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Tibor Katelbach

LiquidFeedback - Interactive Democracy - 0 views

  • LiquidFeedback is an open-source software, powering internet platforms for proposition development and decision making.
  • direct referendum
  • Considering nobody has enough time and knowledge for every issue, votes can be delegated by topic
  • ...14 more annotations...
  • Delegated or Proxy Voting.
  • Proposition development process
  • Preferential voting
  • Interactive Democracy
  • communication between an initiative and the voters
  • Initiatives shall get an idea how successful a proposition is likely to be and what to change in order to gain more support.
  • Likewise voters can try to influence propositions by their feedback or instigate a new initiative with an own proposition if they so wish.
  • very advanced voting system based on Cloneproof Schwartz Sequential Dropping (CSSD) also known as the Schulze method
  • new communication channel between voters and representatives
  • Political parties | Along with associations this is the original purpose of LiquidFeedback
  • Associations/NGOs | LiquidFeedback allows all members to participate not only in voting but also in developing ideas while board members understand what the majority really want and can make responsible decisions based on the “popular vote“
  • Government/Civic Participation | LiquidFeedback is an offer to participate in any question of particular interest to the individual citizen. People will participate if they think it makes sense and representatives at least acknowledge the will of the participants.
  • Constituency/Electoral District | Representatives can use LiquidFeedback as a commitment to their constituency to fullfill the promise of a  government of the people, by the people, for the people.
  • Economy/Corporations | Visionary boards are interested in unleashing the creativity of their employees. This use case takes a special position as there we are not talking about democratic systems. The board will have the last word and reliability of results can be subject to a risk assessment.
Tibor Katelbach

Ils liquident la démocratie, si nous la rendions liquide ? | Framablog - 1 views

  • Le point intéressant mis en évidence par le diagramme est bien évidemment le modèle de la démocratie liquide. Là, les électeurs peuvent voter directement sur certaines questions (comme les deux électeurs indépendants sur les bords droit et gauche), ou peuvent déléguer leur vote à des représentants qui ont plus de connaissances spécialisées sur la question, ou simplement plus de temps pour se tenir informés.
  • Une propriété importante de la démocratie liquide est la transitivité. La délégation peut ne pas avoir lieu en un seul saut, elle est parfaitement transitive. Cela signifie que les délégués peuvent déléguer à d’autres délégués pour qu’ils votent à leur place et à celle des électeurs précédents (qui avaient délégué leur vote) dans la chaîne
  • Les décisions à prendre seraient réparties entre ces quatre catégories. Les membres du parti politique pourraient soit voter directement pour ces décisions, soit déléguer leur droit de vote à des personnes possédant un savoir plus spécialisé nécessaire pour se forger une opinion éclairée.
  • ...19 more annotations...
  • La démocratie liquide leur fournit la liberté de décider de leur niveau d’engagement, tout en leur permettant de le moduler à tout moment.
  • Cela signifie que la prise de décision d’un pays est confiée directement à la population tout entière.
  • La démocratie liquide est véritablement démocratique
  • La démocratie liquide présente peu d’obstacles à la participation.
  • L’exigence minimale à satisfaire pour devenir délégué est d’obtenir la confiance d’une autre personne.
  • la compétence et les connaissances d’une personne sur un sujet suffisent à rallier des délégués
  • La démocratie liquide, c’est la coopération, pas la compétition.
  • Tout remporter et être élu, ou tout perdre. Voilà la devise de la démocratie de nos jours.
  • Il est impossible de tromper les électeurs (tout du moins pas à long terme) et le mérite, la volonté et la capacité à améliorer la situation du pays font toute la différence.
  • La démocratie liquide crée de la responsabilité.
  • ils sont plus enclins à agir de façon honnête et à voter dans l’intérêt des citoyens plutôt que dans le leur.
  • La démocratie liquide, c’est la représentation directe des minorités
  • Grâce à la quasi-absence d’obstacles à la participation, il est plus facile pour les minorités d’être représentées au sein du gouvernement.
  • En effet, la démocratie liquide constitue une représentation directe des différentes couches de la société et permet aux minorités et aux groupes ethniques, quelle que soit leur taille, de participer au processus de prise de décision et à la gouvernance du pays.
  • La démocratie liquide mène à de meilleures décisions.
  • En évoluant en un réseau d’échanges qui prennent des décisions éclairées dans des domaines spécifiques, la démocratie liquide mène à de meilleures décisions globales. La démocratie liquide finit par évoluer en une méritocratie où les électeurs les plus talentueux, expérimentés et les mieux informés prennent les décisions dans leur domaine d’expertise.
  • a démocratie liquide est évolutive. De nos jours, les gens disposent de trop peu de temps pour se tenir au courant en permanence de la manière dont l’État est gouverné. Les décisions qu’il est nécessaire de prendre sont en nombre croissant, tandis que le temps est si précieux que beaucoup ne veulent simplement plus le passer à prendre des décisions de gouvernance.
  • Du coup, au travers de la délégation, la prise de décision est placée entre les mains d’experts bien informés, dont le temps et les connaissances peuvent être dédiés à la meilleure gouvernance globale de l’État.
  • La démocratie liquide est le modèle démocratique qui correspond le mieux à notre société actuelle. La technologie est prête, le seul levier qui manque est l’effort dans l’implémentation concrète, tandis que la recherche dans ce domaine relève plus du détail. Plus important encore est le besoin de déterminer quels modèles sont applicables pour la gouvernance (exécutive ou administrative) concrète d’un pays.
Tibor Katelbach

