"L'association 1000 raisons de croire a annoncé avoir racheté le compte TikTok du père Matthieu Jasseron, fort de 1,2 million d'abonnés, pour le confier à cinq jeunes influenceurs catholiques qui continueront l'évangélisation numérique."
"Formation Un parcours Zachée - parcours de formation spirituelle et pratique - va débuter à Eaubonne, proposé par la paroisse et la Communauté de l'Emmanuel à raison d'une rencontre par mois..."
"L'accord officiel a été signé entre la France et le Saint-Siège ce lundi 25 juillet 2016 au Vatican. C'est Laurent Landete, modérateur de la Communauté de l'Emmanuel, qui l'a représentée. Il revient avec Xavier Sartre sur les raisons qui ont poussé l'Emmanuel à accepter cette charge."
"Un avenant signé en 2006 confie alors le domaine aux Fraternités monastiques des frères et sœurs de Jérusalem, pour une durée de 10 ans, avec renouvellement tacite. Mais neuf ans plus tard, les fraternités, elles-mêmes confrontées à un essoufflement des vocations religieuses, déclarent à leur tour forfait et décident de ne pas poursuivre leur mission. Certains observateurs estiment par ailleurs que le charisme de cette communauté, fondée par le père Pierre-Marie Delfieux (1934-2013), n'était pas particulièrement adapté à la gestion d'un domaine aussi complexe. Philippe Zeller leur a cependant rendu un hommage appuyé, exprimant son « vif regret » de les voir partir au bout de « seulement dix ans », pour des « raisons d'organisation interne », saluant leur « remarquable succès » dans la gestion de l'école et de la maison d'accueil.
C'est donc ces deux conventions et trois avenants que le Saint-Siège et la République française ont amendés, ce 25 juillet. Le nouvel avenant rappelle « l'attachement du Saint-Siège et de la République française au caractère français du domaine de la Trinité-des-Monts et à son expression séculaire », et le souhait que le domaine « continue à contribuer au rayonnement de la spiritualité chrétienne, de la culture et de la langue françaises ». Il est conclu pour une durée de 10 ans, et renouvelable par tacite reconduction pour de nouvelles périodes de 10 années."
"Si vous ne vous êtes pas encore inscrit, il n'y a plus à hésiter en raison des intervenants de haute qualité qui se succéderont lors du colloque des 18 et 19 octobre au Palais des Congrès.
INSCRIVEZ-VOUS DÈS MAINTENANT !
Le colloque sera ponctué par les interventions de grands témoins :
Mgr Rino Fisichell
Le cardinal Angelo Scola
Marek Halter
Le cardinal André Vingt-Trois
"La première exhortation apostolique du pape François se présente comme un véritable programme-feuille de route pour l'Église. Dans le chapitre 4 : « La dimension sociale de l'évangélisation », au moment où notre société traverse une crise morale, politique et économique, le pape François nous rappelle que la voix de l'Église est légitime quand elle s'exprime à ce sujet : « Personne ne peut exiger de nous que nous reléguions la religion dans la secrète intimité des personnes, sans aucune influence sur la vie sociale et nationale ». Il s'inscrit dans la continuité des enseignements du concile Vatican II et des papes Jean-Paul II et Benoît XVI, dont il souligne quatre aspects essentiels : « Les répercussions communautaires et sociales » de l'annonce de l'Évangile ; « L'intégration sociale des pauvres » ; « Le bien commun et la paix sociale » ; « Le dialogue social et la contribution à la paix ». Depuis le début de son pontificat, le pape François ne cesse de nous inviter à vivre une Église hors les murs, attentive aux plus pauvres. Le fondement théologique de l'agir chrétien doit être « l'option pour les pauvres » « Pour cette raison, écrit le pape, je désire une Église pauvre pour les pauvres »..."
"omme beaucoup dans l'Eglise, nous nous réjouissons de la convocation par le pape François du futur synode sur les « défis pastoraux de la famille dans le contexte de l'évangélisation ». Le pape a clairement identifié un écueil majeur qui entrave l'ambition évangélisatrice à l'échelle universelle et c'est une des raisons majeures qui l'a poussé à convoquer ce Synode. Il relève en effet, que les 'positions' de l'Eglise se rapportant au couple, à la sexualité ou à la famille, telles qu'elles sont perçues, sont très souvent ignorées ou refusées, stigmatisées ou caricaturées. Bien souvent elles constituent un véritable écran entre l'Eglise et nos contemporains, et sont donc un frein majeur vis-à-vis de la foi pour beaucoup. De ce fait, à cause de ces questions, un nombre conséquent de fidèles, de baptisés non-pratiquants ou de non-croyants se méfient de l'Eglise, la tiennent à distance, voire la quittent. Dans le monde entier, c'est un très grand écueil pastoral pour l'évangélisation."
