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"L'ensemble de l'actuel bâtiment communal constituait autrefois l'église d'un important monastère édifié en 1104 par Hugues Bardoul, seigneur de Broyes et l'abbé Robert de Molesme. A la veille de la révolution, une ferme avait remplacé le couvent. Au 19ème siècle, la nef Sud a été tronquée pour faciliter l'installation d'une école et d'une mairie dans la nef principale A l'intérieur de la partie servant aux offices, on trouve une statue intéressante classée : la Vierge donnant le sein à l'Enfant Jésus. L'ancien autel en bois de l'église de Broyes a été retrouvé derrière l'autel actuel de cette église. Cette église faisait partie des églises accueillantes durant l'été 2013"

"Une navette est un terme dérivé ancien de "nef". Elle est formée d'un récipient en métal en forme de nef contenant de l'encens. Un couvercle à charnière s'ouvre sur tout ou partie de la navette. Une petite cuiller permet de prendre l'encens pour le déposer sur les charbons brûlants qui se trouvent dans l'encensoir. Elle est posée sur un piédouche ovale, à bâte droite orné de perles et d'oves. Le réservoir est décoré de canaux. Le dessus s'ouvre à la moitié à l'aide d'un petit bouton rond placé sur le bec de la navette. Son décor reste encore très baroque et dans l'esprit de l'Ancien Régime.  La partie ouvrante est décoré d'une sorte de cartouche posé sur une feuille d'acanthe et se terminant par une grande palme faite d'une série de godrons élégamment disposés. La partie fixe est ornée d'un cartouche ovale, lisse, entouré de palmes du martyre. "

"Depuis le jeudi 13 mai, la rose en pierre est intégralement exposée au sol de la nef, avant d'être montée en façade à partir du mardi 25 mai.C'est un ensemble sculpté monumental exceptionnel. Jamais on n'a eu l'occasion de le voir d'aussi près. A côté de la rose, l'oculus central, représentation du Christ en majesté, est restauré et exposé aussi. C'est un vitrail dans le style art-déco de toute beauté."

"Selon les informations de La Dépêche, la nef de la cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption de Montauban souffre d'importantes fissures, confirmées par les services de l'État. Une mission en urgence doit être commandée par la commission des monuments historiques pour déterminer la gravité de ces failles sur l'édifice. Selon nos informations, ces fissures n'étaient pas présentes lors du début du chantier du parking Roosevelt, qui a lieu sur le parvis de la cathédrale."

"Le rôle de la Commission diocésaine d'Art sacré est d'apporter son concours pour la création et l'aménagement des lieux de culte afin qu'ils soient adaptés à la célébration liturgique. Elle veillera au respect des règles de la tradition de l'Art sacré. Son rôle est d'aider les curés et non de se substituer à eux. En pratique, l'initiative revient toujours aux curés. En revanche, la transmission du dossier à la CDAS est obligatoire, ainsi que son avis, dès lors que le projet revêt quelque importance. Après avis favorable de la CDAS, les curés demanderont l'autorisation de l'Association diocésaine avant d'entreprendre les travaux et d'engager les finances de la paroisse. La CDAS se penche sur les projets ci-dessous : - La construction d'une nouvelle église ou chapelle ; - L'aménagement d'une église existante et spécialement du chœur ; - La création ou la réparation des vitraux ; - Les modifications importantes du mobilier : autel, boiseries, chaires… - L'installation d'un orgue de chœur ou de nef."

"L'église, en hameau, est relativement isolée. Elle est ceinte d'un enclos qui englobe également le cimetière. L'église, orientée, est construite sur un plan allongé et se termine par un chevet plat légèrement plus bas que la nef. Un petit édifice de plan rectangulaire flanque le chevet au nord. La nef est constituée de quatre travées, tandis que le chœur en compte deux. L'édifice est ponctué par un clocher à flèche hexagonale."

