Levinvinteur

Un mix entre deux visages de personnalités politiques (bien fait pour un fois)

Un site qui croise les discours de haine pour prévoir des génocides

Et si Facebook avait existé en 1914? Qu'aurait bien pu raconter un poilu sur ce réseau social? Le Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux et l'agence DDB Paris ont imaginé une expérience digitale inédite: créer le profil Facebook d'un jeune Français embarqué dans la guerre de 14-18.

"Cette fois, c'est la Google Map mania qui s'est emparée de ce penchant humain pour le morbide. Car l'utilisation du service de localisation peut devenir addictive. Au point que le site Deathlocations.com a poussé le vice jusqu'à recenser le lieu de l'assassinat de J.F. Kennedy, l'immeuble où Sid Vicious est mort d'une overdose, la maison où le père de Marvin Gaye l'a abattu, etc."

Un jeu pour tirer sur les entreprises qui font de l'évasion fiscale

Des personnages de dessins animés qui font la tête

Clip sublime empruntant les codes/images les plus moches des internets (déniché par musicsansms.tumblr.com, le blog de Virgine!)

Le paradis des internets

Ca dépend.

Just a bunch of athletes competing for the sweetest kittens

"Bloqués au Maroc", webdoc de Médecins Sans Frontières sur les migrants refoulés aux portes de l'Europe

http://followfridaythefilm.com/ Le pitch de Follow Friday, road-movie documenaire financé via Kickstarter, est le suivant: on y suit Erin lors d'un périple de 11.000 miles (soit 17.700 km) espacé sur 42 jours à travers les Etats-Unis. La demoiselle est bien décidée à rencontrer 140 de ses followers pour voir s'ils sont aussi cool en vrai que sur son iPhone. Oui, 140 comme la limite de caractères, on a compris.

une barre de chocolat de 45kg

en attendant que la météo se décide...

Un scanner pour voir quel est notre taille de jeans.

Vidéos, tweets, playlist, photos, tutoriel pour réussir un rumikscube : la nouvelle plateforme participative de National Geographic pour lancer/compléter son docu évènement consacré aux années 80

L'histoire de ses origines est aussi obscure et mystérieuse que l'explication de son récent succès. Monnaie virtuelle au nom un peu barbare, longtemps apanage des seuls mordus de l'Internet, le "bitcoin" voit son cours littéralement flamber. Le bitcoin est né en janvier 2009. Son inventeur, un énigmatique programmeur informatique dissimulé sous le pseudonyme Satoshi Nakamoto, semble poursuivre une ambition : la création d'une monnaie échappant au contrôle des banques centrales et des Trésors nationaux. Celle-ci est mise au service d'un réseau de transactions financières, décentralisé, anonyme et sans frais visant à contourner le monopole des établissements bancaires. "Le bitcoin est bien plus qu'une simple devise, décrit Pierre Noizat, cofondateur de Paymium, une start-up spécialisée dans le paiement en bitcoins. C'est aussi un réseau et une technologie."