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sylvainb

Monecocity, la consommation collaborative conjuguée localement | - 1 views

  • Monecocity, la consommation collaborative conjuguée localement
  •  mon ecocity est une plateforme de consommation collaborative locale, mise en ligne en mai 2013. Son accès est gratuit. Elle libère le partage d’informations et de services de la vie quotidienne entre les acteurs locaux (particuliers, professionnels, associations, municipalités). En facilitant et en accélérant leurs échanges, mon ECOCITY vise la re-dynamisation de la croissance locale (donc nationale) et le renfort du lien social au sein des communes françaises.
  • consommation collaborative ?
  • ...2 more annotations...
  • Somme
  • Une centaine de mairies et de communautés de communes (Ardèche, Hautes-Alpes, Ille-et-Vilaine, Isère, Somme, pour les premiers départements) ont téléchargé le guide et certaines le diffusent via leur site.
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    De bonnes idées pour un nouveau venu : monecocity
sylvainb

"La consommation collaborative est un comportement citoyen !" - 0 views

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    La solution proposée c'est la consommation collaborative mais le PH trouve son existence dans les mêmes origines...
sylvainb

Le management collaboratif - Creative Leaders - 2 views

  • L’int
  • elligence collective source de performance et de motivation
  • Un certain nombre d’entreprises ont pris acte et implémentent des systèmes collaboratifs 2.0 sur le modèle des réseaux sociaux du web pour optimiser l’intelligence collective et le collaboratif dans l’entreprise
  • ...6 more annotations...
  • Pourtant, la référence à ce modèle n’est pas toujours judicieuse dans la mesure où la motivation des utilisateurs de Facebook, Twitter ou Linked in ne se situe pas à proprement parler dans le domaine collaboratif, mais dans la communication.
  • De plus, il faut d’abord réussir à collaborer dans le réel avant de passer au virtuel
  • C’est une entreprise humaine dans laquelle les individus impliqués s’écoutent activement en attribuant de la valeur à la contribution de chaque membre.
  • Ce qui freine la mise en œuvre du management collaboratif
  • Malgré les discours, la mise en œuvre du management collaboratif ne va pas de soi
  • Un autre frein est lié à la dynamique des groupes. Le phénomène de« groupthink » ou pensée de groupe peuvent limiter les synergies décrites, voir diminuer le potentiel en intelligence collective d’un groupe dans la mesure où le désir d’unanimité de ses membres est plus fort que leur motivation à générer des propositions alternatives.
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    L'intelligence collective et le management collaboratif. Interressant : ça peut s'appliquer à la décision de groupe ou collaborative pour un projet commun.
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    super article
sylvainb

Une carte des bonnes initiatives | Pourparlers - 0 views

  • Une carte locale pour les bonnes initiatives et la consommation collaborative
  • En somme, un projet intéressant, ambitieux, qui nous concerne tous et qui nécessite beaucoup de discussions… Affaire à suivre.
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    Projet open source, tout juste sorti du four, voir même pas assez cuit...
Tibor Katelbach

