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Jacques Kerneis

L'Agence nationale des Usages des TICE - Le partage de signets pour la collaboration et... - 2 views

    • Jacques Kerneis
       
      Logique applicationniste ?
  • pour la
  • compétence essentielle pour appréhender les flux informationnels
  • ...44 more annotations...
  • invite
  • peut entraîner
  • catégorisation
  • peut en outre
  • faire une mobilisation collective
  • l’usager souhaite
  • bibliothèques de liens 
  • e commenter les liens sauvegardés, ce qui donne une valeur ajoutée à ces liens et contribue à les caractérise
  • catégories
  • stockage
  • Braga
  • devant utiliser une plateforme de partage de signets durant un semestre
  • devaient
  • voir où ils en sont de leurs recherches et incite à produire un travail régulier » ;
  • uisque chaque membre a envie d’être utile à l’équipe ».
  • onfère ainsi une dimension sociale à la recherche d’informations.
  • résultats similaires
  • devaient
  • sciences physiques
  • ont collecté un nombre plus important d’informations par rapport au groupe utilisant le moteur de recherche.
  • plus d’attention aux ressources associées à des commentaires déposés par les internautes et par leurs pairs.
  • (BTS) devaient
  • le suivi du travail des élèves par leur enseignante.
  • la pertinence d’une ressource,
  • pour évaluer la répartition des tâches dans l’équipe, le choix et la pertinence de certaines ressources ou la qualité des mots clés retenus.
  • ue lorsque les élèves ne travaillent qu’avec un moteur de recherche traditionnel.
  • ouvre également la porte
  • et de ses besoins
  • niveau équivalent à la première année d’IUFM
  • ur les connaissances et compétences acquises en cours.
  • ont dû
  • Un groupe contrôle
  • Les résultats montrent que
  • impact positif
  • se rappeler
  • apacité à les relier avec des connaissances en cours d’acquisition ou déjà stabilisées
  • oblige à un effort de catégorisation et de conceptualisation, et tend à induire une lecture plus approfondie de celles-ci.
  • e partage et l’indexation de signets sont intéressants également pour des élèves de première.
  • matérialise plusieurs étapes de la recherche d’informations dans un seul et même outil.
  • et l’accompagner via un suivi individualisé.
  • ontribue à responsabiliser et impliquer les élèves dans le travail de groupe.
  • au service d’une co-exploration de l’offre informationnelle.
  • et éviter ainsi que ces bibliothèques de signets ne soient que de simples réservoirs de liens.
  • en les raccrochan
  •  
    "Le partage de signets pour la collaboration et l'apprentissage Résumé : Organiser de façon structurée des ressources sélectionnées sur le Web est une compétence essentielle pour appréhender les flux informationnels. Des recherches ont souligné qu'un usage collaboratif du partage de signets invite à une co-exploration du Web, ce qui peut entraîner l'implication forte des membres d'un groupe et mettre en œuvre un processus d'intelligence collective. La catégorisation des ressources au sein des bibliothèques de signets en ligne, via l'indexation ou les commentaires, peut en outre, aider à la conceptualisation et à l'appropriation du contenu des ressources par les apprenants. Recommandations : Encourager les élèves à commenter les ressources mises à disposition en les raccrochant à un contexte pédagogique précis. Aider les élèves à choisir les mots clés :  éviter les synonymes (il peut être intéressant ici de faire une mobilisation collective des idées au préalable); associer plusieurs mots clés pour indexer plus précisément une ressource.  Voir aussi : Témoignage - recherche sur le romantisme Témoignage - centre multimédia Thèse de Michèle Drechsler (IEN) sur Eduscol Article de Michèle Dreschler - revue Les cahiers du numériques Usages pédagogiques du « social bookmarking » Travaux personnels encadrés Utilisation pédagogique du social bookmarking lors de la recherche d'informations Médias sociaux et éducation Article de Laurence Juin, documentaliste - « Un nouvel outil au service de ma pédagogie ! » par Florence Canet * Les signets, aussi appelés "favoris" ou "marques-pages", sont des pages Web enregistrées auxquelles l'usager souhaite avoir un accès ultérieur facilité. Le partage de signets en ligne (également connu sous le terme anglais de social bookmarking) est une pratique qui permet de sauvegarder, organiser et commenter des pages Web dans une bibliothèque virtuelle créée via un
N UGUEN

