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Michel Roland-Guill

Will Gutenberg laugh last? | ROUGH TYPE - 2 views

  • the heaviest buyers of e-books are now buying more, not fewer, printed books
  • Clay Shirky
  • Not once in that half century has anyone successfully invented anything that feels like the digital version of a book. Books online, whether in a Kindle or Google Books, are always (cue McLuhan) the old medium populating the new.
  • ...12 more annotations...
  • The mainstay of book publishing is the extended narrative, either fictional or factual and almost always shaped by a single authorial consciousness and expressed in a single authorial voice. It is, in other words, a work of art.
  • Count me as a member of the set who prefers my non-fiction in eBook format
  • If this is right, then the twilight of the printed book will proceed on a schedule disconnected to the growth or stagnation of e-books — what the internet portends is not the end of the paper container of the book, but rather the way paper organized our assumptions about writing altogether.
  • Clay Shirky
  • the book, a creation of human beings, turned out not only to be a terrific container for distributing speech and then writing; it also, through an intertwined, mutually reinforcing, and unique combination of the mode of reading it encouraged (deep, attentive, immersive) and the modes of expression it inspired (deep, thoughtful, eloquent, emotionally resonant, experimental), actually heightened the potential of human expression, experience, and life.
  • Already the presses have stopped for phone books and encyclopedias, are stopping for textbooks and newspapers, and will increasingly stop for books of all kinds. And I think as that happens, the experience of reading books will be displaced by other experiences.
  • I don’t believe in ‘narrative obsolescence’ — on the contrary, I think that stories, unlike books, are a fundamental unit of human thought, which is to say that in most cultures we know of, there were no books, but there were stories.
  • forms of aesthetic expression co-evolve with their modes of production, and often don’t survive large-scale reconfiguration of those modes.
  • I have several reasons for thinking that the current round of destruction is clearing the decks for something better, but the main one is that historically, media that increase the amount of arguing people do has been a long-term positive for society, even at the cost of short-term destruction of familiar patterns, and the disorientation of the people comfortable with those patterns. I think we’ll get extended narrative online — I just doubt the format of most of those narratives will look enough like a book to merit the name.
  • Where nihilism enters the picture is when you say, sneeringly, that although “half a millenium of rehearsed reverence have taught us to regard [the book] as a semantic unit, [it] may in fact be a production unit: the book is what you get when writers have access to printing presses, just as the album is what you get when musicians have access to LP-pressing machines.” People’s love of books in general and serious novels and poetry in particular is not just a numb act of “rehearsed reverence” (a phrase that is incredibly insulting and demeaning) to an accidental production unit.
  • Reducing aesthetic choices to “rehearsed reverence” is a form of nihilism.
  • Some things — emphasis on “things” — are actually worthy of respect.
Jacques Kerneis

L'Agence nationale des Usages des TICE - Le partage de signets pour la collaboration et... - 2 views

    • Jacques Kerneis
       
      Logique applicationniste ?
  • pour la
  • compétence essentielle pour appréhender les flux informationnels
  • ...44 more annotations...
  • invite
  • peut entraîner
  • catégorisation
  • peut en outre
  • faire une mobilisation collective
  • l’usager souhaite
  • bibliothèques de liens 
  • e commenter les liens sauvegardés, ce qui donne une valeur ajoutée à ces liens et contribue à les caractérise
  • catégories
  • stockage
  • Braga
  • devant utiliser une plateforme de partage de signets durant un semestre
  • devaient
  • voir où ils en sont de leurs recherches et incite à produire un travail régulier » ;
  • uisque chaque membre a envie d’être utile à l’équipe ».
  • onfère ainsi une dimension sociale à la recherche d’informations.
  • résultats similaires
  • devaient
  • sciences physiques
  • ont collecté un nombre plus important d’informations par rapport au groupe utilisant le moteur de recherche.
  • plus d’attention aux ressources associées à des commentaires déposés par les internautes et par leurs pairs.
  • (BTS) devaient
  • le suivi du travail des élèves par leur enseignante.
  • la pertinence d’une ressource,
  • pour évaluer la répartition des tâches dans l’équipe, le choix et la pertinence de certaines ressources ou la qualité des mots clés retenus.
  • ue lorsque les élèves ne travaillent qu’avec un moteur de recherche traditionnel.
  • ouvre également la porte
  • et de ses besoins
  • niveau équivalent à la première année d’IUFM
  • ur les connaissances et compétences acquises en cours.
  • ont dû
  • Un groupe contrôle
  • Les résultats montrent que
  • impact positif
  • se rappeler
  • apacité à les relier avec des connaissances en cours d’acquisition ou déjà stabilisées
  • oblige à un effort de catégorisation et de conceptualisation, et tend à induire une lecture plus approfondie de celles-ci.
  • e partage et l’indexation de signets sont intéressants également pour des élèves de première.
  • matérialise plusieurs étapes de la recherche d’informations dans un seul et même outil.
  • et l’accompagner via un suivi individualisé.
  • ontribue à responsabiliser et impliquer les élèves dans le travail de groupe.
  • au service d’une co-exploration de l’offre informationnelle.
  • et éviter ainsi que ces bibliothèques de signets ne soient que de simples réservoirs de liens.
  • en les raccrochan
  •  
    "Le partage de signets pour la collaboration et l'apprentissage Résumé : Organiser de façon structurée des ressources sélectionnées sur le Web est une compétence essentielle pour appréhender les flux informationnels. Des recherches ont souligné qu'un usage collaboratif du partage de signets invite à une co-exploration du Web, ce qui peut entraîner l'implication forte des membres d'un groupe et mettre en œuvre un processus d'intelligence collective. La catégorisation des ressources au sein des bibliothèques de signets en ligne, via l'indexation ou les commentaires, peut en outre, aider à la conceptualisation et à l'appropriation du contenu des ressources par les apprenants. Recommandations : Encourager les élèves à commenter les ressources mises à disposition en les raccrochant à un contexte pédagogique précis. Aider les élèves à choisir les mots clés :  éviter les synonymes (il peut être intéressant ici de faire une mobilisation collective des idées au préalable); associer plusieurs mots clés pour indexer plus précisément une ressource.  Voir aussi : Témoignage - recherche sur le romantisme Témoignage - centre multimédia Thèse de Michèle Drechsler (IEN) sur Eduscol Article de Michèle Dreschler - revue Les cahiers du numériques Usages pédagogiques du « social bookmarking » Travaux personnels encadrés Utilisation pédagogique du social bookmarking lors de la recherche d'informations Médias sociaux et éducation Article de Laurence Juin, documentaliste - « Un nouvel outil au service de ma pédagogie ! » par Florence Canet * Les signets, aussi appelés "favoris" ou "marques-pages", sont des pages Web enregistrées auxquelles l'usager souhaite avoir un accès ultérieur facilité. Le partage de signets en ligne (également connu sous le terme anglais de social bookmarking) est une pratique qui permet de sauvegarder, organiser et commenter des pages Web dans une bibliothèque virtuelle créée via un
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