Intitulé "Uriminzok" ("notre peuple"), le compte Twitter incriminé a été lancé le 12 août, et compte désormais plus de 9 000 abonnés (et pas le moindre abonnement). Ce profil, qui relaie les prises de positions de Pyongyang, renvoie aussi vers le site d'une agence de presse soutenue par le régime nord-coréen. Un mois plus tôt, un compte du site de partage de vidéo YouTube, avec le même nom d'utilisateur, a également été ouvert, mettant en ligne plusieurs vidéos, au vitriol, ne ménageant ni les autorités sud-coréeennes ni leur allié américain. Jeudi, la Corée du Nord a aussi adhéré au réseau social Facebook.