Notre cerveau à l'heure des nouvelles lectures « InternetActu.net - 0 views

  • “l’écrémage est la nouvelle normalité”, assène-t-elle. “Avec le numérique, on scanne, on navigue, on rebondit, on repère. Nous avons tendance à bouger, à cliquer et cela réduit notre attention profonde, notre capacité à avoir une lecture concentrée. Nous avons tendance à porter plus d’attention à l’image. Nous avons tendance à moins internaliser la connaissance et à plus dépendre de sources extérieures.”
  • Nous pouvons deviner que l’accès à l’information ne va cesser d’augmenter. Mais nous ne savons pas si l’accès immédiat à de vastes quantités d’informations va transformer la nature du processus de lecture interne, à savoir la compréhension profonde et l’internalisation de la connaissance.
  • Nous ne savons pas si l’accès immédiat à cette quantité croissante d’information externe va nous éloigner du processus de lecture profonde ou au contraire va nous inciter à explorer la signification des choses plus en profondeur, estime Wolf en reconnaissant tout de même, après bien des alertes, l’ignorance des neuroscientifiques en la matière. Bref, nous ne savons pas si les changements qui s’annoncent dans l’intériorisation des connaissances vont se traduire par une altération de nos capacités cognitives, ni dans quel sens ira cette altération.
  • ...5 more annotations...
  • Nos organes physiologiques n’évoluent pas indépendamment de nos organes techniques et sociaux”, rappelle Christian Fauré. Dans cette configuration entre 3 organes qui se surdéterminent les uns les autres, le processus d’hominisation semble de plus en plus porté, “transporté” par l’organe technique. Car dans un contexte d’innovation permanente, le processus d’hominisation, ce qui nous transforme en hommes, est de plus en plus indexé par l’évolution de nos organes techniques
  • L’écriture a longtemps été notre principal organe technique. Parce qu’elle est mnémotechnique, elle garde et conserve la mémoire. Par son statut, par les interfaces de publication, elle rend public pour nous-mêmes et les autres et distingue le domaine privé et le domaine public. Or l’évolution actuelle des interfaces d’écriture réagence sans arrêt la frontière entre le privé et le public. Avec le numérique, les interfaces de lecture et d’écriture ne cessent de générer de la confusion entre destinataire et destinateur, entre ce qui est privé et ce qui est public, une distinction qui est pourtant le fondement même de la démocratie, via l’écriture publique de la loi. Avec le numérique, on ne sait plus précisément qui voit ce que je publie… ni pourquoi on voit les messages d’autrui.
  • La question qui écrit à qui est devenue abyssale, car, avec le numérique, nous sommes passés de l’écriture avec les machines à l’écriture pour les machines. L’industrie numérique est devenue une industrie de la langue, comme le soulignait Frédéric Kaplan. Et cette industrialisation se fait non plus via des interfaces homme-machine mais via de nouvelles interfaces, produites par et pour les machines, dont la principale est l’API, l’interface de programmation, qui permet aux logiciels de s’interfacer avec d’autres logiciels.
  • Le monde industriel va déjà plus loin que le langage, rappelle Christian Fauré sur la scène des Entretiens du Nouveau Monde industriel. “Nous n’écrivons plus. Nous écrivons sans écrire, comme le montre Facebook qui informe nos profils et nos réseaux sociaux sans que nous n’ayons plus à écrire sur nos murs. Nos organes numériques nous permettent d’écrire automatiquement, sans nécessiter plus aucune compétence particulière. Et c’est encore plus vrai à l’heure de la captation de données comportementales et corporelles. Nos profils sont renseignés par des cookies que nos appareils techniques écrivent à notre place. Nous nous appareillons de capteurs et d’API “qui font parler nos organes”. Les interfaces digitales auxquelles nous nous connectons ne sont plus des claviers ou des écrans tactiles… mais des capteurs et des données.”
  • Google et Intel notamment investissent le champ des API neuronales et cherchent à créer un interfaçage direct entre le cerveau et le serveur. Le document n’est plus l’interface. Nous sommes l’interface ! “Que deviennent la démocratie et la Res Publica quand les données s’écrivent automatiquement, sans passer par le langage ? Quand la distinction entre le public et le privé disparaît ? Alors que jusqu’à présent, la compétence technique de la lecture et de l’écriture était la condition de la citoyenneté”, interroge Christian Fauré.
Michel Roland-Guill