L'idée du G1000 - 0 views

  • Laissons aussi les citoyens délibérer, et pas seulement les représentants du peuple. C’est l’appel que lance un groupe de penseurs et de gens d’action indépendants. Leur proposition : le G1000, un sommet à Bruxelles le 11 novembre de mille citoyens choisis au hasard qui délibèrent sans parti pris.
  • Si le peuple manque d’expertise, il a le privilège d’être libre.
  • nouvelle impulsion pour sortir de l’impasse dans laquelle se trouve ce pays depuis de nombreuses années : le G1000, une réunion au sommet de mille citoyens de ce pays, choisis au hasard.
  • ...39 more annotations...
  • Dans une démocratie, les citoyens choisissent de se gouverner eux-mêmes, soit par suffrage direct
  • soit par suffrage indirect
  • Étant donné que tout le monde ne peut ou ne veut s’occuper en permanence de la gestion d’un pays, les citoyens désignent à intervalles réguliers quelques individus pour le faire à leur place. Ce système s’appelle la démocratie représentative : la démocratie par délégation.
  • Néanmoins, deux siècles après, nous nous heurtons aux limites de cette formule.
  • Les partis ne rationalisent plus la société, mais se coincent mutuellement en permanence.
  • la fidélité au parti n’existe plus.
  • Les syndicats, les caisses d’assurance-maladie et les coopératives faisaient office de relais entre la masse et le pouvoir
  • Cette interface est moins évidente aujourd’hui.
  • avec l’arrivée d’un internet bien plus actif, appelé le web 2.0. Le citoyen
  • n’a jamais auparavant été aussi rapidement informé des développements politiques qu’aujourd’hui. On peut à chaque instant suivre et commenter les péripéties, mais on ne peut voter qu’une fois tous les quatre ans.
  • Pourquoi s’étonner dans ce cas que les forums en ligne de sites d’information débordent de glapissements frustrés ? Le citoyen n’a donc jamais été aussi émancipé et averti – et parallèlement aussi impuissant. Le politicien n’a jamais été aussi visible – et parallèlement aussi déphasé.
  • Le corps politique en l’an 2011 semble être une équipe méfiante de chirurgiens cardiaques qui doivent pratiquer une opération extrêmement compliquée, mais au milieu d’un stade de football dont les tribunes débordent de spectateurs. La foule hurle, les supporters ont envahi le terrain et à chaque geste de l’un des cardiologues, crient ce que les médecins doivent ou ne doivent pas faire,
  • Aucun des chirurgiens n’ose encore bouger. Tout le monde attend. Les heures s’écoulent, le sort du patient ne compte plus.
  • La démocratie s’est corrompue en une dictature des élections.
  • L’innovation est stimulée dans tous les domaines, sauf dans celui de la démocratie.
  • Les entreprises, les scientifiques, les sportifs et les artistes doivent innover, mais quand il s’agit d’organiser la société, nous faisons encore appel en 2011 aux schémas hérités de 1830.
  • les citoyens sont invités à prendre activement part aux délibérations portant sur l’avenir de leur société.
  • Des citoyens qui ont l’occasion de se concerter peuvent trouver des compromis rationnels à condition d’être renseignés et d’en recevoir le temps.
  • les représentants du peuple se sont trop occupés de la réforme de l’État pour prodiguer une attention sérieuse à la réforme de la démocratie.
  • La démocratie délibérative pourrait bien être la démocratie de l’avenir.
  • Est-ce comparable à un référendum ? Non. Dans un référendum, on ne fait que voter, dans la démocratie délibérative, il faut aussi parler et écouter.
  • G1000, le sommet des citoyens
  • réunir mille citoyens
  • tirés au sort
  • D’abord nous lancerons une enquête de grande envergure en ligne
  • Quelles sont les priorités.
  • un petit groupe de citoyens tirés au sort
  • approfondir et former concrètement les décisions du sommet
  • Un sommet des citoyens tel que le G1000 peut être comparé à un jury d’assises. Si des citoyens lambda sont en mesure de décider d’une vie humaine, ils sont en état de se faire une opinion nuancée et mûrement réfléchie sur certains aspects cruciaux de l’avenir d’une société.
  • Indépendance
  • Ouverture
  • Dignité
  • Optimisme
  • Complémentarité
  • Participation
  • Transparence
  • Diversité
  • Opportunité
  • Dynamique
sylvainb