"La Maison Saint-Yves, ancien Grand Séminaire de Saint-Brieuc devenu Maison diocésaine, a eu la bonne surprise de voir sa chapelle Art Déco retenue dans le vote régional de l'émission « Le Monument préféré des Français 2022 » (France 3), présenté par Stéphane Bern ! La chapelle est inscrite au titre des Monuments Historiques depuis 1995. Elle est un remarquable exemple du style Art Déco, grâcz au travail des artistes bretons appartenant au mouvement des Seiz Breur. Les mosaïques dans la chapelle sont l'œuvre d'Isidore Odorico. La haute nef unique, le plafond scandé d'arcs-diaphragmes et la charpente apparente donnent une impression de profondeur et d'élévation. La chapelle révèle de nombreuses symboliques bretonnes. Le sol de la chapelle est composé de motifs celtiques (Triskell) et de couleurs noires et blanches en référence au drapeau breton (Gwenn ha du). Les artichauts, surplombants les montants d'accès aux bancs, rappellent l'importance de la culture de ce légume en Bretagne. La Maison Saint-Yves et sa chapelle se visitent du lundi au vendredi (9h-12h30 / 13h30-18h), et le samedi (9h-12h). 81 rue Mathurin Méheut, 22000 Saint-Brieuc Entrée libre. 02 96 68 13 40"

"L'État [Ministère de la Culture], propriétaire de la Cathédrale de Clermont comme de la plupart d'entre elles en France, va entreprendre à partir du 2e semestre 2023 d'importants travaux de restauration des couvertures de la Cathédrale pour la « mise hors d'eau » de l'édifice 1, en trois phases et dans l'ordre : le massif occidental [beffrois], la couverture du vaisseau central [nef, choeur, transept, terrasses sud, nord et de la tour de la Bayette] et les couvertures intermédiaires [bas-côtés et chapelles]. Cet important chantier, pris intégralement en charge par l'État pour un budget estimatif de 21,5 millions d'euros, est prévu pour durer environ six ans."

"Bâtie sur le coteau, l'église se compose d'une nef et d'un chœur en retrait avec chevet rectangulaire (extrémité de l'église au fond du chœur), comme de nombreux édifices religieux du Pays d'Auge. En grande partie remaniée aux XVIe et XVIIIe siècles, l'église conserve dans le mur nord de la nef une fenêtre à deux baies flamboyantes (dernière période de l'art gothique dans lequel les nervures ondoient et serpentent comme des flammes)."

"Dans les archives de l'atelier Vitrail-Saint-Georges, Joël Mône découvre des dessins originaux qui ont servi à la réalisation des vitraux du chœur de la basilique Saint-Bonaventure par l'atelier Parisien Emile THIBAUD (1845-1848) ainsi le carton de la crucifixion par Louis Charrat réalisé par l'atelier LAMY-PAILLET dans les années soixante. La rencontre de Joël Mône avec Joséphine Lamy-Paillet fut déterminante dans sa vocation et son attachement au vitrail traditionnel. Elle a réalisé les vitraux de la haute nef et ceux des chapelles des bas cotés à partir de 1942. Joël Mône perpétue la transmission des savoirs en léguant l'atelier Vitrail-Saint-Georges à son fils Jean chargé actuellement de la rénovation des vitraux de la façade de la Basilique St Bonaventure et ceux du chœur Notre Dame de Paris. L'exposition en révélant les dessins originaux a pour objectif de sensibiliser le public aux différentes étapes nécessaires à la réalisation des vitraux."

"En mars dernier, des individus se sont introduits dans l'édifice religieux fermé pour travaux. Une plainte a été déposée. Les faits se sont déroulés dans la nuit du 17 au 18 mars dernier, dans l'église Saint-Julien à Tours. Comme l'explique la direction régionale des affaires culturelles : Dans la nuit du 17 au 18 mars 2015, côté sud de la nef, des individus ont escaladé la barrière de sécurité et l'échafaudage pour atteindre le toit. Là, ils ont détruit le châssis grillagé permettant l'accès à la tourelle d'escalier, et non au clocher dont l'échafaudage est démonté depuis la fin juillet 2014, et ont pénétré dans l'édifice se livrant à cette occasion à du vandalisme.""

