Principal revers de médaille de cet outil qui place le visuel au cœur de son fonctionnement : Pinterest cristallise aujourd’hui la question du droit d’auteur puisqu’il encourage l’internaute à publier et partager du contenu qui ne lui appartient pas forcément via le bouton «pin it». Au niveau juridique, Pinterest s’appuie sur le digital millenium copyright act (DMCA) qui garantie aux hébergeurs de contenus une limitation de responsabilité.
Flickr pourrait d’ailleurs être le précurseur d’une certaine méfiance envers Pinterest depuis qu’il a interdit d’épingler les photos protégées par le copyright. Pinterest fait donc endosser aux membres la responsabilité de ce qu’ils diffusent. Les marques doivent donc rester vigilantes et ne proposer que du contenu dont elles ont les droits.
Un site américain interdit l’accès à ses contenus pour les utilisateurs d’adblockers, en expliquant que c’est cela qui lui permet d’exister.
e vue au kilomètre, c’est fini. Il faut que l’on trouve un
Christophe Brossard attend d’ailleurs beaucoup des ad-exchange, qui viennent améliorer la pertinence publicitaire. Même si le rich média occupe une place de plus en plus importante, les formats IAB fonctionnent toujours, « à condition d’être très ciblés. »