La participation démocratique toujours en question « InternetActu.net - 2 views

  • La seule solution, estime Maximilian Stern consiste à trouver de nouvelles façons d’intégrer les gens dans les processus de décision. Mais de quelles solutions disposons-nous ? La démocratie directe permet aux gens de choisir. Mais elle n’est pas très bien adaptée ici, d’abord parce que les gens ne peuvent dire que oui ou non et que cela ne permet pas de contribuer à la conception d’une solution. Peut-on imaginer utiliser la démocratie liquide du Parti pirate, qui permet de faire des propositions en ligne, d’amender, de discuter et voter de propositions de loi au sein d’un parti ? Peut-on l’adapter à un projet qui dépasse un parti ? Peut-elle être une réponse pour faire discuter 80 millions d’habitants ? Le processus ne risque-t-il pas d’être trop long ? Trop complexe ? Cette démocratie collaborative peut-elle mener à la collaboration, c’est-à-dire au fait que les gens travaillent avec le gouvernement et inversement ?
  • Au final, des élus prendront une décision, mais les gens doivent pouvoir participer, discuter, argumenter leurs choix. Pour cela, Foraus prévoit de développer un ensemble d’outils. Des outils d’analyses qui doivent récolter les données permettant de comprendre les situations. Des outils d’information active qui ne se limiteront pas en un rapport qui ne serait consultable qu’en mairie, mais montrer aux gens, d’une manière accessible, à quoi ressemblera le projet.
  • Il faut également mettre en place des forums, des tables rondes permanentes, offrir des lieux, donner un visage au processus, permettre de discuter facilement avec les autorités. Il faut pouvoir vérifier les faits, établir une expertise qui éclaircit les désaccords entre experts. Il faut surtout pouvoir planifier ensemble et en vrai, faire que les gens puissent échanger sur les modèles
  • ...6 more annotations...
  • il faut que les gens puissent avoir un engagement financier dans le projet. Stern rappelle qu’il existe des parcs éoliens citoyens, où les citoyens justement sont invités à devenir propriétaires des éoliennes construites
  • Pourrons-nous demain passer d’une démocratie semblable à un jeu de tir en vue subjective à une démocratie massivement multijoueur ?”
  • Plus que de démocratie liquide, nous devrions imaginer une démocratie en réseau.
  • Amer constat. Aussi stimulante soit-elle, la participation via l’internet n’est décidément pas magique. Elle bute contre les hiérarchies, les rapports de pouvoir qu’elle n’arrive pas à dépasser.
  • la réalité – les partis et leur jeu politicien – reste plus forte que le peuple connecté et participatif”. “Le net adore les ruptures. Tellement, qu’il a une forte tendance à penser que celles-ci gagnent d’elles-mêmes et s’affirment déconnectées de l’Ancien Monde, qu’elles sont irrépressibles.”
  • A croire que s’il veut changer le monde, l’internet ne veut pas vraiment prendre le pouvoir. Etrange contradiction dont il faudrait certainement comprendre les motivations.
Tibor Katelbach

Ce que l'internet n'a pas réussi (3/4) : distribuer l'autorité « InternetActu... - 0 views

