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Le salon a pour objectif de mettre en contact direct les établissements recruteurs et candidats potentiels, dans la perspective d'une embauche immédiate : les visiteurs peuvent s'informer sur les opportunités de carrières proposées par les établissements présents. Lieu : Espace Champerret, Paris 17e. De 10 h à 18 h.

Les entreprises  du secteur numérique recrute et le font savoir. Réunies au sein du syndicat professionnel Syntec Numérique, les entreprises de service numériques (les ex SSII) ont ainsi contribué à la création d'une association de promotion de leurs métiers et des filières qui y mènent : Pasc@line. « Nous travaillons également sur l'adéquation des formations avec les besoins des entreprises de façon à les faire évoluer », explique Noël Bouffard, le président de Pasc@line et directeur délégué à la direction générale de Sopra, une entreprise du numérique qui recrute quelques 1700 personnes par an dont une très grande majorité de jeunes diplômés. Un véritable enjeu pour cette entreprise comme pour toutes celles, pas seulement dans les services, qui peinent encore à trouver les profils « numériques » dont elles ont besoin. Mais aujourd'hui des formations voient le jour à la vitesse du web.

Les entreprises du secteur numérique recrute et le font savoir. Réunies au sein du syndicat professionnel Syntec Numérique, les entreprises de service numériques (les ex SSII) ont ainsi contribué à la création d'une association de promotion de leurs métiers et des filières qui y mènent

"La vente, le management, le soin... Tous cela s'apprend désormais grâce aux "serious games" qui déferlent dans les entreprises."

D'ici à 2020, 150.000 emplois par an devraient être créés pour combler de nouveaux besoins, tandis que 600.000 personnes actuellement en activité devraient partir chaque année à la retraite. Mais comment savoir aujourd'hui quels seront les métiers créateurs d'emploi ? L'Etudiant s'est plié à l'exercice. Panorama des métiers, parfois méconnus, qui demain embaucheront à tour de bras. Voici de quoi vous aider à faire le bon choix !

De son côté, le site CareerBuilder.com, après avoir réalisé les Top 10 des secteurs et des régions qui créent le plus d'emplois en France, a décidé de réaliser un focus resserré sur l'Île-de-France. Par l'intermédiaire de son baromètre mensuel des mutations du marché de l'emploi, le site, qui se présente comme le leader mondial des solutions globales de recrutement, s'est intéressé aux secteurs et aux métiers qui offrent le plus d'opportunités et qui ont créé le plus d'emplois depuis 2009.

En 2014, 17,3 % des établissements franciliens se déclarent prêts à embaucher, contre 15,9 % en 2013.L es métiers les plus recherchés en Île-de-France sont ceux d'ingénieurs, cadres d'études et chefs de projet du secteur de l'informatique rassemblant 13 719 intentions de recrutements, suivi des métiers d'artistes et professeurs d'art (11 731) ; des aides, apprentis, employés et polyvalents de cuisine (10 628) et des agents d'entretiens de locaux (10 415). Les métiers des services à la personne (aide ménagère, aide à domicile) et de l'informatique se caractérisent par une tension forte.

"Le rapport de branche 2013 de la convention collective de l'esthétique, cosmétique et de l'enseignement technique et professionnel lié aux métiers de l'esthétique et de la parfumerie couvre le positionnement économique de la profession ainsi que l'emploi et les conditions de travail. L'étude dénombre, en 2012, 32 970 entreprises de soins de beauté sans aucun salarié et 8 760 possédant au moins 1 salarié. Les instituts de beauté et les espaces de soins emploient 38 500 personnes, dont 30 500 sont salariées. 91,5 % des salariés sont des femmes. "

i"l s'agit de professionnaliser les aides à domicile, améliorer leurs conditions de travail, lutter contre leur précarisation, construire des parcours professionnels plus sécurisés et ainsi rendre plus attractifs les métiers de l'autonomie."

"Les seniors sont les mal aimés de la France qui travaille. Le taux d'emploi des 55-64 ans était de 44,5 % en 2012 en France, contre une moyenne de 54 % dans les pays de l'OCDE, selon un rapport publié en début d'année par l'OCDE. "

"Travailler dans l'événementiel recouvre des métiers différents que l'on soit chargé de la production, la communication ou la logistique. Certaines qualités sont indispensables comme la résistance au stress, avoir un bon relationnel et être rigoureux."

