avant de faire les courses, apprendre l'art subtil de cuisiner les restes, participer à des «Disco Soupe»… Selon Manon Carre, l'une des fondatrice de l'association Partage ton frigo, «il y a beaucoup sensibilisation, mais peu de solutions»"
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    1/3 de la production alimentaire mondiale termine à la poubelle. Pour Manon Carre de Partage ton frigo - http://www.partagetonfrigo.fr - des solutions existent pour partager les contenus de nos frigos, voire même imaginer développer des frigos communs dans les hall d'immeubles. Reste à partager les dates de péremption. Pas si simple dans la pratique malgré tout.
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    1/3 de la production alimentaire mondiale termine à la poubelle. Pour Manon Carre de Partage ton frigo - http://www.partagetonfrigo.fr - des solutions existent pour partager les contenus de nos frigos, voire même imaginer développer des frigos communs dans les hall d'immeubles. Reste à partager les dates de péremption. Pas si simple dans la pratique malgré tout.
hubert guillaud

Si les voitures pouvaient vraiment se conduire elles-mêmes, de combien en aurions-nous besoin ? - TheAtlantic.com - 2 views

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    ... seulement d'un tiers du parc actuel. Pour autant que ces voitures soient partagées...
hubert guillaud

La montée de l'anti-capitalisme - NYTimes.com - 3 views

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    Nous commençons a assister à un paradoxe au coeur du capitalisme, estime Jeremy Rifkin, le dynamisme inhérent aux marchés concurrentiels fait que de nombreux biens et services parviennent à un coût si bas, qu'ils n'y sont plus soumis. Si les économistes ont toujours évoqué la réduction du coût marginal, ils n'ont jamais envisagé qu'une révolution technologique pourrait les faire tomber à zéro. Depuis Napster, le numérique est venu considérablement perturber les industries culturelles et s'attaque désormais à l'énergie, la fabrication, l'éducation... Le phénomène est sur le point d'affecter l'ensemble de l'économie estime Rifkin. Que se passera-t-il quand nous pourrons produire des biens et des services pour presque rien ? Les biens communs, la collaboration, l'accès, la participation de tous inaugure une nouvelle économie de partage et l'internet des objets est la plateforme qui permet au bien commun de se développer aux côté du marché capitaliste, estime Rifkin. De nombreux économistes estiment que le secteur sans but lucratif n'est pas une force économique autonome, mais un parasite. Reste qu'il est aujourd'hui un moteur puissant de nos économies et qu'il dessine un avenir pour le partage des biens communs mondiaux.
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    Le système capitaliste (à part dans le titre, il ne parle finalement pas de capital'isme') comme simple « aggrégateur de service »; j'avoue n'être pas sûre qu'il s'agisse, au premier degré, d'une prospective, ou bien d'un stratagème argumentaire destiné à neutraliser la dimension idéologique du sujet (exacerbée dans le titre). On retrouve souvent ce type de décentrement rhétorique chez Rifkin. Il joue avec habileté de sa double posture d'augure, volontiers sybillin, et de protagoniste actif, disposant d'une influence sur les hauts cercles de la décision. Je parle en simple lecteur, il y a sans doute bien plus spécialistes aux alentours!
hubert guillaud

L'économie du partage n'est pas bonne pour l'amitié - Forbes - 4 views

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    Je peux venir chez toi cet été ? Désolé, j'ai loué mon appartement sur AirBnb ! Est-ce que l'économie collaborative va redéfinir l'amitié, comme n'étant plus fondée sur l'aide, le service que d'autre peuvent nous rendre, mais seulement le conseil qu'ils nous procurerons ? Les relations des liens faibles viennent-elles concurrencées celles des liens forts ?
hubert guillaud

Une boulangerie qui appartient à ses clients - Réseau des initiatives de transition Wallonie-Bruxelles - 1 views

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    A Dunbar, dans le sud-est d'Edimbourg, en Grande-Bretagne, retour sur le lancement d'une boulangerie coopérative, où les habitants se sont cotisés pour financer le lancement d'une boulangerie dont ils sont désormais les principaux clients.
hubert guillaud

Arrêtons avec l'«économie du partage» | Slate.fr - 4 views

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    Bien que j'aime beaucoup des entreprises qui tombent sous cette appellation, je suis de plus en plus agacé par le terme d' «économie du partage» [«sharing economy» ], qui est utilisé comme raccourci pour catégoriser un éventail assez divers d'entreprises, dont pratiquement aucune n'implique sérieusement le partage. Dans ces circonstances, j'ai été heureux de voir la présentation de Rachel Botsman sur le fait que l'économie du partage manque d'une définition partagée , dans laquelle elle tente de sauver le concept en adoptant une typologie plus fine.
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    L'économie du partage manque d'une définition partagée, expliquait déjà Rachel Botsman, en tantant de préciser la définition : http://www.fastcoexist.com/3022028/the-sharing-economy-lacks-a-shared-definition . Pour Matthew Yglesias, cela ne sert à rien. On ne devrait pas parler d'une économie de partage, quand, pour l'essentiel, elle propose surtout des location de court-terme ou de la vente ou de la location de biens usagés. "Mon voisin et moi partageons une pelle à neige parce que nous partageons des escaliers qui doivent être déblayés quand il neige, et nous partageons la responsabilité du travail à faire. Si j'étais propriétaire des escaliers et que je lui facturais une petite somme à chaque fois qu'il entre ou sort de la maison, ce serait l'inverse du partage."
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    L'économie du partage manque d'une définition partagée, expliquait déjà Rachel Botsman, en tantant de préciser la définition : http://www.fastcoexist.com/3022028/the-sharing-economy-lacks-a-shared-definition . Pour Matthew Yglesias, cela ne sert à rien. On ne devrait pas parler d'une économie de partage, quand, pour l'essentiel, elle propose surtout des location de court-terme ou de la vente ou de la location de biens usagés. "Mon voisin et moi partageons une pelle à neige parce que nous partageons des escaliers qui doivent être déblayés quand il neige, et nous partageons la responsabilité du travail à faire. Si j'étais propriétaire des escaliers et que je lui facturais une petite somme à chaque fois qu'il entre ou sort de la maison, ce serait l'inverse du partage."
hubert guillaud

Observer la transition énergétique « par le bas » - Métropolitiques - 2 views

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    Intéressante enquête de terrain sur les acteurs et les modalités concrètes de la transition énergétique... Les valeurs environnementales ou la prise de conscience des questions énergétiques n'est pas première quand on fait installer des panneaux solaires. L'intérêt est avant tout financier, direct. Installer des panneaux solaires pour des particuliers, c'est d'abord un investissement financier pour trouver de nouvelles ressources (par des économies).
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    Intéressante enquête de terrain sur les acteurs et les modalités concrètes de la transition énergétique... Les valeurs environnementales ou la prise de conscience des questions énergétiques n'est pas première quand on fait installer des panneaux solaires. L'intérêt est avant tout financier, direct. Installer des panneaux solaires pour des particuliers, c'est d'abord un investissement financier pour trouver de nouvelles ressources (par des économies).
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