Petite Poucette : la douteuse fable de Michel Serres | Revue Skhole.fr - 0 views

  • l’extériorisation technique, y compris cognitive, peut bien être considérée comme constitutive de l’histoire de l’humanité.
  • les artefacts humains extériorisés posent aux sociétés humaines des problèmes spécifiques et cruciaux d’appropriation collective et individuelle, dont l’issue n’est jamais donnée d’avance mais toujours marquée par des ambivalences, des tensions et des luttes
  • les technologies du numérique pourraient même constituer la base d’une rupture à l’égard du modèle économico-politique dominant, ainsi que des auteurs aussi différents que Bernard Stiegler ou Jérémy Rifkin par exemple cherchent à le démontrer et à la promouvoir : passer d’un modèle productiviste et consumériste, qui tend à déresponsabiliser les acteurs, à ce que Stiegler nomme une « économie de la contribution »[12], dépassant l’opposition producteur-consommateur et redonnant aux citoyens une emprise sur leur vie individuelle et collective.
  • ...11 more annotations...
  • Ce qui s’est donné à soi-même le nom trompeur de « société de la connaissance », et dont le développement est de fait de plus en plus aux mains de quelques grandes multinationales (en particulier les « Big Four » de l’Internet[10]), fonctionne pour le moment surtout comme un nouveau capitalisme « cognitif » reposant sur l’exploitation industrielle de l’énergie psychique et des systèmes nerveux : les savoirs et les actes psychiques y sont d’abord traités comme une matière première à exploiter, une fois réduits à des données informationnelles susceptibles d’être soumises au calcul informatique.
  • transmettre une culture n’est pas seulement enregistrer de multiples données et s’assurer de leur disponibilité : c’est, beaucoup plus largement et profondément, assurer l’héritage de certaines « traditions » déterminées de pensées, de pratiques, de goûts et même de valeurs, portées par des « œuvres » du passé, non pour les reproduire à l’identique ou les sacraliser, mais pour permettre leur reprise, leur prolongement, leur critique, et même leur dépassement
  • un propos radical, dont les conclusions peuvent faire penser, paradoxalement[15], au projet d’Ivan Illitch d’une société « déscolarisée », utopie qui serait désormais réalisable par le truchement des nouvelles technologies
  • l’extériorisation objectivée des connaissances et des opérations cognitives étant considérée comme complète et achevée, la tâche éducative n’a plus ni objets (la « fin de l’ère du savoir », des disciplines organisées en « sectes » et du livre étant annoncée[18]), ni sujets (les enfants devant être désormais « présumés compétents »[19]), ni agents (les « porte-voix » qu’étaient les maîtres jusqu’alors n’ayant plus rien à dire ni personne pour les écouter : « fin de l’ère des experts »[20]), et les dispositifs institutionnels de la transmission de la mémoire sociale (les « cavernes » prisons que furent les écoles et les universités[21]) n’ont plus qu’à disparaître, enfin.
  • « Petite Poucette va devoir réinventer une manière de vivre ensemble, des institutions, une manière d’être et de connaître… Débute une nouvelle ère qui verra la victoire de la multitude, anonyme, sur les élites dirigeantes, bien identifiées ; du savoir discuté sur les doctrines enseignées ; d’une société immatérielle librement connectée sur la société du spectacle à sens unique. ».
  • Ainsi, « apprendre » à lire et à écrire – enjeu central de la scolarité obligatoire des enfants – consiste à la fois dans l’acquisition de savoirs-faire élémentaires mobilisant la main et l’œil, dans la construction d’un rapport réflexif global au langage et aux signes[25], et dans l’ouverture critique à des formes multiples de discours et de représentations portées par un vaste corpus d’œuvres écrites[26].
  • Le psychologue russe Lev Vygotski a fortement souligné ces effets d’entrainement que l’apprentissage scolaire a vocation à produire à l’égard du développement spontané, et qui expliquent son allure générale d’éducation « artificielle » : l’école s’adresse non pas à ce que l’enfant sait déjà faire – son niveau présent de développement -, mais à ce qu’il ne sait pas encore faire de manière autonome tout en étant déjà à sa portée sous la conduite de l’adulte[27], selon une dynamique de « devancement » qui ne saurait avoir lieu d’elle-même sans la mise en place d’un dispositif réglé et directif d’apprentissage, porteur d’une certaine « discipline formelle »[28].
  • réduire de manière outrancière, comme le fait M. Serres, le rôle des enseignants jusqu’ici à celui de simples « porte-voix de l’écriture » ne faisant qu’oraliser des contenus appris par cœur à des enfants « transis », sommés de les recevoir passivement « bouche cousue, cul posé »[31], c’est choisir d’ignorer tout ce qui fait l’intérêt et même la nécessité de la relation maître-élève, pour tout homme qui veut apprendre : un commerce vivant et prolongé avec une personne qui sait plus et mieux que nous, capable de nous faire entrer progressivement dans un certain univers de pensées et de pratiques, parce qu’il a lui-même déjà appris à s’y orienter.
  • laisser Petite Poucette dans un face à face direct avec le savoir objectivé sur la Toile, ce n’est pas d’emblée faire d’elle une « conductrice » active (plutôt qu’une « passagère » spectatrice[32]), ni faire droit à sa « demande » en la libérant de l’imposition de « l’offre »[33], c’est bien plutôt prendre le risque de l’abandonner désarmée à la puissance brute de captation d’innombrables contenus disponibles en ligne, tels que les marchands de symboles en organisent et en exploitent la diffusion intensive.
  • les dernières pages du livre de Serres, dans lesquelles celui-ci rend hommage à Michel Authier[40], célèbre la « pensée algorithmique »[41], appelle à l’avènement de « l’idée de l’homme comme code »[42] et à la mise au point d’un « passeport universel codé »[43], relèvent d’une prophétie très ambivalente : « Dans des ordinateurs, dispersés ailleurs ou ici, chacun introduira son passeport, son Ka, image anonyme et individuée, son identité codée, de sorte qu’une lumière laser, jaillissante et colorée, sortant du sol et reproduisant la somme innombrable de ces cartes, montrera l’image foisonnante de la collectivité, ainsi virtuellement formée. De soi-même, chacun entrera en cette équipe virtuelle et authentique qui unira, en une image unique et multiple, tous les individus appartenant au collectif disséminé, avec leurs qualités concrètes et codées. »[4
  • Ce risque d’un tel devenir-insecte, c’est ce que le philosophe académicien ne veut pas voir, entrainé par l’euphorie lyrique de son propos.
Michel Roland-Guill

