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""Ne pas pouvoir nous retrouver en assemblée dominicale est un manque et une souffrance (...) mais il faut oser être en communion avec les peuples à travers le monde qui n'ont pas la communion régulièrement" P. Bernard Lochet, vicaire général." "On transformera le corps du Christ en un objet, ce qu'il n'est pas ; en une revendication, ce qu'il n'est pas non plus" "N'allons pas trop vite (...) ne tombons pas dans le piège du libéralisme qui fait de nous des êtres de désirs, de demandes, de revendications de satisfaction. Ne soyons pas des repus de fois, restons des chercheurs de Dieu modestes"

"Chemin de croix proposé par Bernard Lochet, vicaire général. Illustrations du Chemin de croix de l'église Jésus divin Ouvrier à la Plaine (Clermont-Ferrand)."

"Des rencontres le vendredi, de 18h15 à 21h00 pour toutes les personnes souhaitant une halte de découverte spirituelle. Le P. Bernard Lochet vous propose des causeries sur la découverte de la Messe : comprendre et vivre le rassemblement dominical, son sens et son importance."

"Si la Pentecôte marque la fin du temps Pascal, elle est surtout le début de l'Église. Jésus mort sur la croix et ressuscité, ne nous laisse pas seul, il nous envoie son Esprit pour agir et pour comprendre. L'effort des apôtres pour trouver le sens de la présence nouvelle du Christ est rendu possible par l'Esprit Saint. Ils acceptent de ne pas voir de leurs yeux celui qu'ils ont côtoyé et c'est dans le témoignage de ce qu'il leur a dit et montré qu'ils réalisent sa présence. L'Esprit anime l'Église. Annoncer les merveilles de Dieu, dire la chance de connaître le Christ sont les sources de joie que l'Esprit soutient. C'est en l'invoquant au cours du rassemblement des croyants que le pain devient Corps du Christ comme le Seigneur nous a dit de le faire. Cette « mémoire de Lui » est toujours actuelle, c'est à dire que ce n'est pas un acte du souvenir, mais une réalisation de la présence de Jésus parmi nous, ici et maintenant."

"Nous sommes à nouveau confinés. La maladie nous touche de plus près dans notre entourage, dans nos familles. Le confinement nous prive des autres, de nos frères, de la vie chrétienne et notamment de la vie communautaire, de la Messe. Nous avons raison de réclamer la Messe. Nous avons besoin de communier. Mais il vaut mieux ne pas transmettre la maladie, notre devoir de citoyen nous oblige « à faire comme les autres ». C'est une solidarité avec tout le monde."