  • 87 % des Français estiment qu’on a besoin d’un vrai chef en France pour remettre de l’ordre
  • 86 % (toute tendance politique confondue) estiment que l’autorité est une valeur qui est souvent trop critiquée.
  • Ce sentiment que ce besoin d’autorité est partout plus présent : en politique bien sûr, où le système favorise la primauté des représentants au détriment de toute forme de démocratie participative, mais plus encore dans le monde du travail, où le système favorise toujours plus une organisation pyramidale fondée sur le contrôle.
  • ...37 more annotations...
  • l’internet ne nous annonçait-il pas une nouvelle remise en cause des autorités ? Ne nous promettait-il pas le règne des collectifs auto-organisés, l’innovation ouverte, l’organisation distribuée, libre et autonome ? Pourquoi l’intelligence collective, démultipliée par le réseau, n’est-elle pas parvenue à bouleverser les rapports d’autorité classiques ? On peut même se demander pourquoi elle semble même les avoir renforcés. Que s’est-il donc passé ?
  • De plus, nous avons tendance à élire comme chef des personnes égocentriques, narcissiques et qui ont une grande confiance en elles, des traits de personnalités qui seraient plus fréquents chez les hommes que les femmes.
  • Freud soulignait déjà combien les disciples remplacent leurs propres tendances narcissiques par celles de leurs chefs, de sorte que leur amour pour le leader est une forme déguisée de l’amour-propre, ou un substitut à leur incapacité à s’aimer eux-mêmes.
  • Quel que soit le domaine, les meilleurs leaders sont pourtant souvent des gens humbles… C’est ce qui explique que les incompétents soient plus souvent promus à des postes de management et de direction que des gens compétents.
  • Est-ce à dire que notre rapport à l’autorité en politique ou dans l’entreprise est lié au rapport que nous avons eu à l’autorité de nos propres parents ?
  • En France, comme dans les autres pays méditerranéens, la majorité des managers envisagent la direction, le management de manière coercitive, c’est-à-dire dans le but d’obtenir un acquiescement immédiat des salariés
  • Alors que dans d’autres pays, notamment ceux de l’Europe du Nord, le chef est là pour faire émerger la décision collectivement
  • les écoles de management ne forment pas à l’humain
  • Le but devient alors de viser un idéal commun et d’en tirer un plaisir maximal
  • L’intelligence connective
  • le désir de liberté et le désir de communauté.
  • Selon lui, la grande responsable est l’école, qui continue de faire de la sélection par l’obéissance inconditionnelle aux règles
  • On a longtemps pensé, suite aux pionniers que le renversement des structures sociales, politiques et hiérarchiques allait pouvoir se faire par la simple technique.
  • Peut-être que cela s’explique quand le processus prend le pas sur les hiérarchies, c’est-à-dire quand le respect des process devient la principale règle de fonctionnement des organisations. Si nous doutons des hiérarchies, les processus qui leur ont succédé nous proposent des modes d’organisation encore plus stricte, tout le contraire de ce qui favorise la coopération.
  • 30 à 50% du temps des managers est dévoué au contrôle des employés.
  • Reste que le simple fait que le contrôle soit potentiellement réalisable suffit à donner aux salariés le sentiment qu’il est effectif. La réalité du contrôle dépend donc avant tout de sa perception.
  • les entreprises aujourd’hui sont confrontées à trop de management et pas assez de leadership.
  • Le rapport à l’autorité n’est pas seulement fonction de ce que l’on juge légitime ou non, il est aussi lié au besoin de “croire”.
  • mesurer si, dans une compétition de code, les équipes auto-organisées en ligne étaient plus efficaces que les équipes coordonnées et organisées hiérarchiquement. Au final, estiment les chercheurs, les équipes auto-organisées en ligne fonctionnent mieux et se révèlent plus efficaces et plus performantes que celles auxquelles on assigne une procédure.
  • Les recherches sur la collaboration médiée par la technologie montrent que si les technologies sont utiles pour gérer les routines, les choses pratiques, les tâches de coordination impersonnelles, elles demeurent mal adaptées aux interactions complexes.
  • le terme d’intelligence collective pose deux problèmes : celui de l’intelligence et celui du collectif.
  • “Collectif suppose que ce soit massif. Or, si les usages d’internet sont massifs, la collaboration, elle, demeure limitée”
  • C’est pourquoi le chercheur préfère parler de “capacité distribuée” plutôt que d’intelligence collective
  • Ce n’est pas l’autorité qui disparait, mais sa légitimité, la façon dont elle est établie, construite. On n’est pas du tout dans la fin de l’autorité, mais dans une discussion sur la légitimité : qui est légitime à construire ou interdire quelque chose ?
  • “Du logiciel libre aux théories de l’intelligence collective“, a bien pointé la limite de faire du mouvement du logiciel libre un des laboratoires où se préparerait la société du futur.
  • société open source qu’ils décrivent dans Empire et Multitude.
  • A force d’exiger des salariés et des fonctionnaires de se conformer le plus strictement possible aux prescriptions de leur poste, on leur inculque un attachement viscéral aux règles, bien au-delà de la simple adhésion pragmatique.
  • C’est oublier bien vite combien cela est et demeure un objet de lutte social,
  • Si la réalité du logiciel libre met en pratique des idéaux de déhiérarchisation, l’horizontalité n’est jamais totale et prend des formes très diverses. Même dans le logiciel libre, il y a toujours des hiérarchies qui se recréent.
  • Dans le monde du logiciel libre, l’idéal méritocratique est très fort
  • Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de hiérarchies, mais que celles-ci se recréent sur les compétences et les mérites des contributeurs. Dans les rares grands projets collaboratifs qui marchent (et tous ne marchent pas), on a moins affaire à une destruction des formes hiérarchiques, qu’à la naissance de nouvelles hiérarchies, organisées sur de nouveaux critères, comme le mérite.”
  • La politique c’est le conflit, la mésentente disait Jacques Rancière
  • On ne fera jamais converger les intérêts de groupes sociaux très différents.”
  • “Internet devait abolir les distances, accroître la liberté d’expression, augmenter l’intelligence collective, promouvoir le potentiel de la gratuité, décentraliser le pouvoir et résister à tous ceux qui souhaiteraient en prendre le contrôle. Force est de constater que ces finalités touchent à présent à leur fin. Les frontières sont réintroduites. La liberté d’expression est de plus en plus encadrée. Les capacités restent très inégalement réparties. Le pouvoir est plus centralisé que jamais. C’est manifestement à la fin d’Internet que nous assistons. En changeant l’espace, Internet change l’organisation sociale de l’humanité ; et l’humanité, tellement plurielle, ne laissera pas Internet inchangé !
  • Nos rêves ne tiennent pas dans les urnes
  • “L’appauvrissement des uns constitue la condition même de l’enrichissement des autres, les dirigeants n’ont pas simplement plus de pouvoir que les dirigés, ils existent de par leur dépossession : dans une entreprise, le manager ne peut se penser et se vivre comme tout-puissant que si l’équipier est pensé et vécu lui-même, parallèlement comme impuissant ; de même dans une collectivité, l’élu ne se vit comme tout-puissant que si l’électeur est pensé comme impuissant. Le pouvoir des uns a toujours pour corollaire l’impouvoir des autres.”
  • Certes, l’intelligence collective, réticulaire, rhizomique, acentrée, décentrée, distribuée… n’a pas encore fait toute la démonstration de sa puissance. Ce n’est pas pour autant que nous devons y renoncer. La confiance, la coopération, l’autonomie et la liberté sont les seuls remèdes à notre “impouvoir”.
Tibor Katelbach

