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Les deux Corées s'affrontent aussi sur Twitter (via @xternisien) - 0 views
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e ne sont que de courts messages de 140 signes… Mais ces "gazouillis", publiés sur le site Twitter, suscitent la colère de la Corée du Sud. L'instance sud-coréeenne chargée de la régulation de la communication a ainsi demandé, jeudi 19 août, de bloquer un compte Twitter, appartenant vraisemblablement à l'organe de propagande de la Corée du Nord, rapporte le quotidien The Chosun Ilbo.
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Intitulé "Uriminzok" ("notre peuple"), le compte Twitter incriminé a été lancé le 12 août, et compte désormais plus de 9 000 abonnés (et pas le moindre abonnement). Ce profil, qui relaie les prises de positions de Pyongyang, renvoie aussi vers le site d'une agence de presse soutenue par le régime nord-coréen. Un mois plus tôt, un compte du site de partage de vidéo YouTube, avec le même nom d'utilisateur, a également été ouvert, mettant en ligne plusieurs vidéos, au vitriol, ne ménageant ni les autorités sud-coréeennes ni leur allié américain. Jeudi, la Corée du Nord a aussi adhéré au réseau social Facebook.
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A DIPLOMATIE EN DIRECT DES RÉSEAUX SOCIAUX Les Sud-Coréens qui suivraient "Uriminzok" violeraient donc cette loi s'ils envoient des commentaires ou republient ("retweetent") les micro-messages de Pyongyang, conclut le quotidien. Mais les sceptiques soulignent qu'une telle interdiction n'empêchera pas la propagande nord-coréenne d'être retweetée par les usagers du réseau social dans le reste de la planète.
Revival / Un membre de l'administration Obama réclame «l'infiltration cogniti... - 1 views
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L’article de M. Sunstein, publié dans le Journal of Political Philosphy en 2008 et découvert récemment par le blogueur Marc Estrin, stipule : « [N]otre principale affirmation est que les théories de conspiration découlent non pas de l’irrationalité ou de la maladie mentale, mais d’une “épistémologie invalide”, venant sous la forme d’un nombre extrêmement limité de sources informationnelles (pertinentes) ». Par « épistémologie invalide », M. Sunstein veut dire que les personnes croyant aux théories de conspiration ont un nombre limité de sources d’information auxquelles elles font confiance. Par conséquent, M. Sunstein avance dans l’article que le simple fait de réfuter les théories de conspiration en public ne fonctionnerait pas : il faudrait infiltrer les sources mêmes en lesquelles les théoriciens de conspiration croient.
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M. Sunstein a par ailleurs soutenu que « le gouvernement pourrait employer des tactiques (légales) pour briser les groupes cognitifs serrés qui mettent de l’avant des théories extrêmes ». Il a suggéré que les « agents du gouvernement (et leurs alliés) se joignent à des forums de discussion, à des réseaux sociaux en ligne ou même à des groupes en espaces réels et tentent de miner des théories de conspiration en propagation en soulevant des doutes à propos de leurs fondements factuels, de leur logique causale ou de leur incidence pour l’action politique ».
Proposition de loi Socialiste sur la neutralité du net : premières analyses - 1 views
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