Stig - Proposer, voter, améliorer. - 0 views

  • AMÉLIOREZ L'objectif de Stig est de créer la première vision en temps réel de la volonté générale. Inscrivez-vous pour participer !
  • VOTEZ Chaque utilisateur peut déposer sur Stig des propositions qui seront votées et améliorées par les autres membres.
  • PROPOSEZ Stig est une application mobile gratuite de partage d'idées, dédiée à la politique nationale et à la politique locale.
Tibor Katelbach

TuttiVox, e-democracy & social media analysis - 0 views

  • Son principe pour les citoyens : accéder facilement à des propositions synthétiques écrites, pour certaines, par les candidats eux-mêmes ou leurs équipes, les comparer, voter pour chacune d'entre-elles Pour, Contre ou Blanc, noter leur faisabilité ou encore partager leur avis sur leur profil facebook. Au lendemain de cette élection, l'accès aux propositions de son "vainqueur" reste ouvert afin de permettre de suivre tout au long de son quinquennat leurs applications ou...non !
Tibor Katelbach

La participation démocratique toujours en question « InternetActu.net - 2 views

  • La seule solution, estime Maximilian Stern consiste à trouver de nouvelles façons d’intégrer les gens dans les processus de décision. Mais de quelles solutions disposons-nous ? La démocratie directe permet aux gens de choisir. Mais elle n’est pas très bien adaptée ici, d’abord parce que les gens ne peuvent dire que oui ou non et que cela ne permet pas de contribuer à la conception d’une solution. Peut-on imaginer utiliser la démocratie liquide du Parti pirate, qui permet de faire des propositions en ligne, d’amender, de discuter et voter de propositions de loi au sein d’un parti ? Peut-on l’adapter à un projet qui dépasse un parti ? Peut-elle être une réponse pour faire discuter 80 millions d’habitants ? Le processus ne risque-t-il pas d’être trop long ? Trop complexe ? Cette démocratie collaborative peut-elle mener à la collaboration, c’est-à-dire au fait que les gens travaillent avec le gouvernement et inversement ?
  • Au final, des élus prendront une décision, mais les gens doivent pouvoir participer, discuter, argumenter leurs choix. Pour cela, Foraus prévoit de développer un ensemble d’outils. Des outils d’analyses qui doivent récolter les données permettant de comprendre les situations. Des outils d’information active qui ne se limiteront pas en un rapport qui ne serait consultable qu’en mairie, mais montrer aux gens, d’une manière accessible, à quoi ressemblera le projet.
  • Il faut également mettre en place des forums, des tables rondes permanentes, offrir des lieux, donner un visage au processus, permettre de discuter facilement avec les autorités. Il faut pouvoir vérifier les faits, établir une expertise qui éclaircit les désaccords entre experts. Il faut surtout pouvoir planifier ensemble et en vrai, faire que les gens puissent échanger sur les modèles
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  • il faut que les gens puissent avoir un engagement financier dans le projet. Stern rappelle qu’il existe des parcs éoliens citoyens, où les citoyens justement sont invités à devenir propriétaires des éoliennes construites
  • Pourrons-nous demain passer d’une démocratie semblable à un jeu de tir en vue subjective à une démocratie massivement multijoueur ?”
  • Plus que de démocratie liquide, nous devrions imaginer une démocratie en réseau.
  • Amer constat. Aussi stimulante soit-elle, la participation via l’internet n’est décidément pas magique. Elle bute contre les hiérarchies, les rapports de pouvoir qu’elle n’arrive pas à dépasser.
  • la réalité – les partis et leur jeu politicien – reste plus forte que le peuple connecté et participatif”. “Le net adore les ruptures. Tellement, qu’il a une forte tendance à penser que celles-ci gagnent d’elles-mêmes et s’affirment déconnectées de l’Ancien Monde, qu’elles sont irrépressibles.”
  • A croire que s’il veut changer le monde, l’internet ne veut pas vraiment prendre le pouvoir. Etrange contradiction dont il faudrait certainement comprendre les motivations.
Tibor Katelbach