Tour des Candidats et Maires de France: Appel aux Territoires Hautement Citoyens - 0 views

  • Un Territoire Hautement Citoyen
  • est un lieu sur lequel représentants, citoyens et société civile réussissent à collaborer pour mettre en place et faire vivre une démocratie ouverte, transparente et collaborative.
  • participation effective d’un grand nombre d’habitants
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  • nouvelles règles du jeu, partagées par tous.
  • constitution locale est signée par les acteurs engagés du territoire : représentants, associations, entreprises, citoyens.
  • représentants qui acceptent de partager leur pouvoir,
  • contre-pouvoirs efficaces et une éducation citoyenne continue
  • cadre de confiance est créé et garanti par des tiers de confiance indépendants
  • une logique horizontale et ouverte, il préfère un fonctionnement décentralisé “en réseau” et met en place des circuits courts.
  • Le numérique y est utilisé en particulier dans ses logiques de logiciels libres, d’ouverture des données, d’ouverture des codes source et de co-production et diffusion de biens communs.
  • L’impôt n’est plus le seul moyen de contribuer au fonctionnement de la société.
  • un territoire de débats, où est pratiqué une citoyenneté active. Une éducation populaire continue permet aux habitants de se former mutuellement et de devenir des citoyens responsables, autonomes et capables de s’impliquer dans la vie de leur territoire
Tibor Katelbach

A Guide to Crowdfunding Success - 0 views

  • All inhibiting issues root from a lack of communication and commitment on the part of the collaborators. For MyBandStock, everything rests on the work ethic, motivations and dedication of the entities involved in the crowdfunding project. The goal must be mutually beneficial and must inspire action on the part of all involved. An unsuccessful MyBandStock crowdfunding project would be due to fans lacking a belief in the artist’s continued career, or perhaps when an artist does not recognize and appreciate fan contribution to his success
Tibor Katelbach

Exploring what open government means at Code for America Summit | opensource.com - 1 views

  • It’s being open, inclusive, and collaborative with citizens so they feel comfortable with what government is doing. So that citizens want to be part of the solution. It’s also about driving efficiencies from the governments. We do things based on tradition, not law and policy. The open government process is a vehicle to fix that
  • Governments that work like the Internet. Networked. Generative. And reflective of who we are
  • What does open government mean to you?
  • ...2 more annotations...
  • Open government means the re-establishment of trust in democratic values. Today, we hear a lot of noise in politics. The open government approach is non-partisan and it’s really about connecting people back to their communities. That means people will be connected with each other. And that’s exciting!"
  • "I think of it in slightly different terms. A government is for citizens and it must deliver a cycle of trust so that citizens can participate in government. There are three design values that are part of this: respect, participation, and unity. The important one is unity, because it brings citizens and government back on the same side.
Tibor Katelbach