Orthographic Processing in Baboons (Papio papio) - 1 views

  • Our results demonstrate that basic orthographic processing skills can be acquired in the absence of preexisting linguistic representations.
  • The computation of letter identities and their relative positions is referred to as orthographic processing, and there is a large consensus today that such processing represents the first “language-specific” stage of the reading process that follows the operations involved in the control of eye movements (bringing words into the focus of central vision) and early visual processing (enabling visual feature extraction; Fig. 1A) (1–4). In the present study, we examined whether the ability to efficiently process orthographic information can operate in the absence of prior linguistic knowledge.
  • Orthographic processing lies at the interface between the visual processing and the linguistic processing involved in written language comprehension.
  • ...10 more annotations...
  • Dehaene and colleagues proposed that skilled reading involves an adaptation of general object-identification processes in ventral occipitotemporal brain areas to the specific characteristics of printed words
  • according to the dominant theories of reading, orthographic processing is still primarily considered to be an extension of already established linguistic skills in the domain of spoken language processing
  • We challenged the hypothesis that learning an orthographic code depends on preexisting linguistic knowledge by investigating whether nonhuman primates can learn this skill.
  • the word versus nonword discrimination could be made implicitly on the basis of statistical dependencies between letters.
  • More detailed analyses revealed that baboons were not simply memorizing the word stimuli but had learned to discriminate words from nonwords on the basis of differences in the frequency of letter combinations in the two categories of stimuli (i.e., statistical learning).
  • words that were seen for the first time triggered significantly fewer “nonword” responses than did the nonword stimuli
  • Even more striking is the strong linear relation, shown in Fig. 4, between accuracy in response to nonword stimuli and their orthographic similarity to words that the baboons had already learned. The more similar a nonword was to a known word, the more false positive responses it produced.
  • Our findings have two important theoretical implications. First, they suggest that statistical learning is a powerful universal (i.e., cross-species) mechanism that might well be the basis for learning higher-order (linguistic) categories that facilitate the evolution of natural language (18, 19). Second, our results suggest that orthographic processing may, at least partly, be constrained by general principles of visual object processing shared by monkeys and humans.
  • Our study may therefore help explain the success of the human cultural choice of visually representing words using combinations of aligned, spatially compact, ordered sequences of symbols. The primate brain might therefore be better prepared than previously thought to process printed words, hence facilitating the initial steps toward mastering one of the most complex of human skills: reading.
  • Our results indicate that baboons were coding the word and nonword stimuli as a set of letter identities arranged in a particular order. Baboons had learned to discriminate different letters from each other (letter identity) and to associate those letter identities with positional information. Their coding of the statistical dependencies between position-coded letters is reflected in (i) their ability to discriminate novel words from nonwords (i.e., generalization), (ii) the significant correlation between bigram frequency and the accuracy of responses to words, and (iii) the increase in errors in response to nonword stimuli that were orthographically more similar to known words.
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