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lelapin _

Contre journal: Internet, les dessous du flicage : un cyber-surveillant raconte - 0 views

  • Prenons un autre exemple, dans l'actualité parmi les gestions de réputation , il y a celle de Nicolas Sarkozy. C'est un secret de polichinelle que les partis ont organisé des cellules pour intervenir sur les forums. Vous vous positionnez comment par rapport à ça?Quand Nicolas Sarkozy est arrivé à l'UMP, il y a eu grand appel d'offre pour mettre à plat toute la communication online de l'UMP. On s'est retrouvé en finale, on a pas été pris. On n'a jamais su pour quelle raison. Il est clair en tout cas que tout ce qui est manipulation, nous on le rejette totalement. Ca existe et ça existera toujours, surtout en politique...
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    Ce parti mettait donc en place à l'époque des équipes d'infiltration de forums ? Ou était à la recherche de méthodes pour le faire? Ils étaient à la recherche de méthodes pour propager la pensée de l'UMP par différents moyens sur Internet.
Eric Be

Le parti socialiste va élire son / sa prochain(e) premier secrétaire en novem... - 0 views

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    sur les motions en concurrence pour la tête du PS
Emmanuel AURAY

La semaine bâclée du cumulard - Libération - 0 views

  • les parlementaires cumulards n’ont pas le temps d’examiner les textes que propose le gouvernement ni de contrôler l’action gouvernementale, et encore moins de concevoir eux-mêmes des lois un tant soit peu crédibles et différentes des textes issus de la technostructure dont ils se plaignent tout le temps devant leurs auditoires locaux
  • arrivé le mardi matin dans la capitale, il rejoint la réunion hebdomadaire de son groupe politique, où il discute et prend les consignes, puis il déjeune avec des collègues ou un interlocuteur parisien, le plus souvent sur un dossier local ; le mardi après-midi et le mercredi sont consacrés aux rendez-vous parisiens de l’élu local, à toutes ces «prises de contact» nécessaires pour «faire avancer les dossiers», ou, plus rarement, aux dossiers législatifs lorsque le parlementaire assume le rôle de rapporteur d’une commission législative.
  • le cumulard, c’est d’abord le boss territorial que le mandat parlementaire élève au rang de super-boss territorial. Et c’est pourquoi, à Paris, il utilise, au service de son mandat local, tout ou (une grosse) partie des moyens que le Parlement met à sa disposition, en particulier deux assistant(e)s qui se consacrent surtout à l’agenda parisien de l’élu local.
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  • lorsque les parlementaires sont réunis en commission législative, c’est bien leur impréparation aux sujets abordés, leur dépendance à la technostructure et encore le faible niveau des débats : faute d’avoir pris connaissance du sujet du jour - le rapport technique rédigé par les services n’est disponible qu’à l’issue des travaux de la commission, un peu comme si le rapport d’activité n’était communiqué qu’à l’issue des conseils d’administration - les parlementaires ne peuvent guère que «réfléchir à voix haute» et se prononcer depuis leur position d’élu local.
  • les cumulards accaparent les postes au Parlement, de rapporteur législatif, de présidents de missions et de groupes d’études et, finalement, des principales instances de la décision parlementaire. N’ayant pas le temps de travailler les dossiers ni de négocier des compromis, ils n’ont plus que la discipline à faire jouer à l’égard de leurs collègues, loin, très loin d’assumer leur rôle législatif indispensable à l’équilibre des pouvoirs constitutionnels.
Emmanuel AURAY

Dominique Cardon : Pourquoi l'internet n'a-t-il pas changé la politique ? « I... - 0 views