Le citoyen ordinaire au pouvoir : la prise de décision politique par les asse... - 1 views

  • On oublie la pratique de l’assemblée locale d’habitants, comme pouvoir législatif local, qui, loin d’être un leurre ou quelque chose d’infaisable, fonctionne en Suisse dans les 4/5èmes des communes
  • Ainsi dans toute la Suisse, dans les communes et les cantons, ce sont les décisions les plus importantes qui sont décidées par l’ensemble de la population locale
  • les décisions sans importance ou administratives laissées entre les mains du pouvoir exécutif
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  • En France, de manière assez extraordinaire, c’est le contraire !
  • plus une question est « pointue » ou importante et plus le citoyen ordinaire est considéré comme incompétent pour décider des affaires qui le concernent.
  • Chez nous, il est considéré comme moderne et démocratique qu’un maire « demande leur avis » aux habitants sur un projet d’aménagement urbain : bonjour la « démocratie participative »
  • les décisions les plus importantes :
  • « le droit de référendum, défini comme la sanction populaire, exprimée par les urnes, d’un acte émanant d’une autre autorité ;
  • le droit d’initiative, compris comme le droit d’un ou plusieurs citoyens de proposer l’adoption d’un acte particulier à l’autorité compétente, sous réserve en principe d’un vote populaire »
  • le contre-projet (contre proposition), formé selon les cas par une autorité exécutive ou un certain nombre de citoyens, et soumis au vote populaire.
  • L’assemblée se réunit en principe deux fois l’an
  • un groupe de citoyen a toujours la possibilité d’exiger la convocation d’une assemblée extraordinaire.Les « citoyens réunis en assemblée ne se contentent pas de voter, mais prennent part activement aux décisions,
  • chacun d’entre eux puisse aussi disposer d’un droit de faire des propositions (droit de motion), soit devant l’assemblée, pour modifier l’ordre des débats ou leur contenu même
  • Dans le lieu des séances, les votants ne se groupent jamais selon leur parti ; les parents, les voisins, les amis se mettent souvent ensemble, mais aucune faction, aucun groupement partisan n’est décelable.
  • les communes suisses et leurs assemblées populaires disposent d’une autonomie très vaste, en rien comparable à celle des communes françaises.
Tibor Katelbach

Chōnaikai - Wikipédia - 0 views

  • C'est alors qu'apparurent les chōnaikai, associations informelles prenant le relai des anciennes structures communautaires de villages ou de quartiers.
  • au point que les américains les feront interdire durant les premières années de l'occupation de l'archipel.
  • Aujourd'hui, les chōnaikai sont très structurés puisqu'il existe au niveau national, une fédération de chōnaikai
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  • L'automatisme de l'adhésion
  • Tout ménage qui s'installe dans un quartier est invité à adhérer au chōnaikai. Même si cette adhésion n'est pas obligatoire, elle est cependant indispensable pour faciliter la vie quotidienne de l'adhérent dans son environnement. Les ménages qui ne rejoignent pas le chōnaikai de leur quartier seront traités comme des étrangers ou du moins comme des gens de passage. Les étudiants ou les jeunes salariés qui logent dans une chambre louée, ne sont pas traités comme des adhérents à part entière, puisqu'ils sont considérés comme membre du ménage de leur propriétaire.
  • Le chōnaikai partage souvent le même territoire que la commune, et constitue ainsi une sorte de municipalité « bis »
  • De ce fait, il est amené par la municipalité « officielle » à sous-traiter certains dossiers, considérant alors le chōnaikai comme un interlocuteur incontournable pour la vie de la commune.
  • la plupart des informations municipales parviennent aux habitants par le biais du chōnaikai
  • l'esprit frondeur du chōnaikai n'a pas disparu pour autant, n'hésitant pas parfois à faire du lobbyisme pour défendre les intérêts des habitants du quartier, notamment en matière de défense de l'environnement, par l'organisation de manifestation ou la signature de pétitions. Conscient de son influence sur ses adhérents, le chōnaikai peut également appeler ses membres à voter pour tel ou tel candidat lors des scrutins électoraux.
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