antiped / Mémoire de fin d'études - 0 views

  • une étude transversale sur le champ des possibles soulevés par la promesse d'une démocratie collaborative.
  • Ce mémoire est le fruit des rencontres et des recherches qui sont venues nourrir la réflexion d'Influents, un service permettant d'évaluer et de développer son influence citoyenne.
  • In fine, c'est aussi un plaidoyer pour la place du design dans la construction des nouvelles formes de gouvernances ouvertes et un appel à développer une véritable expérience citoyenne comme l'on peut parler d'expérience utilisateur.
Tibor Katelbach

antiped / Influents - 0 views

  • Et si on détournait l'individualisme au profit de la démocratie locale ? C'est ce que le service Influents propose à travers une plateforme en ligne au croisement du réseau social, du jeu du rôle et du coaching
  • La plateforme offre à chacun la possibilité d'évaluer et de développer son influence citoyenne, autrement dit l'impact positif de ses actions, sur la démocratie locale.
  • L'innovation démocratique pourrait venir de la montée des réseaux sociaux en ligne qui proposent de nouveaux usages telle que la production et la promotion collaborative d'idées.
  • ...2 more annotations...
  • C'est aussi une opportunité unique pour les partenaires locaux de faire connaître leurs évènements citoyens en ligne et dans la ville afin d'attirer de nouveaux publics, jeunes notamment.
  • Tout en travaillant sur l'influence individuelle, c'est l'environnement démocratique local qui s'en trouve stimulé et revitalisé.
Tibor Katelbach

Ysenate - 1 views

  • As neighborhoods of people use the information engine to learn, they will easily collaborate and filter each other for incrementally increased bandwidth
  • YSenate is designed to minimize confusion and maximize informed opinions amongst large groups of arguing people by focusing attention into neighborhoods.
  • Neighborhoods are like a 'Senate sub-committee,' and are a locus of conversation, but they dynamically reorganize as people express themselves and vote.
  • ...1 more annotation...
  • Balancing objectives of democracies and republics, Ysenate works by organizing people into nested sets of neighborhoods through colors, connections, and locations. A citizen's nearest neighbor will likely be a friend, who lives nearby, and who shares similar political opinions. Incrementally larger neighborhoods expand your network to a gradually growing spectrum of people.
Tibor Katelbach

Collective Agency - 1 views

  • You are the result of trillions of cells working together. What if billions of humans learned to do the same?
  • Our mission is to assist the emergence of a globally collaborative society
Tibor Katelbach

Des projets open-source qui changent le monde | Même pas mal - 0 views

  • Il est donc réjouissant de voir une région se positionner pour "promouvoir l’ouverture des savoirs et des données, la connaissance libre et la collaboration peer-to-peer dans la création et la gestion de biens communs",
sylvainb

Des plateformes communautaires encouragent le développement d'un management u... - 0 views

  • Le développement d’outils digitaux d’interpellation citoyenne favorise l’émergence d’un nouveau modèle de démocratie urbaine.
  • s, SeeClickFix propose aux citoyens des grandes villes américaines de détecter et signaler les défaillances urbaines aux autorités publiques grâce à une application mobile.
  • En permettant aux citoyens d’exprimer leurs attentes, ce type d’initiatives renforce les mécanismes de contrôle des autorités publiques et esquisse un mode de gouvernance participatif.
  • ...5 more annotations...
  • Valoriser le savoir citoyen
  • La plateforme a depuis mué en un espace hybride permettant également d’émettre des pétitions et d’organiser débats publics.
  • L’entreprise met gratuitement à disposition des gouvernements locaux ses données et outils de collaboration et se développe également en Europe et Amérique Latine.
  • Imaginé à Porto Alegre, le mouvement de « budget participatif » s’étend à présent aux grandes villes américaines grâce à la pression de ces nouveaux outils de mobilisation, ainsi la ville de San Francisco a annoncé en Septembre 2013  le développement d’outils de vote en ligne et de délibération digitale pour démocratiser le vote du budget de la ville.
  • l’émergence d’une « démocratie épistémique » selon les termes d’un chercheur de l’université de Yale, c’est à dire favorisant la production de savoirs issus directement des citoyens.
Tibor Katelbach

Michel Bauwens : « Uber et Airbnb n'ont rien à voir avec l'économie de partage » - 2 views