"Pour préparer un changement de vie professionnelle ou par simple curiosité, Jobsenboite.com propose de découvrir pendant une journée un autre métier."

"Les coordonnateurs régionaux de la formation continue sont réunis à Dijon les 17 et 18 avril 2014 pour débattre de stratégie de la formation tout au long de la vie. Parmi divers enjeux figure l'inscription des formations universitaires dans la liste des formations éligibles au compte personnel de formation instauré par la loi sur la formation professionnelle. Pour Alain Gonzalez, président de la Conférence des directeurs de services universitaires de la formation continue, "la question est de savoir comment on adapte nos formations par rapport aux objectifs de cette liste". Se pose cependant une difficulté : l'enseignement supérieur est quasi-absent des instances qui demain à l'échelle régionale mettront en œuvre la nouvelle loi."

Le salon a pour objectif de mettre en contact direct les établissements recruteurs et candidats potentiels, dans la perspective d'une embauche immédiate : les visiteurs peuvent s'informer sur les opportunités de carrières proposées par les établissements présents.  Lieu : Espace Champerret, Paris 17e. De 10 h à 18 h.

Au-delà du BAFA, trois formations permettent d'encadrer et d'enseigner des activités sportives. Zoom sur le BPJEPS, le DEJEPS et le DESJEPS.

Si leurs noms continueront de sonner comme aujourd'hui, ils ne s'exerceront bientôt plus de la même façon : petit tour d'horizon de métiers qui vont évoluer et sur lesquels vous pouvez miser pour un emploi.

La part des contrats à durée déterminée (CDD) dans les embauches des entreprises de dix salariés ou plus s'est accrue de 0,9 point au quatrième trimestre 2013 en France pour atteindre 83,7 %, selon des données publiées mercredi 30 avril par la Dares (Direction des études économiques du ministère du travail).

Après la mise en place en 2002 du cursus "licence-master-doctorat", chaque université pouvait proposer les spécialités de son choix. On arrivait parfois à des intitulés abscons et impossibles à retenir En simplifiant l'offre universitaire, le ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche va ainsi renforcer la lisibilité et améliorer l'attractivité de l'offre de formation universitaire, notamment à l'étranger. En septembre 2014, les étudiants auront le choix entre 173 intitulés de licences professionnelles contre 1 844 jusqu'à présent.La plus forte simplification va toucher les masters passant de 5 domaines, 1 841 mentions et 5 806 spécialités à 246 intitulés à la rentrée 2015, et dès 2014 pour les établissements qui le souhaitent. On passe du triptyque "domaine, mention, spécialité" à la suppression de la spécialité.

"L'organisation d'événements attire de nombreux jeunes diplômés. Mais pour travailler dans l'événementiel, les candidats sont plus nombreux que les postes. Alors pour mettre toutes les chances de votre côté, n'hésitez pas à réaliser des stages dans le secteur de l'événementiel, à participer à des projets associatifs ou à faire du bénévolat."

"Les recrutements de cadres réalisés au 1er trimestre 2014 et les prévisions d'embauche pour le 2e trimestre laissent entrevoir une amélioration du marché de l'emploi, selon l'Apec.Cet optimisme est largement partagé selon les secteurs, seul le Commerce-transports affichant des prévisions en recul. Les intentions de recrutement enregistrent une augmentation dans l'industrie (+6 points, 52 % des entreprises envisagent de recruter), dans le médico-social (+11 points, 51 %), le conseil et services aux entreprises (+8 points, 48 %), la construction (+7 points, 53 %) et la banque-assurance (+5 points, 78 %). Elles se maintiennent à un haut niveau dans l'informatique (88 %) et l'ingénierie-R&D (76 %)."

"Fin 2011, 1 060 000 salariés travaillent dans la fonction publique en Ile-de-France. L'emploi public représente près d'un emploi sur cinq de la région. Près de la moitié des agents appartiennent à la fonction publique d'Etat. La part des femmes et celle des agents de catégorie C sont plus importantes dans les fonctions publiques hospitalière et territoriale."