"'Abraham à Mère Teresa en passant par Thérèse d'Avila ou Thomas More, l'auteur se plonge dans la vie de douze saints. S'ils ont vécu selon des vocations très diverses, ces hommes et ces femmes ont pour point commun d'avoir donné leur vie à Dieu, malgré les obstacles que le monde leur opposait. C'est de ces expériences variées que l'auteur tire des leçons essentielles, sur des sujets comme le lien entre foi et raison avec Édith Stein, entre foi et science avec le Pr Lejeune, ou encore entre tradition et progrès à la suite de saint Irénée. Autant de thèmes identifiés comme des défis pour la nouvelle évangélisation"
"Il n'y a pas si longtemps encore, quand on parlait du décès d'un missionnaire, cela signifiait qu'il était mort dans de tristes circonstances, dans une contrée lointaine. Depuis peu, cela signifie que plus personne ne se sent très concerné par la nécessité d' « annoncer l'Evangile à toutes les nations », et que l'œuvre missionnaire est réellement en train de disparaître. Aujourd'hui notre Evangile est bien plus simple : nous sommes tous à peu près de bonnes personnes, n'est-ce pas ? Dans ce cas, pourquoi ne pourrait-on pas respecter et soutenir la façon de vivre de chacun, et tacher de s'entendre.
C'est un peu la mentalité du moment, même chez beaucoup de chrétiens. Nous avons du mal à croire qu'adhérer complètement à l'Eglise puisse nous apporter quelque chose, quelque chose de plus que ce que nous connaissons déjà, qui ne dépende pas d'une institution. De cette constatation découlent beaucoup de choses. Répandre l'amour et la joie du Christ, encourager la Nouvelle évangélisation... tout cela est creux si l'on ne croit pas en une raison bien spécifique à la joie, ou qu'on ne croit pas que la Nouvelle évangélisation, tout comme l'Ancienne, est une question bien réelle de vie ou de mort, et de conséquences pour la vie éternelle."
"Les catholiques peuvent-ils continuer à pratiquer entre eux à l'heure où les églises se vident ? Lentement mais sûrement, prêtres et laïcs ensemble, des paroisses s'efforcent de se tourner vers l'extérieur pour retrouver leur véritable raison d'être : la mission. Nous sommes allés en découvrir trois, du sud au nord de la France."
"Basée au soleil de Montpellier, ville la plus étudiante de France, l'école d'évangélisation CapMissio t'accueille pendant 10 mois pour te former et t'envoyer en mission. Au programme, des cours de théologie, des actions dans le diocèse, une vie de prière et de fraternité, et un mois en Terre Sainte. Le Christ t'appelle, tu le suis ?"
"Dans l'impossibilité de se rassembler physiquement en raison du confinement, les catholiques expérimentent depuis plusieurs semaines de nouvelles façons de vivre leur foi. Dessinent-ils une manière nouvelle de « faire communauté » ?"
"L'École des Témoins vous attend dès l'automne prochain ! Initialement prévu en novembre 2020, son démarrage a dû être reporté en raison de la crise sanitaire. L'École des Témoins aura bien lieu de novembre 2021 à février 2022."
"Depuis le 28 septembre, 32000 personnes sont inscrites au MOOC de la messe, une formation en ligne gratuite de six semaines. Ce succès a conduit ses instigateurs à prolonger jusqu'au mois de janvier la possibilité de le suivre."
"En raison du contexte de pandémie, le 1er forum missionnaire du Pays de Lorient «Christus vivit», conçu pour réunir les acteurs de l'Eglise catholique du pays de Lorient et développer des projets missionnaires, s'adapte pour devenir un «E-FORUM».
Des témoignages en vidéo et des tables rondes par web conférences sont présentés ici et sur le site https://www.christusvivit-lorient.fr/ durant tout le temps de l'Avent.