  • La production pair-à-pair apporte une réponse à cette fausse abondance matérielle. Elle renverse les valeurs. En ce sens, c’est une réponse à notre crise de civilisation.
  • L’Etat a un rôle central à jouer dans l’organisation des biens communs. Il a le choix entre plusieurs voies possibles : freiner leur développement, comme en Espagne où le gouvernement se positionne contre la production d’énergie solaire par les particuliers par le biais de taxes, ou impose des lois contraignantes au financement participatif pour protéger les banques. Il s’agit d’une volonté politique de frein, voire de répression. Une autre façon de faire, c’est le pair-à-pair de droite comme aux Pays-Bas ou en Grande-Bretagne, où l’Etat se désengage sous prétexte que « puisque vous pouvez le faire vous-même, on ne va plus s’en occuper ». Cette politique est aussi dangereuse car il faut des infrastructures pour la collaboration.
  • La troisième voie est à mon sens celle de Bologne où la ville, à travers The Bologna Regulation for the Care and Regeneration of Urban Commons, mène une politique facilitatrice, elle crée les infrastructures pour permettre aux gens d’exercer leur autonomie, met en place une régulation municipale pour le soin des biens communs : la loi autorise les habitants à proposer des changements pour leur quartier et s’engage à les aider à réaliser ces projets, avec un processus d’évaluation à la clé. Plutôt que d’être dans une transmission de haut en bas en considérant les citoyens comme des consommateurs, une ville ou un Etat peut devenir un partenaire et faciliter l’autonomie sociale et individuelle. C’est une source de progrès social. Plusieurs projets vont en ce sens en Italie.
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  • Il s’agit de passer d’un capital extractif, qui capte la valeur des communs sans rien reverser, à un capital génératif où ceux qui contribuent à ce commun créent leur propre économie éthique.
  • On vit dans une société où le salariat diminue et où l’activité indépendante est en croissance. De plus en plus de personnes quittent le salariat par choix, par désir d’autonomie et de sens, et de plus en plus de salariés sont aussi chassés de l’entreprise. Les deux phénomènes sont concomitants. Le problème, c’est que les investisseurs déroulent le tapis rouge seulement à ceux qui créent une start-up. Pour ceux qui veulent agir dans le cadre d’une économie solidaire et juste, il n’existe pas d’incubateur, d’accélérateur pour les aider. Il y a là un déséquilibre. Le monde de l’économie coopérative, sociale et solidaire, est en retard par rapport à la compréhension de ce potentiel et de ces nouvelles modalités.
sylvainb

Monptivoisinage.com : réseau social pour voisins | animal social - 0 views

  • Depuis sa Bretagne natale, le nouveau site web Mon P'ti Voisinage vise large : « devenir l’un des réseaux sociaux les plus utilisés par les Français». Comment ? En regroupant les services de l'économie collaborative (BlablaCar, Deways, La Ruche qui dit oui...), en tant qu'agrégateur.
  • Autopartage, « cocourse », covoiturage quotidien, financement participatif, ils sont au cœur du projet d'agrégation de services : Derrière chacun, un partenaire unique assure le service : Ulule, Deways, Cocource, wedrive
  • Promenade sur Mon P'ti Voisinage Je crée mon compte avec une double adresse (email et postale) et sans clic de confirmation j'obtiens un accès visiteur limité à 48h. Pour conserver cet accès, il faudra faire vérifier mon adresse physique, soit en géolocalisant ma connexion internet, soit en renvoyant une carte postale codée, que j'aurai préalablement reçue par la poste, ou par cooptation. C'est un gage de confiance.
  • ...7 more annotations...
  • Au vu de cette première visite, la plateforme est assez agréable et réussie, surtout si on prend en compte qu'elle a été créée sans financement externe
  • Et quels sont les services qui marchent le mieux ?
  • Je découvre aussi six groupes d'intérêt créés par ces voisins
  • les alertes entre voisins
  • Une des premières originalités de la plateforme est de proposer une section « Consommer local ».
  • Modèle économique : agrégateur de services
  •  Le modèle sera celui de l'affiliation : nous prendrons une légère commission, sur l'utilisation ou sur l'inscription des services 
  •  
    Bel article sur un beau concurrent qui reprend un paquet des thèmes du PH. La concurrence c'est bien : ça veut dire qu'il y a un marché. A nous d'imposer nos idées ou de s'inspirer de leurs bonnes :)
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