The report furthers the goals of President Obama's open government policy, including the need to "disclose information rapidly in forms that the public can readily find and use" and represents a step forward in the Data.Gov concept of Federal CIO Vivek Kundra to "democratize data and give data access to the public.
Ce sont des études qui, habituellement, prennent la poussière sur les étagères des administrations : le gouvernement britannique a mis en ligne, ce jeudi, le site Data.gov.uk, qui va recenser plusieurs milliers de données publiques. Le site est le résultat d'un brainstorm notamment conduit par Tim Berners-Lee, l'un des inventeurs du web.
Le gouvernement français prend le train de l’Open Data en lançant son portail data.gouv.fr mettant à disposition 352.000 jeux de données publiques issus, notamment, de ministères de collectivités locales et d’autorités administratives.
Many local governments are figuring out how to use the Internet to make government data more accessible. The goal is to spawn useful Web sites and mobile applications - and perhaps even have people think differently about their city and its government
Now that President Obama, former Massachusetts Governor Mitt Romney and former Minnesota Governor Tim Pawlenty have all declared their intentions to run for President in 2012 and rolled out their initial campaign websites, and another leading contender, Sarah Palin, has also unveiled a revamped website for her political operation, SarahPac, it's possible to begin sketching the contours of the 2012 election online. And so far, the inside-the-beltway political media is missing the big story. It's not Facebook. It's the data, stupid.
The Three Laws of Open Government Data:
If it can’t be spidered or indexed, it doesn’t exist
If it isn’t available in open and machine readable format, it can’t engage
If a legal framework doesn’t allow it to be repurposed, it doesn’t empower
facile ausssi d'imaginer l'utilisation à des fins de manipulation : 'faire dire aux chiffres ce que l'on veut'
Beaucoup de données cessent d’être produites, ou bien le sont par des entreprises. L’ouverture des données publiques réduirait ainsi le stock de données publiques…
les groupes d’intérêt s’en servent pour contester la moindre décision, la moindre ligne de dépense publique
surtout avec l'essor du data-journalisme : encore plus attrayant de manipuler les date pour manipuler l'output journalistique
Du pouvoir à ceux qui l’ont déjà ?” (“Empowering the empowered ?”),
prototypes, rarement exploitables par des citoyens ordinaires
De magnifiques visualisations font plus pour la célébrité de leurs concepteurs que pour créer une compréhension partagée de phénomènes complexes.
quelques lobbies plongent dans les données, pour en ramener les résultats qu’ils savaient vouloir y trouver
faire le boulot qu’ils attendent de leurs municipalités, surtout quand celle-ci est plus indifférente que réactiv
Si, par exemple, on n’ouvre les données que dans l’espoir de réduire les dépenses publiques en transférant la fourniture de nombreux services au privé (voire au secteur associatif), alors la probabilité de voir s’engager les cercles vicieux décrits dans le scénario “sombre” devient très élevée.
gagnent en capacité d’action
que la fracture sociale ne passe par la capacité à comprendre les données ?