  • Leur idée était de refaire société localement, de façon expérimentale, parce que si des individus aliénés en venaient à prendre le pouvoir, ils ne pourraient jamais installer qu’un autre système aliénant
  • c’est paradoxalement dans l’univers hippie de la contre-culture américaine que la présence des technos a été la plus forte,
  • Contre les gros ordinateurs de la technoscience, ils se sont emparés de l’ordinateur personnel comme d’un cachet de LSD : un adjuvant technologique qui peut aider à se changer et, ce faisant, à changer le monde.
  • ...13 more annotations...
  • le noyau de cet esprit libertarien est de vouloir s’émanciper de l’Etat et des contraintes régulatrices qu’aiment tant la démocratie représentative, pour occuper un autre terrain, un espace que les individus pourraient définir à leur guise. Cet autre espace, certains le définissent comme “société civile” (”multitude”, “tiers secteur” que sais-je encore), d’autres comme “marché”. Mais c’est ne pas comprendre grand-chose à l’internet que de ne pas saisir cette volonté d’auto-organisation, cette méfiance vis-à-vis de la représentation, ce souci du collectif et du partage.
  • il y a tellement d’externalités positives dans cet espace que le marché n’y survivrait pas très longtemps s’il n’était constamment borduré par des logiques d’échanges et de symbolisation qui se laissent difficilement enfermées dans le calcul des intérêts.
  • les élites culturelles universalisent leur propre désir de société et croient que parce qu’ils ont des pratiques ouvertes, elles sont immédiatement accessibles à tous ! C’est ce que Bourdieu appelait l’ethnocentrisme de classe, cette maladie typiquement “intellectuelle” de généraliser aux autres sa propre vision du monde.
  • Il n’y a rien de moins plat et hiérarchique qu’internet avec ses métriques de visibilité et d’autorité (l’hyperlien notamment). Simplement, la hiérarchie n’est plus faite ex ante, mais ex post ; elle n’est plus produite par une autorité spécialisée, mais collectivement par les internautes et les algorithmes qui régissent les classements sur internet.
  • Penser que tout ce qui est sur internet est “public”, c’est confondre la définition juridique (ce qui est peut être vu) avec la définition normative (ce qui mérite d’être vu) du caractère public d’une information. Or, sur l’internet, certains propos sont très peu visibles et c’est très bien comme ça. D’autres sont très visibles parce qu’ils ont été collectivement appréciés par les internautes.
  • Castells qualifie de “politique du scandale” au sens où la seule manière de s’opposer est de scandaliser la personnalité centrale de l’autre camp, puisqu’il n’y a plus de programme à contredire.
  • En créant des ponts entre nos conversations et l’espace médiatique, il encourage les capacités d’auto-organisation, de sensibilisation, de mobilisation “par le bas” de publics concernés. Cette ouverture permet de donner de la visibilité à des formes de résistance qui ne sont pas prise en charge dans l’espace politique traditionnel.
  • Dans la pratique, on constate une interdépendance très forte entre le travail des professionnels de l’information et les internautes, les mécanismes de sélection sociale et culturelle continuent à jouer pleinement chez les internautes, les rapports de force et les logiques commerciales sont omniprésents, etc. Mais cela n’empêche pas la fiction agissante d’une libération des capacités d’expression d’activer des ressorts démocratiques essentiels, même si très imparfaits.
  • Derrière le succès du texte d’Etienne Chouard dans la campagne pour le non au référendum sur le Traité constitutionnel, il y a la mobilisation d’un nombre considérable d’organisations (Attac, Copernic) et de listes et de sites web pour relayer, mobiliser et engager le débat.
  • ce qui est en jeu dans ces articulations, c’est le respect de l’autonomie des internautes.
  • L’internet nous donne la possibilité de faire ces engagements avec des coûts d’entrée qui sont faibles.
  • nous avons besoin d’être beaucoup plus réflexif. On peut dénoncer le copinage journalistique ou politique et le pratiquer ouvertement sur les sites sociaux comme Twitter. Ou bien, aller chercher n’importe quelle information dans les bas-fonds du web pour lui donner une visibilité qu’elle ne mérite pas
  • la perception du fonctionnement des algorithmes, les manipulations dont ils font l’objet, la compétition qui oppose différents types de classements ne font pas partie de la literacy ordinaire des internautes. Et sans doute, cette vigilance est-elle indispensable si nous ne voulons pas que l’espace public de l’internet soit normalisé
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    Pourquoi l'internet n'a-t-il pas changé la politique ? Peut-être parce que la politique sur internet n'est pas là où, par habitude, on va la chercher, suggère-t-il. Voire même parce que les formes représentatives traditionnelles ne sont pas nécessairement solubles dans l'internet. Et que l'internet nourrit peut-être un autre espace démocratique que celui de la compétition pour la représentation politique
lelapin _

Le Figaro - Economie : Internet : les micro-revenus rapportent des milliards - 0 views

  • un système plus simple, destiné aux gens qui font quelques revenus supplémentaires sur Internet sans vouloir pour autant changer leur activité principale, qu'ils soient salariés, chômeurs, etc. Nous avons voulu contourner ce système qui n'est pas la panacée en proposant un prélèvement directement à chaque transaction. Pour le montant, nous sommes partis sur 13%, qui correspondent au droit d'auteur ou à la taxation pour une entreprise de commerce.
    • lelapin _
       
      Comme d'habitude dès que l'on parle de taxe c'est la levée de boucliers. Je rappellerai quand même que notre régime social, s'il est souhaitable de le garder protecteur, égalitaire et, oui, généreux, il faut bien que l'argent vienne de quelque part. Par ailleurs ce n'est pas parce que l'économie se dote de nouveaux moyens, dont internet, que ceux ci peuvent s'affranchir de leur contribution à la société. Pourquoi un commerçant ayant pignon sur rue paierait plein pot quand un autre, parce que sa boutique est virtuelle, ne mettrait pas la main à la poche. Ceci posé, reste les vendeurs occasionnels... Je pense qu'un prélèvement à la source arrangerait bien tout le monde: on part du principe qu'à toute transaction est assujettie une contribution et non pas sur le statut commerçant ou pas commerçant.
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