"La violence faite aux femmes est une réalité trop sérieuse pour en rire et la Justice, consciente de cette gravité, n'hésite pas à frapper lourdement la brutalité masculine. Elle semble cependant confondre les genres. Le 12 février 2013, huit chastes Femen passent le porche de Notre-Dame de Paris. En cette année de jubilé des 850 ans de la cathédrale, la foule est nombreuse pour venir admirer les nouvelles cloches qui, avant d'être installées, sont exposées dans la nef. C'est là que ces pénitentes se dénudent pour crier, seins nus, « Pope no more » (Plus de pape) et « In gay we trust » (Nous croyons en l'homosexualité), tout en faisant teinter la cloche de Saint Marcel, posée devant elles, avec un bout de bois. Cette intrusion de la langue de Shakespeare dans un temple où le latin a lui-même été proscrit ne fut pas du goût des surveillants qui les évacuèrent manu militari."

"Il était de tradition jadis, quand une famille offrait un vitrail à son église paroissiale, qu'elle se fasse figurer à la, base de la verrière et présentée par ses saints patrons, c'est-à-dire ceux dont elle porte les prénoms. La superbe baie 14 qui illuminer le bas-côté sud de la nef de St-Bris-le-Vineux fut exécutée vers 1510-1520 à la demande de la famille Renaudin qui venait de fonder la chapelle St-Hubert dont elle constitue le plus bel ornement."

"Dimanche 10 juillet 2022, la voix de l'orgue du triforium a retenti après six mois de silence. En effet, l'orgue renaissance, placé en nid d'hirondelle dans la nef de la cathédrale de Metz, a été béni lors de la messe dominicale, après 6 mois de travaux de restauration. Dans l'après-midi a eu lieu le concert inaugural, après la présentation de la restauration avec les deux facteurs d'orgue. "

" En fin de journée, lundi 15 avril, les toits de la cathédrale Notre-Dame de Paris ont pris feu. L'édifice religieux, ravagé par les flammes et dont la flèche s'est effondrée sur la nef, est un symbole de premier plan de la nation française."

"Souvenez-vous… c'était le 19 novembre 2019. La voûte de la nef en briques plates de l'église Saint-Grégoire de Ruffey-lès-Echirey s'effondrait. Heureusement personne n'était présent cet après-midi là et l'effondrement de la voûte n'a pas engendré d'autres dégâts matériels. Depuis cette date, l'édifice, témoin de la vie quotidienne du village depuis bientôt 200 ans, est fermé au public. Des barrières et un arrêté sont là pour nous le rappeler."

"Mézidon-Canon est une commune issue de la fusion de Mirbel en 1831, du Breuil en 1848 et Canon en 1972. C'est la raison pour laquelle plusieurs églises se dressent dans la ville.L'église située dans l'ancien bourg de Canon est orientée avec un plan allongé de quatre travées terminées par un chevet plat (extrémité de l'église au fond du chœur). La partie occidentale est plus large que la partie orientale. Une tour-clocher de plan rectangulaire munie d'abat-sons (ensemble de lames inclinées dont on garnit les ouvertures des clochers pour renvoyer vers le sol le son des cloches) s'élève entre le chœur et la nef."

"Une association patrimoniale s'est associée au site de financement participatif MyMajorCompany pour permettre aux internautes de contribuer à la restauration d'une verrière du XIIIe siècle située dans la nef de la cathédrale de Chartres. "

"Le lundi 5 avril 2021 à 18h, lundi de Pâques, se déclarait un incendie, sans doute volontaire, dans la nef de la collégiale St Nicolas d'Avesnes-sur-Helpe. Rapidement maitrisé par les pompiers, l'incendie n'a a-priori pas endommagé la structure de l'édifice mais a causé d'importants dégâts à l'intérieur de ce bâtiment classé au titre des monuments historiques. Dans un communiqué publié lundi soir, le préfet des Hauts-de-France assure que l'État se mobilisera pour aider à la réhabilitation de cette église "qui fait la fierté d'Avesnes-sur-Helpe et du département du Nord"."

"Au XIIIe siècle, est édifiée une chapelle dédiée à saint Eustache : la communauté forestière du lieu-dit Les Loges se place sous la protection de ce martyr de l'époque des empereurs romains Trajan et Hadrien, devenu patron des chasseurs. La chapelle est détruite au XVIIe siècle et remplacée par l'église actuelle composée d'une nef unique flanquée d'un clocher carré. La façade conserve une porte Renaissance. En 1984-1985, cinq verrières ont été réalisées par les maîtres-verriers Patrick et Annie Confetti, qui ont su renouveler la technique traditionnelle du vitrail par l'originalité du traitement iconographique."