Mysociety, c’est quoi ?
C’est la principale initiative d’une association anglaise a but non lucratif, fondée en 2003 et regroupant une communauté de volontaires et de développeurs open-source rémunérés.
Cette dernière est à l’origine du développement de sites que P. Rosanvallon qualifierait de « contre-démocratique »: par exemple Theyworkforyou pour découvrir ce que font les députés anglais (historique des prises de position, archives des textes et speech) ou WritetoThem pour contacter n’importe quel député à partir de son code postal (plus de 400 000 messages déjà envoyés à ce jour via la plateforme). Mysociety a également développé le site officiel de G. Brown de pétition citoyenne. A noter qu’en France, le collectif « regards citoyens » en France a lancé récemment le site nosdeputés.fr permettant, comme theyworkforyou, de s’intéresser à l’activité des députés à l’assemblée nationale.
Pourquoi c’est important et comment s’impliquer ?
Les responsables de l’initiative mysociety.org sont joignables via leurs coordonnées sur le site web (http://www.mysociety.org/about/contact/), et se disent prêt à étudier toute opportunité de collaboration, notamment à l’international (traduction, adaptation, support au développement). Pledgebank par exemple est conçu dès l’origine comme un site international, reposant sur le mode « si je trouve 10 personnes comme moi prêtes à faire ça alors je le fais)
se déroulera le premier Open Government Data Camp français à « La Cantine » à Paris samedi 12 décembre 2009.
ust when politicians thought that they might get some time away from the public gaze, as the electorate grows weary of MPs' expenses, a new watchdog has been born
Drawing on the success of political sites such as TheyWorkForYou, Democracy Live will provide a one-stop shop of political videos, with eight video streams to watch – including proceedings from Westminster and Strasbourg, as well as debates taking place in Holyrood, Cardiff and Stormont.
The BBC's main political blogs, with contributions from its political editor, Nick Robinson, the Europe editor, Gavin Hewitt, and home editor, Mark Easton, will be featured in a comment section. This will also offer a forum for public figures, starting with an article by the House of Commons Speaker, John Bercow, about how to rebuild trust in parliament
Pourquoi ces pays s'en prennent-ils à RIM ? Les reproches faits aux BlackBerry, conçus pour le monde de l'entreprise, concernent son système de sécurité unique. Les données transmises par les BlackBerry transitent en effet par les serveurs de RIM pour y être chiffrées ou déchiffrées. Il n'est alors plus possible de surveiller les données captées ou émises par ces téléphones. Or l'Arabie saoudite ou les Emirats arabes unis censurent largement Internet.
"Ces jeunes gens n'ont rien fait de mal : ils avaient dans un premier temps prévu la tenue d'une manifestation pacifique, et l'ont finalement annulée pour ne pas violer la loi. (...) Dans l'impossibilité de déchiffrer les données chiffrées du réseau BlackBerry et d'accéder aux données personnelles des clients, les forces de sécurité ont donc décidé d'intimider les utilisateurs de ces services"
Après son élection, Barack Obama avait dû livrer une longue bataille avec les services secrets américains pour être autorisé à conserver un téléphone RIM, ses services considérant qu'il était dangereux de laisser le président des Etats-Unis utiliser un mobile, même avec chiffrement, pour échanger des informations stratégiques. Barack Obama avait finalement obtenu un BlackBerry, dont les protections ont été spécifiquement renforcées pour son usage. Principal revers : seule une dizaine de personnes connaissent son adresse e-mail, et son téléphone commence à ennuyer Barack Obama. "Ça n'est pas très drôle, a-t-il déclaré sur la chaîne de télévision ABC. Personne n'ose m'envoyer de messages croustillants, parce qu'ils pensent qu'ils seront probablement versés aux archives présidentielles".