Aujourd'hui samedi 21 novembre, Domitille Buisson (Parcours Zachée), Cyprien Gilbert (Flotte Espérance) et le Père Olivier Le Roch nous parlent de leur expérience missionnaire, guidés par l'équipe de RCF Sud Bretagne. Regards croisés."
"Conférence de Sr Geneviève COMEAU, religieuse Xavière qui enseigne la théologie au Centre Sèvres.
"Nous vivons dans une société où les religions sont reléguées dans l'espace privé. Situation déstabilisante pour les croyants, chrétiens mais aussi musulmans. Comment caractériser cette situation aujourd'hui ? Horizon sans transcendance ? Société marquée par le matérialisme ? Et, en contraste, radicalisme religieux ? On constate cependant un regain d'intérêt pour la spiritualité, la méditation, une quête nouvelle de sens se fait jour, doublée d'une forte aspiration à la fraternité dans un monde guetté par la violence et le repli sur soi, en particulier en cette période de pandémie.
C'est dans ce contexte que les chrétiens sont invités à rendre raison de leur foi. La crise actuelle de notre société et de l'Eglise invite sans doute à des chemins de conversion, d'espérance, et de fraternité universelle, ainsi que le demande le pape François.""
Pâques le temps de la mission.
A ce stade de la réflexion, nous comprenons que l'évènement de la Résurrection concerne toute l'humanité et ce monde dans lequel nous vivons. C'est la raison pour laquelle, en fidélité à l'Évangile, le temps de Pâques est aussi le temps de la mission ! A la suite des premiers disciples, nous sommes tous envoyés pour témoigner de cette Bonne Nouvelle. Et, s'il est vrai que nous sommes devenus minoritaires, nous avons, aujourd'hui comme hier, à redécouvrir que nous sommes dépositaires d'un trésor destiné à toute l'humanité et à la création. Ce trésor, c'est l'Évangile, puissance et sagesse de Dieu, Sel de la terre et lumière pour le monde. Mais nous savons que ce trésor, nous le portons dans ces vases d'argile que sont nos propres fragilités face à l'indifférence et parfois à l'opposition du monde.
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La synodalité et la vie fraternelle.
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Dans l'Esprit qui fait toutes choses nouvelles, Il est donc important que la synodalité, qui consiste à marcher ensemble, puisse se vivre et se développer dans notre Église diocésaine, dans le respect de la diversité des vocations et des états de vie, au sein des paroisses, des ensembles pastoraux, des Services diocésains et des mouvements apostoliques. La synodalité n'est pas une mode : elle est l'art de vivre en Eglise et de rendre visible l'Eglise que Jésus-Christ aime et pour laquelle il s'est livré. La synodalité est, en ce sens, un chemin de conversion, à l'écoute de l'Esprit Saint, un chemin d'ajustement de nos pratiques pastorales, communautaires et missionnaires au mystère et à la vocation de l'Église.
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Je reçois cette parole, au terme de ce message, non pas comme un impératif destiné à mettre la pression sur qui que ce soit, mais tout simplement comme un appel à témoigner de l'actualité de la résurrection du Christ ! Oui, il est vivant et c'est une Bonne Nouvelle qui donne à la
"Par cette expression audacieuse, « Je continue à rêver d'un nouveau printemps missionnaire… », le pape nous rappelle que l'évangélisation est la tâche essentielle, primordiale de l'Eglise en toute situation et circonstance. C'est « sa raison d'être ».
Qu'est-ce qui a poussé ces disciples, hommes et femmes, à se mettre en route, souvent dans des circonstances difficiles, et même très difficiles, tout au long de l'histoire de la mission de l'Eglise ? Ils avaient probablement comme dit encore le pape « de bons alibis pour ne pas partir » mais ils sont partis parce qu'ils avaient gardé vivant le feu qui brûle en nous et qui nous pousse à chercher au-delà de l'immédiat, au-delà du visible, au-delà des statistiques, au-delà des obstacles. Nous avons donc comme une responsabilité essentielle de garder vivant le feu intérieur auprès du Christ, en fréquentant l'évangile, les sacrements, en vivant de sa charité auprès de tous, auprès et avec les plus petits, les plus pauvres, les plus fragiles…
À cause de l'Évangile, disons « me voici », car le temps de la mission n'est pas achevé, le champ de la mission n'est pas clos, la nécessité de la mission n'est pas périmée… Ensemble témoignons de Jésus-Christ pour la gloire de Dieu et le salut du monde."