hey have added their own new hashtag, #CN4Iran, and even built a new site to support the struggle of the Iranian people, titled CN4Iran.org. Global Voices interviewed one of the cyber activists behind this initiative.
Our site was created in Dec 28, 2009, hosted by Dreamhost.com (US). Our objective is to support the Iranian people for liberty and democracy, learn from them and spread the experiences to Chinese people.
Our target is the Chinese cyber citizen, firstly the Chinese users on twitter.com, and then other Chinese Internet users who read our information. Also, we infrequently have some worldwide readers, and we tell them the reaction in China (by translating some Chinese news into English)
Do you see any similarity between Chinese and Iranian censorship? What about cyber activism?
We know that many web sites have been blocked by Iran Regime, which is similar to China. I guess they also have a censor system for keyword filtering, like the Great Firewall (GFW) in China. Such situation is quite common in countries like Iran and China.
Organiser la protestation… C'est souvent ainsi qu'on lit l'engagement citoyen et les exemples de cette session n'échappaient pas à la règle. Mais où sont donc les engagements qui font éclore des propositions ? Sont-ils possible dans un monde où ceux qui font de la politique ne sont peut-être pas encore suffisamment attentif à ce que disent leurs citoyens ?
Actualité du monde arabe oblige (en fait, on espère que cela durera encore un peu !) : ce billet, un peu plus long que les « chroniques ordinaires », est à nouveau sur la question du web social et de la révolution arabe.
Olivier BLONDEAU, consultant en communication politique, et Laurence ALLARD, maître de conférences en sciences de l'information et de la communication à l'université Lille-III, coauteurs de Devenir média. L'activisme sur Internet entre défection et expérimentation (Éd. Amsterdam, 2007) et chargés de la rubrique de veille « Politique 2.0 » de la Fondation pour l'innovation politique
Samedi 5 décembre a été désigné "No Berlusconi Day (NBD)". La campagne a rapidement pris de l'ampleur sur Internet avec des vidéos, des blogs, et des tweets, tout comme hors ligne, par le bouche-à-oreille.